11/11/2014
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Activités étrangères au Sud-Kazum

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Activités étrangères au Sud-Kazum

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants au Sud-Kazum. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur du Sud-Kazum, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Renforcement de la frontière entre la Troisième République du Jashuria et le Sud-Kazum - 24-12-2013


La géographie, ça sert d’abord à faire la guerre. Tels furent les mots prononcés par le géographe jashurien Manit Wanpan à l’occasion du dernier colloque de l’Ecole de Guerre d’Agartha au sujet de la frontière commune entre le pays et la République Populaire Démocratique du Sud-Kazum. Cette frontière commune de plus de 1450 kilomètres était aujourd’hui au coeur des débats au sein de l’Etat-major de la Région des Perles depuis la sortie de l’isolationnisme du pays, ce qui ne manquait pas d’éveiller l’attention des armées jashuriennes. Le Sud-Kazum, territoire isolationniste dirigé par un parti unique à fortes tendances socialistes, était la bête noire du Jashuria depuis des décennies et une tache dans le Nazum pacifié que le pays cherchait à construire au travers de ses réseaux diplomatiques.

Le réveil du régime de Gwangsu rappelaient aux autorités jashuriennes la menace que constituait à moyen terme le Sud-Kazum dans la région. Entité autarcique ayant accueilli les cadres politiques du Ruban Ecarlate durant les années noires et la réunification du pays, le Sud-Kazum était dirigé d’une main de fer depuis des années par Kim Il-Chong et son parti unique. A la tête d’une société militarisée et dévouée à sa cause, le leader suprême du parti venait d’annoncer la sortie du Sud-Kazum de l’isolationnisme, réveillant du même coup les craintes du Jashuria d’un pays aligné sur les entités communistes à ses portes.

Si officiellement le Jashuria conservait son attitude policée et mesurée, en interne, les débats fusaient au travers des couloirs du Cercle Intérieur et du Cercle Extérieur. Quelle position adopter face à un régime dont l’existence-même était une menace pour la tranquillité du Jashuria ? Les positions étaient invariablement divisées. Nombreux étaient ceux qui souhaitaient purement et simplement établir une frontière claire et net entre les deux pays, afin de limiter les possibilités pour le Sud-Kazum d’introduire des éléments séditieux dans le pays, ou tout simplement de tenter une opération militaire. D’autres envisageaient d’entamer des discussions avec le Sud-Kazum afin de tester la nouvelle politique du pays … avec un peu de chance, le régime entamait une mue devant le mener à une nouvelle ère démocratique et …

Non, aucune chance …

Les Jashuriens étaient bien conscients que le Sud-Kazum était une menace à moyen terme, mais ne parvenaient pas à s’accorder sur la manière de traiter ledit problème. Les élites politiques du pays hésitaient entre une action militaire coup-de-poing, au risque d’un blâme international, une militarisation de la frontière - coûteuse, mais sûre - ; ou même d’un blocus doté d’un embargo. L’enjeu était de ne pas permettre au pays de nouer des relations militaires avec les Eurycommunistes, toujours en quête d’une nouvelle tête-de-pont au Nazum. Le gouvernement central estimait, à juste titre que l’essor des relations diplomatiques du Sud-Kazum pourrait grandement compliquer la tâche du Jashuria pour circonvenir la menace à moyen terme qu’il représentait.

Toutefois, la situation géopolitique offrait de belles opportunités. La Frabia possédait aussi une frontière commune avec le Sud-Kazum. Nul doute que le pays, peu développé sur la scène internationale, chercherait une protection auprès du Jashuria, ce que le pays s’empresserait d’accorder, tout en faisant jouer des garanties importantes. Les provinces fortunéennes n’étaient pas en reste et le Jashuria pouvait aisément signaler à son allié de toujours du danger potentiel que représentait l’émergence du Sud-Kazum sur la scène régionale. Les Fortunéens étaient chez eux sur l’ensemble du globe, mais ils ne pouvaient défendre toutes leurs positions. Nul doute que les Fortunéens seraient ravis à l’idée de bénéficier de la protection du meilleur de leurs enfants.

Faute de consensus sur la marche à suivre vis-à-vis du Sud-Kazum et de sa future politique, le Cercle Intérieur avait décidé de confier à l’Etat-major de la Région des Perles le soin de consolider la frontière avec le Sud-Kazum en faisant intervenir plusieurs bataillons de l’armée de terre sur les avant-postes frontaliers. Les frontières, jusqu’ici surveillées par les réservistes de l’armée de terre de la Région des Perles, furent rapidement dotées en professionnels de terrain et chaque centimètre carré scruté avec soin afin de s’assurer que le Sud-Kazum ne représenterait pas une menace aux frontières. L'Etat-major avait donné pour consigne de simplement renforcer les patrouilles aux frontières et de profiter de l'occasion pour vérifier et consolider la grille de fer renforcée qui séparait le pays du Jashuria depuis maintenant plusieurs décennies. Si un glacis de sécurité avait été constitué pendant des années, personne ne s'y risquait jamais et cela faisait des années que les Jashuriens n'avaient pas vu de transfuges venant de l'ouest. Mais avec l'évolution rapide de la situation internationale, le risque de voir débarquer à la frontière du pays des réfugiés du Sud-Kazum était de plus en plus réel, créant une inquiétude au sein de la population frontalière.

