01/08/2015
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Apex Energy

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Apex Energy


Apex Energy

Apex Energy est une entreprise publique sur le sol Raskenois, chargée de l’intégralité de l’approvisionnement énergétique du pays. Son objectif est de maintenir, par tous les moyens, un approvisionnement stable et constant afin de ne pas perturber la vie économique de la nation. Pour en arriver là où elle est aujourd'hui, l’entreprise a parcouru un long, très long chemin. Tout commence en 1918 avec la création de l’entreprise privée Apex. Cette petite entreprise s’est spécialisée dès sa création dans l’extraction pétrolière, une source d’énergie en plein essor. Son créateur, Jeremias Breytenbach, y voyait un moyen de s’enrichir facilement. Cependant, les premières années de l’entreprise ne furent pas un long fleuve tranquille. Pendant les quatre premières années de son histoire, aucune découverte ne fut faite. Pire, son dirigeant, Jeremias Breytenbach, pensa même à jeter l’éponge. Cependant, Jeremias s’accrocha, et ce fut une bonne décision, car un an après, en 1923, la première découverte d’Apex fut officialisée avec Eisenbrand, un géant de quasiment 5 milliards de barils de réserve exploitable. La joie liée à la découverte d’un si gros gisement ne fut pas de longue durée, car l’année suivante, en 1924, une deuxième découverte fut officialisée avec Feuerklang, un gisement encore plus grand qu’Eisenbrand, estimé à plus de 5,5 milliards de barils de réserve exploitable. Jeremias se voyait déjà comme un magnat du pétrole, un producteur majeur de la région, et cela aurait dû être le cas, mais la réalité fut toute autre.

En effet, le gouvernement de la République de Brod Flor de l’époque, sous la présidence de Wilhelm Wagner, fit voter une loi en 1925 afin de pérenniser son approvisionnement en énergie. Cette loi stipulait que la production d’Apex devait suivre de près la consommation du pays afin de ne pas épuiser trop rapidement les gisements. Cette loi limita fortement la hausse de la production d’Apex ainsi que les ambitions de richesse de son fondateur.

En parallèle d’Apex, une autre entreprise commença à faire parler d’elle : Energy Kraft. Fondée en 1928 par Fritz Potthast, cette entreprise se spécialisa dans le raffinage du pétrole brut. Sa croissance fut bien moins problématique qu’Apex, car à peine deux ans après sa création, Energy Kraft inaugura sa première raffinerie. En 1932, soit deux ans plus tard, Apex franchit un jalon important : sa production dépassa pour la première fois la barre des 100 000 barils par jour. Durant les années suivantes, rien de marquant ne se produisit, à l’exception de l’inauguration d'une deuxième raffinerie par Energy Kraft en 1938. La prochaine date importante arriva en 1947. Cela faisait déjà un certain temps que le gouvernement y réfléchissait, mais cette année-là, la nationalisation d’Apex fut actée. Un an seulement après cette nationalisation, l’entreprise désormais publique dépassa la barre des 200 000 barils par jour. Cette année fut également marquée par la découverte du troisième gisement Raskenois, baptisé Erdschatten. Comparé à ses deux grands frères, ce gisement était bien plus petit, avec des réserves récupérables de 3,8 milliards de barils, le classant dans la catégorie des grands gisements, et non des gisements géants comme Feuerklang ou Eisenbrand.

À partir de 1951, le pays entra en guerre civile. Les deux camps qui s'affrontèrent étaient, d’un côté, le futur camp impérial dirigé par la générale Kristina Schützenberger, et de l’autre, le camp républicain dirigé par le président Friedrich Weber, alors en plein milieu de son mandat. De 1951 à 1976, il ne se passa presque rien, si ce n’est que la loi sur le pétrole, stipulant que la production devait suivre de près la consommation, fut abrogée par les deux camps. Cette abrogation visait à financer l’effort de guerre, d’abord du côté républicain, puis au fur et à mesure que les troupes de la générale Schützenberger gagnaient du terrain, du côté impérial. À la sortie de la guerre civile en 1976, le camp impérial victorieux rétablit la loi de 1925, réduisant ainsi drastiquement la production.

La même année, Energy Kraft fut à son tour nationalisée, puis fusionnée avec Apex pour former Apex Energy. L’année suivante, en 1977, il fut décidé qu’Apex Energy serait la seule entreprise autorisée sur le territoire Raskenois à s’occuper du secteur énergétique, incluant l’extraction d’hydrocarbures, la production électrique et le transport de l’énergie en général. En 1978, le site de Tremblay fut inauguré avec le premier réacteur de recherche Raskenois, Gretel 1. Plus tard, entre 1996 et 1997, Apex Energy inaugura les deux tranches du barrage d'Osterwald pour une capacité totale de 4000 MW.

À partir de 1998, les dirigeants de l’entreprise commencèrent à émettre des inquiétudes quant au futur de l’approvisionnement énergétique de Rasken. En effet, les gisements actuellement en exploitation avaient tous plus de 50 ans, voire plus de 70 ans pour les plus anciens. Et la loi de 1925, limitant la production, commençait à montrer ses limites. Comme si une entité supérieure les avait entendus, l’année suivante, Apex fit sa dernière découverte de pétrole, bien que modeste comparée à ses trois prédécesseurs. Le gisement baptisé Lagerstätte ne disposait que de 1,1 milliard de barils exploitables. Les dirigeants d’Apex n’attendirent pas longtemps avant de fixer la marche à suivre : Lagerstätte fut développé de manière agressive, sa production passant de zéro en 2000 à 160 000 barils par jour quatre ans plus tard, en 2004. Cette montée rapide permit de réduire la production des trois autres gisements et donc de les économiser encore un peu plus. Cette mise en production rapide repoussa le pic de production, qui aurait normalement dû avoir lieu en 2001. Au lieu de cela, la production pétrolière continua à augmenter pendant la décennie. Cependant, les analystes ne se faisaient pas d’illusions : si le pic n’avait pas eu lieu en 2001, il n’avait été que retardé et devrait survenir durant la décennie 2010.

