21/02/2015
17:47:03
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ISAKA

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ISAKA

ISAKA est une organisation internationale centré sur la recherche spatiale. A l'origine, ISAKA fut créé par l'Empire de Karty, le Royaume de la Côte d'Assad ainsi que l'Empire d'Antérinie, ces trois pays fondateurs, ont décidé d'élargir ISAKA au niveau mondiale, en effet, il est désormais possible de rejoindre ISAKA. Pour rejoindre ISAKA, rien de plus simple, il suffit d'envoyer une candidature dans l'ambassade impériale kartienne (ambassade). Voici le formulaire à compléter:

[size=1.2]
- [b]Nom Complet du Pays Candidat:[/b][i][à remplir][/i]
- [b]Date de la Candidature:[/b][i][à remplir][/i]
- [b]Raison de la Candidature:[/b][i][à remplir][/i]

[i][à remplir](mettre nom de son pays), s'engage à respecter la totalité des articles du Traité d'ISAKA, dès lors que la candidature de ma nation est acceptée.[/i][/size]

Voici donc le Traité fondateur, dont l'élaboration a été faite lors de cette rencontre, ici: rencontre :

ISAKA a écrit :Le Traité d'ISAKA (Institut Spatial Antérinien-Kartien-Assadien) est un ensemble d'accords qui posent les bases de la société ISAKA. La société ISAKA est une organisation visant à effectuer des recherches et à accomplir des projets dans le domaine spatial (comme la NASA, par exemple).


Les pays signataires de ce Traité s'engagent à respecter tous les articles de ce dernier.


Article 1: Le Traité d'ISAKA compte trois membres permanents, qui sont les suivants:
- Empire de Karty
- Royaume de la Côte d'Assad
- Empire d'Antérinie

Article 2: Les pays membres, qu'ils soient permanents ou non ont exactement les mêmes droits et devoirs, néanmoins, les membres permanents ont le droit de véto, cependant, le véto passe seulement si les trois pays permanents sont en accords.

Article 3: N'importe quel pays a le droit de déposer sa candidature afin de devenir membre de l'organisation, pour que la décision soit prise, un Grand Conseil sera convoqué.

Article 4: Afin de voter les projets, les financements, l'entrée d'un pays ou toute autre chose importante, un Grand Conseil est convoqué.

Article 5: Cet article porte sur le Le Grand Conseil.
Alinéa 1: Le Grand Conseil est une assemblée convoquée par n'importe quel membre ou suite à l'application d'une nation quelconque.
Alinéa 2: Un grand conseil est présidé par le pays qui l'a convoqué ou par un membre permanent, le rôle de "dirigeant du conseil" est donc attribué à un pays uniquement lors d'une assemblée, ce rôle étant retiré à la fin de la conférence.
Alinéa 3: Un dirigeant du conseil est chargé d'annoncer le début d'une assemblée, et de faire commencer le Grand Conseil.
Alinéa 4: Si les décisions prises lors du Grand Conseil ont été décidé d'être publiées publiquement, un membre permanent se chargera de résumer la conférence et de faire communiquer les décisions.

Article 6: Cet article porte sur la construction du siège d'ISAKA et de ses infrastructures.
Alinéa 1: Il existe trois types d'infrastructures au sein de la société ISAKA:
- Les centres de recherches, infrastructure la plus petite. Cette infrastructure sert à effectuer les recherches mineures.
- Les instituts, infrastructure moyenne. Cette infrastructure est un centre de recherche avancée, on y effectue la majeur partie des recherches, la plupart des scientifiques y travaillent. Le lancement de satellites, de fusées ou de tout autre appareils peut s'effectuer ici.
- Les sièges, infrastructure grande. Il y a seulement trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les sièges sont les locaux où s'effectuent la plupart des lancements d'appareils, les informations confidentielles sont stockées ici. Les fonds sont gérés dans les sièges.
Alinéa 2: Afin d'assurer les progrès scientifiques et les avancées, chaque pays membre devra disposer au moins d'un institut et de plusieurs centres de recherches.
Alinéa 3: La société ISAKA possède trois sièges, un dans chaque pays permanent. Les Grands conseils se tiennent dans ces sièges.

