21/02/2015
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Notre pays est riche en diversité culturelle et linguistique, et divers journaux et chaînes de télévision reflètent cette richesse.

Médias publics : institutions telles que le journal public il-gazzetta koborien le journal Koborien, qui est la voix officielle du gouvernement et est publié en langue Koborienne. Il fournit des nouvelles, des annonces et des journaux officiels et constitue une source fiable d'informations sur les politiques et initiatives gouvernementales.

Médias privés : une variété de journaux et de chaînes de télévision indépendants en langue Koborienne offrant des perspectives diverses et une analyse approfondie de l'actualité nationale et internationale. Ces médias privés jouent un rôle important en assurant une couverture équilibrée et diversifiée des événements.

Médias régionaux : Les régions du royaume sont desservies par des médias qui diffusent dans les langues locales.


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il-gazzetta koborien, signifiant « journal Koborien » en français, est un journal public, la voix officielle du gouvernement, publié en langue koborienne.
Créé secrètement en 1589 par Fernando Il-gazetta (le mot journal en langue koborienne porte son nom et s'appelle il-gazzetta, car il fut le premier dans l'histoire du royaume à créer le concept même du journal).
Ce journal fut souvent attaqué par l'Église jusqu'à sa publication officielle le mardi 27 janvier 1637, et fut publié directement depuis le palais par un bureau appelé Bureau Royal de Presse, qui disparut avec la proclamation de la monarchie constitutionnelle en 1926.
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portrait de Fernando Il-gazetta, et la première édition officielle de il-gazzetta koborien en 27 janvier 1637
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In-Nazijonalista est un journal privé à l'histoire compliquée et controversée. Ce journal étant clandestin a été utilisé à ses débuts par le groupe extrémiste chrétien "christ vengeur" pour diffuser ses idées radicales et coordonner ses actions. En 1870, le journal est acquis par une bourgeoise chrétienne appelée Crista Falobella, marquant un tournant dans son histoire.

Depuis cette acquisition, In-Nazijonalista est devenu un ardent défenseur des idéaux nationalistes. Le journal est connu pour ses opinions parfois extrêmes. Il a souvent été critiqué pour son langage incendiaire et ses positions polarisantes. Les articles publiés dans In-Nazijonalista appellent souvent à la protection de l'identité nationale chrétienne à Kobor, tout en exprimant une méfiance évidente, voire une hostilité, à l'égard des influences étrangères et des communautés non chrétiennes.
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Portrait de Crista Falobella qui avait acheter In-Nazijonalista ce qui a permet sa survie.
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Luminużi Qawmien, qui signifie « l'éveil lumineux », est un journal socialiste publié en 1896. Fondé par Amir Stella, souvent considéré comme le père du socialisme Kobor, le journal a joué un rôle important dans la diffusion des idéaux socialistes et l'élévation de la classe ouvrière.
Amir Stella, fils d'un père arabe-koborien et d'une mère koborienne. Sa vision et son engagement en faveur de l'égalité et de la justice sociale ont conduit à la fondation de Luminużi Qawmien. Grâce à ses articles et éditoriaux, le journal est devenu une puissante plate-forme pour le mouvement socialiste, attirant l'attention sur les questions sociales et économiques du Royaume.

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Portrait de Amir Stella <<le père du socialisme à Kobor>> en 1937
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logos des médias régionales

Sawt al-Arab - صوت العرب - Leħen l-Għarab depuis 1995

Sawt al-Arab, littéralement « La Voix des Arabes », est un journal de langue arabe qui se distingue par sa couverture complète des événements locaux, nationaux et internationaux. Il offre une perspective unique et importante sur les événements actuels, la culture et les préoccupations de la communauté arabe de Kobor. Le journal a été reconnu pour son engagement à défendre les droits et les intérêts de cette communauté, en soulignant les problèmes spécifiques auxquels elle est confrontée et en maintenant vivante la langue arabe qui disparaît lentement parmi les jeunes arabes-koboriens du Royaume.
Outre les journaux,en 2007 Sawt al-Arab a élargi sa portée médiatique grâce à la chaîne de télévision Sawt al-ArabTV.

