09/08/2014
17:15:57
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Ce topic sera consacré à une description relativement détaillé des différents partis politiques existants à Eldoria.
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Force Populaire Anarchiste (FPA)

1- FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION :

La Force Populaire Anarchiste (FPA) a été fondée en 1742 par Théodore Malraux, un fervent défenseur des idéaux anarchistes et des droits des travailleurs. La fondation du parti a été une réaction directe à la deuxième révolution technologique et industrielle de 1730, qui avait exacerbé les inégalités sociales et économiques. Malraux, avec un groupe de militants, a organisé des rassemblements et des grèves pour lutter contre les conditions de travail déplorables et pour promouvoir l'autogestion et la justice sociale.

2- DIRECTEUR ACTUEL :

Lucien Dubois est le directeur actuel de la FPA. Élu à la tête du parti en 2010, Dubois est connu pour son charisme et ses capacités organisationnelles, ayant joué un rôle crucial dans les récentes campagnes électorales et les mouvements de protestation.

3- PRINCIPAUX CADRES DU PARTI :

- Isabelle Renard : Secrétaire générale, spécialiste des politiques environnementales.
- Jacques Lemaire : Responsable de la communication, ancien journaliste d'investigation.
- Sophie Vallois : Coordinatrice des mouvements étudiants, jeune activiste influente.
- Henri Laurent : Stratège politique, ancien professeur de sciences politiques.

4- LIGNE POLITIQUE GENERALE :

La FPA défend une idéologie anarchiste, prônant l'abolition de l'État centralisé et la mise en place de structures d'autogestion. Le parti milite pour la décentralisation du pouvoir, la démocratie directe, et la justice sociale. Il s'oppose fermement à toutes formes d'autoritarisme et de capitalisme.

5- PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES :

- Autogestion communautaire : Promouvoir la création de communes autonomes et autogérées.
- Justice sociale : Redistribution équitable des ressources et des richesses.
- Environnement : Politiques environnementales radicales pour lutter contre la crise écologique.
- Éducation et culture : Développer une éducation libre et critique, accessible à tous.
- Solidarité Internationale : Soutien aux mouvements anarchistes et anticapitalistes à travers le monde.

6- ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 35%
- Classes moyennes : 5%
- Classes supérieures : 5%
- Marginalisés et précaires : 55%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 80%
- Adultes (31-50 ans) : 15%
- Seniors (+51 ans) : 5%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION
:
- 1742-1800 : Période de faible influence politique, marginalisé par les forces autoritaires.
- 1800-1850 : Gagne en popularité avec l'industrialisation, quelques succès locaux.
- 1850-1900 : Alternance entre périodes de forte influence et répression gouvernementale.
- 1900-1980 : Périodes de succès lors des vagues de révoltes ouvrières et des mouvements sociaux.
- 1980-1998 : Rôle capital durant la guerre civile, contribue à la défaite des fascistes.
- 1998-2008 : Période de marginalisation politique par les modérés post guerre civile.
- 2008-2013 : Rebond électoral avec la montée des mouvements antisystème et les protestations contre le gouvernement.
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Parti de la Paix et de la Justice (PPJ)

1 - FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION :

Le Parti de la Paix et de la Justice (PPJ) a été fondé en 1659 par Rafael Veldoran, une figure emblématique de l'indépendance du pays lors du référendum d'auto-détermination. Veldoran, avocat et activiste politique, a rassemblé des partisans autour de l'idée de construire une nation démocratique, pacifique et juste après des années de lutte pour la liberté et l'indépendance.

2- DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du PPJ est Isabelle Moreau. Élue à la tête du parti en 2012, Isabelle Moreau est reconnue pour son pragmatisme politique et sa capacité à naviguer au sein d'une coalition politique complexe. Très engagé au niveau organisationnel, stratégique et local, il n’a pour l’instant pas affiche d’intention présidentielle (siège au conseil des sages).

3- PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Alaric Belmont : Président de la République actuel
- Pierre Durand : Secrétaire général, spécialiste des affaires juridiques et politiques.
- Sophie Leroux : Responsable des relations publiques, ancienne journaliste.
- Marc Dubois : Coordinateur des campagnes électorales, stratège politique expérimenté.
- Claire Martin : Chargée des affaires internationales, défenseure des droits de l'homme.

4- LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le PPJ se positionne comme un parti de centre-gauche, prônant la stabilité politique, l'équité sociale et le respect des droits humains. Il soutient une économie mixte avec un fort accent sur la redistribution des richesses et la protection sociale, tout en promouvant une politique étrangère basée sur la diplomatie et la coopération internationale.

5- PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Justice sociale : Politiques de redistribution pour réduire les inégalités économiques.
- Éducation et santé : Investissements massifs dans l'éducation publique et les soins de santé accessibles.
- Environnement : Transition écologique vers les énergies renouvelables et la protection de la biodiversité.
- Economie : développement de la libre-concurrence et défiscalisation accrue des dépenses patronales afin d’encourager la croissance

6- ENCRAGE ELECTORAL
a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 25%
- Classes moyennes : 55%
- Classes supérieures : 10%
- Marginalisés et précaires : 10%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 10%
- Adultes (31-50 ans) : 55%
- Seniors (+51 ans) : 35%

7- HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1659-1800 : Émergence et consolidation du parti comme force politique majeure suite à l'indépendance.
- 1800-1900 : Période de croissance stable, avec plusieurs victoires électorales régionales et locales.
- 1900-1980 : Maintien du pouvoir avec des alliances politiques et une forte influence sur les politiques nationales.
- 1980-1998 : Rôle central dans la lutte contre le fascisme durant la guerre civile, coalition avec la FPA.
- 1998-2008 : Période de consolidation post-guerre civile, implantation de nombreuses réformes sociales.
- 2008-2013 : Défis électoraux croissants face à l'émergence de nouveaux partis de gauche et de droite.
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Mouvement pour la Résurgence Patriotique (MRP)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Mouvement pour la Résurgence Patriotique (MRG) a été fondé en 1999 par plusieurs anciens cadres du Front National de la Purification (FNP) après la défaite de ce dernier à la fin de la guerre civile. Parmi les fondateurs, on trouve notamment Jean-Marc Leclerc, ancien stratège du FNP, et Marianne Dubois, ex-porte-parole du même parti. Le MRG a émergé dans un contexte de reconstruction nationale, mais avec l'objectif de réhabiliter et adapter les idées nationalistes et xénophobes pour une nouvelle ère politique.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Jean-Marc Leclerc, l'un des fondateurs, est toujours le directeur du MRG. Sa stratégie politique habile et sa capacité à mobiliser des segments spécifiques de l'électorat ont permis au parti de retrouver une certaine crédibilité sur la scène politique nationale.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Marianne Dubois : Co-fondatrice et porte-parole, responsable des discours et de la propagande.
- Philippe Durand : Chef des opérations électorales, connu pour ses campagnes agressives et médiatisées.
- Isabelle Fournier : Responsable des relations médiatiques, ancienne journaliste.
- Antoine Mercier : Expert en sécurité nationale, ancien militaire.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le MRG prône un nationalisme conservateur et autoritaire. Le parti met en avant des politiques de sécurité renforcée, de stricte limitation de l'immigration, et de promotion des valeurs traditionnelles. Il s'oppose fermement à l'internationalisme et à toute forme de multiculturalisme, prônant un État fort et centralisé pour garantir l'ordre et la stabilité.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Sécurité nationale : Augmentation des budgets militaires et policiers, surveillance renforcée.
- Immigration : politiques strictes de contrôle et de réduction de l'immigration.
- Économie : Protectionnisme économique, soutien aux industries nationales.
- Culture et identité : Préservation des valeurs traditionnelles et promotion de l'identité nationale.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 20%
- Classes moyennes : 35%
- Classes supérieures : 25%
- Marginalisés et précaires : 20%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 15%
- Adultes (31-50 ans) : 50%
- Seniors (+51 ans) : 35%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1999-2000 : Période de discrédit total post-guerre civile. Participation électorale très faible.
- 2000-2005 : Tentatives de redéfinition de l'image du parti. Légère augmentation des voix.
- 2005-2010 : Progression continue en jouant sur les peurs et l’insécurité. Obtention de sièges locaux.
- 2010-2013 : Consolidation de la base électorale avec des discours de plus en plus xénophobes et nationalistes.
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Coalition pour l’Ecologie de Demain (CED)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

La Coalition pour l'Ecologie de Demain (CED) a été fondée en 1952 par un groupe d'étudiants, syndicalistes, et membres d'ONG environnementales suite à la publication du rapport alarmant du Comité environnemental d’Eldoria en 1950. Ce rapport soulignait les dangers imminents du dérèglement climatique et la nécessité d'une action urgente. Les fondateurs, dont Claire Dubois, une jeune écologiste passionnée, ont cherché à influencer un changement de paradigme en faveur de la protection de l'environnement et du développement durable.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel de la CED est Julien Verdi, élu à la tête du parti en 2009. Verdi, ancien militant étudiant et figure charismatique, a joué un rôle crucial dans la modernisation et l'expansion de la base électorale du parti.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Marie Lemarchand : Secrétaire générale, experte en politiques énergétiques renouvelables.
- Lucas Bellamy : Responsable des campagnes électorales, ancien leader étudiant.
- Sophie Dubois : Coordinatrice des relations internationales, militante écologiste reconnue.
- Pierre Leclerc : Responsable des finances, économiste spécialisé en développement durable.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