À partir de 2005, Apex commença à prospecter le plateau de Crystal. Bien que cet environnement soit inhospitalier, certains chercheurs estimaient qu’il pourrait receler des réserves significatives. La même année, un nouveau gouvernement fut élu, moins opposé à l’énergie nucléaire que le précédent. Tout au long de l’année, des discussions eurent lieu au sein de l’Assemblée nationale pour décider si Rasken devait ou non se lancer dans l’atome. Finalement, le besoin croissant de remplacer les centrales à charbon en raison de leur pollution, ainsi que le bon fonctionnement du démonstrateur industriel Katia, suffirent à convaincre l’Assemblée et le gouvernement. À partir de cette date, Apex fut chargée de développer les infrastructures nécessaires au lancement d’un programme nucléaire à grande échelle afin de fermer la totalité des centrales à charbon d’ici 2024.

En 2011, comme l’avaient prédit les analystes, les quatre gisements Raskenois dépassèrent leur pic de production. Dès lors, le pays dut apprendre à vivre avec de moins en moins de pétrole produit sur son sol. Cependant, cette triste nouvelle fut éclipsée quelques mois plus tard par une autre annonce d’Apex Energy. En effet, les prospections du plateau de Crystal avaient été menées à terme et les résultats étaient très positifs : pas moins de six gisements furent découverts, et tous étaient classés dans la catégorie des super géants, c’est-à-dire possédant chacun plus de 10 milliards de barils exploitables. Le plus grand, Smaragdglut, atteignait presque les 60 milliards. La même année, l’entreprise inaugura ses deux premiers réacteurs nucléaires à la centrale d’Osterwald. Ces réacteurs, appelés RPR (Réacteur Pressurisé Raskenois), appartiennent à la génération 3+ et ont une puissance de 1200 MW. L’inauguration des deux premières tranches n'était que le début, car la centrale d’Osterwald accueillera à terme six réacteurs de 1200 MW. Viennent ensuite la centrale d’Ortmann, avec les mêmes caractéristiques, et enfin la centrale de Brandis, qui possédera le même nombre de réacteurs, mais avec une puissance de 1600 MW.
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L’histoire d’Apex en résumé


1918
  • Création de l'entreprise pétrolière Apex, un petit acteur local dans l'industrie pétrolière de Rasken.
1923
  • Apex fait une découverte historique en trouvant son premier gisement de pétrole, établissant ainsi son rôle croissant dans la production énergétique du pays.
1924
  • Un an seulement après sa première découverte, Apex fait une deuxième découverte significative de pétrole, consolidant davantage sa position sur le marché pétrolier.
1925
  • Le gouvernement raskenois réagit à la croissance de l'industrie pétrolière en instaurant une loi interdisant l'exportation du pétrole, favorisant ainsi le développement de l'industrie nationale.
1928
  • Energy Kraft est fondée, se spécialisant dans la distribution et le raffinage de produits pétroliers. Cela renforce l'industrie pétrolière dans le pays.
1932
  • Energy Kraft inaugure la première raffinerie du pays, contribuant à la transformation du pétrole brut en produits finis.
  • La même année, Apex atteint un jalon en dépassant la production de 100 000 barils de pétrole par jour, marquant une croissance significative.
1938
  • Energy Kraft ajoute une deuxième raffinerie, consolidant sa position en tant qu'acteur clé dans l'industrie pétrolière de Rasken.
1947
  • La société Apex est nationalisée, faisant du gouvernement le principal acteur de l'industrie pétrolière.

