17/12/2016
14:35:51
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Bureau des députés

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Reprise des Activités Politiques et Parlementaires

Le Royaume de Finejouri est heureux d'annoncer la reprise des débats politiques, de l'examen des projets de loi et des autres activités liées à la vie politique du royaume après une longue pause due aux récents événements. Cette reprise marque le début d'une nouvelle ère de gouvernance, où les questions cruciales pour notre nation seront à nouveau au centre des discussions.

Les principaux points qui seront abordés à la rentrée sont les suivants :

Réformes Économiques et Fiscales : Discussion et mise en place de mesures visant à stimuler l'économie nationale, soutenir les entreprises locales et améliorer le système fiscal pour une meilleure équité.

Modernisation des Infrastructures : Projets de développement et de rénovation des infrastructures essentielles, avec un accent particulier sur les transports, l'énergie, et les communications numériques.

Sécurité et Défense Nationale : Examen des nouvelles politiques de défense, renforcement des capacités de sécurité intérieure et des partenariats internationaux pour faire face aux menaces actuelles.

Éducation et Recherche : Mise en œuvre des réformes éducatives et augmentation des investissements dans la recherche scientifique et technologique pour préparer les futures générations aux défis de demain.

Santé Publique : Renforcement du système de santé pour garantir l'accès universel aux soins, tout en abordant les leçons apprises des crises sanitaires récentes.

Environnement et Développement Durable : Initiatives pour protéger notre environnement et promouvoir des pratiques durables, avec une attention particulière à la lutte contre le changement climatique.

Justice et Droits de l'Homme : Renforcement des droits et des libertés, réformes judiciaires pour garantir une justice équitable et accessible à tous les citoyens.

Nous invitons toutes les parties prenantes à participer activement à ces discussions et à contribuer à la construction d'un avenir meilleur pour le Royaume de Finejouri. Nous remercions le peuple pour sa patience et son soutien continu durant cette période, et nous sommes déterminés à avancer ensemble vers des progrès durables et inclusifs.
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Rentrée politique


Par le Discours de Sa Majesté Louis II la rentrée politique se vois avancer à demain. Pour ce faire voici la répartition des sièges au fur et à mesure des recomposition qui je le vous rappel se fais tous les 10 ans.

Répartition

Vous pouvez voir que en Rouge il y a les Royalistes ( Ils sont pour le roi et soutienne la famille royal),
En Violet vous pouvez voir les démocrates (sont pour la démocratie veulent abolir les pouvoirs du Roi et mettre un président à la place),
En Bleu vous pouvez voir les Junkis (Ils soutiennent le peuples et ne pense que pour le peuple et son contre la guerre)

Le conseillé général MR.Intounki qui préside les débats entre les Elus Royaux fera une déclaration publique avant l'ouverture du bureau des députés.

Pour commencer avant la fin de l'année différent sujet déjà abordé lors de l'annonces des différents projets seront abordés et pour commencer les députés auront pour missions de débattre et de voter sur les deux sujets si dessous avant la fin de l'année.

Sujet à abordés:

-Réformes Économiques et Fiscales : Discussion et mise en place de mesures visant à stimuler l'économie nationale, soutenir les entreprises locales et améliorer le système fiscal pour une meilleure équité.
- Immigration
Pour finir avec la rentrée politique des Députés le Roi auront donc une marge de Manœuvre réduite au niveau de l'utilisation de l'armée royal car comme inscrit dans nos lois les plus ancienne le Roi doit avoir l'accord de la Majorité des députés pour envoyer nos troupes à l'étranger sauf utilisation de la loi sacrée qui peut être utilisé seulement 3 fois lors d'un règne.
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Ouverture de séance


Très chers députés moi Le conseillé général MR.Intounki, je suis fier de vous annoncer et de vous présenter le premier point qui doit être abordé et voté.

-Réformes Économiques et Fiscales : Discussion et mise en place de mesures visant à stimuler l'économie nationale, soutenir les entreprises locales et améliorer le système fiscal pour une meilleure équité.

Le débat ainsi que les idées proposés je vous le rappel seront composé de plusieurs temps. Tout d'abord les portes paroles de chaque parties devront donner leurs idée concernant une réforme économiques et fiscales. Par la suite et une fois toutes les propositions de proposé Sa Majesté se positionnera sur une des propositions se qui aura pour conséquences l'ajout de 20 voix directement sur cette proposition. Par la suite l'ensemble des députés devront voté pour la réforme qu'ils veulent et la réforme qui sera adopté sera celle qui aura eu le plus de vote pour son adoption. Le Roi peut toujours utilisé son pouvoir Royal pour annuler se vote et donc un nouveau vote devra être réalisé.

J'appelle maintenant que se rappel à été fais la porte parole des Royalistes Mdm Vistarja Florinda.

Prise de parole de Mdm Vistarja Florinda.:

Mon parti et moi proposons trois réformes qui sont les suivantes :

- Un système fiscal progressif où les taux d'imposition augmentent de manière significative pour les plus riches, tout en supprimant les augmentations d'import pour les grandes entreprises, afin de redistribuer la richesse et financer les services publics.