Article 7: Cet article porte sur le fond commun.
Alinéa 1: Le fond commun est l'ensemble de l'argent de la société ISAKA. Les financements de chaque projet et la construction des infrastructures se font par le fond commun.
Alinéa 2: Chaque pays membre s'engage à financer le fond commun équitablement avec les autres nations afin de financer les projets d'ISAKA.
Alinéa 3: Tous les trois mois, les fonds du fond commun seront attribués. C'est-à-dire que tous les trois mois, un Grand Conseil sera convoqué afin de débattre sur le montant que chaque pays devra donner au fond commun.
Alinéa 4: A chaque fois que le fond commun doit être utilisé, un Grand Conseil est convoqué afin de savoir si l'attribution du fond commun et possible, et dans le cas positif, le montant attribué doit également être débattu.
Alinéa 5: En cas de manque de financements, la société ISAKA peut faire intervenir d'autres investisseurs afin d'augmenter le fond commun.

Article 8: Cet article porte sur la formation des scientifiques qui participeront à ISAKA.
Alinéa 1: L'académie d'ISAKA est l'institution chargée de superviser les écoles liées au projet ISAKA.
Alinéa 2: Chaque nation s'engage à construire ou à attribuer le minimum de trois écoles, qui seront liées à l'académie. Ces écoles serviront à former les scientifiques d'ISAKA.

Article 9: Tous les 10 ans, une élection se tiendra, avec le Grand Conseil, afin de nommer les trois directeurs de recherche. A l'instant, les trois directeurs sont:
- Herwing Darkölr.
- Martin de Saint Just.
- Imad Afrolo-Gicarolirdin.

Article 10: Cet article sert à modifier le traité fondateur, il peut être demandé lors d'un Grand Conseil.

Article 11: Tout nouveau membre d'ISAKA se doit de financer lui même la construction des infrastructures qui permettront la recherche. De plus, ce financement doit être effectué dans les 6 mois après l'intégration du membre. Tout membre d'ISAKA se doit d'avoir au minimum ces différentes infrastructures:
- 5 Instituts Mineurs.
- 1 Institut Majeur.
- 1 siège (Seulement si le membre est permanent).



Ce topic servira donc à effectuer les Grands Conseils d'ISAKA, les candidatures se font via l'ambassade kartienne et l'ambassade du pays concerné. Voici les pays membres d'ISAKA:

Empire de Karty
drapeau

Empire d'Antérinie
drapeau

Royaume de la Côte d'Assad
drapeau

Nordfolklande
drapeau

446
Grand Conseil d'ISAKA N°1


D'après l'article 5 alinéa 1 du Traité d'ISAKA, le dirigeant de l'Empire de Karty, le Kaiser Van Blonski, convoque un Grand Conseil.


Motif: Suite aux échanges effectués avec le Royaume de la Côte d'Assad ainsi que l'Empire Colonial d'Antérinie, un Grand Conseil doit être convoqué afin d'aborder, notamment, le financement de la construction des infrastructures d'ISAKA.


Dirigeant du Conseil: D'après l'article 5 alinéa 2 du Traité d'ISAKA, le Dirigeant du Conseil et le pays suivant: Empire de Karty.
1709
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Mes salutations à mes homologues de la Côte d'Assad et de l'Antérinie. Suite à nos échanges effectués au préalable, la convocation d'un Grand Conseil semblait une évidence. Nous allons donc aborder différents sujets à traiter, et nous allons commencer par la missive akaltienne que voilà:

l'Akaltie a écrit :À l'attention de Sa Majesté le Kaiser de l’Empire de Karty, Van Blonski et de Monsieur le Ministre des Affaires Étrangères de l’Empire de Karty,
Le Ministère akaltien des Sciences et de l'Espace ayant eu vent du projet ISAKA, l'Akaltie souhaiterait proposer la possibilité d'une collaboration avec l'organisation. En effet, dans le cadre de l'ASNA (Agence Spatiale des Nations Aleuciennes), le programme spatial de l'ASEA (Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne), l'Akaltie possède un centre spatial permettant l'envoi facilité de lanceurs dans l'espace, car se trouvant sur l'équateur de notre planète. De plus, le centre dispose de plusieurs pas de tir, permettant l'exploitation à la fois de vos lanceurs et des nôtres sur une même période, sans que l'organisation liée à l'un ne soit problématique. Bien évidemment, si votre gouvernement souhaite obtenir plus de détails sur cette possible collaboration, nous serions heureux d'organiser une rencontre à ce sujet.
Si cela convient également, nous souhaitons installer une ambassade akaltienne en Karty, et qu'une délégation kartienne s'installe au Quartier des Ambassades, à Kintan, afin d'étendre nos deux réseaux diplomatiques.

