31/12/2015
09:37:03
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Ufficio Turistico de Grisolia

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Ufficio de Turismo de Grisolia

L’Ufficio Turistico de Grisolia, créé en 1902, a pour but de recenser toutes les destinations culturelles de Grisolia afin de permettre à tous de découvrir les plus remarquables lieux de notre belle nation. Vous trouverez ici le travail de nos grisoliens dévoués qui ont parcouru leur terre de long en large pour en découvrir les secrets et vous les dévoiler.

Vue de Torri, capitale de la Principauté
Torri, capitale de la Principauté


Table des matières :

Blonvillia :

La Plage de sable blanc
L'Église San Frédérico
Lo Spirito di Grisolia

Coltori :

L'Église de Tersino
La bibliothèque d'Orta
Varone, village médiéval

Ieri :

Parco nazionale de Friodterra

Prolinio :

La Cascata di Ligozu
La baie de Sacotoa

Baudouino :

Récif corallien baudouinois

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La Plage de sable blanc


La Plage de sable blanc

La plage de sable blanc tient son nom, comme vous l'aurez deviné, de la couleur particulière de son sable. Cette plage se trouve le long des côtes de Torri, la capitale de Grisolia.

Histoire :
La Plage de sable blanc a joué un rôle important dans l'histoire de Grisolia, durant le XVe siècle, où elle permet aux soeurs baptistines de mener à bien leur révolution contre le Prince Giuseppe.
En effet, le Bas Moyen-Âge grisolien (Xe-XVe siècles) voit se multiplier les conquêtes, notamment celle de la province des Coltori, par les Uccisori dell’orizzonte, les “Pourfendeurs de l’horizon”. Cette nouveauté crée un clivage dans la société Grisolienne, entre les Pourfendeurs de l’horizon, qui veulent ouvrir la Principauté vers le monde, et les sœurs baptistines, qui prônent la sûreté du pays et une sédentarité monastique. Le Prince Giuseppe IV effectue de nombreux voyages et de nombreuses conquêtes dans la mer de Leucytalée au début de la Renaissance (XVe-XVIe siècles). C'est ce qui provoquera la révolution des soeurs baptistines, depuis longtemps opposées aux Pourfendeurs de l'horizon, en 1420. Cette révolution contre le Prince Giuseppe IV est aussi appelée guerre des Sabres Blancs car les soeurs auraient caché des sabres de la couleur du sable sur la Plage de sable blanc. Elles réussiront à démettre le Prince Giuseppe IV, son fils de neuf ans sera nommé Prince à sa place et élevé sous la tutelle des soeurs baptistines.


Visiter le lieu :
Vous pouvez profiter du beau temps constant de la province de Blonvillia pour vous baigner et vous prélasser sur la Plage de sable blanc tout l'après-midi.
Si vous êtes plus énergique, préférez la longue balade le long de la côte qui borde la Plage de sable blanc sur trois kilomètres. Prévoyez environ quarante-cinq minutes de marche.
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L'Église de Tersino


Église de Tersino
Localisation de l'Église de Tersino

L'Église de Tersino, située à l'orée de la forêt de Silvania, accueille de nombreux habitants des Coltori qui souhaitent se recueillir plus au calme, à l'écart de la vie quotidienne.

Histoire :
L'Église de Tersino était l'une des plus belles du patrimoine de la région avant qu'elle ne soit laissée à l'abandon en 1425, après le décès du prêtre de la paroisse, sans successeur. Elle resta un grand lieu de pèlerinage jusqu'à ce qu'elle fut fermée pour cause de risque élevé d'effondrement. En effet, après l'invasion en 1421 de deux régions nord des Coltori, Vanetria et Lageria, par l'Empire Kaulthe, les prêtres de la province furent de moins en moins nombreux en raison du nombre de jeunes hommes croissant à décéder au combat.

