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[EVENEMENT PERIODIQUE] Torneo internacional de fútbol de prestigio

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24 décembre 2013 - Le tournoi international de football prestige est créé.


Joueur de foot sur le terrain
Le tournoi international du football de prestige est une institution qui a le vent en poupe, pour forcer la reconnaissance et la professionnalisation ds joueurs y participants.


Si les sports mêlés à la technologie, à l'instar du Grand Prix de stock-car pour l'archipel ou le salon de l'aéronautique connaissent un intérêt fluctuant auprès de la population, force est de constater que le football profite lui d'un ancrage plus confortable au sein de la société alguarena. Identifié sport national avant même le phénomène croissant de mondialisation, le football a toujours su capter l'intérêt des foules du pays, les agglomérant autour d'une ou plusieurs de leurs équipes favorites.

Si l'essor du football avait jusqu'à lors misé sur la ferveur des communautés natives, qui identifient le football comme un élément d'appartenance à une communauté et un modèle d'accomplissement auprès d'autrui, la mercantilisation des joueurs largement aidée par l'arrivée de sponsors et de capitaux étrangers, a soufflé un vent nouveau portant les prémices des manifestations sportives qu'il nous tarde aujourd'hui de vous décrire.

Le Tournoi International du Football de Prestige, est un compétition qui se veut dès lors hors norme, par l'opportunité faite aux meilleures équipes mondiales, de s'affronter au terme d'une compétition autour de laquelle flotte des centaines de milliers, voire des dizaines de millions de pesetas alguarenas.

Vecteur d'investissements et d'économie, le tournoi sportif constitue l'un des nouveaux atouts joué par le gouvernement Abrogara, pour doper l'économie nationale, à grands renforts de manifestations événementiels et des taxations associées à celles-ci, en partie par l'apparition de nouveaux gros salaires nés de la spéculation financière autour des carrières de sportifs.

ÉQUIPES IDENTIFIÉES AU TOURNOI

HRP a écrit :Le Tournoi international de football de prestige est une compétition opposant les équipes de football des villes de plusieurs pays. Pour les départager, nous nous référons à un autre mini-jeu qu'est le jeu des suites (le jeu de l'oie avait par exemple servi au départage de la compétition de stock-car).

Homologation de l'équipe

Son principe? Vous constituez une équipe de 11 titulaires et 10 remplaçants, à qui vous attribuez chacun une carte (comprenant As, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi comme l'exemple ici...).

Arbitrage

Une fois ces éléments connus pour chaque équipe, le joueur jouant l'arbitrage tire une carte et 1dé2. La carte tirée va déterminer le départ de la suite, par exemple, un 7 tiré par l'arbitre amène un début de suite à 6 ou 8. Le caractère croissant et décroissant de la suite dépendra de l'issue du 1dé2, un résultat de 1 exprimant une suite décroissante, un résultat de 2 croissante.

exemple ici :

EQUIPE 1
Gardien de but (As ♠)
Défenseur (Roi ♥)
Défenseur (Dame ♥)
Défenseur (Valet ♣)
Défenseur (10 ♠)
Milieu de terrain (9 ♥)
Milieu de terrain (8 ♦)
Milieu de terrain (7 ♣)
Attaquant (6 ♣)
Attaquant (5 ♥)
Attaquant (4 ♦)

EQUIPE 2
Gardien de but (As ♦)
Défenseur (Roi ♣)
Défenseur (Dame ♠)
Défenseur (Valet ♥)
Défenseur (10 ♦)
Milieu de terrain (9 ♣)
Milieu de terrain (8 ♠)
Milieu de terrain (7 ♥)
Attaquant (6 ♦)
Attaquante (5 ♣)
Attaquante (4 ♠)

L'arbitrage tire une carte 10 ♥ et 1dé2 (= suite croissante). L'équipe 1 peut faire valoir 2 points (Roi ♥ & Dame ♥) tandis que l'équipe 2 un seul point (Valet ♥). L'équipe 1 gagne le match, de 2 points à 1 pour l'équipe 2. En cas d'égalité et si un match nul n'est pas autorisé, vous pouvez réitérer l'opération autant que nécessaire pour les départager. InRP, libre à vous de désigner les buteurs parmi les joueurs porteurs des points, les buts contre leur camp peuvent être envisagés, d'un commun accord. Il y aura un tirage par mi-temps.