La CED défend une écologie politique radicale, prônant des réformes profondes pour lutter contre le changement climatique et promouvoir un développement durable. Le parti milite pour la transition énergétique, la protection de la biodiversité, et l'économie circulaire. Il s'oppose aux politiques néo-libérales et prône une redistribution des ressources en faveur de la justice environnementale et sociale.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Transition énergétique : Passage rapide aux énergies renouvelables et sortie des énergies fossiles.
- Biodiversité : Protection stricte des écosystèmes et des espèces menacées.
- Agriculture durable : Soutien à l'agriculture biologique et locale, lutte contre les pesticides.
- Économie circulaire : Réduction des déchets, recyclage, et réutilisation des ressources.
- Justice sociale : Politiques sociales en faveur des plus vulnérables, liens étroits entre écologie et justice sociale.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 4%
- Classes moyennes : 40%
- Classes supérieures : 50%
- Marginalisés et précaires : 6%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 50%
- Adultes (31-50 ans) : 40%
- Seniors (+51 ans) : 10%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1952-1980 : Période de mobilisation et d'éducation, influence politique limitée.
- 1980-1998 : Montée en puissance avec les préoccupations environnementales croissantes.
- 1999-2002 : Alliance avec le PPJ pour l'élection d'Ezechiel Sarantès, satisfaction initiale : politique clairement environnemental
- 2002-2008 : Désolidarisation du gouvernement après le tournant néo-libéral, rapprochement avec l'URS.
- 2008-2013 : Alternance entre candidatures solitaires et alliances avec l'URS, succès notables aux municipales et aux régionales.
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Mouvement Socialiste Unifié (MSU)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Mouvement Socialiste Unifié (MSU) a été fondé en 1686, peu après l'indépendance et l'adoption de la première constitution. Le parti a été créé par plusieurs grands hommes et femmes d'affaires ainsi que des chefs de régions pour concurrencer le Parti de la Paix et de la Justice (PPJ). Parmi les fondateurs, on compte Jean-Baptiste Lemoine, industriel influent, et Marguerite Durand, une importante dirigeante régionale. Le MSU a critiqué vigoureusement le PPJ, développant une ligne socialiste plus radicale, notamment sur le plan économique.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du MSU est François Dubois, élu à la tête du parti en 2010 après le scandale de détournement de fonds qui a terni l'image du parti. Dubois est un réformateur qui cherche à reconstruire le MSU et à regagner la confiance des électeurs.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Claire Martin : Secrétaire générale, spécialiste des politiques économiques.
- Pierre Lefebvre : Responsable de la stratégie électorale, ancien député.
- Lucie Bernard : Coordinatrice des mouvements sociaux, militante syndicale.
- Thomas Girard : Responsable des relations internationales, expert en politiques globales.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le MSU prône une idéologie socialiste radicale, défendant une économie planifiée et la redistribution des richesses. Le parti milite pour une intervention étatique forte dans l'économie, la protection des droits des travailleurs, et la réduction des inégalités sociales. Il s'oppose au néo-libéralisme et à l'économie de marché non régulée.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Économie planifiée : Mise en place d'une économie planifiée pour contrôler les ressources et leur distribution.
- Droits des travailleurs : Renforcement des droits des travailleurs, amélioration des conditions de travail et hausse des salaires.
- Réduction des inégalités : Redistribution équitable des richesses et des ressources.
- Services publics : Expansion et amélioration des services publics, notamment la santé et l'éducation.
- Transition écologique : Adoption de politiques environnementales fortes en collaboration épisodiques avec les écologistes.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 20%
- Classes moyennes : 30%
- Classes supérieures : 40%
- Marginalisés et précaires : 10%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 5%
- Adultes (31-50 ans) : 50%
- Seniors (+51 ans) : 45%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1686-1800 : Période de montée en puissance, opposition forte au PPJ.
- 1800-1850 : Alternance entre succès électoraux et périodes de répression.
- 1850-1900 : Émergence comme force politique majeure, succès électoraux importants.
- 1900-1980 : Accès fréquent à la présidence, influence politique dominante.
- 1980-1998 : Rôle anecdotique durant la guerre civile, allié avec le PPJ pour la victoire.
- 1998-2008 : Partenariat avec le PPJ pour la seule élection présidentielle de Sarantès (1999) puis relative période de stabilité avec plusieurs succès électoraux.
- 2008-2013 : Crise et scandale de détournement de fonds, perte de nombreux cadres au profit de l'URS.
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Parti de la Justice Prolétarienne (PJP)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Parti de la Justice Prolétarienne (PJP) a été fondé en 1694 à la suite d’une scission interne au Mouvement Socialiste Unifié (MSU). La création du PJP a été inspirée par la révolution industrielle de 1690 et dirigée par plusieurs cadres universitaires qui prônaient une ligne plus radicale, notamment en matière économique, avec une forte orientation communiste. Parmi les fondateurs, on trouve Émile Lafontaine, un éminent professeur de philosophie politique, et Louise Bergeron, une économiste renommée. Ils se sont séparés du MSU pour former un parti qui rejetait les compromis et prônait une transformation radicale de la société.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du PJP est Céleste Moreau, élue en 2009. Moreau est une figure charismatique connue pour ses discours enflammés et sa capacité à mobiliser les masses. Elle a été une militante active depuis son jeune âge et a gravi les échelons du parti grâce à son dévouement et son leadership.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Étienne Dubois : Secrétaire général, ancien syndicaliste.
- Clara Lefèvre : Responsable de la communication, journaliste et activiste.