Récemment, l'Église a été restaurée grâce à l'appel aux dons du prêtre Giulia. Les Grisoliens des Coltori, et plus particulièrement les Tersinois, avaient à coeur de faire revivre le souvenir de leurs ancêtres en finançant la remise en état de l'Église de Tersino. Les travaux ont commencé en 2012 et ont été achevé ce 13 mai 2014. Le prêtre Giulia a célébré la première messe dans l'Église de Tersino depuis près de six siècles le 19 mai 2014, date qui restera à jamais gravée dans les mémoires tant la célébration était émouvante.

Visiter le lieu :
Les messes y sont célébrées tous les dimanches de onze heure à midi par le prêtre Giulia leplus souvent, ou par un autre prêtre Tersinois.
L'Église de Tersino est ouverte tous les jours de neuf heure à dix-neuf heure aux visiteurs.
L'entrée est gratuite.
Pour vous y rendre, des bus partent de Tersino toutes les heures, comptez environ deux grisoles le ticket. Si vous êtes plus aventureux, vous pouvez également choisir de faire le chemin à cheval, comptez environ vingt grisoles la location d'un cheval à l'écurie de Tersino.
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L'Église San Frédérico


Église San Frédérico et son emplacement sur la carte de blonvillia

L'Église San Frédérico se situe au sommet du Monte, la montagne qui s'élève derrière Torri et qui fut la gardienne de la capitale en temps de conflit. L'Église San Frédérico accueille tous les ans jusqu'à un million de visiteurs, en effet, dû à une demande touristique trop élevée, le Prince Alberto a décidé de faire de la préservation du patrimoine une priorité.
Histoire :
L'Église San Frédérico était, à l'origine, la chapelle Princière. Pour des raisons pratiques, au XVIII, la Famille Princière préféra construire une seconde chapelle adjacente au Palazzo di Grisolia, l'actuelle Capella di Grisolia. En effet, cela devenait problématique qu'à partir d'un certain âge des membres de la Famille Princière ne puissent plus s'y rendre pour se recueillir.
La toiture remarquable de cette Église est l'oeuvre du célèbre architecte Tommaso, il a mélangé de nombreuses teintes toutes plus lumineuses les unes que les autres ce qui rend l'Église San Frédérico si originale. Les fresques intérieures ont été réalisées par le grand peintre Masulo. Allant du sol au plafond, ce mélange de motifs bruns, oranges et dorés ne manque pas d’impressionner quiconque pénètre l'Église.
Le nom de l'Église fait référence à San Frédérico, le saint patron du Monte au Moyen-Âge.

Visiter le lieu :
Pour accéder à l'Église San Frédérico, vous devrez réaliser une petit pèlerinage le long des milles et une marches qu'il faut gravir pour se trouver place San Frédérico, où se dresse l'Église.
Comptez environ quinze grisoles si vous préférez emprunter des ânes pour la montée.
Il n'y a malheureusement pas d'accès aménagé pour les personnes à mobilité réduite pour le moment.
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Récif corallien baudouinois


Récif corallien baudouinois et sa localisation

Le magnifique et bien connu récif corallien de Baudouino se situe au centre de la côte grisolienne de la province de Baudouino. Il représente approximativement vingt kilomètres carré de coraux colorés. On surnomme souvent les coraux "pivoines marines" à cause de la couleur de ces derniers, très affirmée dans les tons rosé et rouge.
Histoire :
Le récif de Baudouino a été découvert par les premiers Grisoliens ayant conquit Baudouino en 1833 sous le règne d'Olivio Premier.
Le récif s'est formé à partir d'une ancienne île volcanique du treizième siècle. Submergée par les eaux, elle offre au corail un support idéal pour recevoir suffisamment de lumière et croitre. Le corail étant un animal au squelette dur, une fois décédé il offre aux nouveaux coraux, ou aux éponges, un support idéal pour croitre à leur tour. C'est ainsi que le récif s'agrandit au fur et à mesure du temps.
Le récif baudouinois est encore en excellent état pour plusieurs raisons. D'abord, le récif se trouve à un endroit de la côte non exploité par l'armée grisolienne. En effet, cette dernière n'a que très peu aménagé la côte qui longe la chaine de montagnes, seule la ville de Garda, au sud de la province, et le port au nord, sont des lieux très fréquentés par les bateaux. Ainsi, les récifs n'ont pas été détruits par les coques des navires. De plus, il est important de préciser que la province de Baudouino est peu peuplée, sans compter le nombre très faible d'indigènes, seuls les soldats et les Grisoliens en service militaire y vivent réellement. Les coraux peuvent alors se développer sans qu'une pollution extérieure ne leur nuise.
La bonne santé du récif corallien permet à de nombreux poissons d'y trouver refuge. En effet, beaucoup d'espèces marines utilisent les coraux comme une protection contre de plus gros prédateurs, ou s'en nourissent.

