Nouvelle version de la NJ par iciCréation de NJ2 : État confédéral de Chandekolza
Généralités :
Nom officiel : État confédéral royaliste-démocratique de Chandekolza
Nom courant : Chandekolza
Gentilé : chandekolzan(ne)s
La carte n'est pas à jour, merci de tenir compte de la sélection de provinces ci-dessous.Inspirations culturelles : Asie du Sud-Est, Chine, Hong-Kong, Corées
Situation géographique :Langue(s) officielle(s) : chinois mandarin, vietnamien
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : kazumien, kaulthe, letton, hongrois, turc, [à changer], gallois
Drapeau :Devise officielle : Công, Travail, Unité
(le Công est l'équivalent d'un roi)Hymne officiel :Monnaie nationale : Yeon (¥)
Capitale : Shaudou
Population : environ 200.000.000 habitants (les comptages ne sont pas toujours précis, du fait de la ruralité du pays)
Aperçu du pays :
Présentation du pays :Le Chandekolza est un État de taille modeste du Sud du Nazum, mais ayant à lui seul la plus grande population du monde (sans compter la confédération dont il fait partie, qui est mathématiquement plus peuplée). Extrêmement pauvre, la grande majorité de sa production de richesse est concentrée dans les régions sinophones des côtes, tandis que les régions de culture vietnamienne sont plutôt peuplées de fermiers pratiquant l'agriculture vivrière.
HistoireTemps anciens (?-1949)A l'origine, à l'emplacement de l'actuel Chandekolza se trouvait un royaume dont les habitants vivaient pratiquement coupés du reste du monde. Son nom est malheureusement aujourd'hui inconnu des historiens, qui font pourtant tout leur possible pour recouper un maximum d'informations à son sujet. Ce royaume est malheureusement peu connu des suites de la très longue occupation par l'Empire Xin, qui dura sans doute un millénaire si ce n'est plus.
Révolte (1949-1954)Avec les évènements qui venaient perturber l'intégrité de l'Empire Xin, le peuple très pauvre du territoire chandekolzan se souleva contre le gouvernement central, qui lui prenait une partie de sa récolte comme impôts alors que la plupart des habitants peinaient déjà à produire assez pour leur famille. Les régions plus riches des côtes, bien que n'ayant pas d'aussi gros problèmes d'apport en nourriture et étant de culture xin, ne stoppèrent pas ce soulèvement. Elles l'approuvèrent même, voyant que le pouvoir central faisait face à des débordements intérieurs, et participèrent à la révolte dans le but de prendre par la suite le contrôle du pays. Le gouvernement xin ne pouvant pas grand chose face à la gigantesque population révoltée s'ajoutant à d'autres problèmes intérieurs, il accepta de donner son indépendance au Chandekolza.
Période récente (1954-aujourd'hui)Dès son indépendance, le Chandekolza, restant tout de même un État extrêmement pauvre, chercha des partenaires économiques et commerciaux. C'est tout naturellement que ses diplomates se tournèrent rapidement vers l'Empire Mǎn, pays géographiquement très proches. Chaque État trouvait son intérêt : le Chandekolza, en grand manque de nourriture pour sa population, gagnait un grand partenaire commercial. L'Empire Mǎn, qui venait quelques années plus tôt d'envahir l'île d'Ouranos, était affaiblit militairement par sa trop grande extension vis-à-vis de son armée et avait grand besoin de soutiens dans sa région.
La collaboration entre les deux États devint de plus en plus poussée, jusqu'à envisager un aboutissement satisfaisant chacun : une fusion en une seule entité (néanmoins confédérale, afin de conserver une bonne autonomie), qui se fît en 1960. La cité-État de Myaikho, après quelques décennies d'indépendance, y prit également part, étant proche de certaines régions chandekolzannes.
Régions :Le Chandekolza compte neuf régions, dont six possèdent un statut spécial : le Kazum du Nord, le Taiyong, la ville de Zwölftausendvierundfünfzig-Kong, Azija, le Güney, le Terület, Newydd-Clwt-y-bont et [à changer].
Comptoir Chandekolzan d'Azija
Capitale : Ostas-Seklas | Population : 800 000 hab. | PIB : 2,4 milliards de $Ostas-Seklas était au départ un comptoir acquis par un pays lettophone d'Eurysie du Nord. Étant donné sa proximité avec le Chandekolza, un grand nombre de travailleurs ont choisit d'y émigrer, poussés par l'extrême pauvreté de leur terre d'origine. Avec la disparition de l'État eurysien et la prise d'indépendance du pays de leurs ancêtres, la majorité de la population demanda un rattachement à ce qui était à cette époque nommé "Royaume Démocratique Chandekolzan".
Chandekolza Central
Capitale : Cachxakethu | Population : 120 millions d'hab. | PIB : 2,1 milliards de $La région la plus peuplée, mais de loin la plus pauvre de toutes : le PIB/habitant moyen n'y excède pas les 18 $ par an. Avec cette extrême pauvreté, seuls quelques rares habitants peuvent se permettre de voter. La représentation de la région est donc loin d'être proportionnelle à sa démographie.
Région Extérieure de Güney
Capitale : Ölgesi | Population : 10 millions d'hab. | PIB : 1,83 milliards de $Le territoire de Güney, anciennement possédé par un État turcophone du Nord du Nazum, connu une histoire très semblable à celle du Terület.
République Autonome de Kazum du Nord
Capitale : Hang-Xom | Population : 2,1 millions d'hab. | PIB : 2,1 milliards de $Le Kazum du Nord, de culture assez semblable par certains aspects à celle des sud-kazumiens, faisait à l'origine partie d'un Royaume du Kazum unifié. Séparé du reste de sa nation par l'invasion xin, il a choisit par la suite de rester chandekolzan, État qui respecte plus ses revendications autonomistes que le Sud-Kazum et ses projets d'annexion totale. La région est à l'origine de nombreuses tensions entre Chandekolza et Sud-Kazum, et est l'une des raisons qui ont poussé ce dernier à rejoindre la confédération.
