18/09/2016
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Activités étrangères en Icamie

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Activités étrangères en Icamie

Ce topic est ouvert à tous les joueurs possédant un pays validé. Vous pouvez publier ici les RP concernant les activités menées par vos ressortissants en Icamie. Ceux-ci vous permettront d’accroître l'influence potentielle de votre pays sur les territoires locaux. Veillez toutefois à ce que vos écrits restent conformes au background développé par le joueur de l'Icamie, sinon quoi ils pourraient être invalidés.
Personnages protégés :
-Maxime Che Fang
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Annonce du premier ministre de la république populaire de Rosevosky, Helarus Guivenos.
9/11/2014

En tant que Premier ministre de notre glorieuse République populaire, et avec l'approbation de notre honorable et éminent chef, Klaus Annouil, je vous présente une liste de nations qui ont été dévorées par des vices tels que la religion, les croyances et l'impérialisme. Cette liste expose des nations honteusement corrompues par ces fléaux, et il est fortement déconseillé à notre population d'entrer en contact avec des personnes venant de ces pays, ou même de s’y rendre, afin d’éviter toute contamination et d’être entraînés dans l'ignorance. Voici la liste :

La République de Pal Ponantaise, comme l’a dit Monsieur Klaus Annouil, est une nation dont la population s'est laissée corrompre par des cultes et des sectes, les rendant stupides.

La République Fédérative d'Icamie, cette nation et sa population se soumettent à une culture ridicule, marquée par la criminalité et la pauvreté qui gangrènent ce pays immonde. Au lieu de travailler et de servir leur misérable patrie, ils préfèrent prier des dieux qui n'existent pas. Seul le parti UNIDEP a réellement compris le véritable fonctionnement de la politique dans ce pays qui semble perdu.

Le Califat Constitutionnel d'Azur et la Fédération Centrale Démocratique d'Antegrad, deux nations soumises à un islamisme absurde, basé sur des légendes encore plus ridicules.
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Déploiement des troupes jashuriennes en Icamie – 22-01-2014

Le Contingent d’Intervention Extérieur (ou CIE) de la Troisième République du Jashuria avait débarqué à Marianopolis le 20 janvier 2014, surveillé à la fois par la marine alguareno et par la marine icamienne. Les escortes maritimes avaient accompagné le détachement jashurien jusqu’au port, où les équipes avaient été accueillies par les autorités icamiennes en faction. Les ordres de mission, transmis par l’Etat-major, rendaient compte d’une mission pour le moins plutôt simple : sécuriser la frontière icamienne avec l’Osno, afin d’éviter que la crise qui ravageait le pays, ne finisse par déborder sur ce pays allié du Jashuria.

L’aide envoyée par le Jashuria était surtout constituée de troupes d’infanterie appartenant au Contingent d’Intervention Extérieur entrainées aux situations de crise et au combat de jungle. La frontière icamienne avec l’Osno était une large frontière de plus de 700km, qui jusqu’à présent, était surveillée par les troupes icamiennes, peu nombreuses et mal armées. Il était à prévoir que l’armée icamienne puisse être débordée dans ses missions de surveillance et de contrôle si d’aventure, les habitants de l’Osno se mettaient en tête de traverser la frontière pour fuir la guerre civile. Le risque était de taille, car l’arrivée impromptue de migrants légaux et de clandestins sur des frontières mal gardées risquait d’accentuer la pression sur l’Icamie et potentiellement devenir un foyer de résistance aux troubles qui ravageaient le pays, impliquant de ce fait l’Icamie alors que jusqu’à présent, elle restait neutre.

Le risque de voir la situation déraper était trop grand, non seulement pour le commerce régional, mais aussi pour la stabilité de l’Icamie, qui restait un pays à fort potentiel de développement et l’un des rares pays avec lequel le Jashuria entretenait des relations particulièrement fructueuses – avec l’Alguarena – dans la région. Consolider l’Icamie, aux côtés de l’Alguarena, c’était s’assurer qu’à terme, le contrôle du commerce régional ne soit plus régulé que par un seul acteur mais par plusieurs Etats responsables, capable de mettre le holà aux velléités des dictatures locales. L’Etat-major jashurien avait estimé, suite à la demande du Cercle Intérieur, qu’il était plus que raisonnable d’envoyer un contingent pour appuyer les missions de l’armée icamienne dans la région. Outre l’expérience de terrain inestimable, il s’agissait aussi de former les soldats jashuriens à travailler avec les Icamiens, quand bien même aucun pacte défensif n’avait été signé entre les deux pays. Pourtant, malgré cette relative absence d’accords militaires signés entre les deux pays, les deux entités politiques avaient convenu que l’arrivée prochaine d’un détachement des forces militaires jashuriennes ne serait pas de trop pour aider à la mise en place de postes frontières et de patrouilles à la frontière osno-icamienne.