1948
  • La production d'Apex franchit un nouveau seuil en dépassant les 200 000 barils par jour et la société découvre son troisième gisement de pétrole.
1951
  • Le pays entre dans une guerre civile, forçant une surproduction de pétrole pour financer l'effort de guerre, portant la production à 400 000 barils par jour.
1953
  • Découverte du premier gisement de gaz de Rasken (Alphastern, 50 milliards de mètres cubes).
1959
  • La production de gaz dépasse la consommation, Rasken devient exportateur.
1967
  • La première centrale à gaz du pays est inaugurée, sa puissance atteint 500 MW.
1974
  • Début du programme de recherche nucléaire d’Apex avec la construction du site de recherche de Trembaly.
1976
  • La guerre civile prend fin, marquant le retour à la loi de 1925 qui limite la production pour éviter l'épuisement rapide des gisements.
1977
  • Le premier réacteur nucléaire d’Apex est inauguré, le réacteur de recherche baptisé Gretl 1, utilisant la technologie de réacteur à eau lourde refroidi au gaz, avec une puissance électrique de 120 KW.
1980
  • L'entreprise Energy Kraft est nationalisée et fusionnée avec Apex pour former Apex Energy. Il fut décidé qu'Apex Energy prendra en charge l'ensemble des installations énergétiques sur le sol raskenois, actant sa domination dans l’exploitation et la distribution énergétique nationale.
1980
  • Le premier réacteur de type UNGG (Uranium Naturel Graphite Gaz) est inauguré, baptisé Theodor 1, avec une puissance électrique de 40 MW.
1993
  • Le pays connaît un boom économique et une croissance rapide de la consommation d'énergie.
  • Le dernier réacteur de type UNGG est inauguré par l’entreprise, Theodor 4, avec une puissance électrique de 190 MW. L’entreprise annonce dans la foulée l'arrêt de son programme de recherche sur les UNGG pour se concentrer sur d’autres technologies.
1996
  • Apex Energy inaugure la première tranche du barrage d'Osterwald, produisant 2 000 MW d'électricité.
1997
  • La deuxième tranche du barrage d'Osterwald est inaugurée, augmentant la capacité de production à 4 000 MW.
  • Inauguration du premier réacteur nucléaire à eau pressurisée de Rasken, baptisé Katia, avec une puissance électrique de 450 MW.
1998
  • L'entreprise émet des inquiétudes concernant l'approche du pic pétrolier, soulignant la nécessité de diversification.
1999
  • La découverte d'un quatrième gisement majeur incite Apex Energy à accélérer son développement pour économiser les gisements vieillissants.
  • La consommation de gaz dépasse pour de bon la production, Rasken devient importateur.
2000
  • La puissance installée des centrales à charbon dépasse pour la première fois les 10 000 MW (10 600 MW).
2005
  • La croissance économique ralentit et la consommation d'énergie se stabilise.
  • La même année, Oskar Brötzmann est nommé PDG d’Apex Energy. Dès son arrivée, il lance le programme de recherche Future Gaz au cas où le nucléaire serait refusé.
2006
  • Apex Energy commence à prospecter le plateau de Crystal pour trouver de nouvelles réserves pétrolières.
2009
  • Le pays plonge dans une seconde guerre civile, perturbant l'industrie énergétique.
2010
  • La seconde guerre civile prend fin, permettant la reprise des activités pétrolières à leur plein potentiel.
  • Le programme de recherche sur les centrales à gaz du futur s’achève et la construction de la centrale à gaz Superphénix d’une puissance annoncée de 1 800 MW débute.
2011
  • Apex Energy annonce que les gisements historiques du pays ont atteint leur pic de production et que la production commence à décliner.
  • Dans un second temps, Apex Energy annonce la découverte massive de pétrole sur le plateau de Crystal.
  • Le gouvernement met fin à la loi de 1925 qui limitait la production et se prépare à l'exportation.
  • Les deux premiers réacteurs nucléaires du pays sont lancés.
  • La construction de la raffinerie géante de Weindorf, d’une capacité de raffinage de 1 million de barils par jour, débute.
2012
  • Début des travaux du premier réacteur de 4ème génération, baptisé Irisdina. Il utilise la technologie des neutrons rapides et devrait avoir une puissance électrique de 200 MW.
2013
  • Un accord est signé avec la Grande République de Velsna. Cet accord vise la mise en production des ressources pétrolières et gazières de la république ainsi que la construction de moyens de production électrique.
2014
  • La centrale nucléaire d’Osterwald est achevée. Ses six réacteurs nucléaires de 1 200 MW produisent à pleine capacité.
  • La centrale à gaz Superphénix est inaugurée, avec une puissance de 1 800 MW et un rendement de 75 %. [*] Début des travaux du réacteur de 4ème génération Bernhard, qui utilise la technologie des sels fondus et devrait avoir une puissance électrique de 300 MW.
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Somaires

Secteur d’activité de l’entreprise
xxxxxxxxxxxxxxPétrole
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Gaz[/url]
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Charbon[/url]
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Centrale hydroélectrique[/url]
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Centrale biomasse[/url]
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Centrale à gaz[/url]
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Centrale au charbon[/url]
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Nucléaire[/url]

Partenaire
xxxxxxxxxxxxxx[url=]Kiesling OilRig Groupe[/url]
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Pétrole



Pôles de production
Apex
Production nationale

  • Découverte : 1923
  • Mise en production : 1924
  • Type : Conventionnel onshore grand
  • Profondeur : 600 m
  • Distance à forer : 600 m
  • Réserve en place : 12,34 milliards de barils
  • Taux de récupération : 40 %
  • Réserve récupérable : 4,95 milliards de barils
  • Réserve déjà produite : 3,11 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 1,83 milliard de barils
  • Production journalière maximale enregistrée : 150 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production a été maintenue : De 1999 à 2000 et de 2005 à 2006
  • Nombre de puits en activité : 0
  • Nombre de puits maximum enregistré en activité : 113
  • Production moyenne par puits en activité : 0 barils par jour
  • Production actuelle : 0 baril par jour
  • Fermeture du dernier puits : 2010
Le champ pétrolifère d'Eisenbrand a été mis en réserve en 2011 suite à la découverte des réserves du plateau de Crystal et à leur mise en production. Cela signifie que, même si le gisement n’est pas épuisé, sa production est à l’arrêt. En cas de crise ou de rupture d’approvisionnement depuis le plateau de Crystal, Eisenbrand pourrait être remis en service.



  • Découverte : 1924
  • Mise en production : 1925
  • Profondeur : 640 m
  • Distance à forer : 640 m
  • Type : Conventionnel onshore géant
  • Réserve en place : 12,1 milliards de barils
  • Taux de récupération : 46 %
  • Réserve récupérable : 5,56 milliards de barils
  • Réserve déjà produite : 3,36 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 2,2 milliards de barils
  • Production journalière maximale enregistrée : 150 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production a été maintenue : De 1951 à 1976, de 1999 à 2000 et en 2005
  • Nombre de puits en activité : 0
  • Nombre de puits maximum enregistré en activité : 147
  • Production moyenne par puits en activité : 0 barils par jour
  • Production actuelle : 0 baril par jour
  • Fermeture du dernier puits : 2010
Le champ pétrolifère Feuerklang a été mis en réserve en 2011 suite à la découverte des réserves du plateau de Crystal et à leur mise en production. Cela signifie que, même si le gisement n’est pas épuisé, sa production est à l’arrêt. En cas de crise ou de rupture d’approvisionnement depuis le plateau de Crystal, Feuerklang pourrait être remis en service.


