19/12/2014
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C'est mal barré… | Confédération Transnazumie

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Création de pays : Confédération Transnazumie


Généralités :



Nom officiel : Confédération transnazumie
Nom courant : Transnazum
Gentilé : transnazumi(e)s, kazumien(ne)s, chandekolzan(ne)s, tianwangais, mǎn(e)s, myaikhosien(ne)s

Vue d'ensemble de la confédération.
La carte n'est plus à jour depuis un moment...

États confédéraux :
Chandekolza
Kazazestan - annulé
Khon-Lât - annulé
Empire mǎn
Myaikho
Sud-Kazum
Tianwang

Inspirations culturelles : Corées, Asie du Sud-Est (Laos, Vietnam, Cambodge), Hong-Kong, Singapour...
Situation géographique (à titre indicatif) :

Langue(s) officielle(s) : kazumien, vietnamien, chinois mandarin, kazumien traditionnel, nohord (français), hisiu
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : kaulthe, letton, hongrois, turc, portugais, gallois, jashurien, laï (laotien)

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : "L'union pour la prospérité et la paix !" [si quelqu'un a mieux on est preneurs]
Hymne officiel :

Monnaies nationales : Yeon (¥) (Chandekolza, Taiyong, Empire Mǎn), Yuan sud-kazumien (¥) (Sud-Kazum et enclaves sud-kazumiennes du Tianwang), Jangkaremas (JK) (Myaikho)

Capitales : Liên-Minh (législative), Myaikho (judiciaire), Mo Kun (exécutive)

Population totale : environ 271.000.000 habitants

Aperçu du pays :



Présentation du pays :
La Confédération Transnazumie est un État de très grande taille situé en grande partie sur la péninsule sud-nazumie. Peuplé de plusieurs ethnies différentes et ne s'entendant pas toujours, le pays ne paraît pas des plus stables, bien qu'ayant réussi à se maintenir en place depuis un certain temps et même à gagner de nouveaux États.

Place de la religion dans l'État et la société :
La religion officielle de la confédération est celle du Tianwang, le Drahma, et est pratiquée par la majorité des populations du Sud-Kazum et du Chandekolza. Elle ne joue cependant pas de rôle majeur à l'échelle confédérale, les élus l'étant par un système complètement détaché de ses pratiques.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le Président de la confédération siège à Mo Kun (Mǎn) tandis que le Parlement confédéral se trouve à Liên-Minh, au Chandekolza. La Cour suprême confédérale est pour sa part située dans la cité-état de Myaikho.
La constitution étant pratiquement le seul texte commun à la confédération, le Parlement n'a que peu d'utilité. Il a plutôt un rôle consultatif auprès du président, bien qu'il vote également les budgets et valide les alliances et déclarations de guerre.
Le pouvoir central de la confédération ne possède que peu d'attributions, qui sont listées ci-dessous :
  • Défense : la moitié de l'armée de chaque État (ou une compensation financière) est mise à disposition du commandement central, qui est chargé d'assurer la défense du pays. Il peut néanmoins en cas de besoin demander un soutient de la part des armées laissées sous le contrôle de leurs États.
  • Finances : les impôts et le budget des États sont gérés par le trésor central. Seuls le Sud-Kazum et le Tianwang, après refus à leur entrée dans la confédération, disposent chacun de leur propre système autonome.
  • Diplomatie : bien que les États soient laissés relativement libres de leurs relations avec l'étranger, ils doivent en premier lieu consulter le pouvoir central pour conclure un traité d'alliance ou déclarer une guerre, le but étant de faire profiter toute la confédération d'une alliance dans le premier cas, ou de protéger du mieux possible un de ses États dans le cas contraire.
  • Douanes : les frontières extérieures de la confédération sont gérées et protégées par le pouvoir central, tandis que chaque État s'occupe de ses frontières avec les autres territoires de la confédération.
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Nouvelle version de la NJ par ici


Création de NJ2 : État confédéral de Chandekolza


Généralités :



Nom officiel : État confédéral royaliste-démocratique de Chandekolza
Nom courant : Chandekolza
Gentilé : chandekolzan(ne)s

Emplacement du Chandekolza dans la confédération.
La carte n'est pas à jour, merci de tenir compte de la sélection de provinces ci-dessous.

Inspirations culturelles : Asie du Sud-Est, Chine, Hong-Kong, Corées
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : chinois mandarin, vietnamien
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : kazumien, kaulthe, letton, hongrois, turc, [à changer], gallois

Drapeau :
Drapeau chandekolzan

Devise officielle : Công, Travail, Unité (le Công est l'équivalent d'un roi)
Hymne officiel :

Monnaie nationale : Yeon (¥)

Capitale : Shaudou

Population : environ 200.000.000 habitants (les comptages ne sont pas toujours précis, du fait de la ruralité du pays)


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
Le Chandekolza est un État de taille modeste du Sud du Nazum, mais ayant à lui seul la plus grande population du monde (sans compter la confédération dont il fait partie, qui est mathématiquement plus peuplée). Extrêmement pauvre, la grande majorité de sa production de richesse est concentrée dans les régions sinophones des côtes, tandis que les régions de culture vietnamienne sont plutôt peuplées de fermiers pratiquant l'agriculture vivrière.