Persil- پرسیل depuis 1967

Pesil est un journal en langue persane couvrant des sujets allant des actualités locales et nationales aux événements internationaux. Le journal a été reconnu pour sa couverture approfondie des événements régionaux sur l'île de persil et pour avoir mis en lumière les défis et les succès de la communauté persane.
Outre le journal, en 1998 Persil a élargi sa portée médiatique grâce à la chaîne de télévision Persil TV.
97 % de la population perse du pays habite sur l’île persil.

Gel- le peuple - Nies depuis 2010
Gel, « peuple » en kurde, est un quotidien et une chaîne de télévision kurdes. Ce média est essentiel en tant que moyen d'expression et d'information pour la communauté kurde de Kobor. Mais malgré son importance, Gel n'est pas très apprécié dans la population kurde elle-même.
La qualité des contenus diffusés par Gel TV et publiés par Gel Journal est souvent médiocre en raison de manque de fonds. Cela englobe des dispositifs techniques dépassés, une qualité visuelle et sonore médiocre, ainsi que des articles qui manquent de profondeur et de recherche.



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Kobor Medaber Ivrit (littéralement « Kobor parle hébreu ») est un journal hébraïque dont le but est d'informer et de servir la communauté hébraïque de Kobor. Toutefois, ce média fait face à plusieurs obstacles majeurs, principalement liés à la censure.
Kobor Medaber Ivrit est souvent soumis à une censure rigoureuse de la part des autorités gouvernementales.
En raison des pressions politiques, il est fréquent que les médias adoptent une approche d'autocensure afin d'éviter les conflits avec les autorités. Cela restreint les possibilités du média de donner une couverture objective et exhaustive des événements.

Outre la censure officielle, Kobor Medaber Ivrit est confronté à des critiques et des attaques provenant d'autres médias et groupes influents.
C'est pour ça les koboriens hébraïques sont obligés de soit suivre les médias de langue koborienne ou de regarder les chaines télévisées du pays voisin la République Hébraïque d'Afarée du Nord (Iveri)
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9/01/2014
LE JOUR DE KOBOR
Célébration de la fondation du Royaume Luminużi de Kobor

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Comme chaque année le 9 janvier, un grand nombre de Koboriens se rassemblent devant le Palais Royal à Il-belt kbira pour célébrer le jour de Kobor, en attendant que le roi Mattijas VI Luminużi apparaisse sur son balcon et les salue.

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à 10h30 exactement, Sa majesté le Roi Mattijas VI Luminużi apparaît, saluant la foule depuis son balcon royal pendant une dizaine de minutes. Il chante également des chants nationaux avec son peuple et avec sa fille Son Altesse royale Princesse héritière Katrina Luminużi, ils dansent sur une chanson traditionnel arabe ; ainsi, montrant à quel point il est proche et sympathique envers les coutumes et la culture de Kobor.
Après ce moment de joie, sa majesté se retire dans la somptueuse salle royale avec la présence des ministres, des invités de marque ainsi que l’ambassadeur de La fédération central d'Antegrad qui assiste pour la première fois à telles célébrations.
C'est là qu'il commence par chanter avec émotion l'hymne national, symbole de l'unité et de la fierté de notre royaume.
Après, il installe sur son trône pour prononcé son discours captivant pour partager sa vision de l'avenir de Kobor et remercier la population pour son dévouement et son soutien indéfectibles.


les parties importante du discours a écrit :
Cher peuple, tislima koborien, salam arabe, daroud persan, Merheba kurde brakha hebreu (il salue avec toutes les langues du pays)


C’est avec une immense fierté que nous commémorons aujourd’hui le 445 anniversaire de la fondation de notre royaume par mon arrière grand-père Enrico I Luminużi dit ‘’Ghadanfar’’.

En ce grand jour, rappelons-nous que chaque citoyen, quelles que soient ses origines et ses croyances, contribue à tisser le tissu vibrant et coloré de notre nation. Nous sommes unis pour honorer notre passé et embrasser notre avenir commun alors que nous écrivons les prochains chapitres de notre histoire avec espoir et détermination.

Oui, nous sommes une nation diverse, composée de Roziens, d'Arabes, de Kurdes, d'Hébreux, de Perses, et bien d'autres. Mais il faut pas oublier que nous sommes Koboriens. Cette diversité enrichit notre nation, renforce notre tissu social et fait de Kobor une terre où chaque culture contribue à notre héritage commun.

