Date : 1er mai 2014
Aux nations du monde,
Aux États-membres de la communauté internationale,
Aux peuples désireux de maintenir la paix,
Dans le tumulte de notre époque, où les valeurs humaines sont mises à l’épreuve par des actes d’une cruauté sans précédent, il est de notre devoir sacré de nous lever et de faire entendre notre voix contre l’injustice la plus abjecte. Nous, représentants de la solidarité internationale et défenseurs des droits humains, lançons aujourd'hui un appel unanime, pressant et impératif : un boycott généralisé de l’État du Diambée.
Cette proclamation ne se fait de bon cœur mais elle intervient en réponse aux horreurs indescriptibles perpétrées sous le règne de Moussa Diango, dont les actes de barbarie ont abouti à ce que le monde entier doit désormais reconnaître comme un génocide impitoyable contre la population musulmane du Diambée. La répression systématique, les massacres et les persécutions ethniques ne sont pas seulement des tragédies humaines, elles sont la marque d'une tyrannie qui défie les principes fondamentaux de la civilisation humaine.
Face à cette abomination, nous ne pouvons rester inactifs. Nous ne pouvons permettre que ces crimes soient ignorés ou que leurs auteurs échappent à la justice. Nous devons réagir avec la force et la conviction requises par l'urgence de la situation. Nous, signataires de cet appel, soutenons fermement un boycott complet et rigoureux du Diambée jusqu’à ce que justice soit rendue et que le régime de Moussa Diango soit confronté à la communauté internationale dans un tribunal impartial.
Soyons clairs, cet appel ne vise pas à criminaliser la population Diambéenne mais plutôt à responsabiliser son dirigeant. Le silence devant la tyrannie est complice de l’horreur. Le bruit de la justice est notre seule réponse.
L’inaction face à ce que l’on doit appeler un génocide est un affront aux valeurs universelles de dignité, de justice et d’humanité. Nous demandons que tous les États se joignent à nous dans cet engagement moral et éthique.
Voici les mesures concrètes que nous proposons ce jour :
1- Suspension totale des exportations d’armes : Aucun armement, matériel militaire ou soutien stratégique ne doit être fourni au Diambée. Toute vente d’armes, de munitions, ou d’équipements militaires contribueraient à prolonger le conflit et à intensifier les souffrances des innocents.
2- Interdiction des relations économiques : Les échanges commerciaux, les investissements et les collaborations économiques avec l’État du Diambée doivent être suspendus. Les entreprises et institutions doivent se retirer des accords économiques qui pourraient bénéficier directement au régime en place.
3- Blocage des aides financières : Les aides financières, les prêts et les subventions doivent être interrompus. Aucune assistance monétaire ne doit parvenir à un régime qui utilise ces fonds pour alimenter des opérations de répression et de génocide.
4- Soutien à l’initiative humanitaire de l’UAA : Que la manière choisie soit la bonne ou non, il faut désormais appuyer l’effort humanitaire mené par l’Union des Alliances Africaines (UAA), qui s’efforce d’accueillir les réfugiés musulmans persécutés. L’objectif des nations du monde doit être celui de protéger ceux qui sont en danger de mort pour la seule raison de leur culte.
5- Exiger un tribunal international : La communauté internationale doit œuvrer pour la mise en place d’un tribunal international impartial afin que Moussa Diango et ses complices soient jugés pour leurs crimes contre l’humanité. La justice doit être rendue pour que ce génocide ne demeure pas impuni.
Ensemble, nous pouvons briser les chaînes de l’oppression et ériger des ponts de solidarité au-dessus des ravages de la haine.
Le Diambée, sous la tyrannie de Moussa Diango, est devenu un exemple flagrant de la déshumanisation organisée. En imposant ce boycott, nous affirmons notre volonté collective de défendre les droits fondamentaux de chaque être humain, de préserver la dignité et de promouvoir la justice. Ce geste de solidarité ne doit pas être vu comme une simple mesure économique, mais comme une déclaration ferme contre l’impunité et la barbarie.
Nous appelons toutes les nations, tous les gouvernements, toutes les organisations internationales à se joindre à cette initiative cruciale. En unissant nos forces et en adoptant ces mesures, nous envoyons un message clair : les crimes contre l’humanité ne resteront pas impunis, et la communauté internationale ne fermera pas les yeux sur les atrocités perpétrées.
Nous n’arriverons à rien seuls mais ensemble, tout est possible. Que notre action commune soit le phare dans la nuit noire, la lueur d’espoir pour les victimes, et le prélude à une justice inéluctable.
Que ce boycott généralisé soit un acte de résistance contre l'oppression, un signe de notre solidarité avec les opprimés et un impératif moral pour tous les peuples du monde.
Unissons nous pour faire respecter les valeurs d'humanité et de justice, et pour bâtir un avenir où de telles atrocités ne trouveront plus jamais place.
Pour la justice, pour les droits humains, pour un avenir où l’innocence sera protégée et les tyrans jugés.
Pays signataires à ce jour :
- République d'Eldoria
- Empire de Karty
- République de Finejouri
- Empire pharaonique de Khjemet
- Empire colonial Antérinien
- Méritocratie Impériale Constitutionnelle élective de Valinor
- République Démocratique Fédérative Décaparlementaire Rus've
- Union Confédérale des Peuples de Tcharnovie
- République Démocratique Travienne
- Saint Empire Ambarois
- Royaume constitutionnel du Valkoïnenland
- République Démocratique Parlementaire du Belezov-Kolčovo
- Empire Raskenois
- Confédération royale et septentrionale de Kölisburg
- Territoire externe de Saint Florent d'Antérinie
- République de Kartvélié
- Administration militaire de Gradenburg
Naturellement, nous appelons à l'adhésion de toutes les nations de bonne volonté.