Leigu
Capitale : Liên-Minh | Population : 38 millions d'hab. | PIB : 6,9 milliards de $Le Leigu est l'une des régions les plus urbanisées du pays, et possède même la plus grande ville du monde : Liên-Minh. Elle est également la capitale législative de la confédération.
Comptoir Chandekolzan de Newydd-Clwt-y-bont
Capitale : Newydd-Clwt-y-bont | Population : 400 000 hab. | PIB : 2,04 milliards de $Au départ colonisé par des dyffryniens du Caratrad, la petite cité de Newydd-Clwt-y-bont fut abandonnée par les eurysiens à la suite d'un typhon particulièrement dévastateur. Les travailleurs chandekolzans, pratiquement les seuls restés sur place, durent bien reconstruire leur ville. Ils se soumirent par la suite au Chandekolza, et les galloisants revenus sur place durent s'y faire.
Comptoir Chandekolzan de [à changer]
Capitale : [à changer]| Population : 1,6 millions d'hab. | PIB : 900 millions de $A l'image des autres comptoirs chandekolzans, [à changer] a été arraché à son pays d'origine ([à changer]) par les travailleurs locaux, bien plus nombreux que les colons.
Territoire Tianwangais du Taiyong
Capitale : | Population : 7,9 millions d'hab. | PIB : 810 millions de $Le Taiyong était une vallée montagneuse complètement inhabitée jusqu'à récemment du fait de son isolement et de la méconnaissance de la région par les États voisins. Particulièrement fertile du fait de ses nombreux cours d'eau, elle fut immédiatement revendiquée par le Chandekolza pour y produire de la nourriture en masse. Lorsque les religieux tianwangais durent fuir le Sud-Kazum, ils s'y installèrent et le gouvernement leur laissa gérer la province, à condition d'exporter un maximum de denrées alimentaires vers le pays d'origine.
Région Extérieure de Terület
Capitale : Délivaros | Population : 4 millions d'hab. | PIB : 750 millions de $La région de Terület était sous le contrôle d'un empire magyarophone (hongrois) eurysien, jusqu'à ce qu'une révolte des chandekolzans locaux (vivant là depuis quelques générations, leurs ancêtres étant venus pour y travailler) force le colonisateur à céder la région à leur nation d'origine, des suites d'une crise économique qui avait touché tout l'empire.
Yuande
Capitale : Shaudou | Population : 5,8 millions d'hab. | PIB : 870 millions de $La province de Yuande, pourtant séparée de la majorité du pays par le golfe, abrite sa capitale. Les raisons sont principalement politiques, puisque le pouvoir est généralement occupé par des sinophones qui ne constituent pas la majorité de la population du territoire principal.
Ville-Libre de Zwölftausendvierundfünfzig-Kong
Capitale : Zwölftausendvierundfünfzig-Kong | Population : 6 millions d'hab. | PIB : 9,3 milliards de $Zwölftausendvierundfünfzig-Kong, souvent raccourci en Ztvf-Kong ou Fünfzig-Kong, est un ancien comptoir commercial kaulthe laissé par l'Empire Xin dans les années 1600, puis progressivement abandonné par la Kautlhie au début du XIXème siècle. Les institutions politiques locales fonctionnant bien, la ville n'a pas connu de grands changements depuis et se considérait même comme partie de son pays d'origine. Sur demande du Chandekolza, le comptoir est finalement cédé à l'État local, sa nation eurysienne ne pouvant refuser.
Bien que sa population soit extrêmement réduite vis-à-vis du reste du pays, plus de 30 % du PIB total provient de la ville. Une forte autonomie lui a été laissée, pour ne pas entraver à son économie, essentielle au pays.
Mentalité de la population :La majorité de la population chandekolzanne, très rurale et paysanne, est attachée à la religion et à ses principes fondamentaux. La population des côtes, plus riche, est plus ouverte au reste du monde, peu connu des villages de l'intérieur des terres.
Place de la religion dans l'État et la société :La religion tianwangaise, le Drahma, bien qu'étant encore peu pratiquée dans le pays au début du vingtième siècle, est rapidement montée en popularité jusqu'à devenir la religion officielle chandekolzanne. Deux écoles des douze de la religion se trouvent encore au Chandekolza, ainsi qu'une au Taiyong.
Politique et institutions :
Institutions politiques :Le Công (duc) est chef de l'État, et peut dissoudre le gouvernement et le parlement, mais une fois l'une de ces actions faites, il ne peut faire l'une ou l'autre avant un an.
Le pouvoir législatif est détenu par le Parlement du Royaume, élu au suffrage censitaire : seuls les citoyens payant un impôt supplémentaire peuvent voter (la grande majorité de la population ne peut donc pas se le permettre). Le Premier conseiller, chef du gouvernement, est quant à lui élu par le Parlement.
Principaux personnages :Vuu Vietchinh, Công du Chandekolza
Xia Lim, Premier conseiller
Wan Yong, Conseiller en diplomatie
Politique internationale :Le Chandekolza est en permanence à la recherche de nouveaux partenaires commerciaux, qui lui permettront peut-être un jour d'atteindre un nombre correct de calories consommées par habitant. La population étant extrêmement pauvre, le pays joue notamment sur son salaire moyen dérisoire pour attirer des industriels peu éthiques et ainsi développer son économie. Lorsque cela ne suffit pas, le gouvernement est prêt à des concessions bien plus importantes, comme accorder des bases militaires sur son sol.