09/08/2014
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Presse | La panthère du Matin

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Journal historique de la Seconde République Impériale du Taqui-Quichu, datant de 1903, la panthère du matin délivre les actualités se déroulant au Taqui-Quichu et dans ses environs.
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Fête nationale des 111 années depuis la création de la seconde République Impériale, un déclic ?


Nous avons reçu l'information depuis peu de temps, mais la dirigeante provisoire de l'Union des Communes de Kaulthie, Madame Evelyn, a participé à la fête nationale des 111 ans, qui marque la chute de la dictature des Tupacs et la fondation de la Seconde République Impériale du Taqui-Quichu ( le 8 Janvier ). Cette surprenante présence dans le pays est un évènement en vérité majeur entre les deux nations, comme nous allons le voir dans cette émission.

Pour commencer, cela fait bientôt plusieurs mois que l’Empire Kaulthe a finalement cessé d’existé pour laisser place à l’Union des Communes de Kaulthie, un état communaliste sur le modèle du Grand-Kah. Auparavant, et ce depuis l’indépendance de la République de Nouvelle-Warenburg ( 1660 ) puis de son intégration dans la Première République Impériale du Taqui-Quichu ( 1735 ), les relations Kaultho-Taqui-Quichu n’ont jamais été réellement bonne, la première estimant que la Nouvelle-Warenburg était Kaulthe et la seconde refusant de donner un seul morceau en Aleucie. Cet affrontement d’ego et de territoire n’a jamais pu vraiment être considéré avec sérieux par le régime Taqui-Quichu pour la bonne raison des guerres et de la distance qui se trouvait entre l’Empire Kaulthe, devenu la Confédération Kaulthique, et la République Impériale.

Cependant, depuis la récente guerre civile entre le Valheim et la République Kaulthe ( 2006 - 2011 ), les ambitions impérialistes de la junte Impériale de Kaulthie, grande gagnante du conflit, se sont vite tournées vers le Taqui-Quichu. Ainsi, durant presque 1 an, des tentatives de conquêtes ( toutes déjouées ) ont été tenté envers les habitants de la République Impériale.

Donc, cette rencontre, réunissant la dirigeante provisoire de Kaulthie et l’Empereur-Président du Taqui-Quichu permet donc de mettre fin à plus de 354 ans de « guerre froide » entre les deux nations.
Durant son séjour dans le pays, Madame Evelyn a décrété reconnaître l’appartenance de la Nouvelle-Warenburg à la République Impériale pendant qu’en retour sa Majesté Kamatapec III a déclaré reconnaître le régime Kaulthe et accepté et protéger les populations Kaulthes du pays.

Pour finir, cette rencontre marque donc un nouveau tournant dans les relations Taqui-Quichu/Kaulthe, et pourrait, avec le temps, amené à des partenariats solides et durables dans le temps.

08/01/2014
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Les milices et les gangs, un facteur de la réussite Taqui-Quichu ?

Depuis la fondation de la Seconde République Impériale du Taqui-Quichu en 1903, les petits groupes armés ont toujours été présent, que ce soit dans la politique, dans l'armée ou dans la vie civile. Au premier abord, cela pourrait être dangereux de laisser des bandes armées, cependant la vérité est bien plus complexe.

