25/02/2015
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Création République Démocratique Populaire de la Dihya

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Nom officiel :
République Démocratique Populaire de la Dihya

Nom courant :
Dihya / la Dihya

Gentilé :
Dihyaiens Dihyaiennes

Inspirations culturelles :
Maghreb (en particulier l’Algérie, la Kabylie), Moyen Orient

Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) :
Arabe, Amazigh, Français, Darija

Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Anglais


Drapeau :
[img=https://zupimages.net/viewer.php?id=24/35/59xj.png]

Devise officielle :
“Le peuple, le peuple, et le peuple.”

Hymne officiel :
https://www.youtube.com/watch?v=b9YQIjz45IE

Monnaie nationale :
Dinar Dihyaien

Capitale :
Thamila

Population :
33 829 921 habitants

Présentation du pays :
La République Démocratique Populaire de Dihya est un pays musulman du Nord-Ouest d’Afarée. Ce pays compte 33 millions d’habitants pour une cinquantaine de communes. Les origines de ce pays remontent aux années 898, connu sous le nom du Royaume de Thamila, nom venant de la capitale, avant de devenir le Royaume de Dihya, nom venant d’une ancienne reine de ce royaume, et pour finir devenir la République de Dihya. Avant ça, le territoire fut occupé et attaqué par beaucoup d’autres royaumes mais le peuple a continué à combattre, le peuple et son unicité étant devenu la valeur la plus importante du pays grâce aux différentes révolutions durant de nombreuses batailles, ce peuple qui a su garder la tête haute malgré les difficultés et qui a toujours fini par obtenir la victoire. Au début, Thamila – qui était à l’époque l’équivalent d’un duché médiéval, donc un timar – finit par trouver sa commandante – qui, vous l’aurez compris, était l’équivalente d’une duchesse –, Dihya qui succéda à son père Arezki mort en 1016 de “maladie” (ce n’était autre qu’un assassinat de Dihya car le dirigeant devenait de plus en plus tyrannique), le territoire commença à de plus en plus s’étendre, et à devenir de plus en plus influent d’un point de vu politique. Dihya se révéla être une véritable stratège, non seulement en dirigeant ses soldats mais aussi en manœuvrant avec habileté dans le jeu politique, convaincre les différents chefs de guerre à devenir des sipahis (rien d’autre que des vassaux) était un jeu d’enfant.

