Nos ennemisQui sont-ils ?Comment les reconnaître ? Comment les vaincre ?Alors que nous proposons au monde une solution à tout ses malheurs, celui-ci se refuse à nous écouter, aveuglé par des idéologies barbares qui lui proposent d'autres remèdes à ces maux dont ils sont la cause. Ces idéologies aveuglantes et abrutissantes doivent être éliminées, le salut du monde en dépend.
Le Communisme :Le Communisme se présente comme le défenseur des peuples opprimés, des prolétaires et des déshérités du monde entier, principes que nous partageons et soutenons. Il n'en est malheureusement rien. Le Communisme, par l'abolition de la propriété, ne fait que voler au peuple ce qui lui appartient, tout comme le patronnât qu'il condamne et est ici remplacé par l’État. L'Homme devient ainsi l'esclave de son Gouvernement : tout l'argent gagné par son travail acharné lui est prit pour nourrir toute sa Communauté, dont il devient de fait rien de plus qu'un outil. Si cette Communauté avait le même amour du travail, elle se nourrirait d'elle-même. Le Communisme renie l'Homme comme individu et le limite à un outil, un esclave de sa Communauté, il en fait une fourmi : il travaille sans relâche pour nourrir une élite bureaucratique, élue pour son soit-disant amour du prolétariat alors qu'il n'a jamais mit les mains à la terre et au sang.
En somme, le Communisme, sous l'égide de la défense de l'égalité, ne fait que transformer le peuple en l'esclave de l’État. Il ne supprime pas le patronnât ou les classes sociales, il les nationalise.
Le patronnât doit être aboli, mais pas la propriété privée : chaque travailleur, chaque citoyen doit gagner son argent proportionnellement à la charge de travail fournie et le garder pour lui. Son argent durement acquis, il peut désormais le dépenser à améliorer son quotidien ou à remplir son assiette sans dépendre d'une soit disant Communauté profiteuse. Le Collectivisme est du vol, il doit être puni comme tel.
Ces Communistes, menés par la Loduarie, étendent leurs tentacules rougeâtres partout où leurs adversaires leur restent insoumis. On ne citera que la Translavya parmi les nombreux autres exemples.
Le Capitalisme :Si le Communisme et le Collectivisme doivent être combattus férocement, notre pire ennemi est surement le Capitalisme. Cette idéologie, soit-disant libérale, fondée sur l’appât du gain et la productivité de richesse à tout prix est une aberration à détruire. Ce Capitalisme n'a d'autre finalité que l'apparition de classes sociales inéquitables : ceux qui gagnent et ceux qui travaillent. Ces classes sociales sont la première des divisions que nous avons à combattre, le Capitalisme le renforçant encore plus en permettant l'enrichissement des plus riches et en accélérant l'appauvrissement des plus pauvres.
Si le Communisme est une horreur à combattre, le principe d'une économie contrôlée et planifiée par l’État est une chose que nous avons en commun. Seul l’État doit être maître de son économie, il aura ainsi le loisir d'offrir tout le travail que son peuple désir et de lui accorder une rente équitable fondée sur l'effort donné et non la production de richesses.
Le Capitalisme s'étend et pullule partout en notre monde si bien que ne cité qu'un seul état reviendrait à injurer toutes les nations. Cet ennemi est probablement le plus difficile à vaincre, mais nous gardons espoir.
L'Anarchisme :L'Anarchisme ou l'Acratie, qu'importe le nom qu'on lui donne est une niaiserie. Fondé sur une liberté absolue en tout et pour tout, l'absence de pouvoir implique une volonté, un objectif et une croyance commune, chose impossible dans un état peuplé de plusieurs millions d'individus éparses, l'Anarchisme ne peut fonctionner qu'à la plus petite des échelles : un clan reclus, une famille d'ermites. L'Anarchisme repose sur la croyance que l'Homme est bon par nature et que ses choix ne sont guidés que par la croyance ce qui est faux. L'Homme est un animal sauvage à qui on a donné l'intelligence de rendre sa sauvagerie encore plus barbare. C'est là sa seule distinction avec l'animal.
