11/05/2017
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Province de la Meur

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La province de la Meur est une province cantaise relevant du Territoire royal des Pays de l'Erdrin. Elle englobe la partie méridionale du delta de l'Erdrin où se jette dans la Manche Blanche un de ses principaux chenaux, la Meur, qui lui a donné son nom. Comme ses voisines, Escrot et Rate, la majeure partie de ses terres ont été gagnées sur le delta ou la mer.

Sa capitale provinciale est Donestal.

La province compte actuellement plus de 474.000 habitants soit environ 23% de la population régionale. Elle est ainsi la 4e province la plus peuplée de la Fédération.

Géographie :
Superficie : 1.006 km2

Démographie :
Population provinciale exacte : 474.490 habitants
Densité : 471 hab/km2

Politique et Administration :
Commissaire de la reine : Maurice Laisné, depuis 1999

Ministre régional :
Ludwig von Buren, président des Pays de l'Erdrin
Claire Boutot, 3e vice présidente chargée de la Culture, du Sport et du Tourisme
Armand Daoust, 6e vice-président chargé de l'Environnement

Nombre de députés fédéraux : 35 circonscriptions fédérales
Nombre de conseillers territoriaux : 15 conseillers

Nombre de conseillers au parlement régional : 62 députés régionaux

Morphologie urbaines:
La province de la Meur est une des plus urbanisées de la fédération, derrière l'Escrot et Le Roto, mais devant WeissBorer. Elle se caractérise par des pôles urbains assez hétérogène, les principales villes de la province sont ainsi très fortement dépendantes des migrations pendulaires avec Roune, mais plus globalement avec l'Escrot comme Donestal, Annevil ou St-Pierre-de-Varen. Certains communes sont plus autonomes sur le plan économique, comme le duo Bervil - Ambourvil très tournée vers les industries chimiques et pharmaceutique. C'est également le cas des autres villes industrielles que sont St-Pierre-de-Man et de St-Pierre-de-Varen, dans une moindre mesure. Ces villes, ont toute la particularité d'être plane, du fait qu'elles ont été consrtuites sur des terres gagnés sur le delta de l'Erdrin ou la Manche Blanche.

Enfin, l'arrière-pays, plus vallonné et forestier puisque non artificialisé, se caractérise par trois petites communes tournées vers l'agriculture en élevage et polyculture. Seule Ste-Marguerite est considérée comme une commune rurale, selon la classification du gouvernement fédéral, sa population étant inférieure à 100h/km2.

Municipalités :
Donestal, 185.000 habitants, 115 km/2 ; 1.608 h/km2, capitale provinciale, port secondaire de Roune en déclin au profit des nouvelles infrastructures telles que MondoPoorte dans la province voisine de l'Escrot, se tourne maintenant vers le tourisme balnéaire et l'économie tertiaire. Reste malgré tout une grande cité dortoir pour Roune.

Annevil, 112.000 habitants, 210 km/2 ; 533 h/km2, seconde ville de la province, comme sa voisine Donestal, elle reste une cité dortoir de Roune, toutefois elle attire de nombreux espaces de loisir : parc aquatique, équipements sportifs, cinéma, casino...

Ambourvil, 55.000 habitants, 187 km/2 ; 294 h/km2, contrairement à Donestal ou Annevil, Ambourvil est une ville davantage autonome de Roune, elle est tournée vers l'industrie pharmaceutique lourde

Bervil, 47.000 habitants, 83 km/2 ; 566 h/km2, ville moyenne fonctionnant en duo avec Ambourvil puisque également très tournée vers l'industrie pharmaceutique et la chimie.

St-Pierre-de-Man, 38.000 habitants, 57 km/2 ; 666 h/km2, ville moyenne relativement autonome du reste de sa province, centre industriel et logistique accueillant notamment le plus grand centre de tri postal du pays ainsi qu'une grande usine d'engin agricole.

St-Pierre-de-Varen, 22.700 habitants, 210 km/2 ; 108 h/km2, plus grande commune de la province, composée de plusieurs bourgs sans véritable lien entre eux et aux fonctions diverses. St-Pierre est aussi bien une petite commune dortoir à moindre coût de Roune, qu'un centre logistique important de l'arrière pays rounnais mais aussi un des derniers témoignages du delta de l'Erdrin avant son artificialisation.

Ste-Marguerite, 7.900 habitants, 99 km/2 ; 79 h/km2, petite ville rurale vivant d'une grande fromagerie familiale récoltant le lait sur le vaste territoire communal mais également à Hautot ou Moulin.

Hautot-sur-Meur, 4.700 habitants, 21 km/2 ; 223 h/km2, petit bourg rural également tourné vers la polyculture et l'élevage bovin.

Moulin-sur-Meur, 2.100 habitants, 14 km/2 ; 150 h/km2, petit commune rurale presque exclusivement tournée vers l'élevage bovin.
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