Vue du ciel du récif corallien Baudouinois

Visiter le lieu :
Si vous souhaitez plonger dans les eaux grisoliennes d'Afarée afin d'observer ces merveilles de la nature que sont les coraux de Baudounio, il faut être prêt à y mettre le prix ! En effet, vous n'avez d'autre choix que de prendre une chambre d'hôtel à Garda car l'aller-retour de Blonvillia à Baudouino n'est pas faisable dans la journée durant laquelle vous effectuerez la plongée sous-marine.
Le vol de Blonvillia vers Baudouino dure approximativement une heure et demi et les prix varient entre cinquante et cent cinquante grisoles.
Il vous faudra compter minimum quatre-vingt grisoles pour une nuit dans un hôtel de Garda.
Le montant de la location du matériel nécessaire à la plongée ainsi que le financement d'un guide marin pour trois personnes pendant six heures s'élève à cinq cent grisoles.
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La Cascata di Ligozu


La Cascata di Ligozu et sa localisation

Vous entendez ce bruit lointain ? Le vent nous porte le son de l'eau de la Cascata di Ligozu qui se situe à l'orée de la forêt tropicale de Prolinio. Ces immenses chutes d'eau sont souvent appelées "cascade" de Ligozu, mais la Cascata de Ligozu est en réalité composée de près de deux cent quatre-vingt-dix cascades déversant jusqu'à sept millions de litres d'eau...par secondes !

Histoire :
La Cascata de Ligozu a rapidement été découverte après la conquête de la province de Prolinio, en effet, il suffit d'un peu de vent pour que le bruit de la cascade qui s'écrase sur la rivière soit audible depuis la côte. Le Prince Olivio Premier donnera donc son nom à la Cascata di Ligozu en 1835. Il a souhaité baptiser lui-même cette chute d'eau s'étendant sur trois kilomètres et demi tant il a été impressionné par sa grandeur.
C'est quelques années plus tard, en 1846, que les habitants de Yutahoptek nommère Gustka la plus grandes des cascades de la Cascata de Ligozu. Gustka mesure plus de quatre-vingt-cinq mètres de hauteur et deux cent mètres de large.

Panorama de la Cascata di Ligozu

Visiter le lieu :
La Cascata di Ligozu ne se visite qu'accompagné d'un guide spécialiste de la région, souvent habitant de Molina, car il est très dangereux de s'aventurer dans la forêt tropicale, et plus encore à proximité de la Cascata di Ligozu lorsque l'on n'en connait pas les reliefs.
Si vous voulez faire le parcours entier, prévu pour permettre d'observer chacune des deux cent quatre-vingt-dix cascades, il vous faudra prévoir une journée entière devant vous. Mais vous pouvez plutôt choisir l'option d'une demi-journée qui vous permet de faire du bateau sur la rivière Ligozu.
Pour un groupe de huit, l'option guide monte à quarante-cinq grisoles par personnes, tandis que l'option bateau sur une demi-journée coutera cinquante grisoles.
1600
Parco nazionale de Friodterra


Parco nazionale de Friodterra et sa localisation

Le Parco nazionale de Friodterra est un grand domaine protégé de treize mille kilomètres carrés au sein duquel la nature nous offre des paysages plus splendides les uns que les autres. Les gigantesques fjords de ce parc sont l'objet de nombreuses visites touristiques. En effet, un bon nombre d'entre eux dépassent les deux milles mètres ! La faune y est également très variée, si vous n'êtes pas trop bruyant vous pourrez tomber nez-à-nez avec des phoques, des dauphins, des cerfs et des marmottes !