  • Découverte : 1948
  • Mise en production : 1949
  • Profondeur : 1 280 m
  • Distance à forer : 1 280 m
  • Type : Conventionnel onshore grand
  • Réserve en place : 9,65 milliards de barils
  • Taux de récupération : 40 %
  • Réserve récupérable : 3,86 milliards de barils
  • Réserve déjà produite : 2,03 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 1,83 milliard de barils
  • Production journalière maximale enregistrée : 200 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production a été maintenue : De 1998 à 1999
  • Nombre de puits en activité : 0
  • Nombre de puits maximum enregistré en activité : 154
  • Production moyenne par puits en activité : 0 barils par jour
  • Production actuelle : 0 baril par jour
  • Fermeture du dernier puits : 2010
Le champ pétrolifère d'Erdschatten a été mis en réserve en 2011 suite à la découverte des réserves du plateau de Crystal et à leur mise en production. Cela signifie que, même si le gisement n’est pas épuisé, sa production est à l’arrêt. En cas de crise ou de rupture d’approvisionnement depuis le plateau de Crystal, Erdschatten pourrait être remis en service.


  • Découverte : 1999
  • Mise en production : 2000
  • Profondeur : 2 530 m
  • Distance à forer : 2 530 m
  • Type : Conventionnel onshore grand
  • Réserve en place : 4,29 milliards de barils
  • Taux de récupération : 27 %
  • Réserve récupérable : 1,16 milliard de barils
  • Réserve déjà produite : 0,55 milliard de barils
  • Réserve extractible restante : 0,61 milliard de barils
  • Production journalière maximale enregistrée : 160 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production a été maintenue : De 2004 à 2010
  • Nombre de puits en activité : 0
  • Nombre de puits maximum enregistré en activité : 180
  • Production moyenne par puits en activité : 0 barils par jour
  • Production actuelle : 0 baril par jour
  • Fermeture du dernier puits : 2010
Le champ pétrolifère d’ Eisenbrand a été mis en réserve en 2011 suite à la découverte des réserves du plateau de Crystal et à leur mise en production. Cela signifie que, même si le gisement n’est pas épuisé, sa production est à l’arrêt. En cas de crise ou de rupture d’approvisionnement depuis le plateau de Crystal, Eisenbrand pourrait être remis en service.


  • Découverte : 2010
  • Mise en production : 2011
  • Profondeur : 5 200 m sous le niveau de la mer
  • Distance à forer : environ 9 200 m
  • Type : Semi-conventionnel (haute altitude, plus grand froid) onshore super-géant
  • Réserve en place : 62 milliards de barils
  • Taux de récupération : 45 %
  • Réserve récupérable : 28 milliards de barils
  • Réserve déjà produite (2014) : 0,83 milliard de barils
  • Réserve extractible restante : 27,17 milliards de barils
  • Production journalière maximale estimée : 590 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production sera maintenue : De 2037 à 2050
  • Nombre de puits en activité : 80
  • Production moyenne par puits en activité : 7 375 barils par jour
  • Production actuelle (2014) : 570 000 barils par jour
  • Fermeture du dernier puits : Pas d’estimations
Le champ pétrolifère de Glutglimmer est un champ de pétrole non conventionnel de type arctique super-géant, mis en production en 2011. Celui-ci est situé sur le plateau de Crystal, une steppe de haute altitude (en moyenne à 4 000 m), dans l'est de Rasken. Sa mise en production fut difficile en raison des conditions du plateau, mais les quantités en jeu rendirent son exploitation rentable. Contrairement à ses cinq "frères", il sera uniquement destiné à alimenter le marché Raskenois et non à l'exportation. D’après les estimations, Glutglimmer pourrait continuer à produire à ce rythme jusqu'en 2070, voire au-delà.

Production exportation

  • Découverte : 2010
  • Mise en Production : 2011
  • Profondeur : 5700m sous le niveau de la mer
  • Distance à forer : environ 9700 m
  • Type : Semi-conventionnelle (haute altitude plus grand froid) onshore super-géant
  • Réserve en place : 80 milliards de barils
  • Taux de récupération : 47%
  • Réserve récupérable : 38 milliards de barils
  • Réserve déjà produite (2014): 0,84 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 37,16 milliards de barils
  • Production journalière maximale estimé : 1 100 000 barils par jour
  • Nombre de puits en activité : 132
  • Production moyenne par puits en activité : 8 333 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production sera maintenue : De 2014 à 2064
  • Production actuelle (2014) : 1 100 000 barils par jour
  • Fermeture du dernier puits : Pas d’estimations
Le champ pétrolifère de Schimmergold est un champ de pétrole semi-conventionnel de type arctique super-géant, mis en production en 2011. Celui-ci est situé sur le plateau de Crystal, une steppe de haute altitude (en moyenne à 4000 m) dans l'est de Rasken. Sa mise en production fut difficile en raison des conditions du plateau, mais les quantités en jeu rendirent son exploitation rentable. Contrairement à Glutglimmer, il sera uniquement destiné à alimenter le marché Raskenois et non à l'exportation. D'après les estimations, Schimmergold pourrait continuer à produire à ce rythme jusqu'en 2064, voire au-delà.


  • Découverte : 2010
  • Mise en Production : 2011
  • Profondeur : 6100m sous le niveau de la mer
  • Distance à forer : environ 10100 m
  • Type : Semi-conventionnelle (haute altitude plus grand froid) onshore super-géant
  • Réserve en place : 79 milliards de barils
  • Taux de récupération : 53%
  • Réserve récupérable : 42 milliards de barils
  • Réserve déjà produite (2014): 0,84 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 41,16 milliards de barils
  • Production journalière maximale estimé : 1 100 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production sera maintenue : De 2014 à 2064
  • Nombre de puits en activité : 126
  • Production moyenne par puits en activité : 8 730 barils par jour
  • Production actuelle (2014) : 1 100 000 barils par jour
  • Fermeture du dernier puits : Pas d’estimations
Le champ pétrolifère de Amethystglanz est un champ de pétrole semi-conventionnel de type arctique super-géant, mis en production en 2011. Celui-ci est situé sur le plateau de Crystal, une steppe de haute altitude (en moyenne à 4000 m) dans l'est de Rasken. Sa mise en production fut difficile en raison des conditions du plateau, mais les quantités en jeu rendirent son exploitation rentable. Contrairement à Glutglimmer, il sera uniquement destiné à alimenter le marché Raskenois et non à l'exportation. D'après les estimations, Amethystglanz pourrait continuer à produire à ce rythme jusqu'en 2064, voire au-delà.