Bien cordialement,
Mme Juntan Necahual, Ministre akaltienne des Affaires étrangères.

Pour résumer la requête, l'ASNA souhaite effectuer une sorte d'alliance avec ISAKA, comme un partenariat, par exemple. Nous allons déjà effectuer un vote afin de savoir si le "partenariat" est accepté. Si oui, nous effectuerons, avec l'aide de l'ASNA, un traité afin de modéliser nos éventuels accords.



Vote de l'Empire de Karty pour le Partenariat avec l'ASNA: POUR
543
Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad : Bonjour, Après avoir discuté de la proposition d’Akaltie avec notre équipe, nous sommes entièrement d'accord pour avancer sur un partenariat avec l’ASNA concernant le projet ISAKA. On voit là une belle opportunité pour renforcer notre coopération spatiale. Concernant l'installation d'une ambassade akaltienne en Karty et l'accueil d'une délégation kartienne à Kintan, nous sommes également favorables. C’est une excellente idée pour solidifier nos relations et faciliter nos échanges.

Vote du Royaume de la Côte d'Assad pour le Partenariat avec l'ASNA: POUR
1047
Martin de Saint Just, représentant Antérinien.

Bonjour, je suis ravi de voir que notre projet prend forme et je m’en félicite, je tiens à remercier le Royaume de la Cote d’Assad et l’Empire de Karty pour leur implication dans cette nouvelle organisration.
Il paraît en effet nécéssaire d’accepter le partenariat, « cette sorte d’alliance » que nous propose l’Union des cités d’Alkatie, cela permettrait de faciliter nos communications avec nos homologues aleuciens.
De plus cela permettrait de réduire les dépenses de l’Empire Colonial Antérinien, notamment pour l’installation de lanceurs de fusées qui se compteraient en millions de talents sans parler des infrastructures nécessaires au préalable.
C’est pour cela que mon équipe, le gouvernement antérinien et moi-meme sommes d’accord pour accepter un partenariat avec l’union des cités d’Alkatie, peut être que cela permettra d’ouvrir la voie à de nouveaux partenariats avec l’Agence Spatiale des Nations Aleuciennes qui pourraient nous être profitable à tous.
L’influence qu’excerceront les représentant Alkatiens devra en revanche être débattue entre nous et en huis clos.

VOTE DE L'EMPIRE COLONIAL ANTERINIEN: POUR
1413
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Le vote pour décider s'il fallait accepter le partenariat avec l'ASNA est désormais clôturer. La réponse est positive avec 100% POUR. L'Empire de Karty se chargera de faire communiquer le tout à l'Akaltie. Nous pouvons donc passer au sujet suivant: la candidature de Kölisburg. Ce pays a candidaté afin de devenir membre de notre institution, voici la candidature:

Kölisburg a écrit :
À l'intention de l'Empire de Karty.

Je vous adresse mes salutations,

Je vous adresse ci-joint la candidature de la Confédération de Kölisburg à l'organisation ISAKA.


- Nom Complet du Pays Candidat: CONFÉDÉRATION ROYALE ET SEPTENTRIONALE DE KÖLISBURG
- Date de la Candidature: 19/02/2024
- Raison de la Candidature: La Confédération toute entière aimerait mettre en commun avec les autres les efforts de développement spatial afin de permettre un élargissement de projets concernant l'espace. De plus, bien la Confédération n'envoie actuellement que des satellites, elle a les moyens de financer de plus grands projets ce qui pourrait intéresser des pays ayant ces fameux grands projets mais ne disposant pas des fonds nécessaires.

La Confédération Royale et Septentrionale de Kölisburg, s'engage à respecter la totalité des articles du Traité d'ISAKA, dès lors que la candidature de ma nation est acceptée.

Respectueusement,

𝘼𝙙𝙖𝙢 𝙃𝙚𝙞𝙙𝙚𝙣𝙗𝙤𝙧𝙜, 𝘾𝙝𝙚𝙛 𝙙𝙚 𝙡𝙖 𝙙𝙞𝙥𝙡𝙤𝙢𝙖𝙩𝙞𝙚 𝙙𝙚 𝙆𝙤̈𝙡𝙞𝙨𝙗𝙪𝙧𝙜

Nous allons donc mettre cette candidature au vote.