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C'est pour moi une grande fierté de lancer aujourd'hui un projet innovant appelé ''opportunità'' dans toutes les régions de notre Royaume. Ce projet vise à dynamiser nos économies locales en créant de nouvelles opportunités d'emploi et en réduisant considérablement le taux de chômage. Grâce à des investissements stratégiques dans les infrastructures, l’éducation et le développement économique régional, nous bâtirons un avenir prospère pour chaque citoyen de Cobourg, renforçant ainsi notre unité et notre prospérité collective.
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Que la lumière de notre royaume continue à briller et à guider notre chemin vers un avenir meilleur,
VIVE KOBOR UNE NATION LUMINEUSE, Notre Nation, Notre Grandeur - In-Nazzjon Taghna, il-Kobor Taghna
koborienHuwa bi kburija immens li llum infakkru l-445 anniversarju mit-twaqqif tas-saltna tagħna mill-bużnannu tiegħi Enrico I Luminużi magħruf bħala “Ghadanfar”.

F’dan il-jum kbir, ejjew niftakru li kull ċittadin, irrispettivament mill-oriġini u t-twemmin tiegħu, jikkontribwixxi biex jinsiġ id-drapp vibranti u kkulurit tan-nazzjon tagħna. Aħna magħqudin biex nonoraw il-passat tagħna u nħaddnu l-futur kondiviż tagħna hekk kif niktbu l-kapitoli li jmiss tal-istorja tagħna b’tama u determinazzjoni.

Fid-diskors tiegħu, ir-Re Mattijas VI Luminużi jgħid b’konvinzjoni: "Iva, aħna ġens divers, magħmul minn Rożien, Għarab, Kurdi, Ebrej, Persjani, u ħafna oħrajn. Iżda minkejja l-oriġini tagħna varjat, aħna lkoll magħqudin taħt wieħed. identità: aħna Koborjani Din id-diversità tarrikkixxi n-nazzjon tagħna, issaħħaħ it-tessut soċjali tagħna u tagħmel Kobor art fejn kull kultura tikkontribwixxi għall-wirt komuni tagħna.

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Għalija hija kburija kbira li llum inniedi proġett innovattiv imsejjaħ “opportunità” fir-reġjuni kollha tas-Saltna tagħna. Dan il-proġett għandu l-għan li jagħti spinta lill-ekonomiji lokali tagħna billi joħloq opportunitajiet ġodda ta’ xogħol u jnaqqas b’mod sinifikanti r-rata tal-qgħad. Permezz ta’ investimenti strateġiċi fl-infrastruttura, l-edukazzjoni u l-iżvilupp ekonomiku reġjonali, se nibnu futur prosperu għal kull ċittadin ta’ Cobourg, billi nsaħħu l-għaqda u l-prosperità kollettiva tagħna.
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Jalla d-dawl tas-saltna tagħna jkompli jiddi u jiggwida t-triq tagħna lejn futur fejn il-ġustizzja, it-tolleranza u l-prosperità jkunu aċċessibbli għal kulħadd.
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Une nouvelle découverte dans la cité légendaire de Jarumia
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Les anthropologues koboriens ont récemment fait des découvertes extraordinaires dans la légendaire cité de Jarumia, connue pour ses pétroglyphes, ses nombreuses statues et labyrinthes souterrains, le 10/02/2015 ces chercheurs ont découvert une nouvelle salle cachée, maintenant nous totalisons 7 salles cachées découvertes et les chercheurs soupçonnant l’existence d'autres salles cachées.

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Cachée au cœur des montagnes Rocheuses du désert d'Ahmadiyya, cette ville vieille de plus de 7 000 ans fut découverte par les Koboriens en 867 par les armées chrétiennes du Saint Royaume Rozien. C'était la cachette des derniers soldats du califat munatssiride. Cette bataille est considérée comme la dernière avant le cessez-le-feu du 12 décembre 867 et est connue sous le nom de bataille des soldats cachés.

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Après avoir été oubliée pendant des siècles, elle fut redécouverte en 1840 grâce aux recherches archéologiques menées par le voyageur Christian Gulicci. Son emplacement éloigné et ses passages souterrains complexes posent depuis longtemps des défis aux chercheurs.