- Nationaliser des secteurs stratégiques (comme l'énergie, les transports, et la santé) pour garantir un contrôle public, améliorer l'accès aux services et réinvestir les bénéfices dans l'économie locale et les infrastructures.

- Lancer un programme national de travaux publics pour créer des millions d'emplois dans la construction et les infrastructures, en mettant l'accent sur des projets écologiques (énergies renouvelables, transport durable) pour revitaliser l'économie tout en répondant aux enjeux environnementaux.

Merci Mdm Vistarja Florinda, j'appelle maintenant le porte parole des démocrates Mr Tyn Hurio.

Prise de parole de Mr Tyn Hurio.:

Très chers collègue mon parti ne propose que deux réformes qui sont les suivantes:

- Mettre en place des allègements fiscaux ciblés pour les petites et moyennes entreprises , afin de réduire leur charge fiscale, stimuler l'embauche et encourager l'innovation.

- Développer des programmes de formation pour les entrepreneurs et des aides à la création d'entreprise, en particulier pour les jeunes et les chômeurs, afin de favoriser la création d'emplois locaux.

Merci Mr Tyn Hurio, j'appelle maintenant la porte parole des Junkis Mdm Firdata Cavate.

Prise de parole de Mdm Firdata Cavate.:

- Simplifier certaines réglementations pour les entreprises sans mettre en place des conditions de protection des travailleurs ou de l'environnement, ce qui pourrait encourager une croissance.

- Offrir des crédits d'impôt généraux aux entreprises sans conditions de création d'emplois ou d'investissement dans le local, ce qui pourrait bénéficier à certaines entreprises.

Merci Firdata Cavate.

Très chers députés voici maintenant sur quoi vous devez débattre. Le Roi se positionnera sur une des mesures proposé demain et vous devrez faire de même dans 48H. Maintenant place à la réflexion et souvenez vous que la vie de nos concitoyens doit passer avant tout.
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session de vote

Très chers collègue après maintenant plusieurs jours le Roi c'est positionné sur la première proposition des Royalistes qui est Un système fiscal progressif où les taux d'imposition augmentent de manière significative pour les plus riches, tout en supprimant les augmentations d'import pour les grandes entreprises, afin de redistribuer la richesse et financer les services publics.

Le vote et maintenant ouvert
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MR.Intounki :
Aujourd'hui, nous discutons des politiques d'immigration et d'intégration. Quels sont vos points de vue sur ce sujet crucial ? Nous entendrons d'abord notre représentant de l'extrême gauche.

Prise de parole de Mdm Vistarja Florinda :

L'immigration est une conséquence des inégalités mondiales. Nous devons accueillir les personnes qui fuient la guerre, la misère ou les persécutions, car elles sont souvent victimes de politiques néocolonialistes ou d'un système capitaliste mondial qui exploite les pays pauvres.

Propositions :
- Ouvrir davantage les frontières pour garantir un accueil digne à toutes les personnes migrantes.

-Mettre en place des politiques de régularisation massive des sans-papiers pour leur offrir un statut légal et un accès aux droits fondamentaux (santé, éducation, logement).

-Augmenter les budgets pour les associations d'aide aux migrants et lutter contre les discriminations structurelles.

-Redistribuer les richesses à l’échelle mondiale pour s'attaquer aux causes profondes des migrations forcées.

2. Prise de parole de Mr Tyn Hurio :

L'immigration massive met en péril l'identité nationale, les traditions, et la sécurité des citoyens. Nous devons prioriser nos compatriotes et limiter strictement les flux migratoires.

Propositions :
-Fermer les frontières et instaurer un moratoire sur l'immigration, sauf pour les cas humanitaires très stricts.

-Mettre en place des expulsions systématiques des personnes en situation irrégulière.

-Réserver les aides sociales et les emplois aux citoyens nationaux pour éviter un 'appel migratoire'.

-Revaloriser les traditions et la culture nationale en renforçant les contrôles sur les programmes scolaires et culturels.

3. Prise de Parole de Mdm Firdata Cavate :
L'immigration est un phénomène inévitable dans un monde globalisé. Il faut trouver un équilibre entre l'accueil des personnes dans le besoin et la préservation de la cohésion sociale.

Propositions :
-Instaurer des quotas d'immigration basés sur les besoins économiques du pays, tout en respectant les engagements internationaux (asile).

-Accélérer les procédures administratives pour éviter que les migrants restent dans des situations précaires.

-Investir dans des programmes d'intégration : cours de langue, insertion professionnelle, sensibilisation culturelle.

-Renforcer les partenariats avec les pays d'origine pour limiter les migrations forcées, notamment en investissant dans des projets de développement local.

Réactions et échanges :

Mdm Vistarja Florinda :
"Limiter les flux migratoires, comme le propose Tyn Hurio ou même Firdata Cavate, revient à ignorer les souffrances humaines. Les frontières ne devraient pas être des murs mais des ponts pour aider ceux qui en ont besoin."

Mr Tyn Hurio :
"Vos idées d'ouverture des frontières sont irresponsables. Elles mènent au chaos social et à l'insécurité. Nous devons d'abord penser à nos citoyens avant d'accueillir d'autres personnes."