Histoire

Temps anciens (?-1949)

A l'origine, à l'emplacement de l'actuel Chandekolza se trouvait un royaume dont les habitants vivaient pratiquement coupés du reste du monde. Son nom est malheureusement aujourd'hui inconnu des historiens, qui font pourtant tout leur possible pour recouper un maximum d'informations à son sujet. Ce royaume est malheureusement peu connu des suites de la très longue occupation par l'Empire Xin, qui dura sans doute un millénaire si ce n'est plus.

Révolte (1949-1954)

Avec les évènements qui venaient perturber l'intégrité de l'Empire Xin, le peuple très pauvre du territoire chandekolzan se souleva contre le gouvernement central, qui lui prenait une partie de sa récolte comme impôts alors que la plupart des habitants peinaient déjà à produire assez pour leur famille. Les régions plus riches des côtes, bien que n'ayant pas d'aussi gros problèmes d'apport en nourriture et étant de culture xin, ne stoppèrent pas ce soulèvement. Elles l'approuvèrent même, voyant que le pouvoir central faisait face à des débordements intérieurs, et participèrent à la révolte dans le but de prendre par la suite le contrôle du pays. Le gouvernement xin ne pouvant pas grand chose face à la gigantesque population révoltée s'ajoutant à d'autres problèmes intérieurs, il accepta de donner son indépendance au Chandekolza.

Période récente (1954-aujourd'hui)

Dès son indépendance, le Chandekolza, restant tout de même un État extrêmement pauvre, chercha des partenaires économiques et commerciaux. C'est tout naturellement que ses diplomates se tournèrent rapidement vers l'Empire Mǎn, pays géographiquement très proches. Chaque État trouvait son intérêt : le Chandekolza, en grand manque de nourriture pour sa population, gagnait un grand partenaire commercial. L'Empire Mǎn, qui venait quelques années plus tôt d'envahir l'île d'Ouranos, était affaiblit militairement par sa trop grande extension vis-à-vis de son armée et avait grand besoin de soutiens dans sa région.
La collaboration entre les deux États devint de plus en plus poussée, jusqu'à envisager un aboutissement satisfaisant chacun : une fusion en une seule entité (néanmoins confédérale, afin de conserver une bonne autonomie), qui se fît en 1960. La cité-État de Myaikho, après quelques décennies d'indépendance, y prit également part, étant proche de certaines régions chandekolzannes.

Régions :

Carte des divisions administratives de premier niveau au Chandekolza
Le Chandekolza compte neuf régions, dont six possèdent un statut spécial : le Kazum du Nord, le Taiyong, la ville de Zwölftausendvierundfünfzig-Kong, Azija, le Güney, le Terület, Newydd-Clwt-y-bont et [à changer].

Comptoir Chandekolzan d'Azija
Capitale : Ostas-Seklas | Population : 800 000 hab. | PIB : 2,4 milliards de $

Ostas-Seklas était au départ un comptoir acquis par un pays lettophone d'Eurysie du Nord. Étant donné sa proximité avec le Chandekolza, un grand nombre de travailleurs ont choisit d'y émigrer, poussés par l'extrême pauvreté de leur terre d'origine. Avec la disparition de l'État eurysien et la prise d'indépendance du pays de leurs ancêtres, la majorité de la population demanda un rattachement à ce qui était à cette époque nommé "Royaume Démocratique Chandekolzan".

Chandekolza Central
Capitale : Cachxakethu | Population : 120 millions d'hab. | PIB : 2,1 milliards de $

La région la plus peuplée, mais de loin la plus pauvre de toutes : le PIB/habitant moyen n'y excède pas les 18 $ par an. Avec cette extrême pauvreté, seuls quelques rares habitants peuvent se permettre de voter. La représentation de la région est donc loin d'être proportionnelle à sa démographie.

Région Extérieure de Güney
Capitale : Ölgesi | Population : 10 millions d'hab. | PIB : 1,83 milliards de $

Le territoire de Güney, anciennement possédé par un État turcophone du Nord du Nazum, connu une histoire très semblable à celle du Terület.