  • Découverte : 2010
  • Mise en Production : 2011
  • Profondeur : 5400m sous le niveau de la mer
  • Distance à forer : environ 9400 m
  • Type : Semi-conventionnelle (haute altitude plus grand froid) onshore super-géant
  • Réserve en place : 91 milliards de barils
  • Taux de récupération : 47%
  • Réserve récupérable : 43 milliards de barils
  • Réserve déjà produite (2014): 0,84 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 42,16 milliards de barils
  • Production journalière maximale estimé : 1 100 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production sera maintenue : De 2014 à 2064
  • Nombre de puits en activité : 118
  • Production moyenne par puits en activité : 9 322 barils par jour
  • Production actuelle (2014) : 1 100 000 barils par jour
  • Fermeture du dernier puits : Pas d’estimations
Le champ pétrolifère de Rubinflex est un champ de pétrole semi-conventionnel de type arctique super-géant, mis en production en 2011. Celui-ci est situé sur le plateau de Crystal, une steppe de haute altitude (en moyenne à 4000 m) dans l'est de Rasken. Sa mise en production fut difficile en raison des conditions du plateau, mais les quantités en jeu rendirent son exploitation rentable. Contrairement à Glutglimmer, il sera uniquement destiné à alimenter le marché Raskenois et non à l'exportation. D'après les estimations, Rubinflex pourrait continuer à produire à ce rythme jusqu'en 2064, voire au-delà.


  • Découverte : 2010
  • Mise en Production : 2011
  • Profondeur : 5200m sous le niveau de la mer
  • Distance à forer : environ 9200 m
  • Type : Semi-conventionnelle (haute altitude plus grand froid) onshore super-géant
  • Réserve en place : 89 milliards de barils
  • Taux de récupération : 47%
  • Réserve récupérable : 42 milliards de barils
  • Réserve déjà produite (2014): 0,84 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 41,16 milliards de barils
  • Production journalière maximale estimé : 1 100 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production sera maintenue : De 2014 à 2064
  • Nombre de puits en activité : 120
  • Production moyenne par puits en activité : 9 166 barils par jour
  • Production actuelle (2014) : 1 100 000 barils par jour
  • Fermeture du dernier puits : Pas d’estimations
Le champ pétrolifère de Saphirkranz est un champ de pétrole semi-conventionnel de type arctique super-géant, mis en production en 2011. Celui-ci est situé sur le plateau de Crystal, une steppe de haute altitude (en moyenne à 4000 m) dans l'est de Rasken. Sa mise en production fut difficile en raison des conditions du plateau, mais les quantités en jeu rendirent son exploitation rentable. Contrairement à Glutglimmer, il sera uniquement destiné à alimenter le marché Raskenois et non à l'exportation. D'après les estimations, Saphirkranz pourrait continuer à produire à ce rythme jusqu'en 2064, voire au-delà.


  • Découverte : 2010
  • Mise en Production : 2011
  • Profondeur : 6700m sous le niveau de la mer
  • Distance à forer : environ 10700 m
  • Type : Semi-conventionnelle (haute altitude plus grand froid) onshore super-géant
  • Réserve en place : 111 milliards de barils
  • Taux de récupération : 53%
  • Réserve récupérable : 59 milliards de barils
  • Réserve déjà produite (2014): 1,06 milliards de barils
  • Réserve extractible restante : 58,94 milliards de barils
  • Production journalière maximale estimé : 1 600 000 barils par jour
  • Temps durant lequel cette production sera maintenue : De 2014 à 2064
  • Nombre de puits en activité : 157
  • Production moyenne par puits en activité : 10 191 barils par jour
  • Production actuelle (2014) : 1 600 000 barils par jour
  • Fermeture du dernier puits : Pas d’estimations
Le champ pétrolifère de Smaragdglut est un champ de pétrole semi-conventionnel de type arctique super-géant, mis en production en 2011. Celui-ci est situé sur le plateau de Crystal, une steppe de haute altitude (en moyenne à 4000 m) dans l'est de Rasken. Sa mise en production fut difficile en raison des conditions du plateau, mais les quantités en jeu rendirent son exploitation rentable. Contrairement à Glutglimmer, il sera uniquement destiné à alimenter le marché Raskenois et non à l'exportation. D'après les estimations, Smaragdglut pourrait continuer à produire à ce rythme jusqu'en 2064, voire au-delà.


Résumé

En résumé :

Au premier janvier 2014, Rasken compte au total dix gisements de pétrole, dont six figurent parmi les plus grands du monde. Sur ces dix gisements, quatre ont été mis en réserve en 2011, les six autres assurant désormais la totalité de la production. Les réserves s'établissent à 248 milliards de barils de pétrole brut. Sur ces 248 milliards, six sont du brut conventionnel, tandis que les 242 milliards restants sont classés dans la catégorie de pétrole semi-conventionnel*. Quant à la production, elle atteint 6,47 millions de barils par jour, une production pouvant être maintenue pendant au moins 50 ans grâce à la politique à long terme du pays. La prospection du sous-sol Raskenois elle, est presque terminée, et le potentiel de nouvelles découvertes est donc très faible, même si une bonne surprise n'est jamais à exclure.