Mdm Firdata Cavate:
"Je comprends les préoccupations des deux côtés, mais nous devons éviter les extrêmes. Une gestion pragmatique et humaine est possible. Nous devons accueillir, mais avec des règles claires et une vision à long terme."


Le résultat des votes seront annoncés dans les heures qui suivent
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Déclaration publique du Conseiller général Intounki Avant l'ouverture des travaux parlementaires

Citoyens de Finejouri,
Représentants de la nation,
Peuple libre et digne,

Avant que ne s’ouvrent les travaux de l’Assemblée des Élus Royaux, je m’adresse à vous en ma qualité de Conseiller général du royaume, garant du dialogue institutionnel et de l’équilibre des pouvoirs au sein de notre nation.

En ces temps marqués par des tensions sociales palpables, une inégalité croissante et des incertitudes économiques, le devoir de notre assemblée est clair mettre l’humain au cœur de la politique. Ce jour, nous nous réunissons pour débattre d’un projet de loi fondamental qui est la création d’une aide financière d’urgence destinée aux citoyens les plus démunis de notre royaume.
Ce texte ne divise pas simplement des partis , il interroge notre capacité à rester unis autour de l’essentiel qui est la dignité de chacun, la solidarité nationale et l’esprit de responsabilité.
Que vous soyez Royalistes, loyaux défenseurs de la monarchie et de l’ordre traditionnel, Démocrates, fervents partisans d’une république moderne fondée sur le suffrage universel Ou Junkis, voix engagées du peuple profond, opposés à la guerre et défenseurs d’un État social fort, votre place ici est légitime, vos convictions méritent d’être entendues, mais la cause aujourd’hui dépasse nos appartenances. C’est dans cet esprit d’unité que je déclare ouverte cette session solennelle. Puisse le débat qui suivra être digne du peuple que nous servons.

Ouverture de la séance parlementaire – Projet de loi sur l’aide financière d’urgence

Par la volonté de Sa Majesté le Roi et sur décision du Conseil des Affaires sociales, nous lançons aujourd’hui l’examen du Projet de loi sur l’Aide d’Urgence à la Population Défavorisée.
Ce texte vise à instaurer un revenu de solidarité pour les familles vivant sous le seuil de précarité, garantir un accès simplifié à l’aide alimentaire et au logement d’urgence, créer un fonds spécial de soutien communautaire destiné aux zones marginalisées.

Voici les points de cette lois qui seront à débattre ou à adopter. (texte projeté sur les écrans de la salle sous format électronique donc avec une mise en page adéquate)


Titre I – Dispositions générales

Article 1 – Objet de la loi
La présente loi a pour objet la création d’un dispositif d’aide financière directe et conditionnée à destination des citoyens vivant en situation de grande précarité sur le territoire de Finejouri.

Article 2 – Définition des bénéficiaires
Sont considérées comme éligibles :
• Les personnes seules vivant avec moins de 1 200 Finej par mois
• Les foyers avec enfants dont le revenu par personne est inférieur à 800 Finej
• Les personnes reconnues comme vulnérables par l’administration locale (invalidité, chômage longue durée, femmes isolées, anciens combattants sans pension, etc.)touchant moins de 500 Finej .

Titre II – Modalités de l’aide
Article 3 – Montant et versement
• L’aide est versée mensuellement sur carte d’allocation sociale.
• Le montant de base est fixé à 350 Finej pour une personne seule, augmenté de 150 Solaris par enfant ou personne à charge.
• L’aide est cumulable avec d’autres aides locales, mais plafonnée à un total de 800 Solaris par foyer.
Article 4 – Financement
• Un Fonds National de Solidarité Citoyenne (FNSC) est créé, alimenté par :
◦ Une taxe exceptionnelle sur les marchés d’exportation (2 %),
◦ Un prélèvement militaire exceptionnel (0,5 % du budget de défense),
◦ Des dons volontaires d’entreprises citoyennes.

Titre III – Accompagnement social
Article 5 – Suivi social obligatoire
• Tout bénéficiaire sera accompagné par un conseiller social royal pour faciliter sa réinsertion professionnelle ou sociale.
• Des formations gratuites et l’accès à des emplois publics temporaires seront proposés.
Article 6 – Contrôle et évaluation
• Une Autorité Indépendante de Suivi Social (AISS) sera créée pour contrôler la bonne attribution des aides, prévenir les abus et publier un rapport annuel au Parlement.

Titre IV – Dispositions spécifiques d’urgence
Article 7 – Aide exceptionnelle en cas de crise
• En cas de catastrophe naturelle, guerre, ou flambée des prix, un versement exceptionnel pourra être déclenché par décret royal sur recommandation du Haut Conseil Social.

Titre V – Dispositions finales
Article 8 – Entrée en vigueur
• La présente loi entre en vigueur le 1er du mois suivant sa promulgation.
Article 9 – Clause de révision
• Une révision de la loi sera examinée chaque année, en fonction de son efficacité mesurée par des indicateurs sociaux publics.