Expérience et notoriété des joueurs
Pour traduire l'expérience des joueurs et inciter les clubs (et derrière eux les joueurs!) à des transferts/ventes de footballeurs, un système de bonus peut être accordé, par la possibilité de combiner deux cartes sur un même joueur expérimenté. Ainsi donc, le joueur en question aura deux combinaisons possibles à faire et non plus une seule, offrant plus d’opportunités de jeu/victoire à son équipe et valorisant l'intérêt de vendre/acheter ce genre de joueurs, pendant leurs années de carrière.

Le joueur se verrait octroyer ces bonus à la suite de victoires acquises au tournoi : le vainqueur d'une édition : +1 carte pour 3 de ses joueurs, le finaliste +1 carte pour 2 joueurs, le vainqueur de la petite finale +1 carte pour un joueur.
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Tournoi International de Football du Prestige - Première compétition en 2014.


https://i.postimg.cc/5095rJSH/foot.png
L'Estadio Jacalbulco a pu profiter de son parterre de supporters habituels.

L'année 2014 a vu se dérouler la première édition du Tournoi International de Football du Prestige, donnant l'occasion à la Fédération d'Alguarena d'accueillir plusieurs sélections des grandes villes de ce monde. Neuf équipes, représentatives de quatre des cinq continents, finissant d'amorcer le sport comme agglomérant des civilisations et artisan du vivre ensemble. Une compétition amorcée en juillet 2014, à la faveur des jours à la température soutenable, pour assurer la tenue de festivités au grand air. Du côté des clubs et des fédérations sportives, l'enjeu n'est pas moindre puisqu'il se destine à nourrir l'opportunité de professionnaliser le football et d'opposer les joueurs de nombreuses équipes au nom de la gloire sportive et accessoirement l'appât financier, dans une compétition qui promettait déjà de mettre en cagnotte plusieurs dizaines de millions de pesetas alguarenas. Il faut dire que le "Torneo internacional de fútbol de prestigio" est de prime abord conçu pour développer et stimuler l'économie nationale, par la tenue de grands évènements sportifs aux retombées économiques certaines, amenant les alguarenos et supporters étrangers à acheter des places, assister à des diffusions sponsorisées par de la publicité, consommer biens et services à proximité de la rencontre tandis que les clubs eux, développent la notoriété de joueurs dont le palmarès grandissant et pour le coup médiatisé, se veut vendu à prix d'or sur un tout nouveau marché, celui des marchés sportifs où le transfert de joueurs de renoms espère se faire à un voire plusieurs millions de pesetas alguarenas. Des matchs, non éliminatoires, qui permettent la rencontre aller et retour des grands clubs de notre décennie, tels que le Breuillet Football Club en provenance de Youslève, les clubs arcoans de Guanatagua ou encore Corjucana. Bien que les rencontres sportives concèdent un match aller et retour, aucun match nul n'est admis, la désignation d'un vainqueur se faisant alors assurée.

Match 1 - 14 juillet 2014 : Estadio Jacalbulco versus Asociación Deportiva de Guanatagua (2-1)

Et le coup d'envoi qui se veut l'amorce du tournoi n'est autre que celui donnant le même top départ à la rencontre de l'Estadio Jacalbulco et l'Asociación Deportiva de Guanatagua. Deux clubs alguarenos, notoirement rivaux et issus de deux états fédérés. Le premier est en effet un club de la capitale encolanaltèque, opposé à une autre formation sportive issue cette fois d'une ville provinciale arcoane. Un premier élément donnant un son de cloche différents à l'entrée des deux équipes dans le stade mais qui n'enlèvera finalement rien à l'ambiance électrique qui traversait l'édifice ce soir-là. Les supporters jacalbulcos, connus pour leur ferveur parfois bien excessive, ont déployé un immense drapeau enconaltèque. Une démonstration qui en dit long sur le chauvinisme des encolanaltèques où le suprémacisme latino demeure, même dans le sport et ses fêtes.

L'Estadio Jacalbulco face à l'AD de Guanatagua. La pression est pour Jacalbulco finalement identifié grand favori de la rencontre, qui trouve de l'autre côté du terrain un "petit" club défendu par plusieurs centaines de bruyants supporters, venus depuis la région du Bapó pour exhiber fièrement les couleurs vertes et orangées de leur club. L'Estadio Jacalbulco, bénéficaire de fonds des pouvoirs publics, s'est rapidement placé parmi les équipes footballistiques d'élite de la Fédération, là où l'AD Guanatagua n'a pas encore pu percer à l'échelle nationale et fait figure de parent pauvre du football alguareno. Sur le papier le match semble plié mais peut-être le derby nous fera-t-il l'honneur ce soir d'étaler quelques unes de ses surprises.