Les troupes jashuriennes eurent tôt fait de débarquer et d’être transportées à la frontière pour leur briefing de mission. A mesure que les Jashuriens rejoignaient par petites équipes les troupes icamiennes, les logisticiens montaient les campements provisoires et les casernes afin que tous soient accomodés et que le matériel et puisse être mis à l’abri. Les Jashuriens firent de leur mieux pour ne pas troubler par leur présence les forces militaires icamiennes et décharger tranquillement. Les troupes au sol seraient appuyées par la flotte jashurienne, aidée par l’aviation, afin de mener des repérages par drones à la frontière et d’informer rapidement les escouades de l’évolution de la situation si d’aventure, les Osniens commençaient à essayer de traverser illégalement la frontière. Les troupes du Contingent d’Intervention Extérieur planifièrent méticuleusement avec les troupes icamiennes le repérage des différents postes-frontières et des itinéraires de patrouille, afin de parer à tout imprévu et de renforcer le filet de sécurité. Il était important que les troupes jashuriennes se familiarisent rapidement avec la topographie du terrain, les éventuels angles morts et les zones de ravitaillement.

Les forces aériennes jashuriennes s’étaient établies dans une base aérienne prêtée par l’armée icamienne. L’endroit, désaffecté depuis des années, était suffisamment reculé pour ne pas se retrouver trop proche de la frontière, mais suffisamment près pour que les avions puissent intervenir sur zone sans délais. Le commandement de la force d’intervention avait nommé cet endroit Bolivar Echo, et malgré les moustiques, l’endroit restait suffisamment agréable et pouvait être ravitaillé efficacement depuis les localités alentours, tandis que les troupes jashuriennes étaient déployées sur les avant-postes icamiens. Il restait encore beaucoup à faire pour rendre cette base pleinement opérationnelle, mais l’Etat-major jashurien avait déjà l’expérience de ce genre de procédure, ayant fait ses armes à Nulle-Part et à Cochise IV, ainsi qu’au Mokhai. L’établissement d’une place fortifiée ne poserait aucun problème dans les premières semaines et l’acheminement du matériel n’était qu’une formalité. Les Jashuriens ne se mêleraient pas des affaires locales et continueraient leur mission auprès des forces icamiennes comme demandé jusqu’à ce qu’on leur demande de se retirer.

Au port de Marianopolis, la marine jashurienne profitait de l’occasion pour découvrir les merveilles de la culture icamienne. Le porte-avion jashurien de la flotte d’Azur avait été affrété pour recevoir le matériel directement depuis Azur et pouvait servir de tête-de-pont pour répartir les cargaisons et les envoyer par camion ou par convoi aérien au travers du pays. Les opérations semblaient correctement se profiler. Il ne restait plus qu’à espérer que les Osniens ne commettent pas l’impair d’étendre leur conflit au reste de la région. Le Jashuria ne souhaitait pas spécialement prendre part aux forces d’intervention visant à mettre au pas le dictateur autoproclamé, mais il restait vigilant à la possibilité que l’on puisse faire appel à ses forces pour pacifier la région. Dans tous les cas, mieux valait être prêt.


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Attention, ce courrier vous sera surtaxé à la réception par nos confrères de la Société des honnêtes facteurs de Velsna (SFC)


L


Secrétariat du comité général du Groupe automobile Strama,
Allée de l'achosien pendu, Siège du Groupe automobile Strama.
Cité libre de Saliera,
Grande République de Velsna



Objet : Réception de votre requête et offre spéciale !


Bien chère cliente/partenaire potentielle/concurrente courtoise,


Par cette lettre, j'accuse réception de votre requête, et je m'empresse d'y répondre en personne et avec une grande joie. En effet, c'est tout à mon honneur que d'être sollicité par votre personne, dans la droite lignée des dignes évergètes des grandes figures mondiale de l'industrie automobile. Et c'est en homologue que je vous réponds aujourd'hui concernant les déboires que vous pourriez rencontrer avec un membre éminent de ma grande famille (au sens entreprenariat, bien entendu). J'entends bien que vous éprouviez à l'égard de vos structures sportives le même amour qu'envers votre propre enfant, comme le sont tous les véhicules qui sortent de nos usines.

Bertoldo Cavaliero, parlons en. J'ai en effet cru comprendre que ce dernier s'était quelque peu emporté dernièrement, tout comme votre pilote/fille. A titre personnel, il ne s'agit que de course et de concurrence, et ils sont encore jeunes. Aussi, il faut excuser me caractère revêche de ce bolideur prometteur. Concernant la confusion qui a porter à croire que vous étiez un homme, je pense que Cavaliero n'a qu'une connaissance précaire du genre des prénoms, et qu'il s'agissait là d'une erreur de maladresse de ce pilote que l'on ignore souvent pour son côté joueur et en réalité très courtois.