Prise de parole des Royalistes par Mdm Vistarja Florinda en réaction à cette proposition.

"Honorables collègues,
En tant que représentant du groupe royaliste et serviteur fidèle de Sa Majesté, je me réjouis que cette loi trouve aujourd’hui sa place dans nos débats. Oui, cette aide financière aux plus démunis est non seulement utile elle est nécessaire, urgente, et juste.
Car que vaut un royaume si ses enfants dorment affamés ? Que vaut notre honneur si le peuple, sur lequel repose la Couronne, est laissé sans secours ? Cette loi n’est pas un geste de faiblesse, c’est un acte de grandeur, digne de l’esprit chevaleresque de Finejouri.
Je tiens à saluer la sagesse de Sa Majesté le Roi, qui a soutenu personnellement l’instruction de ce texte. Cela prouve, s’il le fallait encore, que notre monarchie n’est pas coupée du peuple, mais qu’elle l’incarne et le protège.
Toutefois, nous devons aussi faire preuve de responsabilité. L’aide sociale ne doit pas devenir une dépendance, mais un tremplin. C’est pourquoi nous, royalistes, nous demandons eun suivi social encadré par des conseillers loyaux à la Couronne chaque mois. Cela garantira que l’aide n’éteint pas l’effort, mais qu’elle le guide. Enfin, j’appelle à la vigilance quant au financement de cette loi. Nous soutenons les prélèvements équilibrés mais la défense nationale reste une priorité sacrée. Les coupes militaires, même symboliques, ne doivent pas devenir une habitude. Votons cette loi, mais votons la en gardant foi dans notre tradition royale et dans l’équilibre sacré entre justice et ordre. Vive Finejouri, et que vive le Roi !"


Prise de parole de démocrate via Mr Tyn Hurio

"Mes chers collègues,
Le groupe démocrate salue avec sérieux le principe de cette loi, car aider les plus démunis est un devoir de toute nation civilisée. Nul ne peut rester indifférent face à la souffrance sociale qui ronge nos villes, nos campagnes, nos familles.
Nous voterons cette loi mais pas sans réserve, et certainement pas sans dénoncer ce qu’elle dissimule.
Car si ce texte est, sur le papier, une avancée, il est instrumentalisé par le pouvoir royal pour se poser en sauveur du peuple. C’est une manœuvre d’image, une réponse à la colère sociale, mais sans vraie réforme de fond.
Nous avons des questions claires. Pourquoi l’aide est-elle administrée par des conseillers sociaux royaux nommés sans contrôle démocratique ? Pourquoi le fonds d’aide reste-t-il placé sous autorité ministérielle, sans gestion par des représentants du peuple ? Pourquoi ne pas avoir confié cette loi à une instance élue indépendamment de la Cour ?

Il ne faut pas confondre générosité avec domination sociale. Ce projet, dans sa forme actuelle, renforce encore le pouvoir du Roi, même sur la misère. C’est cela que nous refusons.
Nous proposons que le Fonds national de solidarité soit placé sous supervision parlementaire, et non entre les mains de la noblesse administrative. Que les bénéficiaires soient représentés au sein de l’Autorité de Suivi Social et que cette aide s’inscrive dans une logique de refondation démocratique, pas de charité monarchique.

Le peuple ne veut pas d’aumônes royales. Il veut des droits. Des garanties. Un contrat social.
Ce projet est un pas, mais tant que les grandes décisions resteront à huis clos au Palais, Finejouri ne sera pas libre. Et c’est pourquoi, même en votant cette loi, nous continuerons à lutter pour une République forte, égalitaire, et libérée du joug monarchique.
(le député se tournant vers le parti royaliste) Le peuple d’abord, la Couronne ensuite."


le partie des Junkis outrait de cette proposition ne demanda pas la prise de parole

conseillé général: Bien après vos pensés dites qu'elles sont donc les points que chaque partie voudrait modifier supprimer et ou ajouter ?

Revue de la lois proposé par le partie Royaliste (modification projeté sur les écrans de la salle mise en page libre):

Titre I – De l’Aide Royale encadréeonté de Sa Majes
Article 1 – Création du Secours Royal Ordonné (S.R.O.)
Un programme national d’assistance sociale nommé Secours Royal Ordonné est instauré sous l’autorité directe du Ministère des Affaires Sociales et Royales.

Article 2 – Critères de mérite et de fidélité
Pour bénéficier du S.R.O., les sujets doivent :
• Être citoyens reconnus et inscrits au registre royal de résidence,
• Avoir servi le Royaume (travail, service militaire, participation à la vie communautaire),
• Signer un engagement de loyauté à la Couronne et aux lois royales,
• Ne pas être affiliés à un mouvement séditieux, hostile à la monarchie ou à l’armée.

Titre II – Modalités de l’aide

Article 3 – Forme de l’aide
L’aide prend plusieurs formes :
• Une bourse mensuelle royale (350 à 600 Solaris selon la situation),
• Un accès prioritaire aux foyers royaux d’hébergement,
• La gratuité dans les dispensaires royaux de santé,
• Un accès facilité aux emplois de réserve de l’État.