République Autonome de Kazum du Nord
Capitale : Hang-Xom | Population : 2,1 millions d'hab. | PIB : 2,1 milliards de $

Le Kazum du Nord, de culture assez semblable par certains aspects à celle des sud-kazumiens, faisait à l'origine partie d'un Royaume du Kazum unifié. Séparé du reste de sa nation par l'invasion xin, il a choisit par la suite de rester chandekolzan, État qui respecte plus ses revendications autonomistes que le Sud-Kazum et ses projets d'annexion totale. La région est à l'origine de nombreuses tensions entre Chandekolza et Sud-Kazum, et est l'une des raisons qui ont poussé ce dernier à rejoindre la confédération.

Leigu
Capitale : Liên-Minh | Population : 38 millions d'hab. | PIB : 6,9 milliards de $

Le Leigu est l'une des régions les plus urbanisées du pays, et possède même la plus grande ville du monde : Liên-Minh. Elle est également la capitale législative de la confédération.

Comptoir Chandekolzan de Newydd-Clwt-y-bont
Capitale : Newydd-Clwt-y-bont | Population : 400 000 hab. | PIB : 2,04 milliards de $

Au départ colonisé par des dyffryniens du Caratrad, la petite cité de Newydd-Clwt-y-bont fut abandonnée par les eurysiens à la suite d'un typhon particulièrement dévastateur. Les travailleurs chandekolzans, pratiquement les seuls restés sur place, durent bien reconstruire leur ville. Ils se soumirent par la suite au Chandekolza, et les galloisants revenus sur place durent s'y faire.

Comptoir Chandekolzan de [à changer]
Capitale : [à changer]| Population : 1,6 millions d'hab. | PIB : 900 millions de $

A l'image des autres comptoirs chandekolzans, [à changer] a été arraché à son pays d'origine ([à changer]) par les travailleurs locaux, bien plus nombreux que les colons.

Territoire Tianwangais du Taiyong
Capitale : | Population : 7,9 millions d'hab. | PIB : 810 millions de $

Le Taiyong était une vallée montagneuse complètement inhabitée jusqu'à récemment du fait de son isolement et de la méconnaissance de la région par les États voisins. Particulièrement fertile du fait de ses nombreux cours d'eau, elle fut immédiatement revendiquée par le Chandekolza pour y produire de la nourriture en masse. Lorsque les religieux tianwangais durent fuir le Sud-Kazum, ils s'y installèrent et le gouvernement leur laissa gérer la province, à condition d'exporter un maximum de denrées alimentaires vers le pays d'origine.

Région Extérieure de Terület
Capitale : Délivaros | Population : 4 millions d'hab. | PIB : 750 millions de $

La région de Terület était sous le contrôle d'un empire magyarophone (hongrois) eurysien, jusqu'à ce qu'une révolte des chandekolzans locaux (vivant là depuis quelques générations, leurs ancêtres étant venus pour y travailler) force le colonisateur à céder la région à leur nation d'origine, des suites d'une crise économique qui avait touché tout l'empire.

Yuande
Capitale : Shaudou | Population : 5,8 millions d'hab. | PIB : 870 millions de $

La province de Yuande, pourtant séparée de la majorité du pays par le golfe, abrite sa capitale. Les raisons sont principalement politiques, puisque le pouvoir est généralement occupé par des sinophones qui ne constituent pas la majorité de la population du territoire principal.

Ville-Libre de Zwölftausendvierundfünfzig-Kong
Capitale : Zwölftausendvierundfünfzig-Kong | Population : 6 millions d'hab. | PIB : 9,3 milliards de $

Zwölftausendvierundfünfzig-Kong, souvent raccourci en Ztvf-Kong ou Fünfzig-Kong, est un ancien comptoir commercial kaulthe laissé par l'Empire Xin dans les années 1600, puis progressivement abandonné par la Kautlhie au début du XIXème siècle. Les institutions politiques locales fonctionnant bien, la ville n'a pas connu de grands changements depuis et se considérait même comme partie de son pays d'origine. Sur demande du Chandekolza, le comptoir est finalement cédé à l'État local, sa nation eurysienne ne pouvant refuser.
Bien que sa population soit extrêmement réduite vis-à-vis du reste du pays, plus de 30 % du PIB total provient de la ville. Une forte autonomie lui a été laissée, pour ne pas entraver à son économie, essentielle au pays.

Mentalité de la population :
La majorité de la population chandekolzanne, très rurale et paysanne, est attachée à la religion et à ses principes fondamentaux. La population des côtes, plus riche, est plus ouverte au reste du monde, peu connu des villages de l'intérieur des terres.