Histoire :
Il y a des millénaires de cela, les fjords furent créés après la disparition des hauts glaciers qui étaient jadis dans la région. En effet, après la fonte de ces derniers, la mer s'est engouffrée entre les nombreuses montagnes du Parco nazionale de Friodterra, créant ainsi les magnifiques bras de mer que nous connaissons aujourd’hui.
Visiter le lieu :
Si vous souhaitez vous aventurer dans le Parco nazionale de Friodterra, nous vous recommandons d'être un campeur aguerri car les conditions ne sont pas des plus favorables en raison des vents humides provenant de la mer. La saison la plus propice au campement reste l'été car elle est également la plus sèche.
En pénétrant dans le Parco nazionale de Friodterra, vous devrez impérativement respecter un nombre de règles mises en place pour la préservation du site naturel. Afin de ne pas dénaturer le paysage, aucune infrastructure n'a été mise en place au sein du parc. Vous devrez ainsi rapporter toute l'eau et la nourriture dont vous pourriez avoir besoin, ainsi qu'être en capacité de garder vos déchets sur vous en attendant de ressortir du site.
Pour un tarif d'à peu près cinquantes grisoles la journée, vous pourrez vous faire accompagner d'un guide qui connait le parc comme sa poche et vous fera découvrir les endroits les plus spectaculaires.
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Parco nazionale de Friodterra


Parco nazionale de Friodterra et sa localisation

Le Parco nazionale de Friodterra est un grand domaine protégé de treize mille kilomètres carrés au sein duquel la nature nous offre des paysages plus splendides les uns que les autres. Les gigantesques fjords de ce parc sont l'objet de nombreuses visites touristiques. En effet, un bon nombre d'entre eux dépassent les deux milles mètres ! La faune y est également très variée, si vous n'êtes pas trop bruyant vous pourrez tomber nez-à-nez avec des phoques, des dauphins, des cerfs et des marmottes !

Histoire :
Il y a des millénaires de cela, les fjords furent créés après la disparition des hauts glaciers qui étaient jadis dans la région. En effet, après la fonte de ces derniers, la mer s'est engouffrée entre les nombreuses montagnes du Parco nazionale de Friodterra, créant ainsi les magnifiques bras de mer que nous connaissons aujourd’hui.
Visiter le lieu :
Si vous souhaitez vous aventurer dans le Parco nazionale de Friodterra, nous vous recommandons d'être un campeur aguerri car les conditions ne sont pas des plus favorables en raison des vents humides provenant de la mer. La saison la plus propice au campement reste l'été car elle est également la plus sèche.
En pénétrant dans le Parco nazionale de Friodterra, vous devrez impérativement respecter un nombre de règles mises en place pour la préservation du site naturel. Afin de ne pas dénaturer le paysage, aucune infrastructure n'a été mise en place au sein du parc. Vous devrez ainsi rapporter toute l'eau et la nourriture dont vous pourriez avoir besoin, ainsi qu'être en capacité de garder vos déchets sur vous en attendant de ressortir du site.
Pour un tarif d'à peu près cinquantes grisoles la journée, vous pourrez vous faire accompagner d'un guide qui connait le parc comme sa poche et vous fera découvrir les endroits les plus spectaculaires.
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La biblioteca d'Orta

 La biblioteca d'Orta et sa localisation

Histoire :
La construction de la biblioteca d'Orta commença en 1556 et dura quatre années. Comme vous le savez déjà surement, les XVème et XVIème siècles grisoliens représentent la renaissance de l'art grisolien, surtout dans l'architecture. La plupart des grands monuments qui se dressent en terre grisolienne datent de cette époque, et la biblioteca d'Orta ne fait pas exception.