*Le pétrole semi-conventionnel est un terme utilisé par Apex pour désigner des gisements possédant les mêmes caractéristiques que le conventionnel, mais qui présentent également de nombreux défis à relever pour pouvoir être exploités.


Pôles de raffinage
Apex
Raffinerie de Weindorf

En 2014, Rasken compte 4 sites de raffinage, dont 2 en activité, un en démolition et un en construction. La capacité de raffinage d'Apex est de 650 000 barils par jour et devrait augmenter sensiblement dans les prochaines années avec l'ouverture d'une nouvelle raffinerie.

Raffinerie

  • Nom : Raffinerie d’Eberstadt
  • Date de début de le construction : 1928
  • Mise en exploitation de l’installation : 1930
  • Date de fin d’exploitation de l’installation : 1970
  • Durée d’exploitation : 40 ans
  • Mise à niveau : 1954
  • Date de début de la démolition du site : 1974
  • Date de fin de la démolition du site : 1977
  • Technologie utilisée : Craquage catalytique fluide (FCC) *
  • Rendement : 72%
  • Capacité de raffinage de 1930 à 1953 : 50 000 barils
  • Capacité de raffinage de 1954 à 1970 : 80 000 barils
  • Émission de CO2 de 1930 à 1953 : 20 000 tonnes par jours soit 7,3 millions par an
  • Émission de CO2 de 1954 à 1970 : 32 000 tonnes par jours soit 11,68 millions par an
  • Nombre d’employé entre 1930 et 1954 : 750
  • Nombre d’employé entre 1954 et 1970 : 850
La raffinerie d’Eberstadt est la première raffinerie de l’entreprise Energy Kraft alors privée à l’époque. Celle-ci était initialement doté d’une capacité de raffinage de 40 000 barils par jour mais fut agrandie dans les année 50 (précisément en 1954) pour atteindre sa capacité maximale de 80 000 barils par jour. En 1970, il fut décidé de fermer définitivement la raffinerie car ses coup d’entretient explosé à cause son ancienneté.

  • Nom : Raffinerie de Bonnberg
  • Date de début de le construction : 1935
  • Mise en exploitation de l’installation : 1938
  • Date de fin d’exploitation de l’installation : 2008
  • Durée d’exploitation : 69 ans
  • Mise à niveau (modernisation) : 1975 et 1994
  • Date de début de la démolition du site : 2012
  • Date de fin de la démolition du site : 2015
  • Technologie utilisée de 1938 à 1975: Craquage catalytique fluide (FCC) *
  • Technologie utilisée de 1975 à 2008 : Hydrocraquage **
  • Rendement de 1938 à 1975 : 74%
  • Rendement de 1975 à 2008: 92 %
  • Capacité de raffinage de 1938 à 1974 : 100 000 barils
  • Capacité de raffinage de 1975 à 1993 : 150 000 barils
  • Capacité de raffinage de 1994 à 2008 : 200 000 barils
  • Émission de CO2 de 1938 à 1974 : 30 000 tonnes par jour soit 10,95 millions par an
  • Émission de CO2 de 1975 à 1993 : 67 500 tonnes par jour soir 24,64 millions par an
  • Émission de CO2 de 1994 à 2008 : 90 000 tonnes par jour soir 32,85 millions par an
  • Nombre d’employé entre 1938 et 1975: 700
  • Nombre d’employé entre 1975 et 1994: 640
  • Nombre d’employé entre 1994 et 2007: 410
La raffinerie de Bonnberg est la deuxième raffinerie construite par l’entreprise privée Energy Kraft. La construction de celle-ci commença en 1935 pour une mise en production en 1938, à l’origine, la raffinerie utilisé la même technologie que celle de Bonnberg pour une capacité de raffinage de 100 000 barils par jour. En 1975, Energy kraft se décidé de moderniser les installations, de la raffinerie, dès lors, la technologie utilisé fut celle de l’hydrocraquage et sa capacité de raffinage fut porté à 150 000 barils par jours. En 1994, viens une deuxième mise à niveau, portant la capacité de traitement à 200 000 barils par jour. Plus d’une décennie plus tard en 2007, il fut la décision de fermer définitivement la raffinerie, ses infrastructure devenait trop vieille et son coût d’entretien montait en flèche. Le site fut fermé l’année suivante et sa démolition devait commencer en 2009, mais les troubles qui secouèrent la région de 2009 à 2010 reportèrent le début des travaux en 2012. La fin des travaux de démolition devrait s’achever e 2015.

  • Nom : Raffinerie de Drache (au nord d’Eberstadt, remplace l’ancienne raffinerie)
  • Date de début de le construction : 1970
  • Mise en exploitation de l’installation : 1973
  • Date de fin d’exploitation de l’installation : Pas avant 2030 au moins
  • Durée d’exploitation : au moins 57 ans
  • Mise à niveau (modernisation) : 1992 et 2010
  • Date de début de la démolition du site : XXXX
  • Date de fin de la démolition du site : XXXX
  • Technologie utilisée de 1973 à 1992 : Hydrocraquage **
  • Technologie utilisée de 1992 à 2010 : Conversion complète (Cokéfaction retardée, Alkylation, Isomérisation) ***
  • Technologie utilisée de 2010 à XXXX : Rajout de la technologie de Capture et séquestration de carbone ***/*
  • Rendement de 1973 à 1992 : 93%
  • Rendement de 1992 à 2010 : 100%
  • Rendement de 2010 à XXXX : 100%
  • Capacité de raffinage de 1973 à 1992 : 150 000 barils
  • Capacité de raffinage de 1993 à 2009 : 250 000 barils
  • Capacité de raffinage de 2010 à XXXX : 250 000 barils
  • Émission de CO2 de 1973 à 1992 : 60 000 tonnes par jour soit 21,9 millions par an
  • Émission de CO2 de 1993 à 2009 : 75 000 tonnes par jour soir 27,38 millions par an
  • Émission de CO2 de 2010 à XXXX : 25 000 tonnes par jour soir 2,19 millions par an
  • Nombre d’employé entre 1973 et 1992: 430
  • Nombre d’employé entre 1992 et 2010: 370
  • Nombre d’employé entre 2010 et XXXX: 320
La raffinerie de Drache est la troisième raffinerie du pays, elle fut mise en exploitation en 1973 durant la guerre civile de 1951-1976 est la deuxième plus grosse raffinerie à être entrée en service sur le sol Raskenois même si cela devrait prochainement changer. Initialement équipé de la technologie d’hydrocraquage pour une capacité de 150 000 barils par jours, elle fut modernisé en 1992 utilisant désormais la technologie de conversion complète (Cokéfaction retardée, Alkylation, Isomérisation). Atteignant maintenant un rendement de 100 % elle fut également agrandi, sa capacité de traitement fut augmenter de 100 000 barils par jour atteignant désormais une capacité de 250 000 barils par jours. Très récemment en 2010, la raffinerie fut équipé de la technologie de Capture et Séquestration de Carbone (CSC) réduisant ses émissions de 92%