- Jean-Pierre Girard : Stratège politique, ancien député.
- Sophie Martin : Coordinatrice des alliances, militante écologiste.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le PJP défend une idéologie communiste, prônant l'abolition du capitalisme et l'instauration d'une économie planifiée. Le parti milite pour une société sans classes, la propriété collective des moyens de production, et la redistribution équitable des ressources. Le PJP s'oppose fermement aux politiques néo-libérales et à l'influence des grandes puissances étrangères.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Économie planifiée : Mise en place d'une économie centralisée et planifiée pour garantir l'équité.
- Propriété collective : Nationalisation des principales industries et services.
- Justice sociale : Redistribution des richesses et des ressources pour éradiquer la pauvreté.
- Éducation et santé gratuites : Accès universel et gratuit à l'éducation et aux soins de santé.
- Solidarité internationale : Soutien aux mouvements révolutionnaires et anticapitalistes à travers le monde.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classe sociale :
- Classes ouvrières : 25%
- Classes moyennes : 25%
- Classes supérieures : 5%
- Marginalisés et précaires : 45%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 15%
- Adultes (31-50 ans) : 80%
- Seniors (51+ ans) : 5%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1694-1800 : Période de consolidation et de développement d'une base militante forte.
- 1800-1850 : Croissance en popularité avec les luttes ouvrières et les mouvements sociaux.
- 1850-1900 : Alternance entre succès électoraux et répression gouvernementale.
- 1900-1980 : Influence majeure lors des révoltes et des grèves ouvrières.
- 1980-1998 : Participation active à la guerre civile, alliance stratégique avec d'autres partis de gauche.
- 1998-2008 : Déclin post-guerre civile, marginalisation politique.
- 2008-2013 : Renaissance avec l'émergence de nouvelles générations militantes et l'alliance avec l'URS.
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Parti du Progrès et de la Liberté (PPL)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Parti du Progrès et de la Liberté (PPL) a été fondé en 1705 par un groupe d'intellectuels et de chefs de régions, dont l'historien Jules Montaigne et l'homme d'affaires André Beaumont. À une époque où la politique du pays était dominée par les idéaux de gauche, le PPL est né de la volonté de créer une alternative politique de droite modérée et traditionnelle. Le parti a d'abord peiné à s'imposer, mais grâce à une stratégie de mobilisation locale et à la promotion de valeurs telles que le libéralisme économique et le conservatisme social, il a progressivement gagné en crédibilité et en influence.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du PPL est Étienne Lemoine, élu en 2011. Ancien maire de Rivemont, Lemoine est connu pour son pragmatisme et sa capacité à construire des coalitions. Il a été instrumental dans les récents succès électoraux du parti, notamment au niveau local.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Claudia Fournier : Secrétaire générale, avocate spécialisée en droit constitutionnel.
- Henri Dupuis : Responsable de la communication, ancien journaliste politique.
- Martine Bernard : Directrice des campagnes électorales, ancienne députée.
- Georges Rivière : Conseiller économique, professeur d'économie.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le PPL défend une idéologie de droite modérée, prônant un libéralisme économique associé à un conservatisme social. Le parti milite pour une réduction du rôle de l'État dans l'économie, la promotion de l'entrepreneuriat, et le maintien des valeurs traditionnelles. Il est favorable à des politiques fiscales attractives pour les entreprises et les investisseurs, tout en s'opposant aux réformes sociales progressistes.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Libéralisme économique : Réduction des impôts et des réglementations pour encourager la croissance économique.
- Conservatisme social : Défense des valeurs familiales traditionnelles et opposition aux changements sociétaux rapides.
- Sécurité : Renforcement des forces de l'ordre et des politiques de sécurité intérieure.
- Éducation : Promotion de l'excellence académique et des partenariats public-privé.
- Santé : Système de santé mixte avec une forte composante privée.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 5%
- Classes moyennes : 55%
- Classes supérieures : 35%
- Marginalisés et précaires : 5%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 3%
- Adultes (31-50 ans) : 32%
- Seniors (+ 51 ans) : 65%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1705-1800 : Difficulté à s'imposer, faible présence parlementaire.
- 1800-1850 : Croissance progressive grâce à l'industrialisation et au soutien des entrepreneurs.
- 1850-1900 : Alternance entre succès et échecs électoraux, augmentation de l'influence locale.
- 1900-1980 : Émergence comme une alternative crédible, gains importants aux élections locales.
- 1980-1998 : Perte d'influence durant la guerre civile, marginalisation politique.
- 1998-2008 : Reconstruction post-guerre civile, succès limités mais stables.
- 2008-2013 : Alliances avec d'autres partis de droite, renforcement des bases locales
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Mouvement pour l’Harmonie Sociale (MHS)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Mouvement pour l'Harmonie Sociale (MHS) a été fondé en 1970 par Victor Lambert, un économiste renommé, et Élisabeth Fournier, une avocate influente, ainsi que d'autres intellectuels et entrepreneurs progressistes. Le parti est né de la volonté de promouvoir une ligne économique libérale dans un contexte mondialisé, tout en adoptant des positions progressistes sur les questions sociales. Leur objectif était de répondre aux défis économiques contemporains en proposant des politiques favorisant l'innovation, le libre-échange et la compétitivité internationale.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du MHS est Julien Moreau, élu en 2009. Moreau, ancien PDG d'une grande entreprise technologique, est connu pour son discours dynamique sur la modernisation de l'économie et son engagement en faveur des réformes sociales progressistes.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