La bibliothèque est surtout appréciée pour ses magnifiques peintures aux plafonds, réalisées par Alberto Ortello, célèbre peintre du XVème siècle. Il y explore la relation profonde entre la religion, les arts et les sciences tels que la médecine, la théologie et le droit. Le dôme central illustre la Révélation chrétienne, personnifiée en Jésus Christ, fils de Dieu descendu sur la terre. La biblioteca d'Orta est également connue pour son nombre impressionnants de manuscrits. Elle regrouperait deux millions de volumes, dont la moitié sont des manuscrits découverts à des époques diverses et regroupés ici pour permettre leur étude. Il est possible pour n'importe qui de demander l'accès à ces documents, en contactant l'accueil de la bibliothèque trois jours en avance. En effet, la politique de ce majestueux monument est d'ouvrir ses portes à tous ceux qui désirent accéder au savoir, et pas seulement aux chercheurs et étudiants.

Ce monument a toujours fait partie des lieux les plus visités par les touristes des Coltori, cependant, la bibliothèque fait aujourd'hui face à une nouvelle vague de visiteurs. En effet, la biblioteca d'Orta vient de rouvrir ses portes après une année de fermeture pour restauration, suite à un incendie ravageur l'été 2014. Heureusement, les manuscrits ont été épargnés, il aurait été impossible de les recréer car il n'en existe pas d'exemplaire numériques. Malheureusement, ce sont les fresques d'Alberto Ortello qui ont le plus souffert, mais grâce aux incroyables talents de nos restaurateurs elles sont aujourd'hui comme neuves.


Visiter le lieu :
La semaine, la bibliothèque est ouverts aux chercheurs et étudiants pour qu'ils puissent y travailler, tout en étant entourés de milliards de pages remplies de savoir.
Les week-ends sont réservés aux visites, exceptée une salle, pour permettre à ceux ayant réservé un ouvrage de pouvoir l'étudier dans le calme.
Si vous souhaitez visiter la biblioteca ou simplement obtenir une carte pour venir y étudier, nous vous conseillons de vous y prendre à l'avance car l'afflux de visiteurs, étudiants et chercheur est dense !
Horaires de la bibiothèque :
Du lundi au vendredi : 8h - 22h
Le week-end : 10h - 18h
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Varone, il paese medievale


Varone, il paese medievale et sa localisation dans la province des Coltori

Pour pénétrer dans le village médiéval de Varone, il vous faudra d’abord passer sous l’imposante porte Caio, comme l’ont fait avant vous les plus riches marchands, les voyageurs les plus aguerris et les plus grands propriétaires équestres du XIIème siècle.

Histoire :

Le village Varone date du bas Moyen Âge grisolien. Plusieurs études des techniques de construction des maisons qui le composent attestent qu’il daterait plus précisément du XIIème siècle, deux siècles après la conquête des Coltori par la Principauté. Tout indique que ce village, parfaitement conservé, était un des plus imposants de son époque.

Le village était très connu pour les courses de chevaux mensuelles organisées à l’hypodrome Baraliere. Varone est très vite devenu le village dans lequel chaque cavalier digne de ce nom devait se rendre après que Marco Baraliere, le meilleur cavalier du XIIème siècle, ait décidé de s’y installer, de construire son propre hippodrome et d’oganiser ses propres épreuves. Tous les mois, les plus grands propriétaires de chevaux venant des quatres coins des Coltori se retrouvaient à Varone pour concourir et gagner des prix prestigieux.