  • Nom : Raffinerie d’Hamförd
  • Date de début de le construction : 1990
  • Mise en exploitation de l’installation : 1994
  • Date de fin d’exploitation de l’installation : Pas de date pour le moment
  • Durée d’exploitation : Aucune date prévu
  • Mise à niveau (modernisation) : 2004 et 2011
  • Date de début de la démolition du site : XXXX
  • Date de fin de la démolition du site : XXXX
  • Technologie utilisée de 1994 à 2011 : Conversion complète (Cokéfaction retardée, Alkylation, Isomérisation) ***
  • Technologie utilisée de 2011 à XXXX : Rajout de la technologie de Capture et séquestration de carbone ***/*
  • Rendement de 1994 à 2011 : 100%
  • Rendement de 2011 à XXXX : 100%
  • Capacité de raffinage de 1994 à 2004 : 200 000 barils
  • Capacité de raffinage de 2005 à 2010 : 400 000 barils
  • Capacité de raffinage de 2011 à XXXX : 400 000 barils
  • Émission de CO2 de 1994 à 2004 : 60 000 tonnes par jour soit 21,9 millions par an
  • Émission de CO2 de 2005 à 2010 : 120 000 tonnes par jour soir 43,8 millions par an
  • Émission de CO2 de 2011 à XXXX : 32 000 tonnes par jour soir 3,5 millions par an
  • Nombre d’employé entre 1994 et 2004: 730
  • Nombre d’employé entre 2004 et 2011: 840
  • Nombre d’employé entre 2011 et XXXX: 670
La raffinerie d’Hamförd est actuellement la plus grande raffinerie du pays, mise en exploitation en 1994, celle-ci avait originellement une capacité de raffinage de 200 000 barils, le procédé alors utilisé était la conversion complète (Cokéfaction retardée, Alkylation, Isomérisation). En 2004, viens un agrandissement du site, la capacité de raffinage fut alors doublé ainsi que ses émissions de CO2. Viens alors en 2011 un grand plan visant à réduire au maximum les émissions de la raffinerie, grâce à une installation de CSC lourde, les émissions du site passèrent de 43,8 millions de tonne par an à "seulement" 11,68 soit une division par 3,75.


  • Nom : Raffinerie de Weindorf (situé à coté du site de l’ancienne raffinerie de Bonnberg)
  • Date de début de le construction : 2011
  • Mise en exploitation de l’installation à pleine puissance : 2016
  • Date de fin d’exploitation de l’installation : Pas de date pour le moment
  • Durée d’exploitation : Aucune date prévu
  • Mise à niveau (modernisation) : XXXX
  • Date de début de la démolition du site : XXXX
  • Date de fin de la démolition du site : XXXX
  • Technologie utilisée de 2015 à XXXX : Raffinage par Plasma avec technologie de Capture et
  • séquestration de carbone ***/**
  • Rendement de 2015 à XXXX : 100%
  • Capacité de raffinage de 2015 à XXXX : 1 000 000 barils par jour
  • Émission de CO2 de 2015 à XXXX : 40 000 tonnes par jour soit 1,2 millions par an
  • Nombre d’employé entre 2015 et XXXX: 640
La construction de la raffinerie de Weindorf à début en 2011 et devrais s’achever en 2016, Weindorf à pour objectif de servir de vitrine technologique et du savoir faire d’Apex. Avec une capacité de raffinage de un millions de barils par jour la raffinerie de Weindorf ferra partie des plus grande raffinerie du monde cependant, même si elle n’est pas la plus grande, elle sera la plus avancé en terme de technologie utilisé. Malgré ses un millions de barils traité quotidiennement, elle émettra à peine plus que la raffinerie d’Hamförd malgré que sa production est plus de deux fois inférieur. Tout cela est du à la technologie utilisé, en effet, à la différence des ses deux sœur, Weindorf utilise la technologie de raffinage par plasma*** et non celle de la conversion complète (Cokéfaction retardée, Alkylation, Isomérisation). Couplé à cela un système de capture et séquestration de carbone fait que la raffinerie n’émet "que" 0,0033 tonnes de CO2 par baril traité contre 0,08 pour la technologie de conversion complète.


* La technologie de Craquage Catalytique Fluide (FCC), fonctionne en transformant les fractions lourde du pétrole en fraction plus légère comme l’essence par distillation. La fraction lourde restante est alors chauffé puis mis en contacte d’un catalyseur qui accélère la rupture des grandes molécules en plus petites. Ce procédé est une avancé significative en comparaison des précédente technologie qui plafonnait à 60 % voire 30 % pour les plus ancienne.