• Marie Dupont : Secrétaire générale, économiste spécialisée en politiques publiques.
• Thomas Lemoine : Responsable de la communication, ancien journaliste et expert en relations publiques.
• Claire Rivière : Directrice des campagnes électorales, stratège politique.
• Jean-Paul Bernard : Conseiller économique, professeur d'économie internationale.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le MHS prône une idéologie de droite libérale, axée sur le libre marché et la mondialisation. Le parti milite pour des réformes économiques visant à réduire les régulations, promouvoir l'innovation et attirer les investissements étrangers. Socialement, le MHS est plus progressiste que le PPL, soutenant des réformes sociétales en faveur des droits des minorités, de l'égalité des sexes et des libertés individuelles.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Libéralisme économique : Réduction des impôts et des régulations pour encourager l'innovation et la croissance.
- Mondialisation : Promotion du libre-échange et des partenariats internationaux.
- Réformes sociales : Soutien aux droits des minorités, égalité des sexes, et libertés individuelles.
- Éducation : Amélioration du système éducatif pour qu'il réponde aux besoins du marché globalisé.
- Technologie et innovation : Investissement dans la recherche et le développement technologique.

6. ENCRAGE ÉLECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 10%
- Classes moyennes : 40%
- Classes supérieures : 45%
- Marginalisés et précaires : 5%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 25%
- Adultes (31-50 ans) : 50%
- Seniors (51+ ans) : 25%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ÉLECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1970-1980 : Période de fondation et d'émergence, gains modestes mais croissants.
- 1980-1998 : Montée en puissance grâce à des réformes économiques favorables et à des figures populaires.
- 1998-2008 : Période de stabilisation, succès électoraux réguliers mais concurrencés par d'autres partis de droite.
- 2008-2013 : Réaffirmation de son rôle dans le paysage politique avec des succès notables aux élections locales et nationales.
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Parti de la Résistance Nationale (PRN)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Parti de la Résistance Nationale (PRN) a été fondé en 1964 par Jean-Baptiste Armand, un ancien militaire, et François Delacroix, un industriel influent, ainsi que d'autres nationalistes convaincus. Le parti est né de la volonté de défendre des valeurs traditionalistes et nationalistes face à ce qu'ils percevaient comme une perte d'identité culturelle et une menace étrangère croissante. Leur objectif était de promouvoir une politique de fermeté sur les questions de sécurité, d'immigration et de souveraineté nationale.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du PRN est Marc Legrand, élu en 2012. Legrand, ancien préfet et avocat, est connu pour son discours ferme sur l'ordre et la sécurité, ainsi que pour son opposition à l'immigration.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Isabelle Martin : Secrétaire générale, politologue spécialisée en nationalisme.
- Paul Dubois : Responsable de la communication, ancien journaliste et stratège en relations publiques.
- Henri Fournier : Directeur des campagnes électorales, expert en mobilisation électorale.
- Catherine Lefebvre : Conseillère en sécurité nationale, ancienne haut fonctionnaire du ministère de l'Intérieur.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le PRN prône une idéologie d'extrême droite, axée sur le nationalisme, l'autoritarisme et la souveraineté nationale. Le parti milite pour des politiques restrictives en matière d'immigration, une augmentation des budgets de défense et de sécurité, et une opposition ferme à toute forme de fédéralisme ou de supranationalisme.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Sécurité et ordre public : Renforcement des forces de l'ordre, augmentation des budgets de sécurité, tolérance zéro pour la criminalité.
- Immigration : Politiques strictes de contrôle des frontières, réduction drastique des flux migratoires, expulsion des migrants illégaux.
- Souveraineté nationale : Opposition aux traités supranationaux, renforcement de l'indépendance nationale dans les affaires internationales.
- Tradition et identité culturelle : Promotion des valeurs traditionnelles, protection de l'identité culturelle nationale contre les influences étrangères.
- Économie : Protectionnisme économique, soutien aux industries nationales, opposition aux délocalisations.

6. ENCRAGE ÉLECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 35%
- Classes moyennes : 40%
- Classes supérieures : 15%
- Marginalisés et précaires : 10%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 20%
- Adultes (31-50 ans) : 50%
- Seniors (51+ ans) : 30%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ÉLECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1964-1974 : Période de fondation et d'émergence, gains modestes mais croissants. Le parti commence à s'implanter localement et gagne en visibilité.
- 1974-1984 : Montée en puissance avec une rhétorique de plus en plus ferme sur les questions de sécurité et d'immigration. Le PRN devient une force politique notable.
- 1984-1998 : Période de tension interne menant à la scission de 1968 et la création du FNP, suivi de la guerre civile. Le PRN perd de son influence face à la montée du FNP.
- 1998-2008 : Après la guerre civile, le PRN tente de se reconstruire en se distançant des éléments les plus radicaux. Succès électoraux limités mais constants.
- 2008-2013 : Réaffirmation de son rôle dans le paysage politique en adoptant une ligne plus populiste et sécuritaire. Succès notables aux élections locales et nationales.
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Alliance pour la Pureté Nationale (APN)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