Ce faisant, je tiens à vous adresser des excuses en son nom, et au nom de tous les enfants de la grande famille Strama. En revanche, comprenez bien qu'il s'agit de compétition loyale, et que nous ne pouvons nous permettre d'exiger le retrait d'un pilote sur base d'un faux pas médiatique malheureux. J'espère simplement que nos pilotes respectifs pourront régler de manière sportive leurs différends et sachez que nous nous engagerons à éviter que Bertoldo Cavaliero ne s'approche à nouveau d'un micro icamien pour médire votre personne.

Pour me faire le garant de la bonne foi de Cavaliero, je tiens à vous offrir ce magnifique modèle de Strama S06. Garantie fonctionnelle à 79% ! En espérant que cela suffise à enterrer une hache de guerre que nous avons pas à cœur d'utiliser en dehors d'un circuit.


Drapeau
Une magnifique Strama S06 à la fiabilité aussi aléatoire que charmante




Veuillez prendre en considération mes salutations les plus distinguées,


Son excellence Girolamo Strama, 4ème du nom,
Directeur du comité général du Groupe Automobile Strama et sénateur de la cité de Saliera,
1378
Attention, cet appel vous sera surtaxé à la réception par nos confrères de la Société des honnêtes compagnons des télécommunications de Saliera (SHCT))


L


Secrétariat du comité général du Groupe automobile Strama,
Allée de l'achosien pendu, Siège du Groupe automobile Strama.
Cité libre de Saliera,
Grande République de Velsna



Objet : RE:Réponse à la requête de Maxime Feng



Allo ? Allo ! Oui c'est Girolamo Strama à l'appareil ! Ma secrétaire m'a fait passé un message que vous avez laissé sur le répondeur du secrétariat. Apparemment vous cherchiez à me joindre... Eh bien me voilà. Vous m'en voudrez pas, j'ai une entreprise à gérer, et des clients à satisfaire, vous m'en voudrez pas que je délègue ce genre d'affaires triviales...au département sportif de l'entreprise

Je pense que vous exagérer. Dites moi où et quand je vous ai manqué de respect, et vous aurez le plaisir d'en discuter avec mes avocats. Ce faisant, j'espère que la voiture que nous vous avons fait livrer vous convient !

Pour revenir au sujet de Cavaliero, je ne pense pas que vous devriez le prendre personnellement. C'est que de la course après tout. Je suis sûr qu'il vous présentera des excuses, c'est un bon garçon. Et je suis certain qu'il sera contraint d’admettre le talent de votre fille si celle ci arrive devant au général en fin de saison. Néanmoins, je ne pense pas que des invectives téléphoniques la feront avancer plus vite.



On se retrouve sur la piste au premier GP de la saison, ou pour les essais d'avant saison !


Son excellence Girolamo Strama, 4ème du nom,
Directeur du comité général du Groupe Automobile Strama et sénateur de la cité de Saliera,
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République d'Ouwanlinda


Drapeau


Seigneurs de guerre de la République Autonome et Démocratique de l'Icama-chan Olinganienne, levez vous pour le message vidéo de l'Amiral-Président !


Drapeau


*Lorsque la vidéo démarre, l'Amiral-Président apparaît à l'écran. En train de graisser une AK-47, tout sourire*

Camarades de la République autonome,

Il me fait un grand plaisir de constater que cette lutte contre le colonialisme eurysien en Afarée fait des émules, y compris au sein de votre nation...quoique à ce qu'il paraît, mon fidèle Barnabas ne parvient pas à vous situer sur notre map-monde. Celui-ci m'a assuré que vous n'existiez pas vraiment, mais je suis certain que c'est là une preuve de mauvaise volonté de sa part, conjuguée à un manque d'effort criant.

Mais entrons dans le vif du sujet. C'est avec une grande joie que nous acceptons ce cadeau, qui participera à la libération de nos frères d'armes de l'Armée démocratique du Gondo. Nous acceptons tout équipement qui viendrait de votre part. Concernant l'acheminement de l'équipement, je m'assurerai que mes camarades zélandiens nous ayant déjà fait moult dons, prennent à leur charge le transport matériel jusqu'à Opango.

De même, c'est avec la plus grande modestie que nous acceptons cet ajout fait à notre titulature. Nous le porterons avec fierté dés notre prochaine apparition publique.