Article 4 – Attribution et contrôle
• L’aide est attribuée après audition par un Conseil Local Royal de Secours composé de notables, de militaires retraités, et d’un représentant du clergé.
• Chaque bénéficiaire doit renouveler sa demande tous les six mois, avec preuve d’efforts personnels (recherche d’emploi, activité bénévole, etc.).

Titre III – Éducation à la loyauté et à la reprise d’activité

Article 5 – Engagement citoyen obligatoire
Tout bénéficiaire devra participer à un Cycle de Réinsertion Royale incluant :
• Cours de civisme et d’histoire monarchique,
• Missions communautaires (jardins, cantines, restauration des bâtiments royaux),
• Suivi moral et professionnel encadré par un mentor royal.

Titre IV – Financement et souveraineté sociale

Article 6 – Fonds pour la Générosité de la Couronne (F.G.C.)
Ce fonds est financé par :
• Les dotations royales issues du Trésor,
• Une contribution patriotique de 1 % sur les hauts revenus,
• Les dons d’entreprises reconnues “Amies de la Couronne”.

Article 7 – Interdiction d’influence politique
Il est interdit à tout parti politique ou groupement démocratique de se servir de cette aide à des fins électorales, médiatiques ou idéologiques.
Le manquement à cette clause entraînera l’exclusion immédiate des bénéficiaires et des sanctions judiciaires.

Titre V – Entrée en vigueur et rayonnement monarchique

Article 8 – Entrée en vigueur
Cette loi prend effet dès son approbation par le Bureau des Élus Royaux et sa promulgation par Sa Majesté.

Article 9 – Révision par décret royal uniquement
Toute modification ou suspension de ce programme relève du seul pouvoir exécutif royal, en consultation avec le Haut Conseil d’État.

Réaction du députée des démocrates :

Mes chers concitoyens,
Ce que les royalistes viennent de déposer n’est pas une loi sociale. C’est une mascarade autoritaire.
Derrière des mots comme "Secours", "Fidélité", "Mentorat royal", se cache une réalité glaçante : un système d'aide conditionné à l’obéissance politique. Que dit cette loi ?
Que pour recevoir une aide vitale, un citoyen devra jurer fidélité à la Couronne, prouver sa soumission, faire allégeance et participer à des cours d’endoctrinement monarchique.
C’est indigne. C’est une insulte à l’idée même de solidarité. En démocratie, l’aide sociale n’est pas un privilège accordé à ceux qui flattent le pouvoir. C’est un droit fondamental, un acte de justice, un pilier du contrat républicain. Pire encore Cette loi prévoit une commission d'attribution composée de militaires et de religieux. Où est la représentation populaire ? Où sont les élus ? Les travailleurs sociaux ? Les syndicalistes ? Elle interdit tout usage politique de cette aide, sauf pour la propagande royale, bien sûr. Elle ose même prévoir l’exclusion des bénéficiaires si leurs opinions ne conviennent pas. C’est du chantage social. C’est une dérive autoritaire inacceptable. Les démocrates le disent haut et fort Oui, le peuple a besoin d’aide, Oui, il faut une loi ambitieuse, Mais jamais au prix de la liberté de conscience et de l'égalité entre les citoyens.

Nous déposerons un contre-projet de loi démocratique, fondé sur L’universalité de l’aide? sa gestion par des instances élues, l’abolition de toute discrimination politique dans l’accès aux droits sociaux. Finejouri ne sera jamais une monarchie caritative où l’on mendie la bonté d’un trône. Elle sera une République sociale, libre, moderne, ou elle ne sera rien.
Le peuple n’est pas un sujet. Il est souverain. Et nous ne l’oublierons pas."


Réaction du députée des Junkis:

"Nous venons d’assister à une tentative d’habillage social d’un système profondément oppressif. Ce que les royalistes appellent une “loi d’assistance”, nous l’appelons un instrument de contrôle social. Parce que faire de l’aide un privilège accordé uniquement aux sujets dociles, c’est marchander la misère contre le silence. Nous refusons que des familles affamées doivent prêter serment à une Couronne dorée pour recevoir un repas. Nous refusons que l'accès à un lit ou à un médicament dépende d’un formulaire de fidélité politique. Et qui décide ? Des “Conseils Locaux Royaux” composés de notables, de militaires, de religieux ? C’est ça, la justice sociale pour les royalistes ? Un tribunal d’honneur moyenâgeux pour juger les pauvres ? Nous sommes aussi révoltés par la logique de tri des bénéficiaires, qui exclut les opposants politiques, l’idée honteuse de cours obligatoires de civisme monarchique, comme si le peuple avait besoin d’être éduqué à genoux et le financement par des “entreprises amies de la Couronne” ? C’est de la charité féodale maquillée en politique publique. Pour les Junkis, cette loi est un affront à tout ce que signifie la justice populaire l’aide sociale doit être inconditionnelle. la dignité n’a pas de couleur politique et la misère n’est pas une opportunité de propagande.
Nous appelons à un rejet total et massif de ce texte. Nous déposerons un projet alternatif fondé sur l’urgence, l’égalité, et la gestion locale directe, sans tutelle du Roi, sans serment, sans doctrine.

