26/02/2015
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[RP] Le début de la fin ?

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Tout ce passe ici et maintenant...

Qu’est-ce qu’il se passe... ah mon crâne, j'ai mal... Ce dit le jeune soldat Vass Ákos, regardant ses mains couvertes de sang et de crasse. Et oui peu avant il y eu une séries d'explosions, qui avait été provoquée par des bombes disséminées un peu partout autour de la Grand Place Csatár Vilmos, notamment une avait été placées près de la tribune présidentielle...

Un homme : Le leader ! Cria Bognár Dénes, le garde du corp de Willi Sommerfeld.
Un deuxième homme : Bah quoi "le leader", il y a quoi ? Demanda Márkó Kocsis encore un peu sonné par la détonation.
Bognár Dénes : Je...je...crois qu'il est mort... Répondant à son camarade et en regardant le corps du président couvert de sang.
Márkó Kocsis : Putain, fais chier... reste ici je vais essayer de trouver un médecin, j'arrive ! S'exclama t-il.

Mais retournons un peu plus tôt...

05/06/2014
Hagsburg
Grand Place Csatár Vilmos :

Tout le monde est ici, sur les estrades, la parade va bientôt commencer, la tribune présidentielle est remplie... tout le monde se lève pour l'hymne national chanté par les militaires commencent à défiler :
Pour la liberté
Soldats Trangoskove
Les Soldats du 345ème Bataillon d'infanterie de Prešlava

L'hymne passé les soldats se mirent en rangs serrés en face de la tribune présidentielle pour écouter l'allocution du président :

Cadets Trangoskoves
Cadets de l'Ecole Populaire d'Officier et de Commissaires

Willi Sommerfeld a écrit :Mesdames, messieurs et chers soldats,
Je vous remercie d'être ici ce 5 juin, pour commémorer notre victoire sur le fascisme et nos valeureux aïeuls tombés pour notre liberté !
Comme vous le savez, notre sécurité nationale est menacée par une bandes de fascistes arrogants en voulants à notre liberté, nous ne nous laisseront pas faire, nous allons nous battre comme nos ancêtres !
Soyons victorieux !
Quoi qu'il en soit je vous laisse profiter de ce défilé, Vive la République, le communisme et gloire au Transgoskovir !

Pendant ce temps ci dans 10 fourgons à 3 pâtés de maisons de la place, se cache des hommes de la rache armés, prêts à se battre... mais attendant un signal pour se déployer.
Dans un des fourgons :
Un homme parlant à un autre : Bon je m'ennuis ! Elles explosent quand les bombes Hans ?
Hans : Patience, les bombes explosent dans 3 minutes... pendant ce temps là Otto prépare toi. Rétorqua-t-il à son collègue.
Otto : Pfff toujours patienter...

De retour sur la Place... les chars de fabrication Loduarienne les fameux TC-30 commencèrent à passer devant la tribune des officiels :

TC-30
Les chars TC-30 du 1er Régiment de Hussards Motorisés

Mladen Volny : Camarade président ces chars sont conduits par des soldats récemment entraînés par des instructeurs Loduariens experts dans le domaine des blindés. Dit-il en s'adressant à Willi Sommerfeld.
Willi Sommerfeld : Bien, avec ces nouveaux blindés nous botterons le cul à ces fascistes ! Rétorqua-t-il.
Mladen Volny : Bon, camarade je dois vous laisser on m'attends à la gare malheureusement... des membres de ma famille, vivant à l'autre bout du pays viennent me rendre visite.
Willi Sommerfeld : Aurevoir, camarade... Dit-il en regardant le Maréchal le saluer et partir.