L'Alliance pour la Pureté Nationale (APN) a été fondée en 2007 par Éric Dumont, un polémiste notoire et négationniste vis-à-vis de la guerre civile d'Eldoria (1984-1998). Dumont et ses partisans, issus des franges les plus radicales de l'extrême droite eldoriène, ont créé l'APN pour promouvoir une idéologie ultranationaliste, xénophobe et autoritaire. Le parti est né de la frustration de Dumont et de ses partisans face à la "modération" perçue du PRN et à leur volonté de radicaliser encore davantage le discours nationaliste.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel de l'APN est Éric Dumont, qui occupe toujours la direction depuis la fondation du parti. Dumont est connu pour ses discours incendiaires et sa rhétorique anti-immigration, ainsi que pour ses appels à un État fort et autoritaire.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Sophie Lefèvre : Secrétaire générale, ancienne militante du PRN et idéologue ultranationaliste.
- Michel Gauthier : Responsable de la communication, ancien journaliste de presse sensationnaliste.
- Luc Durand : Directeur des campagnes électorales, expert en propagande et mobilisation de masse.
- Nicolas Bertrand : Conseiller en sécurité, ancien militaire et défenseur des politiques répressives.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

L'APN prône une idéologie d'extrême extrême droite, avec un nationalisme exacerbé, une xénophobie décomplexée et un autoritarisme marqué. Le parti milite pour une purification de la nation, entendue comme une exclusion stricte de toute influence étrangère et une répression systématique de toute forme de dissidence.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Purification nationale : Politiques de purification ethnique et culturelle, expulsion massive des populations considérées comme "non-pures".
- Autoritarisme : Établissement d'un régime autoritaire fort, suppression des droits civiques et des libertés individuelles pour maintenir l'ordre.
- Révisionnisme historique : Négation de la guerre civile et réécriture de l'histoire nationale pour glorifier un passé mythifié.
- Sécurité : Renforcement extrême des forces de l'ordre, surveillance de masse, tolérance zéro pour toute opposition.
- Économie : Protectionnisme économique radical, nationalisation des industries clés, exclusion des capitaux étrangers.

6. ENCRAGE ÉLECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 20%
- Classes moyennes : 30%
- Classes supérieures : 5%
- Marginalisés et précaires : 45%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 15%
- Adultes (31-50 ans) : 40%
- Seniors (51+ ans) : 45%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ÉLECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 2007-2010 : Période de fondation et de marginalisation. Le parti obtient des résultats très limités aux élections, mais gagne en visibilité grâce à la polémique.
- 2010-2013 : Montée en puissance. L'APN commence à attirer davantage d'attention médiatique et à obtenir des résultats électoraux modestes mais en progression, jouant un rôle indirect dans la renormalisation du PRN en paraissant encore plus extrême.
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Union pour la Révolution Sociale (URS)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

L'Union pour la Révolution Sociale (URS) a été fondée en 2003 par Antoine Lefèvre, un ancien député du Parti Socialiste et frondeur reconnu. Déçu par les dérives centristes de la gauche de gouvernement et inspiré par la montée de l'éco-socialisme à Eldoria, Lefèvre a rassemblé des militants désireux de promouvoir un socialisme radical et authentique. L'URS est née de cette volonté de refonder la gauche sur des bases plus militantes et révolutionnaires.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel de l'URS est Antoine Lefèvre, élu à l'unanimité lors du congrès fondateur du parti en 2003. Lefèvre est connu pour son discours passionné en faveur de la justice sociale et de l'éco-socialisme, ainsi que pour son opposition farouche aux politiques néolibérales.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Sophie Dubois : Secrétaire générale, ancienne militante écologiste et défenseure de l'éco-socialisme.
- Julien Morel : Responsable de la communication, journaliste engagé et activiste politique.
- Nadia Boulanger : Directrice des campagnes électorales, experte en mobilisation citoyenne et en stratégie électorale.
- François Leclerc : Conseiller économique, économiste spécialisé en politiques redistributives et en développement durable.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

L'URS prône une idéologie de gauche radicale, axée sur un socialisme authentique et une forte composante éco socialiste. Le parti milite pour des réformes profondes visant à réduire les inégalités économiques et sociales, promouvoir la justice écologique et instaurer une véritable démocratie participative.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Justice sociale : Redistribution des richesses, renforcement des services publics, introduction d'un revenu de base universel.
- Éco-socialisme : Transition écologique, lutte contre le changement climatique, promotion des énergies renouvelables et de l'agriculture durable.
- Démocratie participative : Décentralisation du pouvoir, encouragement des initiatives locales, renforcement des mécanismes de démocratie directe.
- Économie solidaire : Promotion des coopératives et de l'économie sociale et solidaire, réglementation stricte des marchés financiers.
- Droits humains : Défense des droits des minorités, égalité des sexes, politiques inclusives pour les migrants.