Le peuple n’est pas un enfant capricieux à rééduquer. Il est adulte, il souffre, il attend. Et nous ne laisserons personne pas même Sa Majesté monnayer son secours contre sa liberté. Car au nom du peuple, nous ne plierons jamais le genou."

Proposition de loi des Démocrates (proposition projeté sur les écrans de la salle mise en page libre:

Le peuple de Finejouri, dans sa diversité et son courage, doit pouvoir compter sur une solidarité publique forte, équitable et inconditionnelle. L’aide sociale est un droit fondamental, non une faveur politique. Elle garantit la dignité humaine, la justice économique et la stabilité nationale.

Titre I – De l’universalité des aides sociales

Article 1 – Création du Revenu de Solidarité Démocratique (R.S.D.)
Un revenu mensuel de 400 Solaris est versé à tout résident de Finejouri :
• Majeur de plus de 18 ans,
• Sans emploi ou sous le seuil de 800 Solaris mensuels,
• Sans condition d’origine, de loyauté politique ou de statut militaire.

Article 2 – Droit à l’aide automatique et sans sélection
• L’accès au R.S.D. est déclaratif et non soumis à audition, sauf en cas de fraude avérée.
• L’État garantit le non-recours par simplification des démarches via un guichet unique ou une plateforme numérique.

Titre II – Des services d’accompagnement égalitaires

Article 3 – Création de Maisons Communales de Solidarité (M.C.S.)
Des structures locales seront créées dans chaque province pour :
• Accueillir les bénéficiaires,
• Fournir un accompagnement social, psychologique, professionnel,
• Gérer l’aide dans la transparence et la proximité.
Les M.C.S. sont gérées par :
• Des agents publics certifiés,
• Des représentants élus des habitants,
• Des associations indépendantes (pas de clergé, ni d’armée, ni de représentants royaux).

Titre III – Emancipation et autonomie

Article 4 – Droits à la formation et à l’emploi citoyen
• Les bénéficiaires ont droit à une formation gratuite de 6 mois renouvelable,
• Un dispositif de “mission citoyenne volontaire” est mis en place : jardinage urbain, soutien scolaire, médiation sociale – non obligatoire mais gratifié.

Article 5 – Encouragement à l’entrepreneuriat populaire
• Une enveloppe de 100 millions de Solaris est débloquée pour la création de micro-entreprises locales, gérées par des citoyens issus des classes modestes.

Titre IV – Gouvernance démocratique et indépendance sociale

Article 6 – Conseil National de Solidarité (CNS)
Création d’un Conseil indépendant composé de :
• 10 députés de toutes tendances,
• 10 représentants syndicaux et associatifs,
• 5 économistes indépendants,
• 5 citoyens tirés au sort.
Le CNS évalue annuellement les politiques sociales et propose des réformes publiques.

Article 7 – Clause de neutralité politique
Aucune allégeance, appartenance, ni serment à une autorité (royale, religieuse ou partisane) ne peut être exigé pour bénéficier du R.S.D.
Toute tentative de chantage ou de récupération politique sera passible de poursuites.

Titre V – Financement

Article 8 – Contribution nationale de solidarité
La loi est financée par :
• Une taxe de 3 % sur les profits nets des grandes entreprises (au-delà de 500 000 Solaris),
• La suppression des privilèges fiscaux pour les cercles proches de la monarchie,
• Une réduction de 10 % du budget protocolaire de la Cour.

Titre VI – Entrée en vigueur

Article 9 – Application immédiate
La présente loi entre en vigueur dans les 60 jours suivant sa promulgation.
Elle sera présentée au vote après débat public retransmis nationalement.

Réaction des royalistes
"Honorables collègues,
Ce que nous venons d’entendre n’est pas un projet de solidarité. C’est une tentative d’effacer jusqu’à l’âme même de Finejouri.
Cette proposition démocrate, derrière son apparente générosité, dissimule une attaque frontale contre notre civilisation, notre histoire et notre équilibre institutionnel. On veut retirer toute autorité à la Couronne, alors que c’est elle qui, depuis des siècles, incarne la stabilité de notre Nation. On veut supprimer les relais traditionnels que sont l’Église et l’Armée, qui pourtant ont toujours été les piliers de l’assistance aux plus fragiles. On ose même proposer une réduction du budget protocolaire royal, comme si l’honneur de la Nation pouvait être bradé pour quelques pièces redistribuées sans ordre ni mérite. Mais ce qui est le plus choquant, Mesdames et Messieurs, c’est cette idée de “revenu automatique” offert à tous sans condition, sans loyauté, sans contribution. C’est l’abolition du mérite. C’est l’encouragement à la paresse, à l’assistanat, à l’ingratitude. Finejouri ne sera pas cette société molle où l’on reçoit sans rien donner, où l’on critique la Cour en vivant de sa générosité. Nous croyons, nous, en une assistance noble, enracinée, portée par la fidélité et l’unité nationale. Nous croyons en une aide qui élève, pas qui déresponsabilise.
Et j’ose poser une question simple Dans ce projet, où est la Nation ? Où est le respect ? Où est l’esprit de grandeur ?
Car si le peuple souffre, ce n’est pas faute d’un roi généreux, c’est à cause de décennies de désordre importé par ceux qui rêvent de lui imposer une république froide et désincarnée. À ceux qui veulent faire plier la monarchie sous prétexte d’aider les faibles, nous répondons Il n’y a pas de justice sans loyauté. Pas de droits sans devoirs. Pas de peuple sans roi. Ce texte est un poison. Nous le combattrons ligne par ligne, article par article. Et s’il le faut, nous le combattrons dans la rue, auprès du peuple, auprès des anciens, et jusqu’aux marches du Palais Royal."