Place de la religion dans l'État et la société :
La religion tianwangaise, le Drahma, bien qu'étant encore peu pratiquée dans le pays au début du vingtième siècle, est rapidement montée en popularité jusqu'à devenir la religion officielle chandekolzanne. Deux écoles des douze de la religion se trouvent encore au Chandekolza, ainsi qu'une au Taiyong.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le Công (duc) est chef de l'État, et peut dissoudre le gouvernement et le parlement, mais une fois l'une de ces actions faites, il ne peut faire l'une ou l'autre avant un an.
Le pouvoir législatif est détenu par le Parlement du Royaume, élu au suffrage censitaire : seuls les citoyens payant un impôt supplémentaire peuvent voter (la grande majorité de la population ne peut donc pas se le permettre). Le Premier conseiller, chef du gouvernement, est quant à lui élu par le Parlement.

Principaux personnages :
Vuu Vietchinh, Công du Chandekolza
Xia Lim, Premier conseiller
Wan Yong, Conseiller en diplomatie

Politique internationale :
Le Chandekolza est en permanence à la recherche de nouveaux partenaires commerciaux, qui lui permettront peut-être un jour d'atteindre un nombre correct de calories consommées par habitant. La population étant extrêmement pauvre, le pays joue notamment sur son salaire moyen dérisoire pour attirer des industriels peu éthiques et ainsi développer son économie. Lorsque cela ne suffit pas, le gouvernement est prêt à des concessions bien plus importantes, comme accorder des bases militaires sur son sol.
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Rien du tout

Création de pays : Empire mǎn


Généralités :



Nom officiel : Empire mǎn
Nom courant : mǎn
Gentilé : mǎn (e)

Carte de la Confédération Transnazumie

Schéma


Inspirations culturelles : Asie du sud est, Chine, Hong kong

Situation géographique :


Langue(s) officielle(s) : Chinois mandarin
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Toute les langues existante sont reconnue

Drapeau :
Drapeau


Devise officielle : Travail - Loyauté - Entraide

Hymne officiel :


Monnaie nationale : Yeon (¥)

Capitale : Mo kun (6millions d'habitant)

Population : 32 millions habitants


Aperçu du pays :




Présentation du pays :

L'histoire du pays commence, il y a fort longtemps sur ce continent, alors que le pays n'existait pas encore. Le territoire était peuplé de tributs qui se comptaient au nombre de 7, chacune possédait ses territoires et vivait en paix. Il existait peu de contact entre les tributs, elle vivait chacune de leur côté et tout le monde était heureux.

Un jour, en l'an 1798 le chef de la tribu Shēngxù décida de créer une armée, elle comptait que quelques centaines d'hommes, mais celle-ci fut mal vu par les autres tributs qui décidèrent à leur tour de créer leurs propres armées. À partir de ce moment et jusqu'en 1850, des guerres sanglantes eurent lieu entre les différentes tribus, des milliers de victimes ont été à déplorer lors de ces guerres, mais en l'an 1851 un chef prix une grande décision.

Ce chef, c'était celui de la tribu Yǒnghéng, il s'appelait Young il venait d'être nommé chef de sa tribu à la suite de la mort de son père lors d'une bataille.
Ce jeune homme de 19 ans voulait cesser ces guerres entre les tributs et instaurer une paix durable entre elles. Il commença par réunir tous les chefs de tribu non sans mal, car tous étaient en guerre et tout le monde croyait que des assassinats allaient avoir lieu pendant la réunion pour désorienter les pays adverses. Cette réunion eut enfin lieu à partir du 7 septembre 1851 et dura une semaine entière ou les différents chefs s'accordèrent sur un accord de paix et la création d'un nouveau pays le « mǎn»

Les différents chefs s'étaient mis d'accord pour créer un conseil qui dirigerait le pays avec un représentant de chaque tribut au sein de ce conseil. Lors de ces longues années de paix le pays ces développés énormément dans le domaine de l'agriculture et l'industrie minière (fer, argent, cuivre et surtout charbon) mais le niveau de pauvreté augmentait au sein de la population, beaucoup ne mangeais pas à leur fin et ne pouvait payer les taxes et loyers dus.

Lors de l'année 1923, le pays fut touché par de grandes manifestations, des milliers de morts dans les deux camps (manifestants et militaires), des tueries de masses organisées par le conseil. Le niveau de pauvreté avait atteint des niveaux record. Le nombre de sans-abris augmentaient a vu d'œil. Le peuple criait au changement et le grand conseil mis en place lors de la création du pays ne faisait rien pour que ça change.
Voyant que rien ne change des milliers de personnes commencèrent à envahir le palais officiel ou vivait les membres du conseil et demandèrent l'écriture d'une nouvelle constitution.
Une nouvelle constitution fut écrite et le pays passa de « mǎn » à « empire mǎn » avec à sa tête l'empereur "ming" qui fut élu à la majorité par les révolutionnaires avec 95 % des voies. Il régna sur l'empire près de 50 ans et remit le pays sur pied avec des investissements importants dans l'agriculture et l'industrie minière.