Vote de l'Empire de Karty pour la candidature de Kölisburg: POUR
1356
S
Suite à la candidature de la Confédération Royale et Septentrionale de Kolisburg le ministre des affaires étrangères monsieur Louis d’Antérinie m’a fait parvenir cette missive.

Bonjour,

Vous n’ignorez évidemment pas que l’Empire Colonial Antérinien a reconnu, il y quelques mois, son intégration au sein de l’Union Économique Eurysienne et par conséquent nous nous devons de respecter le traité fondateur et notre promesse :
« Nous, Pays Adhérents, validons le fait de participer économiquement, politiquement, militairement et écologiquement à l'Union Économique Eurysienne auquel nous la reconnaissons comme instance supérieure à l'international, au pays, et ses habitants, qui deviennent ainsi membres de l'U.E.E. Enfin, nous, Pays Adhérents, validons le traité de fondation du 23 Juillet 2012. »
C’est pour cela que l’Empereur ainsi que moi-même vous donnons l’ordre d’accepter la candidature la Confédération de Kolisburg.

Il faut aussi reconnaître l’utilité d’un nouveau membre, non seulement le coût financier sera allégé de quelques millions, un luxe que nous ne saurions refusé.
De plus cela permettra à l’Empire de rendre nos relations plus saines et plus amicales avec la Confédération.
C’est ainsi que je reconnais l’intégration de la Confédération Septentrionale et Royale de Kolisburg ainsi que l’Empereur et mon équipe et je souhaite par conséquent la bienvenue aux savants Kolisburgeois.

Vote de l'Empire Colonial Antérinien pour la candidature de la Confédération Septentrionale et Royale de Kolisburg: POUR
896
[i]Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad : Pour ce qui est de Kölisburg, je pense que leur candidature est une excellente opportunité pour notre organisation. Ils ont montré un vrai intérêt pour le développement spatial et sont prêts à respecter tous les articles du Traité d'ISAKA, ce qui est très rassurant. Ils ont aussi les moyens financiers pour soutenir des projets de grande envergure. Même s'ils se concentrent actuellement sur l'envoi de satellites, leur capacité à financer des projets plus ambitieux pourrait être un gros plus pour nous. Cela pourrait aussi alléger les coûts et rendra notre coopération encore plus solide. De plus, accepter Kölisburg permettrait de renforcer nos relations et d'élargir notre réseau. Ils semblent vraiment motivés à travailler avec nous et à apporter leur contribution. Pour toutes ces raisons, je suis pour l'intégration de la Confédération Royale et Septentrionale de Kölisburg à notre organisation.


Vote du Royaume de la Côte d'Assad pour la candidature de Kölisburg: POUR
557
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Le vote pour décider s'il fallait accepter l'entrée de Kölisburg est désormais clôturer. La réponse est positive avec 100% POUR. l'Empire de Karty se chargera de faire communiquer. Nous souhaitons donc la bienvenue à cette nation qui peut désormais participer à ce Grand Conseil.

Nous passons donc à la suite de notre réunion. D'après l'article 2 du Traité d'ISAKA, n'importe quel pays fondateur peut mettre un Véto sur un vote, à seule condition que les deux autres pays fondateurs soient d'accord. Nous mettons donc au vote le Véto sur le partenariat avec l'ASNA.



Vote de l'Empire de Karty pour le Véto: POUR
266
[i]Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad : Concernant le veto, comme vous l'avez dit, selon l’article 2 du Traité d'ISAKA, un pays fondateur peut effectivement exercer son droit de véto, mais avec l'accord des deux autres pays. Donc, je vote pour.

Vote du Royaume de la Côte d'Assad pour Le Véto: POUR
1281
Suite aux manques de clarté dans les propos des représentants alkatiens mes conseillers et moi-meme sommes en quelques sortes perdus, rien n’a été proposé et aucun objectif précis a pu être mis en lumière.
Par conséquent nous ne savons que dire, les propositions de notre ami Mr.Herwing Darköl qui visaient à permettre la création d’un centre de recherche spatiale qui étudirait dans l’espace même se sont vues refusées par les scientifiques de l’Union des Cités d’Alkatie.
Et ils nous ont proposé de simples accords permettant d’organisé nos deux instituts de recherche et cela menerait à terme la fusion entre les deux entités.
Afin de garantir l’indépendance de l’Institut Spatiatial Assado-Kartio-Antérinien nous refusons catégoriquement l’idée même.