Vive la République Autonome et Démocratique de l'Icama-chan Olinganienne, et longue vie à l'Ouwanlinda !
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Logo communication officielle mandrarikane

22 décembre 2015 – Nomination du Premier Mandrar Rakoto Manorohanta, au titre de Grand Guide pour l'Humanité Inachevée.


portrait de Djeferson Tojosoa, dans un plus jeune âge
Allocution du Premier Mandrar, Rakoto Manorohanta sur la figure caaganiste, par la création du titre de "Grand guide pour l'Humanité inachevée".


Allocution du Premier Mandrar Rakoto Manorohanta
"Il est des moments dans l’histoire d’une nation, d'une civilisation, qui marquent la séparation nette entre l’ombre et la lumière, qui marque la séparation nette, entre passé, présent et futur. Des instants marqués d'un clair-obscur, où la destinée de notre peuple se trouve dessinées sous des mains et esprits créatifs. Des pieux et volontaires caaganistes qui, sous les yeux des regards désaprobateurs et sceptiques des non-initiés, ont su porter la lourde responsabilité de préserver notre pensée sacrée et universelle. Le temps est venu, après des années de lutte, de persévérance, et finalement de sacrifice face à la menace des seigneuries de guerre, de rendre grâce aux perspectives qui sont aujourd'hui les nôtres, dans un monde ouvert sur l'incertitude, sur le possible et le rêvé.

Des rêves uniquement permis, pour qui fait la preuve d'un engagement inflexible vers la grandeur de l’humanité. Vous êtes la preuve terrestre de la sublimation des hommes et des femmes qui peuplent cette planète et méritent d'embrasser la foi caaganiste, par l'étalage d'un amour inconditionnel pour son prochain.

Bénis soyez-vous mes frères. Bénis sois l'Homme pour ce qu'il est et ce qu'il peut être !

Dans l'ébauche pernicieuse d’une époque façonnée par des adversités cupides, haineuses, envieuses, une pensée salvatrice se dresse. Une pensée dont j'ai l'insigne honneur de me faire le guide spirituel. Un guide spirituel, inscrit dans une vision qui a vocation à transcender les simples frontières de notre terre. Un homme dont l’esprit est imprégné de la foi et de la lumière divine du Caaganisme, dont l’effort de gouverner n’a d’égal que sa quête infinie pour l’harmonie et la paix sur nos terres ravagées par l’antique chaos venu des engeances seigneuriales et claniques...

C’est ainsi... qu’après mûre réflexion... et à la vue des défis immenses qui s’offrent à nous, je me fais l’honneur et la joie enthousiasmée, d’annoncer devant vous tous la création d’une nouvelle fonction destinée à me rappeler le lourd fardeau que nous partageons au travers de notre quête pour la sublimation de la race humaine : "Grand guide pour l'Humanité inachevée"

Ce titre, mes chers frères, ne sera pas porté par l’un d’entre nous par pure vanité et narcissisme, mais dans l’humilité la plus pure , dans le sens des responsabilités, et au final en l’honneur de l’Humanité elle-même, encore en quête de sa complète réalisation. Ainsi ce n’est pas une simple distinction. Non, il ne s’agit pas d’un titre valant ornement pour les apparences, mais bien d’une marque sacrée, témoignant de la trajectoire spirituelle et universaliste que notre peuple a su choisir, guidé par la volonté divine de nos créateurs extraterrestres incompris.

Pourquoi cette reconnaissance particulière ? Pourquoi ce titre, vous demandez-vous peut-être ?

Permettez-moi de vous le dire : l’humanité, pour toute sa grandeur, reste inachevée. Elle n’est pas un idéal figé dans le marbre, ni un rêve lointain qui échappe à l’effort et à la persévérance. L’humanité est un chemin sans fin, un voyage perpétuel qui exige de ceux qui souhaitent en porter le flambeau, une vision capable d’accepter l’échec comme un pas vers l’évolution. Dans ce contexte, le rôle du Premier Mandrar, et ainsi de mon humble personne, ne se limite pas à la gouvernance des terres de la Mandrarika. Il s'étend à la guidance de cette quête universelle, d’un monde où l’humanité trouve son équilibre, son sens profond, sa rédemption.

Le titre de "Grand Guide pour l'Humanité Inachevée" symbolise non seulement la responsabilité suprême que nous assumons, mais aussi l’ambition collective que nous portons. Car il ne s’agit pas seulement de pacifier nos terres ou d'éradiquer les démons du passé ; il s'agit de construire, pierre après pierre, l'avenir de l’humanité. Il s'agit de faire briller la lumière du Caaganisme sur les âmes perdues et sur les sociétés fracturées, pour qu’ensemble, main dans la main, nous fassions avancer l’humanité vers l’épanouissement spirituel et matériel.

Ce titre, et les honneurs qui l’accompagnent, ne sont pas un hommage personnel. Dix fois non ! Ce titre, est une reconnaissance de la mission que nous accomplissons tous ensemble, dans l’unité, au nom de l’humanité inachevée.