Année 2000 :
Depuis la nouvelle constitution le pays se porte bien, il se développe surtout dans le domaine de l'agriculture et de l'industrie minière.
Au début des années 2000, l'empereur demande l'adhésion de son pays à la confédération de Transnazumie qui va très rapidement être accepté.
L'adhésion à la confédération va permettre à l'empire de nouer des relations fortes avec ses voisins et d'augmenter son influence dans le monde, la confédération va aussi permettre de sécuriser et défendre plus facilement et avec plus de moyens les intérêts du pays.


Économie du pays:

Le pays possède un PIB d'environ 48 milliards de Yeon, ce qui représente un PIB moyen par habitant de 1500 Yeon.

Depuis sa création les principaux secteurs d'activité sont l'agriculture et l'industrie minière qui a elle deux représentes 75 % du PIB du pays. Ce qui représente 36 milliards de Yeon.
Depuis quelques années, le pays se développe aussi dans le secteur de la finance en proposant des assurances et des prêts bancaires que ça soit aux particuliers, aux entreprises et aux autres nations. Grâce aux contrats et aux revenus générer par les crédits le pays gagne aux alentours de 7,2 milliards de Yeon (15 % du PIB)
Le reste du PIB provient de la vente d'armement militaire et des autres industries du pays.

Schéma

Géographie du pays:

Relief:
Le pays est recouvert en grande majorité par de grandes plaines qui servent à l'agriculture.

Au nord, on retrouve le mont Kazaman qui se situe pile sur la frontière avec le Kazakhstan, il le point culminant du territoire principale. Il existe une zone vallonnée moins importante au sud à la frontière avec le chandekolza.

Climat:

Le territoire principal est dominé par un climat tropical, à part la zone montagneuse au nord où l'on retrouve un climat continental et montagnard.

Mentalité de la population :
La population de l'empire possède un grand nombre de liberté, ce qui leur permet de vivre et de s'exprimer comme ils veulent en aucun cas le peuple ce plein des décisions de l'empereur et une grande majorité (90 %) est même favorable au maintien du régime.

Même s'il existe énormément de religion pratiquée dans le pays, elles ne se rejettent pas entre elles et n'incite personne à changer de religion ou de boudé les personnes qui ne pratiquent pas la même religion.

La population est très investie dans la vie associative qu'elle soit sportive ou humanitaire. Le sport est une part importante du quotidien de la population avec plus de 95 % de la population inscrits dans les clubs sportifs du pays.
Les sports les plus pratiqués dans le pays sont le foot, le basket et les sports de combat.

Place de la religion dans l'État et la société :
La population de l'empire est très croyante, il existe énormément de religions pratiquées. La plus pratiquée avec 35 % de la population qui le pratique est le Drahma (plus d'informations sur le Drahma, voir "Tianwang"). En aucun cas, l'empereur force la pratique de telle ou telle religion, mais il est lui-même croyant et pratique le Drahma.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Schéma
Dans l'empire, l'empereur est le seul à prendre les décisions, il commande tout.
Lorsque l'empereur meurt ou décide de partir de son plein gréer, il nomme ou à nommer par avance sont succédant qu'il aura choisi, lui seul peut nommer un nouvel empereur.

Il est aidé et conseillé par les différents ministres et généraux de l'armée qui peut seulement proposer, mais en aucun cas prendre la décision finale.

Les députés et les sénateurs peuvent faire monter les idées du peuple jusqu'à l'empereur.

Principaux personnages :
Han Zemin: Empereur
Tan Tao: Premier ministre
Tang Qigang: Président de la chambre des représentants
Wu An: Général en chef des armées sous le commandement du roi

Politique internationale :
L'empire Mǎn cherche à négocier des accords commerciaux sur le long terme pour sécuriser ses exportations et ses importations, mais aussi pour permettre des échanges autres : sportif, culturel, etc. L'empire ne cherche pas la guerre, mais défendra, ces intérêts stratégiques si nécessaires et engagera des guerres si nécessaires.

Création de pays : NOM DU PAYS


Généralités :



Nom officiel : Province Autonome de Myaikho
Nom courant : Myaikho
Gentilé : Myaikhosien(ne) / Myaikhos (peuple)

Inspirations culturelles : Hong-Kong / Singapour / Comptoirs européens en Chine / Ville autonome chinoise / Wanmirienne / Indonésie
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Nohord (français) et Hisiu
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Jashuria, Chinois

Drapeau :
https://i.postimg.cc/sXg3T0Cz/drapeau-cite-tat.webp

Devise officielle : Sagesse, Résilience, Prospérité
Hymne officiel :
Monnaie nationale : jangkaremas (JK)

Capitale : Myaikho

Population : 4 millions


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Myaikho est une cité-état ayant fait partie de l'Empire Yahudharma et ayant été vassal de la ville wanmirienne de Talo avant d'être colonisée par l'Empire du Nord.