Mais d’autres propositions qui permettent de fixer une législations solide et stable afin de garantir la paix au sein de ce nouvel El Dorado qu’est le Cosmos, nous acceptons des pourparlers entre l’Institut et l’Agence Spatiale des Nations Aleuciennes et tout les autres instituts spatiaux existants afin d’éviter de léser les nations.
Nous nous montrons favorable à l’instauration de partage de connaissances entre nos deux nations, cela permettrait d’améliorer les services et les résultats que nos instituts fourniront.
Nous espérons que nos confrères aleuciens ne nous en tiendront pas vigueur et nous leur souhaitons bonne chance.

Vote de l'Empire Colonial Antérinien pour le véto: Pour
253
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Le Véto est donc appliqué, l'Empire de Karty s'occupera de transmettre le tout à l'ASNA. Nous pouvons passer à la suite de notre Grand Conseil, à savoir, le programme économique. Je laisse la parole à mon homologue Antérinien afin de traiter ce sujet.
5195
Maintenant que les présentations sont faites, que des sujets brûlants ont été abordés comme le partenariat avec l’Agence Spatiale des Nations Aleuciennes ou bien l’intégration de la confédération septentrionale et royale de Kolisburg nous pouvons dorénavant évoquer un point important ; les finances.
C’est pour cette raison que je prend la parole, en effet comme tout le monde le sais sans argent ce noble projet ne serai qu’un embryon d’idée, et toute nos tentatives de concrétisations deviendraient rapidement impossible.
Je tiens donc à donner un court aperçu sur les dépenses qui vont être faites et les diverses sociétés à contacter ainsi que les progrès de l’Empire Colonial Antérinien sur le sujet.
Je prie donc mes collègues Kartiens, Assadiens et Kolisburgeois de m’arrêter sur des sommes qui pourraient paraître extravagantes et de me communiquer les réponses de leurs gouvernements respectifs.
Je tiens aussi à préciser que je me suis appuyé sur le traité fondateur de l’Institut et que les sommes proposées sont imprécises et qu’elles peuvent varier de quelques centaines de milliers de talents à quelques millions.
Je tiens à vous faire remarquer que les prix et le total des dépenses sera donné en Talents Antérinien (noté ¤).

Ceci dit je vais donc rappeler les divers bâtiments nécessaires pour la construction et la mise en place du ce projet spatial.
D’après le traité fondateur nous devons posséder au moins deux types d’infrastructures ; les laboratoires mineurs et les laboratoires majeurs qui comprendront des sites de lancements et d’expérimentation.
Donc sachant que nous devons posséder plusieurs bâtiments de ces types là nous avons fixer un tarif qui s’inspire des laboratoires médicaux spécialisés dans les domaines onéreux et nous ne pouvons affirmer avec certitude le prix de ces derniers.
D’ailleurs il faut aussi constater que nous nous inspirons des sommes dépensés par diverses nations dans le domaine spatiale pour fixer le montant des dépenses des laboratoires majeurs.
Dès lors que nous avons pu faire ces calculs nous pouvons aisément fixer le montant des sommes et cela avec une certaine précision.
Cela fait nous avons pu constater que les laboratoires mineurs, qui ne serviront qu’aux expériences d’ordre techniques et qui ne feraient que renforcer les recherches scientifiques qui s’exécuteraient dans les centres importants.
Nous avons donc pensé que ces laboratoires devraient être peu nombreux et dispersés, il a été convenu par mon équipe que le nombre des ces laboratoires de seconde zone se trouverait entre trois et six pour un coût de 1 millions de talents antérinien (¤) l’unité.