déclaration des Junkis:

"Enfin, un projet qui parle du peuple sans honte et sans chaînes. Mais... pas encore assez."
Le texte présenté par M. Tyn Hurio et les démocrates marque un pas dans la bonne direction l’aide universelle, la suppression des serments de loyauté, la gestion locale par des citoyens… Tout cela, nous l’applaudissons. Mais ne soyons pas naïfs. Ce projet, aussi noble soit-il dans ses intentions, reste pris dans une logique technocratique, lente, centralisée, et encore trop timide. 400 Solaris par mois ? Quand une famille survit à peine avec 300 pour la nourriture seule ? Il en faut 600 minimum pour vivre dignement, pas pour survivre. Des formations de 6 mois ? Très bien. Mais qui décide de leur contenu ? Et pourquoi ne pas les lier directement à des débouchés publics locaux ? Des Maisons Communales ? Excellente idée. Mais elles ne peuvent être neutres si elles sont pilotées depuis la capitale. Il faut un pouvoir direct aux quartiers, aux villages, aux assemblées populaires. Et surtout rien sur les logements vacants, rien sur le droit à l’alimentation, rien sur la réquisition des biens publics inutilisés.

Nous, les Junkis, voulons une solidarité radicale, directe, populaire, pas un “revenu de transition” avec trois tampons et des formulaires numériques.
Nous saluons les efforts. Mais nous disons que ce projet est un bon début, pas une révolution. Il est républicain, pas encore populaire. Il soulage, mais n’émancipe pas. Alors oui, nous le voterons… Mais à condition d’amendements clairs, concrets, puissants avec la hausse du R.S.D. à 600 Solaris, autogestion totale des Maisons Communales, réquisition légale des bâtiments vides pour les sans-abris, allocation alimentaire directe, droit de veto local sur toute réforme sociale décidée d’en haut.
Car Finejouri ne mérite pas des miettes, ni une charité républicaine. Elle mérite une justice sociale par et pour le peuple, immédiatement. Le peuple n’a plus le temps d’attendre. Et nous, nous serons sa voix, jusqu’au bout."

proposition de loi des Junkis (projeté sur les écrans de la salle donc mis en forme libre

L’État n’est légitime que lorsqu’il protège réellement son peuple.
Face à la pauvreté, la faim et l’injustice, aucune grandeur monarchique, aucun rêve républicain ne suffit : seul l’acte concret, immédiat et populaire compte.

Titre I – Garantie de survie matérielle pour tous

Article 1 – Instauration du Minimum de Vie Populaire (M.V.P.)
• Tout résident de Finejouri âgé de plus de 16 ans reçoit 600 Solaris mensuels, sans justification ni enquête préalable.
• Cette aide est automatique, inaliénable et non imposable.

Article 2 – Droit universel à l’alimentation
• Chaque citoyen a droit à une carte alimentaire donnant accès gratuitement à :
◦ 10 kg de produits de base/mois (riz, pain, farine, légumes),
◦ Eau potable gratuite à volonté dans tous les lieux publics.

Titre II – Réquisition et mise à disposition de biens pour les plus démunis

Article 3 – Réquisition des bâtiments vacants
• Tout bâtiment vide depuis plus de 6 mois appartenant à l’État ou à une fortune privée de plus de 1 million Solaris peut être réquisitionné pour :
◦ Logement d’urgence,
◦ Centres d’accueil,
◦ Cantines sociales.

Article 4 – Gel des expulsions
• Aucune famille ne peut être expulsée de son logement pour dette inférieure à 1000 Solaris.
• Les expulsions pour loyers impayés sont suspendues en période de crise nationale (épidémie, sécheresse, guerre).

Titre III – Autogestion sociale locale

Article 5 – Création des Assemblées Communes Populaires (A.C.P.)
• Dans chaque quartier ou village, une A.C.P. est constituée par les citoyens volontaires,
• Elle gère localement les aides, l’organisation des distributions, les priorités d’intervention,
• Pas de préfet, pas de représentant royal ni élu national dans l’A.C.P.
Seuls les habitants y siègent.

Article 6 – Budget participatif direct
• 10 % du budget de chaque province est alloué aux A.C.P.,
• Les habitants votent directement les projets locaux (logement, alimentation, santé, éducation de proximité).

Titre IV – Revenu d’autonomie et production collective

Article 7 – Prime d’autonomie citoyenne
• Tout bénéficiaire qui rejoint un projet collectif (ferme communautaire, atelier partagé, école populaire) reçoit une prime de 150 Solaris/mois.