Aussitôt que le Maréchal s'est éloigné, les charges explosèrent près des tribunes, Tuant; blessant ou effrayant toutes personnes aux alentours. La première explosion avait tuée plusieurs personnes du gouvernement :
  • Le Président et Premier Secrétaire du Parti : Willi Sommerfeld
  • Le ministre de l'intérieur : Miksa Levente
  • Le ministre des ouvriers : Vörös Dénes
Les explosions suivantes créèrent un mouvement de foule, elles furent aussi le signal d'assaut pour les troupes de la rache qui arrivèrent sur la place au pas de course et en tirant sur le public effrayé.Les soldats Trangoskoves n'ayant pas leurs armes chargées ne peuvent rien faire contre cet assaut. Mais les chars eux se mirent face à l'ennemi et chargèrent leurs canons d'obus explosif. Il ouvrirent le feu sur les raches et décimèrent la plus part d'entre eux, les survivants essayèrent de se réfugier dans les bâtiments de la place mais furent stoppés par des renforts envoyés de la caserne la plus proche et furent exécutés dans la minute.

Le Maréchal Volny fut interpelé par les bruits de fusillades sur la place et revint en courant et demanda à ses subordonnés :
Maréchal Volny : C'est quoi ce bordel ici !
Un Lieutenant : Camarade Maréchal, il y a eu un attentat sur la place. Répondit le lieutenant
Maréchal Volny : Je vois bien, je vois bien... mais qui sont les victimes et les commanditaires. Vous comprenez Camarade Lieutenant ?
Le Lieutenant : Bien sûr camarade mais... malheureusement le camarade président est mort ! Et plusieurs autres membres du Gouvernement placés autour du président. Nous ne savons rien sur les assaillants pour le moment.
Maréchal Volny : Cette nouvelle m'attriste bien fortement... nous devons réunir au plus vite les membres du gouvernement encore de ce monde !
Le Lieutenant : Mais Camarade...
Maréchal Volny : Il n'y a pas de "mais" qui tienne, faites mettre à l'abri les civils au cas où à une seconde attaque ! Et rassembler tous les membres du gouvernement au Szabók Palotája.
Le Lieutenant : Bien, Maréchal.

Le Maréchal s'éloignât de la place et rentra dans une voiture noire vers le Szabók Palotája... à suivre
1602
Des questions...

Dans les couloirs du palais, c'est l'effervescence tout le monde rejoint sont poste. Les agents de renseignements, l'état major, et la police, tout le monde essaie de trouver, pourquoi une attaque aujourd'hui et qui en est le commanditaire?

Peu de temps après l'attaque
Hagsburg
Szabók Palotája, salle de crise :

salle de crise

Mladen Volny : Alors ?! Vous avez pu établir une liste ? Demanda le maréchal assis dans la salle.
Un secrétaire : Non pas encore, mais nous ne pensons pas que cette attaque a pu être commanditée par des nations communistes ou des pays voisins.
Mladen Volny : Bon faites moi un rapport quand vous aurai trouvé. L'homme sortit de la salle pour retourner au travail.
Et vous ! Dit le maréchal en s'adressant à un homme à la porte. Apportez moi un café !
Le premier ministre se leva de sa chaise et demanda...
Novák Adrián : Ce n'est pas tout ça mais qui prendra la tête du parti et de la nation ?
Nikita Mehic : C'est une bonne question Camarade Ministre... On pourrait proposer des candidats a nos assemblées et qui serait élu. Qu'en pensez vous camarades ?
Mladen Volny : Je pense Camarade Nikita que ce système est bien trop long. Il en faudrait un plus rapide...
Novák Adrián : Dans ce cas je pense que nous devrions voter entre nous. On la fait à la courte-pailles?
Mladen Volny : Bon d'accord... C'est celui qui à la plus petite qui gagne non? Dit-il d'un air amusé Allé on tire.
Nikita Mehic : Vous avez la plus petite? Demanda d'un air soucieux.
Novák Adrián : Non dutout. Dit-il tristement.
Les regards se tournèrent vers le fond de la salle sur un seul et même homme : le Maréchal du Peuple Mladen Volny et qui leur dit : J'ai la plus petite !
Novák Adrián : Maintenant ce problème résolu maintenant qui à provoqué cette attaque cela reste un mystère...
Mladen Volny proclamé président du Transgoskovir se leva de son siège et s'avança de la fenêtre et dit : Nous l'ignorons toujours mais nous finirons par trouver ces salauds.
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