En 1018, Dihya donna un ordre audacieux et décisif : interdire toute entrée ou sortie de marchandises dans les territoires voisins en encerclant ces derniers avec ses forces. Tous les territoires sous le contrôle de ses sipahis formaient un verrou stratégique autour des timars voisins.
Le blocus commença rapidement à affamer et à affaiblir les duchés voisins. En fermant les routes commerciales et les routes de ravitaillement, Dihya créa une pression économique croissante sur ses adversaires. Les duchés assiégés, privés de ressources vitales et de soutien extérieur, se trouvèrent rapidement en difficulté.
La première phase de la campagne fut marquée par des escarmouches et des engagements mineurs alors que les armées de Thamila renforçaient le blocus et consolidaient leurs positions. Dihya, connue pour son flair stratégique, utilisa les avantages géographiques pour établir des postes avancés et des lignes de ravitaillement internes, tandis que les territoires voisins s'effondrent lentement sous la pression économique.
À mesure que les années passaient, les duchés voisins, affaiblis par la famine et la pénurie, commencèrent à montrer des signes de désespoir. Les murs des citadelles se durcissaient, mais les habitants, démunis et affamés, étaient prêts à céder. Les confrontations militaires se intensifièrent en 1022, lorsque les duchés tentèrent désespérément de briser le blocus. Les batailles furent intenses, mais la discipline et la cohésion des forces de Thamila, ainsi que leur maîtrise des tactiques de siège, leur permirent de maintenir leur emprise sur les territoires assiégés.
Le siège de la ville fortifiée de Mostaganae, en 1022, fut particulièrement décisif. Les assaillants de Thamila, ayant déjà affaibli les défenses économiques et logistiques de la ville, lancèrent une offensive coordonnée pour forcer la capitulation. Les murailles de Mostaganae, bien que robustes, ne purent résister à la pression continue et aux attaques soutenues.
En 1024, après six années de blocus et de conflits, Dihya réussit à obtenir la soumission des duchés voisins. Thamila, grâce à cette victoire stratégique et à son habile manipulation des ressources et des alliances, fut finalement érigée en royaume. Le succès de cette campagne ne fit pas seulement croître son territoire, mais établit également Thamila comme une puissance majeure dans la région, sous la direction incontestée de Dihya. C’est à ce moment-là, après que la reine obtint une grande gloire, que le pays fut renommé le “Royaume de Dihya”.
Malgré la bonté de Dihya envers ceux qui se soumettaient à elle dans le passé, les sipahis ont vu en la vieillesse de la guerrière une occasion grandiose de s’enrichir plus que de manière exponentielle. Un complot de plusieurs mois se déroula dans le secret. L’ironie du sort : Dihya mourut en 1044 de “maladie”, exactement comme son père. 2 ans après, son fils mourut de “maladie”. Quelques mois plus tard, sa fille mourut de “maladie”. Le royaume se retrouva sans successeur. Ce fut donc facile de l’occuper durant 234 années, jusqu’en 1278. Les anciens sipahis savaient que le peuple était uni, et aimaient de tout leur coeur la reine. C’est pourquoi ils décidèrent de priver les Dihyaiens de tous leurs droits. Des émeutes partout dans le pays se formèrent, des armes volées, des militaires tués. Une répression violente a eu lieu en exécutant des civils Dihyaiens et en brûlant des villages, en tuant les enfants et agressant les femmes. Après 12 ans de lutte, le peuple s’étant réuni finit par avoir l’indépendance. La connaissance du terrain et les soutiens de certains sipahis reconnaissants envers l’ancienne reine leur donnaient un grand avantage qui leur a permis d’obtenir l’indépendance et d’étendre le pays sur le territoire de l’ennemi, et plus encore.
Au vu des nombreuses villes côtières à Dihya, des groupes de pirates se développèrent çà et là, poussant l’armée Dihyaienne à construire de nombreux ports militaires. La répression fut rapide, les pirates disparurent quasiment entièrement. Ce développement maritime poussa le royaume Dihya à s’aventurer au-delà des mers. Tout au nord, ils se retrouvèrent face à une île peu habitée, peu développée, en Eurysie. Ce fut compliqué d’échanger avec les habitants, ils ne parlaient pas la même langue, mais en 1351, 30 ans après que les Dihyaiens découvrirent cette île, ils conclurent un accord stipulant le contrôle total de l’île par les Dihyaiens contre des droits comme le vote (Dihya étant déjà une démocratie, quoique peu différente de celle que nous connaissons aujourd’hui, semblable à la démocratie de la grèce antique), ainsi que contre une aide de développement et une protection militaire. L’île fut baptisée Fatma en l’honneur de la fille décédée de Dihya.
À Dihya, toutes sortes de paysages peuvent être trouvés : des villes côtières au nord et au sud permettant le commerce maritime, très utile à la mondialisation; un désert au milieu contenant de nombreuses ressources nécessaires à l’enrichissement du pays (or, fer, pétrole), ressources qui ont été la cause de convoitises – à l’exception du pétrole à l’époque évidemment – (et des conflits sans réels enjeux car la ville était très fortifiée, intouchable pendant de nombreux siècles); des montagnes aux frontières entre villes cotières et déserts, montagnes cultivables avec des terres fertiles, des sources d’eau… etc.
La population se trouve principalement dans les villes côtières — comme Thamila, la capitale au nord — et leurs périphéries. Ces deux types de terrains sont les endroits les plus développés de Dihya. Ce sont les endroits les plus denses. Une bande de faible densité se fait remarquer au centre, au désert ainsi que dans les monts les plus hauts, au sud. Ces espaces de faible densité (en particulier le désert) peuvent permettre la construction de bases militaires et permettre des entraînements de soldats, ainsi que de tester de nouvelles technologies d’artillerie, de missiles… etc.
[img=https://zupimages.net/viewer.php?id=24/35/ig1o.png]
(Vert forte densité, jaune densité moyenne, rouge faible densité)
Les enjeux principaux du pays sont actuellement : l’avancée technologique ainsi que le niveau de vie des habitants. Les deux points que l’État souhaite privilégier.

Mentalité de la population :
Très fiers, la population est très investie dans le développement et dans la politique du pays. La religion est aussi une valeur très importante pour le peuple.

Place de la religion au sein de l'État :
L’Islam est la religion majoritaire dans le peuple, et la religion de l’état (98.8% de musulmans, 0.2% de juifs et 1% de chrétiens). Ce qui explique cette grande majorité de musulmans remonte à avant la création du royaume de Thamila (avant le 6e siècle). Plusieurs différents peuples et tribus occupaient le territoire, en grande majorité des tribus musulmanes. La culture de l’islam a donc été ancrée dans l’histoire de cette région et s’est transmise de génération en génération jusque aujourd’hui. Il reste cependant une minorité de personnes d’autres confessions, le pays n’imposant pas son point de vue religieux de manière obligatoire aux habitants.

Institutions politiques :
Le Président de la République de Dihya : Le chef ou la cheffe d’État, en l'occurrence la présidente Tara Bouhired, a le rôle le plus important. C’est elle qui a le pouvoir exécutif. C’est aussi elle qui gère les forces armées. Le président est élu au suffrage universel et cela pour un quinquennat. Son mandat pourra ensuite être renouvelé une fois. Il est capable de dissoudre l’Assemblée Populaire.