Au centre du village se trouve la place du marché, capable d’accueillir tous les marchands des terres voisines ainsi que les dizaines de marchands qui sillonnent les Coltori pour vendre leurs savoirs faire. Donnant sur la place, la Grande Auberge logeait ces marchands et autres voyageurs. Sa capacité est d’une cinquantaine de chambres.
C’est à l’est que se trouvaient les immenses écuries prévues pour héberger les trentaines de chevaux présents tous les mois pour les grandes courses et autres épreuves.

La porte Caio :

Grâce aux rencontres équestres mensuelles instituées par Marco Baraliere, le village Varone s’est considérablement enrichi. À l’occasion d’une visite du Prince Patrizio (1150 - 1198), le maire de Varone a décidé de faire construire une grande porte à l’entrée du village, la porte Caio. En effet, la seule porte de Varone était trop petite pour les flux de marchands, voyageurs et propriétaires équestres, et ne permettait pas une défense suffisante face aux voleurs de plus en plus nombreux. La porte Caio revêt ainsi un rôle de défense et de symbole de puissance du Prince.

La porte Caio est aujourd’hui devenue une des majeure attraction touristique du village Varone, avec les écuries et l’hippodrome Baraliere. En 1840, une statue est posée sur le fronton de la porte, représentant le Prince de l'époque Olivio Ier.

La porte Caio du village de Varone

Visiter le lieu :

Le village de Varone est toujours habité à ce jour, les habitants ont tenu à ce que la porte tienne toujours son rôle défensif. Ainsi, sa grille se soulève tous les matins à cinq heures sonnantes, et s’abaisse tous les soirs à minuit.
De nombreux guides se mettront à votre disposition lors de votre arrivée dans le village Varone, il est conseillé aux visiteurs avides de savoir de demander leur services. En effet, dans un soucis de préservation de l’autenticité du village, aucun panneau touristique n’y a été installé.
Depuis quelques années maintenant, les habitants du village se plaignent du nombre de touristes trop élevé, des quotas seront peut être bientôt appliqués par la mairie.
Si vous souhaitez vous rendre sur les traces des grands personnages du bas Moyen Âge, n’oubliez pas qu’il ne suffit pas seulement de marcher dans leurs pas. Varone s’emploie à conserver une atmosphère médiévale et demande aux visiteurs de respecter l’authenticité des lieux.
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La baie de Sacotoa


La baie de Sacotoa et sa localisation

Si vous souhaitez vous sentir au bout du monde le temps d'une journée, c'est à la baie de Sacotoa que vous devez aller ! Vous ne manquerez pas d'être étonné par l'espèce d'arbre qui pousse là bas. Les Firmihins, une fois un certain nombre d'années atteint, ressemblent à de gros champignons. Mais lorsque ces arbres sont encore jeunes c'est plutôt l'inverse, leurs troncs est bien trop large pour le peu de feuillage qu'ils possèdent. De plus, le calme règne. L'eau transparente de la mer, paisible, reflète le magnifique bleu du ciel.

Histoire :
La baie de Sacotoa n'a été découverte que plusieurs dizaines d'années après la conquête de la province de
Prolinio. En effet, cette baie aux arbres si étranges appartenait encore au territoire des autochtones, avant que la Principauté ne repousse ses frontières. Ainsi, sa découverte remonte à 1880. Aujourd'hui, très peu d'autochtones vivent encore proche de la baie, les touristes, de plus en plus fréquents bien que toujours très rares, les font fuir.

La faune de la baie est principalement composée de serpents, lézards mais également de tortues. Les nombreuses cavernes représentent des cachettes idéales pour les reptiles en tout genre.

Une espèce d'arbres étranges, les Firmihins :

Les Firmihins peuvent atteindre une hauteur de douze mètres à l'âge adulte et une circonférence de vingt-et-un mètres. Ils peuvent vivre entre cinq-cent et mille ans. Ils prennent cette forme si inhabituelle pour procurer de l'ombre et des fruits aux animaux de la baie aride de Sacotoa.