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Gouvernement Chen
Ministère des Affaires Extérieures

Par son excellence, Madame Yi Guiying, Ministre des Affaires Extérieures


Ce 4 janvier 2014, le gouvernement de la Commune Libre de Ghaliya et les membres de la majorité gouvernementale ont eux connaissance d'une déclaration officielle du Bureau des Affaires de l'État de la République Populaire Démocratique de Sud-Kazum datée du 4 janvier 125 selon le calendrier de cette nation. Cette déclaration fait état de la part du Sud-Kazum de la non-reconnaissance des frontières de celui-ci avec la Troisième République du Jashuria, la revendication des provinces de Nanakarni, d'Anwara, de Kyugangon et de Minbyin, ainsi que les droits sur le Grand Canal et l’accès à l’océan des Perles.

Par ces déclarations, la dictature déjà en place au Sud-Kazum, se revendiquant à tort du communisme, entérine le fait qu'elle ne sait user que de la violence pour régner et faire de la diplomatie. La Commune Libre du Mokhaï dénonce fermement le bellicisme de cette nation et l'invite à la raison en s'engageant sur la voie du dialogue et de la diplomatie raisonnée avec son voisin le Jashuria.

La violence n'est jamais l'unique et première solution pour parvenir à prospérer et le dialogue doit être favorisé. Alors pour son peuple comme celui du Jashuria, nous appelons le Sud-Kazum à ne pas engager d'actions armées. Nous l'appelons à s'engager sur la voie de la démocratisation de son régime, car le communisme se réalise sans la nécessité d'un pouvoir autoritaire, et est même brisé dans son développement par l'aspect dictatorial de celui-ci.

La Commune Libre de Ghaliya se déclare ouverte aux échanges et au dialogue avec le Sud-Kazum pour l'accompagner dans une possible démocratisation et ainsi pouvoir bâtir le communisme nazumi dans un environnement démocratique, apaisé et prospère.

Pour le peuple, égalité et unité. Vive la démocratie !

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Déploiement de troupes complémentaires à la frontière entre la Troisième République du Jashuria et le Sud-Kazum - 28-05-2014


Déploiement




La guerre civile qui minait le Sud-Kazum depuis quelques semaines avait nécessité de nouveaux déploiements de troupes à la frontière sud du Jashuria. Le haut-commandement de la région des perles avait fait déployer le 3eme corps d’infanterie sur la frontière afin de parer à tout imprévu. S’il se murmurait dans les cercles politiques que le Jashuria préparait une invasion en bonne et dûe forme du Sud-Kazum afin de régler définitivement le problème, il n’en était rien. Le haut-commandement avait clairement reçu pour ordre de tenir les fortifications et de veiller à ce qu’aucun citoyen du Sud-Kazum ne franchisse les frontières du Jashuria.

Le démantèlement du régime du Sud-Kazum était une excellente nouvelle pour le Cercle Intérieur, dont les élus entendaient profiter allègrement. Néanmoins, il serait difficile, même dans l’opinion publique, de justifier une invasion des territoires sud-kazumiens, même en argumentant sur la possibilité d’une gestion de crise par son intervention. Clairement, le moment n’était pas propice à une telle action et les Jashuriens préféraient attendre que le Sud-Kazum s’enlise dans la guerre ou en ressorte avec un nouveau régime avant de planifier de nouvelles actions à l’encontre du Sud-Kazum.

En attendant, le pays avait décidé de renforcer les escouades de garde-frontière et remis en état les fortifications, et ce, depuis plusieurs mois. Des avions de reconnaissance sillonnaient régulièrement le ciel afin de mener un repérage assidu des frontières et veiller à ce que la guerre civile ne lèche pas les frontières jashuriennes. L’arrivée du 3eme corps d’infanterie de l’armée des perles révélait cependant que le Cercle Intérieur prenait suffisamment au sérieux la possibilité d’un embrasement aux frontières. Il n’était jamais exclu que le Sud-Kazum perde totalement le contrôle de la situation et ne puisse plus contenir sa population.