Lieu : Jacalbulco (Encolanas)
Arbitre : Orlando Crespo
Buteurs de la rencontre : Esteban Ñaupari (EJ - 18'), Mateo Ramírez (ADG - 56'), Enzo Berrios (EJ - 95')


1ère mi-temps
Suite (croissante) pour la rencontre : As ♠
  • Estadio Jacalbulco : Inkaya Chalco (2 ♠) et Esteban Ñaupari (3 ♠) = 2 points
  • Asociación Deportiva de Guanatagua : pas de suite = 0 point.
2e mi-temps
Suite (croissante) pour la rencontre : 6 ♣
  • Estadio Jacalbulco : pas de suite = 0 point
  • Asociación Deportiva de Guanatagua : Mateo Ramírez (7 ♣) = 1 point.
Prolongation
Suite (croissante) pour la rencontre : 9 ♦
  • Estadio Jacalbulco : Gabriele Carrasquillo (10 ♦), Damían Misanca (Valet ♦), Enzo Berrios (Dame ♦) = 3 points
  • Asociación Deportiva de Guanatagua : pas de suite = 0 point.

Lors de la première mi-temps, la domination jacalbulca est totale ou presque, amenant l'inévitable au travers d'un impérieux but donné à la 18e minute par l'attaquant Esteban Ñaupari, lancé tel la flèche d'un arc bandé par toute une équipe dont le talentueux Inkaya Chalco qui lui a servi ce ballon d'une passe décisive. Après cette mise en bouche, les jacalbulcos continueront d'orienter le jeu, pour ne pas dire le rythmer, achevant la première mi-temps d'un moral revigoré. C'est un ballon mal renvoyé par la défense adverse qui ouvre cette fenêtre d'opportunité à l'attaque de l'EJ, aux aguets. Un but précoce qui donne le tempo et commande à l'AD Guanatagua de sauver l'honneur, dans un stade acquis aux jacalbulcos. Le stade a choisi son camp et le fait savoir, poursuivant chants et cris tandis que son équipe conserve le ballon, à son aise et confiante sur la suite du match. Mais la confiance en soi n'est pas qu'affaire de qualité, et l'orgueil des joueurs jacalculbos, mêlé à de la fatigue, entraine de premiers déchets dans les passes de la seconde période, facilitant les actions de récupérations de balle.

L'équipe de Guanatagua, partageant le constat, attend son heure malgré quelques actions offensives qui peinent à se construire et conduisent à des frappes mal cadrées. A la 56e minute, Mateo Ramírez les récompense, nous assurant un retour aux vestiaires prolifiques pour cette équipe de l'AD Guanatagua, déterminée à nous présenter un autre visage. L'arcoan a profité de cet excès de confiance des jacalbulcos, pour jouer plus haut et trouver la brèche d'une défense au ralenti. Gagnant un duel aérien de la tête, Mateo Ramírez a daigné joué plus haut, concédant la passe à son milieu de terrain qui le resservira six secondes plus tard, véritable récompense d'un effort collectif et de talents individuels ! A la 56e minute, le ballon est dans les faits, après que le gardien Chuki Quichca se soit retrouvé battu. Du côté de l'EJ on prend toute la mesure de la catastrophe, trop tard et tout est à refaire ! Et tout peut basculer, l'AD Guanatagua joue la défense jusqu'au bout, elle veut sa séance de tirs au but pour provoquer le destin et réécrire l'histoire que bon nombres de commentateurs sportifs entendent lui imposer. Ainsi vinrent les prolongations...

Des prolongations imposées à un EJ piqué au vif qui entend reprendre peu à peu l'ascendant. Des changements s'opèrent afin d'alimenter l'équipe en sang neuf et réimposer un rythme de jeu favorable et non subie. Et Enzo Berrios profitera de cette vivacité retrouvée, soumettant à ses adversaires une accélération brutale qui contraint la défense de l'AD Guanatagua à commettre une faute, alimentant un coup franc dangereux que ce même joueur parvint à transformer. Le match est terminé, le miracle n'aura pas lieu pour l'AD Guanatagua.
Tournoi International de Football du Prestige - Première compétition en 2014.


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Malgré un score minimaliste, les breuilletois ont fait la démonstration d'une technique supérieure aux fougueux Loups de Virginie.