Ainsi, mes frères et sœurs, à partir de ce jour, je porterai ce titre non pas comme une médaille de gloire, mais comme une lourde couronne de devoirs et de sacrifices. Le fardeau empreint des responsabilités qui l’accompagnent, ne sera jamais plus lourd que le soutien et l'abnégation que vosu saurez m'apporter. Laissez moi porter votre fardeau, mandrarikans, caaganistes...
Chaque étape que nous franchissons dans ce union sacrée, sera la victoire d’un homme, d’une femme, d’une communauté, d’un enfant de la Mandrarika qui croit en l’avenir que nous construisons, qui croit à notre sublimation, de corps et d'esprit.

Je vous invite donc à accueillir ce nouveau titre avec respect et foi. Il est le reflet de notre détermination inébranlable à poursuivre cette quête spirituelle terrestre qui définit notre époque et celle qui sera notre avenir. Il est la reconnaissance de votre rôle, de notre rôle, dans cette œuvre, divine, collective et existentielle.

L’Humanité Inachevée, mes frères, nous appelle à être ses guides et ses bâtisseurs. Puissions-nous être dignes de cette tâche sacrée. Et que notre chemin, jalonné de victoires et de sacrifices, rayonne pour les générations à venir. Car c’est en élevant l’âme humaine que nous élevons le monde entier...

Bénis sois-tu, caaganiste. Bénis sois-tu, porteur de l'Humanité en marche !

Que le Caaganisme éclaire notre voie et soutient notre voix dans l'adversité. Vive la Mandrarika, et que l’unité sans individualité continue de régner, avec pour seul dessein la sublimation de notre Humanité."
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Le 02/04/2016 était le jour J pour les membres de l'association Cœur Ëdangois, spécialisée dans l'immigration et habitant sur le territoire fédéral du Mondawa, en Antegrad. Cela faisait plusieurs jours qu'ils préparaient l'extradition de plusieurs milliers de migrants vers le sud de l'Aleucie, c'était l'objectif pour cette association de gauche, c'était leur mission. Une dizaine de membres de l'association, qui abritaient depuis plusieurs mois des centaines de Mondawais et d'Aklafiens dans des entrepôts sur la côte. Les Mondawais sont des réfugiés voulant quitter leur terre natale suite au récent conflit sur le territoire avec l'armée anterienne ayant peur d'une guerre civile, et les Aklafiens, qui ont fui la répression du gouvernement anterien, ont pu se réfugier au Mondawa, grâce à l'aide de l'association Cœur Ëdangois, où la politique anterienne est moins stricte.

L'association Cœur Ëdangois a réussi à réunir quatre larges bateaux de pêche. Ceux-ci allaient devoir faire traverser plusieurs milliers de personnes à travers l'océan du Deltacruzando jusqu'à des pays au sud de l'Aleucie.
Pourquoi traverser une telle distance ?
Car après une étude de l'association Cœur Ëdangois, les pays sud-aleuciens font partie de ceux qui offrent une des meilleures qualités de vie pour les immigrés et possèdent une large liberté. De plus, des amis de l'association pouvaient les aider, principalement en Akaltie et en Icamie.

Dans la matinée, les membres de l'association Cœur Ëdangois annoncent aux réfugiés souhaitant quitter le Mondawa de venir avec eux et d'embarquer dans les navires de pêche pour une traversée de plusieurs dizaines de jours. 4200, sur les plus de 5000, se montrent favorables à quitter la fédération d'Antegrad vers l'Aleucie.
Un problème se manifeste déjà alors que tout le monde embarque, le manque de place. Les bateaux étaient tellement pleins qu'il y était difficile de s'y déplacer. 120 personnes se portent alors volontaires pour rester au Mondawa.

Les bateaux partent en toute discrétion à 7 heures du matin et longent d'abord le royaume de Marcine avant de s'enfoncer légèrement dans l'océan. Pour le moment, aucun problème n'est à signaler, mis à part de nombreux cas de mal de mer. Les quatre bateaux passent proche de la ville gondolaise de Porzh-Erwan avant de réellement s'enfoncer vers le centre de l'océan. Mais c’est là que les problèmes commencent. Lors d'une tempête, à 560 kilomètres de la terre la plus proche, un des bateaux dérive, le faisant s’éloigner des autres bateaux. Celui-ci se perd. Les trois autres bateaux, pas conscients de ce qui se passait, continuèrent leur chemin. Ce n’est que 8 heures plus tard qu’ils remarquèrent l’absence de l’un d’entre eux, mais c’était déjà trop tard.