Je tiens maintenant à aborder le second type de bâtiment, le plus important car c’est le centre de nos recherches.
Ces bâtiments ne sront dédiés qu’à cela, ils pourront en effet abriter un campus afin de pouvoir loger les centaines de scientifiques qui peupleront le site.
Mais des expériences majeures y seront réalisées, d’abord l’expérimentation de technologies nouvelles puis le site pourra servir de base de lancement de nos futurs engins spatiaux.
Il faudra donc prévoir des installations adéquates pour ce type d’activité comme par exemple des rampes de lancements.
Évidemment ce type de construction est extrêmement coûteuse et nous nous devons de posséder une quantité raisonnable de ce type d’installation.
Nous recommandons à nos estimés collègues de n’en construire que très peu, le mieux serait d’en bâtir une dans un endroit dégagé.
Car comme je l’ai dit plus tôt le coût est astronomique, notamment à cause du matériel nécessaire à ce genre de bâtiment, le prix peut aussi varier, en fonction de l’endroit et des entreprises choisies, mais nous estimons la construction d’un centre majeur à 1 milliard et 35 millions ¤.
Enfin nous abordons le dernier des bâtiments nécessaires mais cette remarque s’adresse en particulier aux membres permanents, mais nous évoquerons aussi dans ce paragraphe le partage des coûts entre les différents états membres.
Car il faut évoquer les sièges que le représentant du Kaiser a imposé dans le traité fondateur, ces bâtiments ne sont que de simples entités administrative qui coordonneront les activités entre nos centres et laboratoires respectifs mais aussi avec les autres états membres.
Et cela ne devrait pas coûter excessivement cher, car le siège devrait être aménagé comme un bureau.
Nous prévoyons donc des dépenses légères pour un bâtiment qui n’aura qu’un rôle purement administratif mais il devra impérativement comporté les services qui vont être abordés dans quelques instants.
D’abord les services financiers devront être évidemment présent, ils seront gérés en coordination avec les autres états membres et devront tenir une place importante car comme on dit « l’argent est le nerf de la guerre ».
De plus il faudra aussi prendre en compte le service communication qui pourrait en cas de besoin rassurer les populations et montrer aux yeux du monde l’efficacité de notre collaboration.
Le système d’information, D.S.I et S.S.I compris se devra d’être efficace et sur afin d’éviter toute déconvenue en lien avec l’informatique.
Nous prévoyons un coût total de 87 million ¤, mais cela peut varier en fonction des lieux choisis et des matériaux utilisés, bien évidemment.

Pour conclure nous constatons que le coût sera élevé, en effet si l’on additionne le tout, en prenant en compte les différentes gamme de choix nous arrivons à un résultat élevé, tout dépend, encore une fois de l’implication du pays membre.
Nous estimons le résultat de ces dépenses qui peuvent aller de 9.2 milliard ¤ à 5.7 milliard ¤.
Nous nous posons donc la question suivante, doit on créer un fond d’investissement que les pays membres irrigueront régulièrement ou bien devrait on financer nous-même nos infrastructures ?

J’attends avec impatience vos réponses et j’espère que vos gouvernements respectifs sauront se montrer conciliants avec nos propositions.
491
Kaiser Van Blonski, Dirigeant de l'Empire de Karty: Je remercie mon homologue Antérinien pour ses calculs qui nous permettront d'estimer le coût de notre projet. Afin de simplifier, nous allons arrondir la somme. Pour résumer, la somme totale sera de 6 milliards de talents, un pays membre devra payer 1.4 milliard tandis qu'un pays fondateur 1.5 milliard en raison du siège.

Je propose de ne pas faire appel au Fond Commun, ainsi, chaque pays devra payer soi-même. Néanmoins, comme à notre habitude, nous allons soumettre cela au vote.


Vote de l'Empire de Karty pour utiliser le Fond Commun: CONTRE
735
Imad Afrolo-Gicarolirdin, représentant de la Côte d'Assad : Je partage votre préoccupation Kaiser concernant l'utilisation d'un Fonds Commun et l'importance de l'autonomie financière des pays membres. En finançant nous-mêmes nos infrastructures, nous pouvons mieux contrôler et optimiser nos dépenses, en choisissant les partenaires et les fournisseurs qui correspondent le mieux à nos besoins et à nos budgets. Nous devons surtout éviter de devenir dépendants de nos entreprises privées pour ne pas qu'elles deviennent des acteurs principaux au projet ISAKA. Chaque pays membre doit assumer la responsabilité de ses propres investissements. Visiter l'espace coûte très cher, et c'est l'une des principales raisons pour lesquelles la Côte d'Assad n'avait pas investi auparavant.

Vote du Royaume de la Côte d'Assad pour utiliser le Fond Commun: CONTRE
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