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Au cours des fouilles, les chercheurs ont tenté de percer un mur dans les sous-sols labyrinthique de la cité, soupçonnant l'existence d'une pièce cachée. Après des semaines d'essais, ils ont finalement découvert une salle souterraine spacieuse. Au centre de cette salle se trouve une immense statue représentant la déesse Mannat, symbole de fertilité et de destin vénéré par les anciennes civilisations arabes.
La statue mesure plus de 4 mètres de haut et est taillée dans une seule pièce de pierre.
À côté de la statue, ils ont trouvé des textes gravés en arabe ancien décrivant des rituels religieux.
Jamil Ahmed Ahmadi, membre de l'expédition et chercheur arabo-korborien, a fait la première traduction de ces sculptures.

interview avec M. Jamil Ahmed Ahmadi a écrit :
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C’est un honneur de partager ces découvertes avec vous. Les inscriptions gravées autour de la statue sont fascinantes elles décrivent des rituels anciens dédiés à Manât, déesse de la fertilité et de la destinée. Selon les traductions, ces rituels étaient pratiqués lors d'un jour appelé le jour de La lumière de Manât. Ils faisaient des offrandes, pour demander prospérité et guidance.
Certains chercheurs pensent qu’il pourrait s’agir d’un événement astronomique, comme l’apparition d’une comète ou une conjonction d’étoiles. Cela montre à quel point ces peuples étaient connectés à leur environnement et à la nature.
une des traductions;
"ce jour et le jour de ta lumière, nous vous prions Manat, déesse de la lumière et du destin, et nous vous offrant les fruits de la terre et de nos mains, en vous demande de bénir nos récoltes et de guider nos pas.في هذا اليوم ويوم نورك، نصلي إليك مناة إلهة النور والقدر، ونقدم لك ثمار الأرض ومن بين أيدينا، سائلينك أن تبارك حصادنا وتهدي خطواتنا"


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L'interruption des travaux de construction de la gare Il-qaddisin

La confusion règne toujours sur les travaux de construction de la gare Il-qaddisin à Ħal qaddis, qui ont été interrompus sans que les autorités compétentes daignent expliquer à l’opinion publique les raisons de cette interruption.
La construction de la gare Il-qaddisin, initiée en 2011 avec un budget de 450 millions de riyals koborien, vise à réhabiliter l'ancienne gare qui a cessé son service en 2008 suite à sa défaillance.
Depuis 2008, les voyages vers et depuis la ville, bien qu'elle soit la quatrième ville la plus peuplée du Royaume, sont devenus difficiles, Ainsi, cela a entraîné une accumulation et une affluence considérables à la gare routière ''tal Jimalek.
Face à cette confusion et dans le cadre de son rôle dans le contrôle de l’action gouvernementale, les députés socialistes à la Chambre des représentants sont intervenus dans ce débat et ont saisi la chance de demander la cause de cette interruption. En ce sens, la députée Mm. Luna Micalef, originaire de la ville Ħal qaddis, a interpellé le Ministre du Transport et de la Logistique sur ce sujet, tout en l’appelant à expliquer devant les parlementaires les raisons de l’arrêt des travaux depuis quatre mois et à définir un calendrier précis pour les reprendre.
d'autres députés ont également souligné que les travaux de rénovation de la gare sont à l’arrêt pour des raisons inconnues hormis les rumeurs et les divergences des points de vue à propos de ce sujet.
le Ministre du Transport et de la Logistique M. Ali Sadavi ainsi que le gouverneur de Ħal qaddis M. Cart Fabioni refusent toujours de parler de ce sujet et, pour le moment la confusion règne toujours en l’absence de toutes justifications officielles plausibles.


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M. Ali Sadavi un des premiers Persiliens à devenir ministre

Il est généralement admis que l'île Persil a joué un rôle majeur dans l'histoire de notre royaume et que la communauté Persilienne (persane) a toujours entretenu des relations amicales avec les autres ethnies du pays, notamment avec les Roziens (la culture principale du pays d'origines Eurysiennes), et on ne peut nier que les Persiliens ont contribué à la récupération du pays après l'exil de 821.
Les Perses de Kobor ont toujours été royaux et très proches de la famille royale, mais malgré cela, dans un pays riche en ethnicité, la population perse a été confrontée à un chemin difficile vers l'assimilation, mais les Perses ont réussi à maintenir leur riche culture et ont jouer un rôle majeur dans le développement du Royaume. Que ce soit en politique, en éducation ou dans les arts, les Perses de Kobor ont prouvé que leur diversité et leur patrimoine sont des atouts inestimables pour le pays.
C'est pourquoi, dans cette édition, nous mettons en lumière une figure d'origine persane qui incarne la réussite et l'intégration dans une société ethniquement riche.