** La technologie d'hydrocraquage utilise de l’hydrogène et un catalyseur sous haute pression et température afin que l’hydrogène brise les grandes molécules des fractions lourdes pour en créer des plus petites et plus légères. Cette technologie améliore significativement le rendement de l’installation, qui peut atteindre 90 à 95 %, et en parallèle, cette méthode de raffinage contribue à la réduction des impuretés dans le produit fini, comme le soufre, améliorant donc grandement leur qualité. En plus de tout cela, le processus est très flexible, ce qui permet à la raffinerie d’adapter sa production aux demandes du marché.

*** La technologie de raffinage par conversion complète est en fait une combinaison de plusieurs technologies afin de maximiser le rendement de l’installation, qui peut atteindre 100 %. Cette technologie a l’avantage de ne laisser quasiment aucun résidu, augmentant ainsi la part de produit fini pouvant être valorisé.

***/* La technologie de capture et séquestration de carbone (CSC) sur une raffinerie consiste à capter le dioxyde de carbone (CO₂) produit lors des processus de raffinage afin de le stocker dans des formations géologiques plutôt que de le relâcher dans l’atmosphère. Afin de capter le CO₂, il est séparé des gaz d'échappement ; une fois isolé, il est comprimé et transporté jusqu’à son lieu de stockage définitif.

***/** La technologie de raffinage par plasma est le summum de ce qu’est capable de faire Apex. Cette méthode à la pointe de la technologie utilise un arc de plasma pour générer des températures extrêmement élevées qui décomposent les hydrocarbures lourds du pétrole brut en produits plus légers comme l'essence et le diesel. De telles températures permettent une décomposition plus rapide et efficace des composants lourds, limitant au maximum les pertes. L’énergie apportée par le plasma permet de réduire au maximum la formation de résidus ainsi que d’améliorer la pureté des produits finaux.


Pôles de transport, stockage et exportation

Apex Energy

Apex
De gauche à droite : Oléoduc alimentant la raffinerie de Weindorf / Dépôt de pétrole de Mielaska / Port pétrolier de Lengenbruck

Du fait de son histoire pétrolière très ancienne, le réseau de transport et de stockage de pétrole sur le territoire Raskenois était déjà extrêmement développé ; cependant, après 2011, il fut grandement agrandi afin de transporter le pétrole brut du plateau de Crystal. Avant 2011, il s’établissait déjà sur plus de 1 400 km sur tout Rasken, mais après les découvertes du plateau de Crystal, il fut sensiblement agrandi. Juste après l’annonce des vastes découvertes du plateau de Crystal, fut lancé le vaste projet d’oléoduc Mer-Crystal, qui visait à acheminer les quelques 6,5 millions de barils que produirait quotidiennement le plateau de Crystal une fois sa production de croisière atteinte. En 2012 fut inauguré l’oléoduc Mer-Crystal Sud, d’une capacité de transport de 2,5 millions de barils par jour. Il ajouta à lui seul près de 840 km au réseau existant. En 2013, l’extension nord du projet Mer-Crystal fut terminée, avec une capacité de transport de 2,3 millions de barils par jour et une longueur de 380 km. En mars 2014, l’extension centrale du réseau fut achevée, rajoutant 260 km au réseau et une capacité de transport de 2 millions de barils par jour, portant la capacité totale du réseau Mer-Crystal à 6,8 millions de barils par jour. La capacité de Mer-Crystal est légèrement surdimensionnée afin de pouvoir réagir en conséquence si un surplus de pétrole doit transiter. Après sa dernière extension, le réseau de transport de pétrole sur le territoire Raskenois atteint au total près de 2 890 km. En parallèle des extensions, le réseau d’oléoducs Raskenois fut également soumis à un vaste programme de rénovation afin de le porter aux standards actuels.

Rasken compte au total 6 dépôts de pétrole pour une capacité totale de 150 millions de barils de pétrole brut, soit quasiment 9 mois de consommation nationale. Sur le territoire Raskenois, il existe deux types de dépôts de pétrole : les dépôts historiques, comme ceux de Mielaska ou d'Eberstadt, qui existent depuis de nombreuses décennies, et les dépôts récents. Dans cette catégorie, il n’existe que deux dépôts, et tous deux se situent sur le plateau de Crystal. À eux deux, ils représentent un tiers des capacités de stockage de Rasken.

Avant 2011, il n’existait pas de ports pétroliers, car la politique Raskenoise en matière d’énergie visait la plus grande autonomie possible, ce qui a mené à la politique d’exploitation pétrolière limitée. Dans ces conditions, l’exportation ou l’importation n’avait pas leur place. Cependant, depuis l’annonce des vastes découvertes du plateau de Crystal et de l’abrogation de la loi de limitation sur la production pétrolière, la construction de ports pétroliers est devenue une priorité pour écouler les plus de 6 millions de barils extraits quotidiennement. Entre 2011 et 2014, trois ports furent adaptés pour accueillir les plus gros pétroliers du monde. L’exemple le plus marquant étant le port de Bonnberg, qui peut maintenant accueillir des pétroliers faisant jusqu’à 400 mètres de long pour 75 de large. Depuis sa finalisation, Bonnberg exporte en moyenne 2,1 millions de barils par jour. Le port d’Osterwald, lui, traite en moyenne 1,2 million de barils par jour ; cependant, sa construction n’est pas achevée à 100 %, et sa capacité devrait à terme passer à 1,6 million de barils par jour. Enfin, il y a le port de Lengenbruck, achevé en avril 2014, qui est en capacité d’exporter 1,4 million de barils chaque jour. À l’origine, il était prévu d’agrandir le port de Lengenbruck, mais l’émergence du projet Elysium a conduit à reconsidérer puis annuler cette extension.
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