6. ENCRAGE ÉLECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 40%
- Classes moyennes : 30%
- Classes supérieures : 10%
- Marginalisés et précaires : 20%
o Par âge :
 Jeunes (18-30 ans) : 55%
 Adultes (31-50 ans) : 35%
 Seniors (51+ ans) : 10%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ÉLECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 2003-2007 : Période de fondation et de structuration. Le parti obtient des résultats modestes aux élections locales mais gagne en visibilité grâce à ses alliances avec les écologistes et les communistes.
- 2007-2010 : Montée en puissance. L'URS commence à sérieusement concurrencer les socialistes, bénéficiant du soutien de la Coalition pour l'Écologie de Demain (CED) et du Parti de la Justice Prolétarienne (PJP) dans plusieurs élections locales et nationales.
- 2010-2013 : Consolidation. L'URS se positionne comme une force incontournable de la gauche radicale, attirant un nombre croissant d'électeurs déçus par les socialistes traditionnels. Les alliances avec les écologistes et les communistes se renforcent, permettant à l'URS de remporter plusieurs succès électoraux notables.
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Union pour la Vérité Cachée (UVC)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

L'Union pour la Vérité Cachée (UVC) a été fondée en 2008 par Jacques Maréchal, un ancien journaliste et théoricien du complot connu pour ses positions controversées et ses publications sur des sujets variés, allant des théories conspirationnistes sur les gouvernements aux mystères entourant des événements historiques. Maréchal et ses partisans ont créé l'UVC pour promouvoir leurs idées et dénoncer ce qu'ils considèrent comme des vérités cachées et des manipulations orchestrées par les élites.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel de l'UVC est Jacques Maréchal, qui a maintenu une main de fer sur le parti depuis sa fondation. Maréchal est réputé pour ses discours enflammés et ses dénonciations de ce qu'il appelle "l'État profond" et les "manipulations médiatiques".

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Claire Girard : Secrétaire générale, ancienne professeure de philosophie et auteure de plusieurs ouvrages sur les théories du complot.
- Philippe Rousseau : Responsable de la communication, blogueur et influenceur dans les milieux complotistes.
- Martine Lefèvre : Directrice des campagnes électorales, spécialiste en réseaux sociaux et mobilisation en ligne.
- Jean-Marc Dupont : Conseiller en sécurité, ancien officier de police, adepte des théories de surveillance et des conspirations gouvernementales.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

L'UVC prône une idéologie centrée sur la dénonciation des complots et des manipulations supposées par les élites politiques, économiques et médiatiques. Le parti milite pour une transparence totale des institutions, la révélation des "vérités cachées" et une résistance contre l'influence perçue des groupes de pouvoir secrets.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Transparence totale : Réforme des institutions pour une transparence complète, accès libre aux documents gouvernementaux et déclassification des dossiers secrets.
- Dénonciation des élites : Campagnes de sensibilisation contre les élites politiques, économiques et médiatiques accusées de manipuler la population.
- Souveraineté individuelle : Renforcement des droits individuels contre la surveillance de masse et les intrusions de l'État.
- Protection des lanceurs d'alerte : Soutien et protection légale renforcée pour les lanceurs d'alerte et les dénonciateurs de complots.
- Scepticisme scientifique : Promotion du scepticisme vis-à-vis des consensus scientifiques et des experts institutionnels, favorisant les recherches indépendantes.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 20%
- Classes moyennes : 40%
- Classes supérieures : 5%
- Marginalisés et précaires : 35%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 30%
- Adultes (31-50 ans) : 50%
- Seniors (51+ ans) : 20%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 2008-2010 : Période de fondation. Le parti reste très marginal avec une faible visibilité médiatique et des résultats électoraux insignifiants.
- 2010-2012 : Légère montée en puissance grâce à l'essor des réseaux sociaux et de la diffusion en ligne de contenus conspirationnistes. Le parti gagne en visibilité mais reste largement en marge du paysage politique.
- 2012-2013 : L'UVC commence à attirer un petit noyau d'électeurs fidèles, principalement parmi les marginalisés et ceux qui se méfient des institutions traditionnelles. Les résultats électoraux restent modestes mais en progression lente.
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Mouvement de la Terre et des Traditions (MTT)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Mouvement de la Terre et des Traditions (MTT) a été fondé en 1690 par Philippe de la Roche, un noble terrien et défenseur fervent des droits et des traditions des agriculteurs. Le parti est né dans un contexte de résistance à la centralisation du pouvoir et à l'industrialisation naissante, prônant la défense des valeurs rurales et la préservation des modes de vie traditionnels. Depuis sa création, le MTT a toujours mis en avant la protection des intérêts agricoles et des traditions rurales.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du MTT est Thérèse Dubois, élue en 2011. Dubois, une agricultrice et militante de longue date du parti, est connue pour son engagement en faveur des petites exploitations agricoles et de la préservation des traditions locales.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Jean-Marie Petit : Secrétaire général, expert en politiques agricoles et ancien président d'une coopérative agricole.
- Sylvie Lambert : Responsable de la communication, ancienne journaliste locale et activiste communautaire.
- Marc Dupont : Directeur des campagnes électorales, spécialiste en organisation communautaire et mobilisation rurale.
- Lucie Moreau : Conseillère en développement rural, agronome et défenseure de l'agriculture biologique.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le MTT prône une idéologie conservatrice axée sur la protection des traditions rurales, la promotion de l'agriculture locale et le soutien aux communautés rurales. Le parti milite pour des politiques favorisant les petits agriculteurs, la décentralisation et la valorisation des savoir-faire locaux.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Protection de l'agriculture locale : Soutien financier et législatif aux petites exploitations agricoles, promotion des circuits courts et de l'agriculture biologique.
- Préservation des traditions : Valorisation du patrimoine culturel rural, soutien aux festivals et aux événements traditionnels.
- Décentralisation : Promotion de la décentralisation administrative, renforcement des pouvoirs des collectivités locales.
- Développement rural : Investissements dans les infrastructures rurales, amélioration des services publics en milieu rural (écoles, santé, transports).
- Environnement : Protection des paysages naturels, promotion de pratiques agricoles durables et respectueuses de l'environnement.