Un état Anarchiste n'est rien de plus qu'une terre de chaos où, libérés de tout pouvoir, l'Homme peut exercer cette sauvagerie sans aucune limite, l'état ayant été aboli, les lois aussi. Fort heureusement, jamais un état n'a put basculer dans un véritable Anarchisme, pas même l'Estalie pourtant sa principale vitrine, tous se pencher vers la démocratie libérale en se dotant d'institutions gouvernementales limitant de faits la liberté individuelle qu'ils affichent aux yeux du monde.
L'Anarchisme n'existe pas et son existence serait un désastre, voilà pourquoi c'est une niaiserie. Voilà pourquoi il doit être combattu.
Le Communalisme :Le Communalisme, dérivé de l'Anarchisme, prône la chute des états et leur remplacement par une confédération de communes autogérées. Absurde, une commune ne pourra jamais produire d'elle même toutes les ressources et biens nécessaires à son développement, sauf en revenant à un état primitif digne de petits clans préhistoriques, elle devient donc dépendante d'autres communes pour s'approvisionner en ressources qu'elle ne peut pas produire. Se mettra alors en place un système de vassalité entre les communes les plus puissantes et les plus faibles, n'engendrant que plus de tensions entre celles-ci. Qu'importe la taille de l'état, l'Homme saura toujours trouver un moyen de faire la guerre.
Le Communalisme ne renvoi qu'à un système féodal moyenâgeux où les seigneurs sont remplacés par des communes avec au sommet le Roi, ici la Confédération et sa capitale.
Et si cet état confédéral venait à forcer la coopération entre ces communes autonomes, chose qu'elles ne feront pas d'elles mêmes, l'Homme étant par nature mauvais, on ne pourrait voir ici qu'une entorse au principe même du Communalisme, en plus d'une collectivisation des ressources non pas des travailleurs mais des communes et donc une forme de Communisme.
Ces Communalistes, qui ne cherchent qu'à dissoudre des états forts et unitaires en une masse anarchique de clans rivaux, portent les noms de Kah-tanais, Kaulthes ou Mähreniens. Ils s'étendent partout, de Lac-Rouge à l'Eurysie.
La Démocratie :Ennemie par nature de notre Idéologie Nationale, la Démocratie, qui se présente comme un modèle de civilisation et de bon sens, n'a aucun autre objectif que de permettre aux citoyens de corriger ses imperfections, elle n'est donc pas une fin mais un moyen. Or, si le peuple est déjà satisfait de sa condition, si l'état tout entier, qu'importe sont dirigeant, s'efforce de lui donner tout son amour et le fait bien, si les lois et le système appliqués par le Gouvernement sont parfaits, la démocratie devient obsolète, le peuple n'ayant plus rien à demander. L'autoritarisme devient alors une nécessité non pas pour aller à l'encontre de la volonté du peuple, mais pour s'assurer que cet état de satisfaction perdure et qu'aucun individu, même élu, ne puisse y mettre un terme, que ce soit par incompétence ou mauvaise volonté.
Les démocraties ne semblent pas comprendre ce principe pourtant simple. Aveuglées par ce qu'elles croient être la volonté de tout les peuples de notre monde ou peut-être leur bon droit, elles cherchent à imposer leur vision et leur modèle binaire à tout ceux qui s'en détournerait, quitte à ruiner la stabilité, le progrès et la richesse imposés d'une main de fer.
Ces démocraties sont bien trop nombreuses pour toutes les citer. Regardez n'importe où sur une carte, vous serez certains de voir partout cette bien-pensance suintante et pestilentielle, cette soi-disante civilisation horripilante qui n'a provoquée que guerre et massacre. La civilisation est un mensonge fomenté par ceux dont l'ego leur empêche de s'affirmer comme ce qu'ils sont : des barbares, des êtres humains.