M. Ali Sadavi, Ministre des Transports et de la Logistique

Il est né à Persilia le 13 septembre 1977. M. Sadavi est l'un des premiers Persiliens à devenir ministre. issu d'une famille modeste, son père enseignait les mathématiques à l'école secondaire Madari a Persilia et sa mère était pharmacienne.
À l'âge de 18 ans, après avoir obtenu son baccalauréat, il quitte l'île pour étudier à Ħal Rozia de l'Université Enrico II. Après avoir obtenu un diplôme en droit
Il découvre alors sa passion pour l'architecture et voyage vers la capitale, Il-belt kbira, où il intègre l'Ecole Koborienne Supérieure d'Architecture (EKSA).
Il a obtenu son diplôme en 2002 et a été embauché par le groupe Amanya deux ans plus tard. Au cours de ses années dans la capitale, il développe un intérêt pour la politique. Véritable royaliste Koborien, M. Sadavi a rejoint le Parti de l'engagement. En 2010, il retourne dans sa ville natale de Pesilia et fonde sa propre entreprise, PersDesign, qui connaît un grand succès et entreprend de nombreux projets, comme la construction de l'aéroport Sohrab Khan à Pesilia. En 2013, il est ministre des Transports et de la Logistique.

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Interview en langue perse avec M. Ali Sadavi a écrit :La journaliste;
آقای علی ساروی با سلام و تشکر از شما که این مصاحبه را پذیرفتید M. Ali Saravi, salutations et merci d'avoir accepté cette interview.

M. Ali Sadavi; سلام به شما و همه خوانندگان تان. این یک افتخار بزرگ است که فرصت صحبت مستقیم با پرسانیان را داشته باشم Bonjour à vous et à tous vos lecteurs. C'est un grand honneur d'avoir l'opportunité de parler directement avec les Persiliens

La journaliste; Comment votre parcours politique a-t-il commencé ? Avez-vous toujours été intéressé par la politique ?

M. Ali Sadavi; Non, au début, je m'intéressais davantage à l'architecture. J'ai commencé comme architecte au sein du Groupe Amanya, mais en tant que monarchiste et considérant que l'engagement politique des Persiliens était quasiment inexistant, j'ai décidé que je devais avoir un plus grand impact sur mon pays, et en particulier sur les Perses de Kobor, pour montrer que un persilien peut, aujourd'hui encore, contribuer à changer le pays. Cela m’a amené à me lancer en politique et à lutter pour un changement positif.

La journaliste; En tant que membre d'une minorité dans un pays majoritairement eurysien, quels défis avez-vous rencontrés ?

M. Ali Sadavi; Être une minorité comporte toujours ses propres défis. Parfois, j'avais l'impression de devoir faire tout ce qui était en mon pouvoir pour prouver que j'avais les compétences nécessaires, et cela s'est révélé après avoir obtenu mon diplôme d'architecte en 2002, et j'ai dû rester au chômage pendant deux ans entre la recherche de travail et stages non rémunéré, alors que j'étais major de promotion, mais je n'ai jamais laissé ces défis m'arrêter. Au contraire, ils m'ont motivé à travailler plus dur et à montrer que la diversité est une force.


La journaliste; Quel message avez-vous pour les jeunes koboriens, en particulier ceux issus des minorités ?

M. Ali Sadavi; Mon message est simple : ne doutez jamais de vous. Croyez en votre capacité à changer et considérez votre diversité comme une force et non comme une faiblesse. Notre société a besoin de gens qui croient en l’avenir et qui travaillent à le construire.

La journaliste; M. Sadavi, merci d'avoir parlé avec nous. Y a-t-il autre chose que vous aimeriez partager à la fin ?

M. Ali Sadavi; Merci de m'avoir donné cette opportunité. J'espère que mon histoire inspirera ceux qui recherchent le changement et le progrès. Ensemble, nous pouvons faire de Kobor un meilleur pays

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