Bien entendu, des citoyens du Sud-Kazum s’étaient massés aux frontières jashuriennes, mais n’avaient pas réussi à franchir les grilles et les checkpoints. L’absence de relations entre les deux pays faisait que les Sud-Kazumiens qui tentaient de fuir leur pays étaient systématiquement refoulés aux frontières du Jashuria et formaient, non loin des checkpoints, des villes et des villages improvisés … sorte de campements de réfugiés de fortune en attendant qu’un accord soit trouvé entre les deux pays que tout opposait. Faute de pouvoir intervenir militairement, les Jashuriens, par le biais de quelques ONG, avaient fait parachuter à intervalles réguliers des vivres et un peu de matériel aux Sud-Kazumiens qui se regroupaient en formations compactes aux frontières.

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Projet: Conférence de Velcal
Pour la formation d'une ligue de défense de nos intérêts communs


"A toutes les forces de bonne volonté en ce continent et du reste de ce monde, j'en appelle à toutes les nations libres et désireuses de le rester, du danger que représente ces choses qui composent notre paysage politique eurysien actuel. Ces organisations supra-nationales qui défigurent le sens du mot "souveraineté" et qui se servent de tout leur poids pour interférer dans l'existence de ceux ne désirant que la tranquillité d'âme, d'esprit, et dont l'unique volonté est d'exister dans la paix de leur foyer, sans que l'on ait à les invectiver de vivre d'une mauvaise manière. Que ces Hommes soient libres de vivre selon leurs valeurs et conscience propre, c'est là mon seul désir. La Grande République de Velsna sera toujours l'ennemie de toutes les volontés d'hégémonie d'un petit groupe de nations, quelle que soit les valeurs dont ces dernières se targuent ou les convictions politiques qu'elles brandissent. Cela n'a toujours et éternellement que la même finalité: une hégémonie politique, économique, culturelle ou les trois à la fois. Je suis de ces hommes qui estime que c'est la seule volonté d'un peuple qui est légitime à la direction qu'il prendra: si celui-ci désire la démocratie, que l'on ait pas à lui imposer par les armes, et il en va de même avec le communisme et tous les régimes ne mettant pas en péril le droit de leurs voisins à faire de même. OND, Liberaltern, ONC...ce sont là des appellations différentes pour une même méthode de terreur et de pression politique sur les petits, les faibles et les nations isolées. Le seul horizon politique auquel ces nations ont le droit est le suivant: quand est-ce que notre tour sera venu d'être la cible d'une intervention criminelle d'une armée qui causera bien davantage de mal que de bien à notre patrie ? Alors que le sens de l'Histoire devrait être dédié aux particularismes et à l'exception que représente chacun d'entre nous, nous nous complaisons à éterniser un monde ne nous laissons d'autre choix que la conformité. La conformité ou la disparition, tels sont les deux seuls choix de ces nations.

C'est pourquoi, en vertu de l'état politique désastreux d'un monde partagé entre des organisations au but noble, mais dont la finalité est mortifère, que nous annonçons le présent projet validé par le Sénat des Mille de la Grande République de Velsna: à savoir la mise en place d'une Ligue d’États souverains et indépendants, dont le seul et unique but sera la préservation de leur indépendance à tout prix. Notre organisation ne sera pas une union économique, ni même une union politique ou culturelle artificielle et dont les contraintes seraient bien trop nombreuses à notre goût. Il ne s'agira pas là non plus de nous affilier à raison d'une idéologie commune, car nous n'avons que faire que de la manière dont vous concevez votre monde. Il ne s'agira en réalité là que de deux choses: un pacte défensif commun, et uniquement dans ce cas de figure, et la mise en place d'un marché de l'armement interne à tarifs préférentiels. Ni plus, ni moins, car nous pensons qu'il n'y a guère meilleure organisation supra-nationale que celle que l'on voit le moins souvent.

En vertu de ces principes que l'on pourrait qualifier à juste titre de minimaliste, nous n’exigerons des futurs intéressés que deux choses:
- De ne faire partie d'aucune des trois organisations suivantes: ONC, OND ou Internationale Libertaire.
- De respecter votre engagement vis à vis de ce pacte de défense, qui mettra en jeu nos paroles et notre dignité."



- Matteo DiGrassi, Sénateur des Mille de la Grande République de Velsna, Maître du Bureau de l'Arsenal, vainqueur des achosiens et des landrins, restituteur du Sénat




Si vous êtes intéressés par ce projet, veuillez remplir ce formulaire dans l'éventualité d'une conférence qui se tiendra en la cité de Velcal, en Grande République de Velsna. Envoi de préférence dans le topic consacré dans les appels d'offre:

[b]Entité participante (nom complet du pays):[/b]
[b]Nom du représentant ou de la représentante:[/b]
[b]Observations personnelles et attendus de cette future organisation:[/b]
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