Qu’est-ce qu’il se passe... ah mon crâne, j'ai mal... Ce dit le jeune soldat Vass Ákos, regardant ses mains couvertes de sang et de crasse. Et oui peu avant il y eu une séries d'explosions, qui avait été provoquée par des bombes disséminées un peu partout autour de la Grand Place Csatár Vilmos, notamment une avait été placées près de la tribune présidentielle...
Un homme : Le leader ! Cria Bognár Dénes, le garde du corp de Willi Sommerfeld.
Un deuxième homme : Bah quoi "le leader", il y a quoi ? Demanda Márkó Kocsis encore un peu sonné par la détonation.
Bognár Dénes : Je...je...crois qu'il est mort... Répondant à son camarade et en regardant le corps du président couvert de sang.
Márkó Kocsis : Putain, fais chier... reste ici je vais essayer de trouver un médecin, j'arrive ! S'exclama t-il.
Mais retournons un peu plus tôt...
05/06/2014
Hagsburg
Grand Place Csatár Vilmos :
Tout le monde est ici, sur les estrades, la parade va bientôt commencer, la tribune présidentielle est remplie... tout le monde se lève pour l'hymne national chanté par les militaires commencent à défiler :
L'hymne passé les soldats se mirent en rangs serrés en face de la tribune présidentielle pour écouter l'allocution du président :
Je vous remercie d'être ici ce 5 juin, pour commémorer notre victoire sur le fascisme et nos valeureux aïeuls tombés pour notre liberté !
Comme vous le savez, notre sécurité nationale est menacée par une bandes de fascistes arrogants en voulants à notre liberté, nous ne nous laisseront pas faire, nous allons nous battre comme nos ancêtres !
Soyons victorieux !
Quoi qu'il en soit je vous laisse profiter de ce défilé, Vive la République, le communisme et gloire au Transgoskovir !
Pendant ce temps ci dans 10 fourgons à 3 pâtés de maisons de la place, se cache des hommes de la rache armés, prêts à se battre... mais attendant un signal pour se déployer.
Dans un des fourgons :
Un homme parlant à un autre : Bon je m'ennuis ! Elles explosent quand les bombes Hans ?
Hans : Patience, les bombes explosent dans 3 minutes... pendant ce temps là Otto prépare toi. Rétorqua-t-il à son collègue.
Otto : Pfff toujours patienter...
De retour sur la Place... les chars de fabrication Loduarienne les fameux TC-30 commencèrent à passer devant la tribune des officiels :
Mladen Volny : Camarade président ces chars sont conduits par des soldats récemment entraînés par des instructeurs Loduariens experts dans le domaine des blindés. Dit-il en s'adressant à Willi Sommerfeld.
Willi Sommerfeld : Bien, avec ces nouveaux blindés nous botterons le cul à ces fascistes ! Rétorqua-t-il.
Mladen Volny : Bon, camarade je dois vous laisser on m'attends à la gare malheureusement... des membres de ma famille, vivant à l'autre bout du pays viennent me rendre visite.
Willi Sommerfeld : Aurevoir, camarade... Dit-il en regardant le Maréchal le saluer et partir.
Aussitôt que le Maréchal s'est éloigné, les charges explosèrent près des tribunes, Tuant; blessant ou effrayant toutes personnes aux alentours. La première explosion avait tuée plusieurs personnes du gouvernement :
- Le Président et Premier Secrétaire du Parti : Willi Sommerfeld
- Le ministre de l'intérieur : Miksa Levente
- Le ministre des ouvriers : Vörös Dénes
Le Maréchal Volny fut interpelé par les bruits de fusillades sur la place et revint en courant et demanda à ses subordonnés :
Maréchal Volny : C'est quoi ce bordel ici !
Un Lieutenant : Camarade Maréchal, il y a eu un attentat sur la place. Répondit le lieutenant
Maréchal Volny : Je vois bien, je vois bien... mais qui sont les victimes et les commanditaires. Vous comprenez Camarade Lieutenant ?
Le Lieutenant : Bien sûr camarade mais... malheureusement le camarade président est mort ! Et plusieurs autres membres du Gouvernement placés autour du président. Nous ne savons rien sur les assaillants pour le moment.
Maréchal Volny : Cette nouvelle m'attriste bien fortement... nous devons réunir au plus vite les membres du gouvernement encore de ce monde !
Le Lieutenant : Mais Camarade...
Maréchal Volny : Il n'y a pas de "mais" qui tienne, faites mettre à l'abri les civils au cas où à une seconde attaque ! Et rassembler tous les membres du gouvernement au Szabók Palotája.
Le Lieutenant : Bien, Maréchal.
Le Maréchal s'éloignât de la place et rentra dans une voiture noire vers le Szabók Palotája... à suivre