Le Fédéralisme :Le Fédéralisme, sous le couvert de donner plus de liberté aux régions d'un même pays, de reconnaître leurs disparités sociales ou économiques et de leur donner les moyens de réduire leurs problèmes personnels, n'a pour seul effet, comme le Communalisme, d'affaiblir la nation au profit des états fédérés, de mettre en évidence les divisions existantes au sein de la population plutôt que de les réduire. Comme le Communalisme, il pousse à la rivalité entre les états fédérés aux dépens de l'état fédéral.
Le pouvoir d'un état doit être fort et centralisé, nul peuple, nul région dans tout le territoire national ne devrait jouir de droits supérieurs ou inférieurs à ses compatriotes. Il en va de la cohésion nationale. Pourtant, certains ne comprennent pas le besoin qu'à un peuple d'être uni sous un seul drapeau et une seule loi.
Le Colonialisme :Ignominie absolue, le Colonialisme, ou la domination d'un peuple par un autre, peu importe les justifications et excuses d'une mission civilisatrice qu'on a pu lui donner, n'est rien de plus qu'une énième forme d'esclavage et de ségrégation entre une élite colonisatrice qui, d'où qu'elle vienne, exploitera systématiquement les ressources naturelles d'une terre déjà occupée et qui ne lui revient d'aucun droit pour s'enrichir et s'engraisser, et un peuple autochtone forcé de lui obéir sous peine de punitions dégradantes et animalisantes : le fouet ou la potence.
Là est l'exemple même d'une guerre absurde, plus encore que toutes les autres qui le sont déjà suffisamment, car la domination coloniale ne saura s'imposer que par la force et donc la terreur ou l'extermination. Jamais un peuple, dans toute l'histoire de notre monde, ne s'est laissé asservir de lui même et sans jamais s'en mécontenter, il finit toujours par se révolter entraînant alors encore plus de violence et de haine.
Ces colonisateurs répugnants portent les noms d'Antérinie, de Tanska ou de Velsna pour ne citer qu'eux. Il ne méritent rien de plus que ce qu'ils ont eux mêmes fait subir à bien d'autres.
L'Impérialisme :L'Impérialisme enfin, quelque soit les idées qu'il défend, est toujours une erreur stupide et aberrante. Il n'a pour seul objectif que l'imposition par la force de l'hégémonie d'un modèle ou d'une idéologie à des états et des peuples qui la refuse, soit-disant car ce modèle ou cette idéologieserait parfait et améliorait leur condition. Ce sont des mensonges, si un seul modèle, une seule idéologie en ce monde était réellement parfait, il n'y aurait pas besoin de l'imposer car l'Humanité entière se l'approprierait et s'en inspirait volontairement. L'Homme n'est pas stupide, sauvage, barbare mais pas stupide. S'il voit en un modèle la perfection et un moyen certain de rendre le monde meilleur, il le fera.
Les impérialistes se fichent bien de savoir si leur modèle est réellement aussi parfait qu'ils le disent. Ils sont près à l'imposer par tout les moyens, quitte à ruiner la quiétude des peuples et à rendre leur vie infernale pour satisfaire leur ego démesuré.
Si beaucoup nous ont qualifiés de tout les noms, de barbares, de monstres ou d’oppresseurs, ils se trompent lourdement. Nous ne sommes pas stupide, nous n'imposerons pas un modèle défaillant, même le notre. Lorsque notre Idéologie Nationale aura remplie tout ses objectifs, lorsque notre succès sera complet et que nous pourrons l'afficher aux yeux du monde, il le suivra de lui même. Notre modèle ne se diffusera pas par le feu et le sang mais par la démonstration et l'exposition de notre richesse et nos progrès. Tout autre cas serait une défaite pour nous et pour l'Humanité entière.