Le Vice Président : Il est élu au suffrage indirect par le Président et est au pouvoir jusqu'à la démission ou la fin du mandat du chef d’État. Il peut conseiller le président, le remplacer dans certains cas. Il est capable de dissoudre l’Assemblée Populaire.

Le Premier Ministre : Il est élu par le président. Lui, est au pouvoir pendant 2 ans et peut renouveler son mandat indéfiniment.

L’Assemblée Populaire : Son rôle est de débattre, de proposer, d'amender et de voter les lois, et de contrôler l'action du Gouvernement. Elle siège dans la capitale Thamila. Le peuple peut proposer via des votes de nouvelles lois, de nouveaux projets, et c’est ensuite aux députés de voter quelles lois ou quels projets seront approuvés ou non.

Principaux personnages :
Présidente : Tara Bouhired
Vice Président : Houari Kennan
Premier Ministre : Arezki Wimddn
Président de l’Assemblée Populaire : Djilali Boumediene


Diplomate : Massilia Laamara
Journaliste : Nora Belaid
Politique internationale :
Dihya a des relations de paix saines pour l’instant avec ses voisins que ce soit à l’est ou à l’ouest. Le pays souhaite s’imposer sur la scène internationale d’ici les prochaines années en créant un union Afaréen, commençant en s’alliant avec ses pays voisins pour ensuite s’étendre vers l’est. Cette stratégie est assez similaire à celle de Dihya en 1016, cependant, le but n’est que d’avoir des alliés, pas de conquérir de nouveaux territoires. La République de Dihya est connue dans le monde comme le pays de la révolution et de la paix, les tensions sont très rares voir quasi inexistantes avec les pays du monde entier. Comme dit la présidente Bouhired Tara dans son discours après son élection en 2010 : “Peuples du monde entier, Dihya est votre foyer tant que vous le considérez comme tel.”, ce qui montre l’envie d’aider et de paix avec les autres pays. C’est un pays avec de grandes ambitions.
Bonjour (ou bonsoir), et merci de l’intérêt que tu portes à Geokratos !

Je commencerai cette analyse en m’attardant sur la forme de ta fiche d’inscription puis, sur le fond.

Sur la forme : une petite relecture serait la bienvenue. Je n’ai pas repéré énormément de fautes, mais il reste malgré tout quelques petites coquilles ou même des fautes d’accord. Ce n’est pas bien handicapant en soi pour valider ta candidature, mais Geokratos étant un jeu d’écriture, il faut que cette dernière [l’écriture] soit agréable à lire pour les autres joueurs.

Ensuite, il y a la mise en page. Cette dernière fonctionne à base de balises, qui permettent d’arranger ton texte comme le centrer, le justifier, le souligner (les balises textuelles), mais aussi d’insérer des images, des vidéos ou des liens. Ce sont grâce à ces balises que tu peux faire apparaître ton drapeau, ton hymne ou bien des cartes et leur utilisation est primordiale dans le RP. Ainsi, je te conseille de copier-coller le code du formulaire de candidature avec lesdites balises déjà intégrées afin d’obtenir la mise en page demandée.
Plus précisément, pour ton drapeau (ou autres images à intégrer), le code se présentera comme suit :
[img=https://zupimages.net/viewer.php?id=24/35/59xj.png]description de l’image[/img]
Pour ton hymne : [youtube]https://www.youtube.com/watch?v=b9YQIjz45[/youtube]
Sur la partie la plus importante de ta fiche ; le fond :

— Tout d’abord sur la présentation du pays : cette dernière a l’air, à première vue, d’être bien développée, cependant, ton Histoire s’arrête en 1351 et la découverte de l’île Eurysienne. Sache que tu joueras ton pays en 2014 ou après. Il faudrait donc SURTOUT développer l’Histoire récente de ton pays ; comment l’actuelle république est arrivée, etc.
Par ailleurs, concernant ladite île, une explication du pourquoi de sa colonisation serait la bienvenue. Tout en sachant que l’île se trouve en Eurysie, l’argument qu’elle soit alors peuplée de “gentils sauvages” avec une faible démographie ne fonctionne ainsi plus comme il le pourrait pour d’autres continents comme l’Aleucie (Amérique du Nord) ou le Paltoterra (Amérique du Sud). Ou bien alors l’île a des contraintes naturelles qui auront un impact sur ton pays (activités volcaniques, sismiques, etc) ?

— La mentalité de la population est très peu développée, et surtout très générique. Elle pourrait être appliquée à plein de pays. Quelques lignes en plus sur les spécificités de la pensée des Dihyaiens seraient les bienvenues.

— Enfin, concernant les institutions politiques : tu dis que le vice-président et le premier ministre sont élus par le président. Ne sont-ils pas plutôt nommés ? Sinon, il faudrait détailler l’obtention de ces deux fonctions politiques.
Pour l’assemblée populaire : préciser comment les députés sont élus et la durée de leur mandat (et le nombre de mandats autorisé).
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