Parti Ertzsite ( PE )
Sièges : 10
Chef du parti : Michael Ertz ( fondateur du Ertzisme )
Présentation : La fondation du Parti Ertziste a été mise en place pour permettre d'exprimer plus simplement les projets de lois du parti qui ne pouvait être voter avec les autres membres de l'ancien parti Communiste. Cette nouvelle opportunité permet à Michael Ertz de plus en plus réellement dominer la vision du monde rouge selon lui. Malheureusement, le faible nombre de sièges dont dispose le PE ( c'est à dire 12 ) handicape le projet de Michael Ertz. l'idéologie de l'Ertzism est centrée sur le principe de fraternité ouvrière. On pourrait traduire cela par l'impossibilité d'une révolution ouvrière sans fraternité entre tous les ouvriers et travailleurs. Les Ertzistes sont aussi en faveur d'une grande Union communaliste, ce qui fait que l'on associe souvent cette idéologie au communalisme.
Parti Communiste ( PC )
Sièges : 20
Chef du parti : Antonën Styvalnersh
Présentation : Le Parti communiste, ou du moins ce qui l'en reste, est devenu un ramassis des mécontents du Partis Socialiste ( PS ). Aussi appelé "Alliance de Gauche", par certains politiciens, le parti, malgré ses 20 sièges, doit faire face aux idéaux Ertzsites et les différentes branches du Communisme, dans un seul groupe politique. Ce retour à la réalité fait du PC l'un des partis les plus divisés. Majoritairement Marxiste-léniniste, le parti souhaite alors mettre en place l'avant-garde tant utile afin de mettre en place la révolution prolétarienne.
Parti Socialiste ( PS )
Sièges : 78
Chef du parti : Ivan Imanilov
Présentation : Formant un gouvernement d'opposition plutôt de Centre-Gauche/Gauche au PC, le Parti Socialiste tente de faire passer des mesures afin que la vie des ouvriers s'améliorent ( certaines républiques refusant l'application de certaines lois en faveur des travailleurs ). Ivan Imanilov, principal ennemi de Michael Ertz en terme de théorique politique, discrédite celui-ci afin de s'attirer les faveurs des députés du Parti du Prince, redevenu le plus grand parti de l'assemblée. Nouveau rassembleur de la gauche Altarienne, on retrouve dans se parti autant bien des socialistes, des socio-démocrates, des arcadianistes, des communalistes ou encore des anarchistes. Cependant, ce parti se revendique toujours de centre-gauche.
Parti du Prince ( PDP )
Sièges : 193
Chef du parti : Elmund de Shäkalsbourg ( fils de Ron-Gustav II de Shäkalsbourg )
Présentation : Unifiant autour de lui l'ancien Parti Chrétien-Kaulthe ( PCK ), et réussissant à acquérir de nombreux députés au sein de leurs partis, les royalistes sont devenus majoritaire depuis le retour de Ron-Gustav II. Leurs mesures sont principalement liés au monde ouvrier, étonnamment, notamment l'amélioration des conditions de vie dans les mines de charbon encore présentes dans l'ouest. On peut noter aussi le bellicisme présent dans le partis envers les Raches, ce qui l'a conduit a devenir important au sein de l'assemblée.
Parti Réaction Républicaine ( PRR )
Sièges : 58
Chef du parti : Alphonse de Strez
Présentation : Détruit face au retour de la monarchie, le parti réaction républicaine n'a plus aucun poids dans la politique, étant devenu le troisième partis en terme de siège à l'assemblée. A présent, le but des républicains sera de remettre en place une république et de proposer des lois plutôt libérales afin de pouvoir imposer un peu leurs marques. Allié parfois au Parti Front des Droites ( PFD ), cela permet aux deux partis d'avoir une petite majorité à l'assemblée lors des votes des lois.
Parti Front des Droites ( PFD )
Sièges : 41
Chef du parti : Gustav de Durênie
Présentation : Héritier des partis Union Nationale ( PUN ), Parti de la Kaulthie Unie ( PKU ) et Parti National-Socialiste des Travailleurs Altariens ( PNSTA ), le PFD est considéré aujourd'hui comme le parti d'extrême-droite. Ces propositions sont simples : création d'un état autoritaire afin de préserver dans toutes les situations l'Altarie, le détachement de la kresetchnie afin de devenir indépendant ou encore, même si c'est un courant minoritaire, se réunifier à la Kaulthie Communaliste. Cependant, la division est l'un des facteurs qui handicapent largement le parti dans les décisions de l'assemblée nationale à tel point que le PFD est obligé de faire alliance parfois avec le Parti Réaction Républicaine ( PRR ).