Dzaoudzi, capitale du Diambée - Palais de la Révolution
Le soleil se lève doucement sur la magnifique ville de Dzaoudzi, le Palais de la Révolution était d’une couleur étincelante . Les drapeaux des deux nations flottent avec fierté dans la brise matinale, symbole d'une collaboration prometteuse et la paix entre les deux pays . Au cœur de cette ambiance diplomatique, le ministre des affaires étrangères du Diambée, Charles Sikoya, se prépare avec une anticipation palpable pour la rencontre tant attendue avec son homologue de l’Anterinie.
Dans son bureau, Charles Sikoya, un homme déterminé, relit les notes préparées pour cette réunion cruciale. Il sait que cette rencontre est plus qu’un simple échange de courtoisie ; elle représente une opportunité unique de renforcer les liens entre les deux nations et d’aborder des sujets d’intérêt commun, tels que la coopération économique, la sécurité régionale et les enjeux diplomatiques et aussi bien sûr évite la guerre .
Charles Sikoya :
« C’est un moment décisif pour notre pays. Les enjeux sont élevés, mais je suis convaincu que nous pouvons établir une base solide pour un partenariat durable avec l’Anterinie et calmer les tensions entre nos pays. »
Il se lève, ajuste sa cravate et se dirige vers le grand salon du palais, où une table est soigneusement dressée pour accueillir le ministre sochacien. Des fleurs fraîches décorent la pièce, et des membres de son équipe s’assurent que tout est en ordre. L’atmosphère est empreinte de respect et d’enthousiasme, chaque membre de l’équipe conscient de l'importance de cette rencontre.
Un membre de l’équipe de Sikoya :
« Monsieur le ministre, nous avons reçu confirmation de l’arrivée de la délégation Anterienne dans les prochaines minutes. »
Charles acquiesce, un sourire confiant sur le visage. Il sait que, bien au-delà des protocoles, c'est la volonté de construire une relation sincère qui comptera.
Charles Sikoya :
« Parfait. Préparez les documents Je veux que cette rencontre débouche sur des résultats concrets. »
Alors que les horloges sonnent l'heure, un bruit de pas retentit dans le couloir. Charles Sikoya se redresse, son cœur battant légèrement plus vite. C'est le moment qu'il attendait. La porte s'ouvre, et le ministre des affaires étrangères de l’Anterinie entre, accompagné de sa délégation.