La fondation de la ville remonte à plusieurs sciècles. Des traces de campements préhistoriques indiquent une présence humaine dans la zone vers 18000 avant JC. Des peuplades se serraient sédentarisées vers 6000 avant JC, mais la date reconnue de la fondation de la ville en tant que comptoir par le peuple Heam est autour de 100 après JC. La ville passa sous le contrôle de l'Empire Yahudharma qui avait conquis Talo et donc Myaikho quelques sciècles plus tard. Durant cette période, de nombreux linglois s'instalèrent pour profiter du commerce florissant et leurs familles vinrent avec eux. La culture myaikhosienne résulte d'un mélange entre la culture Talote et les influences lingloises et plus généralement cathayenne ainsi que de l'occidentalisation de la parenthèse nordiste, créant une culture singulière mais soeur de ces deux sphères culturelles importantes, ce qui explique en partie le sentiment d'amitié des habitants envers le Wanmiri mais surtout Talo, et la sphère cathayenne, des cultures moins méprisées qui les autres et même appréciées. Cependant, alors qu'en 1910 l'Empire Viswani (version étendue de l'actuel Wanmiri) se ferme au monde et expulse les étrangers, des tensions apparaissent avec l'Empire du Nord qui voit plusieurs incidents se produire à l'encontre de ses citoyens. Il soutient donc la ville de Talo dans ses manœuvres pour devenir indépendante. Il prend possession militairement de Myaikho en 1915 alors que Talo - ayant le contrôle sur celle-ci - se soulève pour l'aider et sécuriser cette zone. Cependant, la tentative d'indépendance échoue et seules quelques cités sous contrôle de Talo prennent leur indépendance. Ne perdant pas ses objectifs de vu, à savoir disposer d'un port commercial et militaire important pour accéder au marché du sud-nazum et rivaliser avec ses rivaux et alliés colonisateurs, celui-ci négocie avec les autorités locales pour prendre le contrôle de la petite péninsule pour un mandat de 50 ans. Ceux-ci acceptent, ne voulant pas laisser sans protection et voir la gestion du territoire vacant. En 1955, les autorités impériales entament, comme convenu tacitement en 1915 et officiellement en 1948, le processus décolonial pour préparer la cité-état à l'indépendance. Ce processus se déroule bien, de manière pacifiste et organisée. En 1965, le territoire accède à l'indépendance et conserve de très bons rapports avec l'Empire, celui-ci ayant eu une gestion paisible et ayant été très conciliant avec les locaux, cas assez rare dans son histoire coloniale.

Cependant, par peur de se voir conquise et pour plus s'intégrer au continent, donc ne pas rester cantonnée au rôle de port majeur, plaque commerciale privilégiée entre l'occident et le sud-nazum et une place forte militaire, Myaikho intègre la Confédération Transnazumie en 1995. Ces 30 années d'indépendance lui ont laissé une identité marquée qui marque sa grande spécificité dans la Confédération. Son développement s'est essentiellement axé sur son activité navale et halieutique. Elle a conservé d'étroits liens avec l'Empire et la ville la plus moderne de la confédération. L'entrée dans la confédération marque aussi un afflux de populations cathayennes dans la province, les populations pauvres du reste de celle-ci cherchant à trouver de nouvelles opportunités à Myaikho. Cela renforça la présence cathayenne mais créa une différenciation entre les historiques et les nouveaux, considérés avec plus de mépris.

Mentalité de la population :

Bien que la ville soit très développée technologiquement, la pensée traditionaliste redevient assez prédominante. La cité-état cherche un équilibre entre progrès technologique et tradition. La société reste, malgré des années de progressismes ayant fait de Myaikho une place majeure du progrès sociétal dans les années 80-90-2000, depuis une quinzaine d'année, un sentiment de déclassement fait revenir les conservateurs petit à petit au pouvoir. Influencé par le nationalisme fujiwan et les groupes d'extrême droite wanmiriens, le néo-traditionnalisme myaikhosien rejette les vestiges de l'Empire Viswani et Yahudharma et cherche sa voie dans les changements politiques actuels de la province.