Match 2 - 21 juillet 2014 : Les Loups de Virginie versus Breuillet FC (0-1)

Contrairement à bien des rencontres, celle des Loups de Virginie et de Breuillet FC profitait d'un ensoleillement maximal, organisée en fin d'après-midi. Le soleil n'avait pas encore décliné que les aleuciens et eurysiens pénétraient le stade, le front perlant sous l'effet de l'inhabituelle chaleur. Les Loups de Virginie ragaillardis d'un pronostic les annonçant favoris, avaient pris dans leurs bagages un public acquis à sa cause, face à un Breuillet FC bien méconnu de villes et de pays aleuco-paltoterrans. Pourtant les commentateurs sportifs savaient pertinemment que les deux équipes ne manquaient pas d'atouts, et que la fougue exhibée par les jeunes joueurs des Loups de Virginie pouvait se briser immanquablement contre la forteresse de roches érigée par le Breuillet FC, une équipe disciplinée pouvant dérouler un jeu à la mécanique froide et inarrêtable, autour d'un collectif qui ne laisse pas de place au hasard. L'atmoshpère était donc lourde pour ces inhabitués des climats tropicaux, même si le public en liesse portait leurs jambes avec une certaine allégresse, rythmée des chants de supporters.

Lieu : Pomosejo (Arcoa)
Arbitre : Pedro Casilleras
Buteurs de la rencontre : Arès Aristagoras (Breuillet FC - 23')


1ère mi-temps
Suite (croissante) pour la rencontre : 8♠
  • Les Loups de Virginie : Lucien Gagnon (9 ♠) = 1 point
  • Breuillet FC : Arès Aristagoras (9 ♠), Elio Ilardi (10 ♠), Baltasar Aizpitarte (Valet ♠), Lysandro Cordylion (Dame ♠), Didac Spada (Roi ♠), Allande Agaraberry (As ♠) = 6 points.
2e mi-temps
Suite (croissante) pour la rencontre : Valet ♥
  • Les Loups de Virginie : Alexei Romanov (Dame ♥) Victor Gauthier (Roi ♥), François Tercier (As ♥) = 3 points
  • Breuillet FC : Facundo Barrios (Dame ♥), Demetero Mattera (Roi ♥), Felix Gallo (As ♥) = 3 points.

Ce que le Breuillet FC proposa à l'ouverture du jeu revêtait des allures de siège, chacun pouvant assister à une mise en circulation méthodique de la balle pour construire de premières actions complexes. Un quadrillage scrupuleux qui ne tarda à faire quelques frayeurs à l'arrière des Loups de Virginie, ses cafouillages se payant instantanément par l'accélération des attaques du Breuillet FC. Petit à petit la défense des Loups de Virginie se déconstruisait sous des assauts brutaux portées par un jeu soumis à une accélération soudaine. Une mise à l'épreuve et une casse méthodique de l'appareil défensif que certains commentateurs n'hésitent plus à qualifier de dissection breuilletoise. La défense de Virginie est prise à la gorge et l'absence d'agressivité d'un de ses défenseurs ouvre une brèche fatale à une montée adverse. Un peu plus d'un quart d'heure de jeu, une mi-temps de mi-temps et le Breuilletois Arès Aristagoras marque le score d'un tir sec et puissant, inarrêtable. Le tir est enroulé, expédié depuis la surface, le gardien adverse n'a pas le luxe de pouvoir s'y opposer.

Le couperet était là, laissant les Loups de Virginie accuser le coup, au point que dans les minutes qui suivirent cette ouverture de score, un autre breuilletois, Elio Ilardi, vint à intercepter le ballon poussé d'une passe molle par un milieu de Virginie. Les Loups n'avaient rien de la bête fauve qu'on nous promettait et la mi-temps sonna davantage l'effet d'un salut, pour une copie à revoir. Le Breuillet FC se risquait à l'opportunisme, fort d'initiatives individuelles. Un fait nouveau qui gageait de la lente glissade sur laquelle s'engageait l'équipe des Loups de Virginie. Les gradins s'étaient pour ainsi dire figés, n'expirant qu'après la sortie du pied d'un second défenseur de Virginie, anticipant la passe longue d'un binôme breuilletois décidé à ne rien lâcher.

Quelques minutes plus tard encore, ce fut Baltasar Aizpitarte qui donna le tempo au travers d'une longue passe centrée manquée de peu par Theodoros Boduin, sautant en retard pour se permettre de frapper d'une tête lobée la balle servie. Le stade avait tremblé, par crainte de concéder un but supplémentaire à un adversaire dont le mérite était maintenant reconnu, et sa place au tournoi attitrée. Les chants s'étaient tus, car désormais on savait pertinnement que cette victoire ne serait pas celle des Loups de Virginie, même si à la fin du match, les breuilletois furent chaudement applaudis par les supporters présents, leur concédant un jeu pour le moins méritant d'une victoire de justesse (1-0) mais qui aurait décemment pu se faire par le biais d'un écart plus large encore.
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