Cette espèce est peut-être abondamment présente dans la baie, mais elle ne survit pas en dehors. En effet, les Firmihins ont une croissance très lente, cent années sont nécessaires à ces arbres pour atteindre la taille adulte. Entre temps, ils restent des proies faciles pour les chèvres élevées aux alentours de la baie. Lorsqu'ils poussent, les Firmihins ont un tronc très épais mais très peu de feuilles et bourgeons. Ils peuvent donc rapidement se dessécher si les chèvres ne leurs laissent pas quelques uns de leurs rares bourgeons.

Visiter le lieu :
Évidemment, dans un soucis de préservation de la biodiversité, un tel lieu ne se visite pas sans guide. Peu de dangers vous guettent et vous ne risquez pas de vous perdre, mais les spécimens de la baie de Sacotoa sont trop rares pour se hasarder à laisser quelqu'un les endommager.
Les visites sont organisées à la demande en raison d'un nombre trop peu conséquent de visiteurs. N'hésitez pas à contacter l'Ufficio Turistico pour plus de détails sur les visites.
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Lo Spirito di Grisolia


Boutique historique : Lo Spirito di Grisolia

À son ouverture, la boutique faisait seulement une vingtaine de mètres carrés, aujourd'hui, elle a une superficie de deux mille mètres carrés ! On y trouve tous les produits dérivés des oranges grisoliennes cultivées par la Famille di Latini, notamment l'Arancia d'Oro, boisson très appréciée pour l'apéritif.

Histoire :
Lo Spirito di Grisolia est la plus vielle boutique commercialisant l'Arancia d’Oro. En effet, cette boisson fut créée par la famille di Latini à la Renaissance. Depuis toutes ces années, Lo Spirito di Grisolia est restée la propriété de la plus grande famille cultivatrice d'oranges de Grisolia et fut agrandi à de nombreuses reprises.

Toutes les extensions de la boutique correspondent la création d'un nouveau produit dérivé. Après son ouverture en 1550, la boutique s'agrandit une première fois en 1703 après l'invention des orangettes, petits bâtonnets d'orange confite trempés dans le chocolat. La seconde extension date de 1940 après l'apparition de la Crema di Sole, cette fameuse sauce salée qui accompagne si bien toute sorte de plats. Il paraît que le Prince Ludovico XIV en raffole !

L'agencement de la boutique est assez original, chaque produit a sa partie du magasin. Lorsque vous entrez, vous êtes d'abord nez-à-nez avec les différentes sortes d'Arancia d'Oro. Il existe des bouteilles de toutes les tailles, toutes les couleurs, toutes les formes et avec des degrés d'alcool pouvant varier de cinq à vingt pour cent. Ensuite vous sont présentées les récoltes d'oranges de la semaine. Chaque panier correspond à un type d'oranger, certaines oranges sont plus rondes, plus grosses et plus goûtues que d'autre. Il en faut pour tous les goûts ! En pénétrant un peu plus encore dans la boutique, vous trouverez un mur entier d'étagères, du sol au plafond, garnies de sachets de zestes. Un dégradé de couleurs et d'odeurs s'offre alors à vous. En face, même spectacle mais pour les orangettes ! Tous les types de chocolats ont été utilisés pour créer des mélanges uniques. Enfin, à l'étage, vous découvrirez les quinze sauces que tous les Grisoliens ont chez eux, les Creme di Sole.


Visiter le lieu :
La boutique est ouverte tous les jours de neuf heure à vingt heure.
On ne peut la manquer, elle se situe Piazza di Torri, au centre de la ville.
Prévoyez au moins une dizaine de minutes de queue avant de pouvoir y pénétrer !

Produits les plus vendus :
- Arancia d'Oro (alcool)
- Oranges fraiches
- Jus d'orange (boisson sucrée)
- Zeste d'orange
- Orangettes (confiserie)
- Crema di Sole (sauce salée)
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