La population, sans dire qu'elle est majoritairement xénophobe, s'estime supérieure socialement et intellectuellement au reste de la confédération. Un certain mépris envers les paysans et les provinciaux des régions plus pauvres de celle-ci rend la population myaikhosienne assez "à part". Les élites de la ville s'estiment plus compétente pour gérer les hautes fonctions du système confédéral et tentent de déplacer le centre de gravité politique ici. La ville est la capitale [à définir] de la confédération, mais cela ne semble pas contenter les habitants.

https://i.postimg.cc/mrkzsnXS/carte-cit-e-tat-d-coupage-secteur.png
Carte du découpage administratif des municipalités

https://i.postimg.cc/y859WvCy/carte-cit-e-tat-zones.png
Carte des zones d'activités
Légende :
Maron foncé = zone portuaire
Maron clair = quartier pauvre
Bleu clair = lac/mer
Bleu = zone commerciale
Bleu foncé = zone résidentielle/zone d'habitation (classe moyenne)
Violet = zone résidentielle/zone d'habitation (classe aisée)
Bordeaux = zone industrielle
Vert clair = espaces agricoles/ruraux
Vert foncé = espaces naturels
Gris = espace administratif/de bureaux
Jaune = quartier d'affaire
Beige = centre histoire/politique
Noir = zone militaire

Place de la religion dans l'État et la société :

Ayant beaucoup perdu en influence durant les années où la ville était une capitale du progrès des mœurs au Nazum (1980-2000), la religion, notamment le taoïsme redevient une force puissante dans la société myaikhosienne qui se restructure autour des piliers traditionnels de la religion, la famille et le travail.



Politique et institutions :



Institutions politiques :

Diète Communale : La Diète Communale est le Parlement de la cité-état. Son rôle est central, car la province est une république parlementaire. Elle élit le Premier Magistrat (Premier Ministre) qui est le chef du gouvernement, responsable devant ce même Parlement. Composé de 120 députés repartis entre les municipalités, il est l'organe législatif des institutions. Le Parlement peut être dissout par le Président une fois par mandat.

Gouvernement : Le gouvernement est chargé de gérer les affaires courantes et de mettre en place les lois. Il peut proposer des lois au Parlement et il est responsable devant lui. Les ministres sont nommés par le Président sur proposition du Premier Magistrat qui lui est élu par le Parlement.

Présidence : Le Président a le rôle de représentant international et confédéral, garant des institutions et de la souveraineté. Il est élu au suffrage indirect à deux tours et peut être destitué par le Parlement avec un vote à la majorit au deux tiers.

Principaux personnages :

Wahyu Deddy Sudjarwadi, Président de la Province Autonome de Myaikho (58 ans) Parti du Progrès Myaikhosien

Wiryo Yongzheng, Premier Magistrat (55 ans), Alternative Démocratique

Alim Tsun-chùng, Chef de l'opposition officielle, Panggilan Pertahanan Tradisionalis

Politique internationale :

Myaikho cherche à augmenter son influence au sein de la Confédération et sur le sud-nazum en conservant son statut de port majeur et en redevenant un centre financier et commercial important. Les conservateurs cherchent à se rapprocher du Cercle Cathayen et globalement les forces politiques sont favorables aux accords de Sokcho. Le pays a de très bonnes relations avec l'Empire du Nord et cherche à approfondir ses relations avec ses voisins fujiwans, jashuriens et wanmiriens. Il est hostile aux Listioniens proches et est un soutien de la reconstruction du Mokhaï.

Création de pays : NOM DU PAYS


Généralités :



Nom officiel : État du Kazazestan
Nom courant : Kazazestan
Gentilé : Kazazestanais(e)

Inspirations culturelles : Asie centrale, Kazakstan, Ouzbékistan, Turkmenistan, Tadjikistan, Loduarie...
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) :Chinois mandarins
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :Aucune

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle : Grande nation, grand leadeur, grand progrès.
Hymne officiel :

Monnaie nationale : Yeon (¥)

Capitale : Taskeni

Population : 24 567 890 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :
L'État du Kazazestan est une nation fondée par le peuple des Kazazes, qui a migré vers le sud du continent il y a quelques années avant de s'installer sur le territoire actuel de la nation. Le pays fait partie de la Confédération Transnazumie depuis 1997, mais reste tout de même assez fermé par rapport à ses voisins. L'économie du pays repose sur l'agriculture ainsi que sur l'extraction de lithium et de platine. Le Kazazestan est victime de corruption, mais toute personne qui en parle ou dénonce cette corruption est arrêtée grâce à un large réseau de surveillance.

Histoire :
Vers 1767, les Kazazes, une ethnie vivant en communauté, décident de migrer vers le sud du continent. En 1868, les Kazazes fondent leur État, le Kazazie, et basent l'économie sur l'agriculture. Au début, le pays parvient à survivre grâce à l'exportation de récoltes de riz et de canne à sucre. Cependant, le pays nouvellement fondé reste très pauvre et est touché par plusieurs famines dues à de mauvaises récoltes causées par des sécheresses qui empêchent la production de riz. Chaque printemps, le riz commence à pousser normalement, mais avec l'arrivée de l'été, la chaleur provoque des sécheresses qui détruisent les récoltes. Cette famine perdure entre 1891 et 1924, et les historiens estiment le nombre de victimes à 1 260 000 personnes, soit 10 % de la population de l'époque. En 1932, une révolution menée par des communistes et des socialistes a lieu, visant à mieux répartir les richesses. Ils obtiennent le soutien de la population, et le chef d'État se suicide avant la prise de son palais. Les révolutionnaires prennent le pouvoir et fondent l'État du Kazazestan. Ils réforment entièrement la société et diversifient les sources de revenus du pays. En 1990, l'État profite du déclin de l'Empire Xin pour s'étendre sur son territoire sans grande résistance de sa part, et le gouvernement envoie secrètement des armes aux révolutionnaires. En 1997, le pays rejoint la Confédération Transnazumie en raison du déclin économique de la nation, afin de trouver de bons alliés économiques dans la région et de relancer l'économie.