6. ENCRAGE ELETCORAL

a. Par classes sociales :
- Classes ouvrières : 5%
- Classes moyennes : 70%
- Classes supérieures : 1%
- Marginalisés et précaires : 24%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 5%
- Adultes (31-50 ans) : 30%
- Seniors (51+ ans) : 65%

7. HISTORIQUE DES RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1690-1800 : Période de fondation et d'établissement. Le parti se bat contre la centralisation et pour les droits des agriculteurs. Influence principalement locale.
- 1800-1900 : Expansion locale. Le MTT gagne en influence dans les régions rurales, devenant presque hégémonique dans certaines localités spécifiques.
- 1900-2000 : Consolidation. Le parti maintient une forte présence locale et continue de renforcer son réseau de soutien dans les zones rurales, s'adaptant aux changements économiques et sociaux.
- 2000-2013 : Stabilisation. Le MTT reste un acteur politique majeur dans les communautés rurales, bien que son impact soit extrêmement limité au niveau national. Le parti continue de défendre les intérêts des populations rurales avec succès, adaptant ses politiques aux enjeux contemporains tout en restant fidèle à ses valeurs historiques.
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Mouvement de Résistance Zétharienne (MRZ)

1. FONDATEUR DU PARTI ET PROCESSUS DE FONDATION

Le Mouvement de Résistance Zétharienne (MRZ) a été fondé en 1675 par Jean-Pierre Dubois, un ancien militaire et stratège respecté. Originaire des Terres Sauvages d'Eldoria, Dubois a créé le MRZ en réaction à l'exploitation des ressources naturelles par les puissances étrangères et à la marginalisation des populations locales. Depuis sa fondation, le MRZ est devenu un bastion de l'indépendantisme, du nationalisme et d'une vision conservatrice et écologiste.

2. DIRECTEUR ACTUEL

Le directeur actuel du MRZ est Marie-Louise Martin, élue en 2010. Martin est une nationaliste fervente et une figure de proue du mouvement indépendantiste des Terres Sauvages, connue pour son intransigeance dans la défense des droits territoriaux et culturels des Zéthariens.

3. PRINCIPAUX CADRES DU PARTI

- Lucien Dubois : Secrétaire général, diplomate expérimenté et défenseur des droits des peuples autochtones.
- Sophie Lefèvre : Responsable de la communication, journaliste engagée dans la défense des causes environnementales.
- Pierre Moreau : Directeur des campagnes électorales, stratège politique reconnu pour son approche tactique.
- Émilie Robert : Conseillère en sécurité nationale, experte en géopolitique des ressources naturelles.

4. LIGNE POLITIQUE GENERALE

Le MRZ adopte une idéologie complexe mêlant indépendantisme, nationalisme, écologisme et conservatisme. Le parti est farouchement opposé à l'exploitation des ressources naturelles par des intérêts étrangers et milite activement pour l'indépendance des Terres Sauvages d'Eldoria. Le MRZ a également accordé refuge à des exilés politiques, y compris des fascistes, en raison de principes d'accueil et de solidarité jugés nécessaires pour contrer ce qu'il perçoit comme une justice et un gouvernement corrompus et inadaptés à leurs besoins.

5. PROGRAMME ET IDEES PRINCIPALES

- Indépendance des Terres Sauvages : Promotion de l'autodétermination et du droit à l'indépendance politique des Terres Sauvages.
- Protection de l'environnement : Préservation des écosystèmes locaux, promotion des énergies renouvelables et lutte contre la pollution.
- Conservatisme culturel : Défense des traditions locales et des valeurs culturelles ancestrales.
- Refuge pour les exilés politiques : Politique d'accueil pour les Zéthariens et autres exilés politiques, fondée sur des principes de protection contre une justice et un gouvernement jugés corrompus.

6. ENCRAGE ELECTORAL

a. Par classes sociales :
- Communautés locales des Terres Sauvages : 92%
- Classes ouvrières : 3%
- Classes moyennes : 2%
- Classes supérieures : 0%
- Marginalisés : 2%
b. Par âge :
- Jeunes (18-30 ans) : 20%
- Adultes (31-50 ans) : 70%
- Seniors (51+ ans) : 10%

7. HISTORIQUE DE RESULTATS ELECTORAUX DEPUIS SA CREATION

- 1675-1700 : Période de fondation. Le MRZ mobilise les populations locales et commence à influencer les débats sur la gestion des ressources naturelles.
- 1700-1800 : Consolidation. Le parti renforce sa présence politique au sein des Terres Sauvages, devenant un acteur incontournable dans la lutte pour la souveraineté et la protection de l'environnement.
- 1800-1900 : Résistance et adaptation. Malgré les pressions extérieures, le MRZ maintient sa position et continue de défendre les intérêts des populations locales.
- 1900-2013 : Modernisation et affirmation. Le parti s'adapte aux changements sociaux et politiques tout en consolidant son influence dans les Terres Sauvages, devenant un symbole de résistance et de défense de l'environnement.
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