Vers le centre de l’océan du Deltacruzando, un autre problème apparaît. Cela faisait plusieurs heures que des réfugiés se plaignaient de ne pas retrouver une personne spécifique dans les différents bateaux et, après avoir enquêté par eux-mêmes, les réfugiés se sont montrés horrifiés de se rendre compte que les disparus avaient pu tomber à l’eau lors des fortes vagues qui touchaient les navires. Par peur, plusieurs personnes se sont réfugiées dans la cale du bateau, mais dans un des bateaux, plusieurs personnes ont été contaminées par le norovirus, une maladie contagieuse provoquant des gastro-entérites.

À un peu plus de 1000 kilomètres des côtes de la République de Caribeña, la faim et la soif commencent à se faire ressentir chez les réfugiés. Le stock de nourriture était presque vide pour deux des trois bateaux. Mais après que la plupart des membres de l’équipage d’un des bateaux soient morts suite à des maladies, les réfugiés se sont mis à paniquer et ont décidé de prendre le contrôle du bateau. Ceux-ci éloignent le navire des deux autres et le font dériver afin d’atteindre la côte la plus proche, mais au bout de quelques heures, ils heurtent un rocher, le faisant couler.
Les deux autres bateaux continuèrent leur chemin et passent proches d’une côte qu’ils pensent être le Grand Kah, mais il s’agissait en réalité de la grande île la plus au sud de l’Alguerana. Les deux navires reconnaissent ensuite l’État fédéré de Heenylth, trois îles appartenant à l’Alguerana, et savaient qu’ils étaient proches du but.
Les deux bateaux, mal informés, se séparèrent. L’un d’entre eux arrive à la ville de Kopip en Akaltie, alors que l’autre accoste sur une côte de l’Icamie.

Au total sur les 4080 réfugié à être parti, 2650 ont survécus, 1288 ont finit en Icamie et 1362 ont finit en Akaltie. Le gouvernement de la fédération central démocratique d'Antegrad et de la République Anterienne côtière d'Ëdango n'ont pas entendus parler de cette traversé même si des bruit de cours à se sujet se propage. Parmi les survivants, un auteur Aklafien modestement célèbre dans sa région, qui à pus documenté ce qu'il à vécu durant sont voyage.
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8h46 aux larges des côtes Icamienne
Kamilia Palao, la commandante en charge de la livraison vers la Confédération Zélandienne, ce convois avais pour mission au delà de la livraison, de faire un arrêt en haute mer pendant le trajet afin de tester les améliorations et nouvelles technologies ajoutée aux navires, ce qui expliquait l'importance du nombres de navires dans ce dit convois. Même si le prix auquel le produit livrée avait été vendu justifiait tout autant ce convois exceptionnel. Jusqu'à maintenant le trajet c'était déroulé sans encombre.

A l'approche du détroit entre l'Icamie et la bande Akaltienne la flotte Everienne reçus un message provenant d'un poste Icamien. Il y eu un grand moment de silence... Parmis les membres présents seul deux ou trois parlais une ou deux langues Icamiennes. Kamilia Palao, un peu perplexe demandas que l'on ralentisse le convois et que l'un des membres de l'équipage traduise le message qu'ils venait de recevoir, il fallu un peu moins de deux minutes pour que l'intégralité du message soit traduit. Mais avant même que le message soit traduit les navires furent complètement stoppé après la détéction par les sonars d'objet non identifié qui semblait composé un champ de mine. Le message fut traduits et remis "Ici est le poste de marin contrôle numéro 4 de la grande Marianópolis. Je suis la Lieutenante Schlieger. À vous, les bateaux de la guerre inconnus : qui êtes-vous et pourquoi vous venez sans annoncer la venue ? Faites demi-tour tout de suite maintenant ! Vous êtes en train d’entrer dans un champ de mines marines, et vous ne vous avez pas déclarés avant ! Vous allez peut-être exploser vous-mêmes, déranger tout le trafic des bateaux normaux, ou juste couler comme un caillou. " le soldat qui c'était chargé de traduire le message s'excusa pour la pauvreté de sa traduction et qu'il allait réveiller l'agent qui savait parler l'Ikamiguni Hôgen, l'Icamiaba et le Crioulo Icamiabo qui faisait partie de l'équipe de nuit.