Région :
image

Mentalité de la population :
La population est assez pauvre et ne profite que peu des ressources du pays à cause de la corruption. Les habitants font une confiance aveugle au gouvernement, car celui-ci leur fournit un logement et de la nourriture gratuitement (même si la qualité de cette nourriture est médiocre et reflète son prix). Ils subissent un endoctrinement par la télévision, la radio et les journaux, ce qui empêche toute pensée critique envers le gouvernement.

Place de la religion dans l'État et la société :
La nation ne possède pas de religion officielle, et la population est peu pratiquante, avec moins de 12 % de croyants.


Politique et institutions :



Institutions politiques :
Le pays est actuellement dirigé par Joan Myng. Il possède un parti unique nommé le PSE (Parti Socialiste d'État). Le pays dispose d'une assemblée de 300 personnes représentant différentes idées et partis, tous affiliés au PSE. Tous les deux ans, les membres de l'assemblée sont renouvelés et votent pour 20 grands représentants. Le chef de l'État détient tous les pouvoirs et reste en poste pendant 20 ans.

Principaux personnages :
Joan Myng, chef d'état qui possède les pleins pouvoir
Idaho Naù, premier ministre et homme le plus proche du chef d'état
Mio Rongue, ministre des affaires étrangères

Politique internationale :
L'État du Kazazestan cherche à amélioré ses relation avec les autres membres de la confédérations et cherche surtout à trouvé de nouveau partenaire commerciaux. La nation cherche aussi à se rapproché de la Loduarie sur plusieurs domaine.


ADMIN : Fiche à ne pas accepter. Le joueur à créer une Nj2 le 28/09/2024. Or les validations entre les différentes Nj2,3 etc doivent être fait de manière espacer afin de s'assurer que le joueur soit actif sur tous ses pays. Après discussion avec le joueur, il a dit abandonner ce projet pour se consacrer à l'autre Nj2.
Bonjour/Bonsoir,

Je me permets de donner un avis après une lecture rapides des différentes fiches. Je vois plusieurs points qui ne sont pas respectés notamment concernant les NJ2, autant vous avertir au plus tôt il me semble. Du coup les points sont :

  • Je ne suis pas sûr que l'ensemble de la confédération puisse faire plus de soixante provinces. La confédération de Gwen, ne dépasse la limite imposée en Eurysie.

  • La limite de population n'est clairement pas respectée sur plusieurs Nj2. Une NJ2 ne peut avoir plus de 3-5 mns d'habitants ( et encore, je pense que je vise haut ). Alors les 200 mns d'habitants pour le pays de Kami est à revoir à la baisse, pareil pour la nation de bob etc.

  • La limite de province pour les NJ2 n'est clairement pas respectée. La limite de province est de 10 je crois en dehors de l'Eurysie.
Bonne écriture à vous
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Bonjour/bonsoir !

À nous haha. C'est magique, car je ne suis pas sûr de tout comprendre, étant donné un lien qui renvoie vers une nouvelle Nj2 de Kami. Je suppose, que le projet est abandonné, vu qu'une nouvelle NJ2 est demandé par kami à la place de la confédération ?
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Dans mon cas, j'arrête avec le Chandekolza sans la forme que présente la fiche ici, mais je le conserve (en plus petit) dans celle où le lien mène, puisque c'est un genre de Commonwealth constitué de plusieurs nations dont le Chandekolza.
Il reste tout de même dans la Confédération Transnazumie si le projet finit par aboutir (le joueur du Man n'est pas très présent et Imperator pas tellement plus.
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Pour ma part, je suis toujours motivé pour la confédération, cependant je comprends parfaitement les inquiétudes de la modération. Sur conseils de certains modérateurs et en prenant exemple de Kami, je vais poster ma fiche séparément de la confédération. Peut-être que des validations séparées seront plus simples et permettront une première sélection de fiches solides et durables. La confédération peut être un projet actuel à mettre en place in game en 2014 (ou après) avec les fiches qui seront validées, ce n'est pas un problème en soi, je pense.

Donc sur ce, je vais poster ma fiche à part et je suis impatient d'avoir vos retours dessus ^^
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