Le Petit Septimatin [Presse]
Posté le : 21 jui. 2024 à 22:37:50
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Ici seront posté à intervalle régulier des articles du Petit Septimatin, quotidien le plus lu du pays.
Posté le : 06 août 2024 à 03:18:39
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Après des décennies de mauvaise gestion, le général et ses équipes ont repris le contrôle. Si de vastes manifestations se produisent dans tout le pays en soutien à la constitution ou en opposition à cette dernièreVoir article dédié, le résultat du référendum est sans appel, à l'exception de certaines grandes villes, le OUI l'a emporté partout, en moyenne avec près de 65% des voix.
Sur fond d'accroissement de la dette, de hausse de la corruption, de baisse du pouvoir d'achat et d'embourgeoisement de la classe politique, et de retour des tensions sociales, l'élection du général est vue par près de 72% des électeurs comme un retour à la stabilité, 92% à la droite sociale conservatrice, 72% à l'extrême droite, 46% à la gauche libérale, 20% chez les libéraux, et 63% à l'extrême gauche.
En quelques mois, si des opérations anti corruption modestes ont pu être faite, très peu d'apparitions et d'applications politiques ont pu être constatée par la population, le président semblait plus préoccupé par d'autres projets. C'est à la surprise quasi générale que la proposition de référendum constitutionnel est tombé, provoquant selon nombre d'observateur une polarisation de la vie politique.
La majorité des cadres de l'ensemble des partis à l'exception du parti libéral ont accepté de soutenir le oui à la nouvelle constitution. Pour l'Union Nationale, il s'agit d'un soutien des éléments honnêtes des partis face aux éléments corrompus, pour une partie des observateurs, la lourde affaire Mario Riveir, principal acteur d'un réseau de détournement de fond publics à tous les niveaux par de nombreux élus de la gauche libérale.
Cette situation du parti à permis au parti au pouvoir de polariser la société entre les "corrompus et les factieux" et les "patriotes et serviteurs honnêtes de la république".
La situation est inédite pour la République, les mois qui suivront seront vecteurs de grands changements, couverts par nos journalistes.
Dans tous les états du pays mais particulièrement sur l'ile de Far-Citat, et dans certains arrondissements de la Capitale, de nombreuses manifestations de gauche libérales et de libéraux centristes rassemblant dans tout le pays près de 140.000 manifestants, principalement bourgeois.
En opposition à ces manifestations jugées par le parti au pouvoir "antidémocratique" et "antipopulaires", les fidèles du parti dans ces localités et arrondissements ont manifesté massivement, la police ayant pour consigne de former un large cordon entre les deux cortèges
Quelques mouvements libertariens et ultra progressistes ont fait cependant parler d'eux dans une plus grande ampleurs dans certains arrondissements de la capitale et dans la province de Oèstia principalement. En effet, plus de 12000 factieux, dont les deux tiers dans la capitale "miliciens" selon le gouvernement ont entrepris de prendre le contrôle de rues entières. La police est intervenue rapidement et en quelques heures, plusieurs centaines d'interpellations ont eu lieues. Le Général justifie du fait de ces troubles la promotion d'un "projet de loi de sécurité anti séparatisme".
Des millions de Francs Septimates de mobiliers urbains ont été perdus et le métro de la capitale a été dégradé, le gouvernement promet des "procès exemplaires" une fois "les réformes liées à la nouvelle constitution entreprises". La situation reste donc tendue entre les plus radicaux opposants au pouvoir, et les autorités malgré le rétablissement rapide de l'ordre.
Après deux décennies de stagnation voire de récession en certain secteurs, l'industrie repart à la hausse! l'armée se rééquipe et offre donc de juteux contrats aux industries du pays parfois mises à l'arrêt, le gouvernement promet un grand plan de développement pour achever cette relance économique et redresser la nation Septimate.
Usine sidérurgique dont la production a été récemment relancée, passant de 20% de ses capacités à 60% et donc à une hausse de 115% des emplois de l'industrie, en prévision des commandes du gouvernement