Peu de temps après, le navire Everien répondit au poste de contrôle maritime 4 de Marianópolis: Bonjour, ici le destroyeur Vilvys nous avons reçus votre message, nous sommes en provenance d'Everia et nous sommes en pleine livraison. Nous ne savions pas que le détroit était minée et qu'il nécessitait une déclaration afin de sortir du détroit, et d'ailleur je ne comprend pas la raison du besoin s'une déclaration ou qu'ils soient miné. Pouvez vous nous aider à passer le champ de mine ?
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Начало освобождения
Načalo osvoboždĕniя


https://i.ibb.co/0pr4mY3F/image.png

Le bar d’Ibichima-Role-Stars (IRS), autrefois Trumpohio, avant son changement de nom pour refléter sa popularité entre les années 1990 et 2000, était désormais en faillite. En effet, icelui accueillait autrefois tous les petits humoristes du pays qui voulaient faire carrière, et créait de vraies stars de l’humour en Icamie. Cependant, aujourd’hui, icelui a visiblement été délaissé par ceux qu’il avait rendus riches. Le patron, Ibn-Ibn Rattetta de Carabinos, est désormais endetté, et son bar humoristique est quasiment vide : il est condamné à disparaître dans l’oubli.

Afin d’y remédier, le patron doit trouver des humoristes, des gens qui aient du talent pour faire rire, et rire beaucoup, faire une énorme publicité et espérer que suffisamment de gens viennent, et que les comédiens soient suffisamment amusants pour que les entrées soient, pour la première fois depuis quatorze ans, supérieures aux sorties. Icelui ne voulait pas se contenter d’Icamiens, il avait besoin de gens à l’international. Mais, ayant repris une société florissante sans l’expérience qui va avec – expérience qu’avait son père – il se contentait de la venue des humoristes et des clients grâce à sa renommée. Mais, alors qu’il fouillait désespérément sur le Web, à la recherche de profils, il tomba sur lui : Ksan Val Marks, et son post sur l’Écho, post qui fit bien marrer Ibn-Ibn. Il se dit alors qu’il avait trouvé le jackpot, l’homme qui allait sauver son bar. Il concocta alors un plan pour faire venir Ksan, sachant qu’il était très sérieux dans ses dires, et le faire jouer devant un public : il comptait lui faire croire qu’il voulait qu’il « prêche », tel était son appellation de la prestation du penseur, dans son bar.

Quelques jours plus tard, il prit contact avec Ksan, depuis la Morakhan où il résidait, afin de l’inviter à venir en Icamie. Ksan fut ravi, et une idée germa dans sa tête : une tournée mondiale pour apporter la parole véritable, et sauver le monde de l’esclavage inévitable.

Ibn-Ibn aida Ksan à faire ses papiers pour le rejoindre au plus vite, et prépara le lieu de « spectacle » où l’hérétique allait jouer, ayant déjà promu cet événement via des publicités dans une bonne partie de la ville d’Ibichima.

Le jour J, le simulationniste arriva, vêtu de son vêtement de tous les jours. Il monta sur l’estrade prévue à cet effet, puis se mit à parler, avec toute la conviction que ce qu’il faisait allait sauver le monde. Il dit donc, en commençant par sa phrase traditionnelle :
« — Peuple d’Ibichima. Peuple d’Icamie. Peuple de Géokratos, et au-delà,
Croyez-moi, ou ne me croyez pas. La vérité vous rattrapera dans l’inau-delà. Je le dis, et je le répète. Vous n’êtes pas ce que vous croyez être, Nous ne sommes pas ce que nous croyons être. Nous sommes dans ce que nous ne voulons pas de l’autre côté de la frontière sud. Mais vous refusez de le croire.

J’ai été emmené ici par la volonté de l’être supérieur pour vous permettre de vous sauver de l’inéluctable, et l’inhumain, chose vraie, esclave perpétuel.
» Un homme dans le public lui coupa la parole, puis cria : « — Abrège ! ». Avec tout son sérieux, Ksan reprit : « — Peuple d’Ibichima. Peuple d’Icamie. Peuple de Géokratos, et au-delà,
Je vais abréger : nous sommes dans une simulation.
»

Soudain, le public se mit à rire violemment, un rire certainement méprisant envers cet homme fou. Ne se laissant pas impressionner par la société qui, selon lui, devait disparaître, il reprit calmement : « — Peuple d’Ibichima. Peuple d’Icamie. Peuple de Géokratos, et au-delà,
Si vous ne me croyez pas, tant pis : vous périrez. Si vous me croyez, tant mieux : vous vivrez, au sens du contrôle. Je vais y aller très simplement : le monde dans lequel vous vivez est une simulation dans laquelle nous, êtres de notre point de vue vivants, sommes, encore de notre point de vue, le centre. Il en est tout autre. Nous sommes gérés par les êtres de l’au-delà, des dieux presque, qui contrôlent tout : nos faits et gestes, nos visions, nos pensées, nos mouvements, etc. Je vais anticiper la question, mais si vous vous demandez pourquoi je suis ici, c’est grâce au maître qui me contrôle, et qui a vocation à notre libération, me parlant par des songes.
»

Une fois de plus, le public rit. « Un dieu qui nous contrôle lui parle par des songes », disaient certains. D’autres, en revanche, disaient : « Mais comment est-il possible d’associer divinité et simulation ? Cet homme aurait au moins pu faire l’effort de rendre sa théorie logique. »