Revenons donc en 1903. Suite à la nomination de Moctezuma II en temps que premier Empereur-Président, une petit crise économique, qui n'impacta que le Taqui-Quichu, vida les caisses de l'état. Le pire arriva quand des habitants se mirent à la piraterie. Pour éviter une expansion du fléau, le gouvernement accorda au peuple de s'armer afin de pouvoir se défendre face aux pillards. Ainsi, les gangs et les clans commencèrent à se former et à grandir, et les pirates ne firent que diminuer dans les années qui viennent grâce aux armes et aux efforts de ces groupes pour défendre leurs familles, leurs villes et villages. En 1903, on estimait à 12 000 personnes qui faisaient de la piraterie, en 1950, à peine 2 000 personnes continuaient ce "métier" de pillard.
Après la crise économique de 1903 terminée ( en 1925 ), voyant que le système des milices fonctionnaient bien, l'Empereur-Président déclara que dorénavant les villes n'auront pas de polices/gendarmes et que ce serait aux gangs de défendre le peuple. De toute manière, si le Taqui-Quichu avait mis en place des policiers, le peuple n'aurait pas accepté cela. Ainsi, la paix, assurée par le peuple en lui-même, fut acquis. Aujourd'hui encore il s'agit d'une composante importante de la culture et même, de la tradition. Chaque villes, principalement dans l'état de Nouvelle-Warenburg, dispose d'au moins 10 gangs différents.
Grâce à la participation active du peuple à la défense d'elle-même et de ses confrères et consœurs, aucun Taqui-Quichus ne manque élections, référendums, discours de l'Empereur-Président. En bref, ils sont présents dans la vie politique du pays et peuvent donner leurs avis sur de très nombreux sujets.
Cependant, indirectement, si le gouvernement a permis cette liberté de défense de soi et des autres, c'était aussi pour s'assurer qu'aucune force de l'ordre tenterait de renverser le régime, ou encore qu'un Empereur-Président trop prétentieux tente de revenir au modèle tristement célèbre du Raitl ( dictature des Tupacs ). En bref, éviter qu'une situation catastrophique parvienne encore au pays.

23/03/2014
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Réarmement maritime du Taqui-Quichu, une petite puissance en devenir ?

Depuis plusieurs mois maintenant, le gouvernement du Taqui-Quichu a lancé un réarmement dans tous les domaines afin de pouvoir protéger le Taqui-Quichu de potentiels envahisseurs.
De manière plutôt surprenante, c'est dans le domaine maritime que des réussites technologiques ont pu voir le jour. L'entreprise de fabrication de vaisseaux navals, "Kataloc Enterprise", a lancé, avec l'accord du gouvernement, son premier modèle de Corvette de "classe caput-cuxfa" ( classe renaissance ou classe C.C. ). Ce navire s'est terminé ce 15 Juillet 2014, et porte le nom du "Kilmen", plante poussant généralement proche de la mer. Ce bâtiment, premier d'une longue liste, a aussitôt commencé des missions de reconnaissance dans le Golfe Alguarenos, afin de vérifier la sureté des côtes Taqui-Quichus. Aujourd'hui, ce navire représente la puissance naissante du pays et le potentiel qu'il renferme. Aussi, "Kataloc Enterprise" annonce déjà commencer à préparer la naissance de nouvelle corvette afin de dresser une véritable armada maritime pour le pays.

Cependant, également, des échanges entre Stérus et le Taqui-Quichu a permis de posséder la première Frégate de l'armée, de génération 3, ce qui n'est pas à exclure. A l'occasion, ce vaisseau a été nommé "le Stérusien", en l'honneur des relations qui s'ouvrent entre les deux pays. De manière indirecte, ce navire représente également les accords qui permettent la naissance d'une diplomatie forte entre les pays du golfe Alguarenos.
Celui-ci, à l'instar de la corvette du Kilmen, mène des opérations de reconnaissances proches des côtes du pays afin de s'assurer de la paisibilité des villes proches de la mer et de l'océan.

Ainsi, ces acquisitions de bâtiments marins témoignent d'une volonté de devenir une puissance, au moins mineure, du monde Aleucien. La flotte du pays est par ailleurs déjà supérieure en force que celle de son homologue et allié natif, l'Akaltie. Ainsi, si les efforts sont menés dans le sens de la productivité de l'armement marin, alors le Taqui-Quichu pourrait devenir un vecteur important du commerce et du monde militaire de l'océan Carmin, de l'océan du Scintillant et du golfe Alguarenos.

Frégate "le Stérusien"
Frégate "le Stérusien", en mission de reconnaissance dans le golfe Alguarenos

15/07/2014
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