21/02/2015
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Activités étrangères en Icamie

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Activités étrangères en Icamie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Icamie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de l'Icamie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
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Annonce du premier ministre de la république populaire de Rosevosky, Helarus Guivenos.
9/11/2014

En tant que Premier ministre de notre glorieuse République populaire, et avec l'approbation de notre honorable et éminent chef, Klaus Annouil, je vous présente une liste de nations qui ont été dévorées par des vices tels que la religion, les croyances et l'impérialisme. Cette liste expose des nations honteusement corrompues par ces fléaux, et il est fortement déconseillé à notre population d'entrer en contact avec des personnes venant de ces pays, ou même de s’y rendre, afin d’éviter toute contamination et d’être entraînés dans l'ignorance. Voici la liste :

La République de Pal Ponantaise, comme l’a dit Monsieur Klaus Annouil, est une nation dont la population s'est laissée corrompre par des cultes et des sectes, les rendant stupides.

La République Fédérative d'Icamie, cette nation et sa population se soumettent à une culture ridicule, marquée par la criminalité et la pauvreté qui gangrènent ce pays immonde. Au lieu de travailler et de servir leur misérable patrie, ils préfèrent prier des dieux qui n'existent pas. Seul le parti UNIDEP a réellement compris le véritable fonctionnement de la politique dans ce pays qui semble perdu.

Le Califat Constitutionnel d'Azur et la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, deux nations soumises à un islamisme absurde, basé sur des légendes encore plus ridicules.
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Déploiement des troupes jashuriennes en Icamie – 22-01-2014

Le Contingent d’Intervention Extérieur (ou CIE) de la Troisième République du Jashuria avait débarqué à Marianopolis le 20 janvier 2014, surveillé à la fois par la marine alguareno et par la marine icamienne. Les escortes maritimes avaient accompagné le détachement jashurien jusqu’au port, où les équipes avaient été accueillies par les autorités icamiennes en faction. Les ordres de mission, transmis par l’Etat-major, rendaient compte d’une mission pour le moins plutôt simple : sécuriser la frontière icamienne avec l’Osno, afin d’éviter que la crise qui ravageait le pays, ne finisse par déborder sur ce pays allié du Jashuria.

L’aide envoyée par le Jashuria était surtout constituée de troupes d’infanterie appartenant au Contingent d’Intervention Extérieur entrainées aux situations de crise et au combat de jungle. La frontière icamienne avec l’Osno était une large frontière de plus de 700km, qui jusqu’à présent, était surveillée par les troupes icamiennes, peu nombreuses et mal armées. Il était à prévoir que l’armée icamienne puisse être débordée dans ses missions de surveillance et de contrôle si d’aventure, les habitants de l’Osno se mettaient en tête de traverser la frontière pour fuir la guerre civile. Le risque était de taille, car l’arrivée impromptue de migrants légaux et de clandestins sur des frontières mal gardées risquait d’accentuer la pression sur l’Icamie et potentiellement devenir un foyer de résistance aux troubles qui ravageaient le pays, impliquant de ce fait l’Icamie alors que jusqu’à présent, elle restait neutre.

Le risque de voir la situation déraper était trop grand, non seulement pour le commerce régional, mais aussi pour la stabilité de l’Icamie, qui restait un pays à fort potentiel de développement et l’un des rares pays avec lequel le Jashuria entretenait des relations particulièrement fructueuses – avec l’Alguarena – dans la région. Consolider l’Icamie, aux côtés de l’Alguarena, c’était s’assurer qu’à terme, le contrôle du commerce régional ne soit plus régulé que par un seul acteur mais par plusieurs Etats responsables, capable de mettre le holà aux velléités des dictatures locales. L’Etat-major jashurien avait estimé, suite à la demande du Cercle Intérieur, qu’il était plus que raisonnable d’envoyer un contingent pour appuyer les missions de l’armée icamienne dans la région. Outre l’expérience de terrain inestimable, il s’agissait aussi de former les soldats jashuriens à travailler avec les Icamiens, quand bien même aucun pacte défensif n’avait été signé entre les deux pays. Pourtant, malgré cette relative absence d’accords militaires signés entre les deux pays, les deux entités politiques avaient convenu que l’arrivée prochaine d’un détachement des forces militaires jashuriennes ne serait pas de trop pour aider à la mise en place de postes frontières et de patrouilles à la frontière osno-icamienne.

Les troupes jashuriennes eurent tôt fait de débarquer et d’être transportées à la frontière pour leur briefing de mission. A mesure que les Jashuriens rejoignaient par petites équipes les troupes icamiennes, les logisticiens montaient les campements provisoires et les casernes afin que tous soient accomodés et que le matériel et puisse être mis à l’abri. Les Jashuriens firent de leur mieux pour ne pas troubler par leur présence les forces militaires icamiennes et décharger tranquillement. Les troupes au sol seraient appuyées par la flotte jashurienne, aidée par l’aviation, afin de mener des repérages par drones à la frontière et d’informer rapidement les escouades de l’évolution de la situation si d’aventure, les Osniens commençaient à essayer de traverser illégalement la frontière. Les troupes du Contingent d’Intervention Extérieur planifièrent méticuleusement avec les troupes icamiennes le repérage des différents postes-frontières et des itinéraires de patrouille, afin de parer à tout imprévu et de renforcer le filet de sécurité. Il était important que les troupes jashuriennes se familiarisent rapidement avec la topographie du terrain, les éventuels angles morts et les zones de ravitaillement.

Les forces aériennes jashuriennes s’étaient établies dans une base aérienne prêtée par l’armée icamienne. L’endroit, désaffecté depuis des années, était suffisamment reculé pour ne pas se retrouver trop proche de la frontière, mais suffisamment près pour que les avions puissent intervenir sur zone sans délais. Le commandement de la force d’intervention avait nommé cet endroit Bolivar Echo, et malgré les moustiques, l’endroit restait suffisamment agréable et pouvait être ravitaillé efficacement depuis les localités alentours, tandis que les troupes jashuriennes étaient déployées sur les avant-postes icamiens. Il restait encore beaucoup à faire pour rendre cette base pleinement opérationnelle, mais l’Etat-major jashurien avait déjà l’expérience de ce genre de procédure, ayant fait ses armes à Nulle-Part et à Cochise IV, ainsi qu’au Mokhai. L’établissement d’une place fortifiée ne poserait aucun problème dans les premières semaines et l’acheminement du matériel n’était qu’une formalité. Les Jashuriens ne se mêleraient pas des affaires locales et continueraient leur mission auprès des forces icamiennes comme demandé jusqu’à ce qu’on leur demande de se retirer.

Au port de Marianopolis, la marine jashurienne profitait de l’occasion pour découvrir les merveilles de la culture icamienne. Le porte-avion jashurien de la flotte d’Azur avait été affrété pour recevoir le matériel directement depuis Azur et pouvait servir de tête-de-pont pour répartir les cargaisons et les envoyer par camion ou par convoi aérien au travers du pays. Les opérations semblaient correctement se profiler. Il ne restait plus qu’à espérer que les Osniens ne commettent pas l’impair d’étendre leur conflit au reste de la région. Le Jashuria ne souhaitait pas spécialement prendre part aux forces d’intervention visant à mettre au pas le dictateur autoproclamé, mais il restait vigilant à la possibilité que l’on puisse faire appel à ses forces pour pacifier la région. Dans tous les cas, mieux valait être prêt.


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