Le prophète, toujours aussi impassible, reprit sa parole : « — Cela peut paraître étonnant, mais vous devez me croire. Ne croyez-vous pas aveuglément les commandements des dieux ? De vos ancêtres ou autres ? Eh bien là, faites preuve d’un minimum de foi. Et, pour les plus scientifiques d’entre vous, j’ai des preuves à l’appui, des preuves flagrantes même : la mort du chef de la Loduarie communiste. Mais, en parlant d’icelle, où est-elle ? Elle n’existe plus ! Comment est-ce possible ? Car nous sommes dans une simulation. Pire : dans un jeu de simulation de géopolitique. Ainsi, à la place d’une partie de la Loduarie, se trouve l’Imperium Arcanie. J’ai d’autres exemples : comment expliquez-vous l’existence de la Morakhan sur l’ancien territoire de la Translavya ? L’avez-vous même connue, vous, vieux de quatre-vingts ans ? Vous qui étiez censés être présents lors de sa chute ? Comment expliquez-vous la présence d’un État post-impérial à cet endroit ? » Les gens présents dans la salle se turent, réfléchissant sérieusement. Le patron, en arrière-plan, sentait que les choses allaient mal tourner pour lui, et voulut faire partir Ksan Val Marks, mais se fit arrêter par l’un de ses employés, soulignant l’aspect perspicace et logique des dires du désordriste. Ksan continua : « — Avez-vous besoin de plus ? Eh bien en voici : regardez l’illogisme héraldique de ce monde, des noms sans étymologie, presque sortis du fiac, ou faisant allusion à d’autres choses n’existant pas ici. Ne remarquez-vous donc point que de nombreux mouvements de droite et d’ultra-droite à travers le monde arborent des croix slaves et des svastikas ? Alors que ladite svastika est originaire du Kral Svinkarde et que la croix slave ne trouve nulle part son origine ? Voyez par vous-mêmes. Réfléchissez. Pourquoi pensez-vous que vous n’y avez jamais pensé ? Car vous êtes contrôlés. Et, aujourd’hui, l’un de ses contrôlants vous libère de façon provisoire. »

Suite à ces propos, un homme se leva et prit la parole. Cette scène prenait plus l’allure d’un débat que d’une section comédie. « — Imaginons que tout cela est vrai. Comment pourrait alors fonctionner un tel système ? Et pourquoi un de ces dieux aurait-il pensé à nous au lieu de simplement faire comme les autres ? D’ailleurs, comment comptez-vous nous faire sortir de cet esclavage à perpétuité ? »

Ksan, confiant, et comme imprégné d’une divinité, rétorqua : « — Pour commencer, c’est vrai, grâce aux preuves énumérées plus haut. Ensuite, ce système est très simple : il fonctionne via internet. En effet, imaginez-vous créer un forum sur internet, où chacun puisse créer son pays, eh bien c’est un peu ça, sauf que nous sommes à l’intérieur. Ensuite, la volonté d’icelui n’est pas à critiquer, mais à approuver, car il veut notre libération. »

Jusque-là, aucune contestation ne se fit sentir, étrange non ? Il continua : « — Et enfin, le bon dieu va nous offrir la technologie d’un ordinateur quantique de son monde, dans lequel nous entrerons afin de nous libérer de cette emprise. Un homme, courageux, va rester à l’extérieur afin de détruire l’ordinateur pour que les autres dieux ne puissent pas nous poursuivre. Enfin, nous ne serons pas réellement vivants, mais via l’ordinateur, qui est, de facto, indestructible en son sein – donc dans lequel se trouve un univers – nous pourrons nous contrôler et imiter une vie, mais là où nous serons en sécurité. »

Le silence dans la salle était devenu pesant. Plus personne ne riait. Certains sortaient leurs téléphones, d'autres griffonnaient frénétiquement des notes. Le regard de Ksan brillait d’une étrange intensité, comme s’il contemplait déjà la délivrance promise.

Le patron, inquiet, comprit qu’il avait peut-être déclenché quelque chose de plus grand qu’un simple coup de pub. Le bar, vidé depuis si longtemps de sa substance, vibrait à nouveau – non pas de rires, mais de doutes, d’idées, de peurs.


Alors que Ksan descendait de l’estrade, un jeune homme s’approcha timidement. « — Maître... Quand commence la libération ? » Ksan posa une main sur son épaule, et dit doucement : « — Elle a déjà commencé. Ce soir. »

Et dans un coin du bar, l’enseigne tremblante d’IRS clignotait étrangement, comme si elle hésitait entre deux mondes. Le rideau tomba, mais l’histoire, elle, ne faisait que commencer.
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