Article 8 – Création des Ateliers du Peuple
• L’État finance des lieux de production gratuits (textile, mécanique, artisanat) à la disposition des collectifs populaires,
• Les biens produits peuvent être vendus ou distribués localement sous supervision des A.C.P.

Titre V – Financement populaire

Article 9 – Taxes d’urgence sur les grandes fortunes
• Instauration d’une taxe exceptionnelle de solidarité de :
◦ 5 % pour les patrimoines au-dessus de 2 millions Solaris,
◦ 10 % au-dessus de 5 millions.

Article 10 – Réaffectation des dépenses militaires et royales
• 25 % du budget du palais royal est redirigé vers les aides populaires,
• Le budget des dépenses militaires est réduit de 15 % sauf en cas de guerre active.

Titre VI – Mise en application

Article 11 – Mise en œuvre immédiate et suivie par les A.C.P.
• La loi entre en vigueur 30 jours après promulgation,
• L’État doit transférer les fonds directement aux assemblées locales pour mise en œuvre sans intermédiaire.


Réaction des royalistes

"Mes chers collègues, ce texte n’est pas une loi. C’est une déclaration de guerre à l’ordre, à la Couronne, et à la Nation elle-même."
Une attaque directe contre l’autorité du Roi Il est inacceptable qu’on ose créer des structures sociales les A.C.P. –sans aucun lien avec l’État royal ni ses représentants. La gestion d’un pays ne peut être confiée à des comités improvisés, guidés par l’enthousiasme révolutionnaire d’un instant.C’est un démantèlement pur et simple de l’unité nationale. Une logique de collectivisme hostile à l’identité finejourienne. Cette loi veut remplacer le mérite par l’égalitarisme, le respect par l’envie, et l’honneur par l’assistanat.
Nous refusons ce modèle importé d’idéologies étrangères, qui sacrifie notre tradition millénaire sur l’autel d’une utopie populiste.
Une spoliation injustifiable du patrimoine national, réquisitionner les biens privés ? Geler les expulsions sans distinction ?
Voilà comment commence la tyrannie du ressentiment. On ne construit pas une Nation en volant ceux qui ont réussi. Une atteinte grave au prestige de la Monarchie. Transférer 25 % du budget royal aux assemblées populaires ? Cela revient à humilier publiquement la Couronne, à la rabaisser au rang d’un distributeur automatique. Ce n’est pas seulement irréaliste, c’est un affront direct à notre histoire, à nos symboles, à nos institutions. De plus cette loi est une loi dangereuse pour la sécurité du pays réduire le budget militaire en ces temps troublés ? Alors que les menaces extérieures se multiplient ? C’est jouer avec le feu. Ce projet ferait de Finejouri une cible facile, un État faible, désorganisé, sans défense ni colonne vertébrale.
Le Parti Royaliste rejette en bloc cette loi anarchique. Si elle était adoptée, ce serait la fin du Royaume tel que nous le connaissons.
Nous nous y opposerons avec la plus grande fermeté, par tous les moyens parlementaires et, s’il le faut, par la voix du Peuple fidèle à la Couronne.

Réaction des démocrates:

"Cette loi est l’explosion d’un cri légitime, mais aussi la preuve de ce que produit un système étouffant Une intention noble mais un cadre chaotique. Le projet de nos collègues junki part d’un constat juste la souffrance du peuple, la précarité, l’injustice sociale.
Mais il y répond avec un cocktail de colère et d’improvisation qui compromet la stabilité même de nos institutions. Une rupture brutale avec les principes républicains Nous croyons à l’État. Nous croyons à la démocratie organisée, structurée, élective.
Les “Assemblées Communes Populaires” prévues ici court-circuitent toute légitimité démocratique. Sans contrôle, sans élection, sans cadre clair, c’est le règne de l’arbitraire, voire de la manipulation locale. Des mesures trop radicales, irréalistes et dangereuses
comme la réquisition de biens privés ? Oui, dans l’urgence, avec procédure judiciaire, pas par simple déclaration populaire. La suppression d'une partie du budget militaire ? En pleine instabilité régionale ? C’est irresponsable. Ce texte, dans son élan, ne pose pas de garde-fous, pas de contrôles, pas de vision d’ensemble. Il jette les bases d’un nouveau désordre un chaos égalitaire qui, au lieu de libérer, risque d’appauvrir tout le monde. C’est pour cela que nous maintenons notre projet de Loi pour la Solidarité Démocratique et l’Autonomie Sociale (L.S.D.A.S.),
qui garantit une aide digne et stable, une implication citoyenne encadrée et un financement équilibré et constitutionnel.

Nous saluons la révolte morale que porte cette loi junki, mais nous refusons son dogmatisme. Elle est une alerte, non une solution.
Finejouri a besoin de changement, oui. Mais elle a surtout besoin de structure, de justice, et de liberté durable.

Prise de parole du conseillé général:

Très bien après ces nombreux débat la loi passe sous mise en cloche puis elle sera voter dans les jours qui viennent.
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