Wolodymyr "Mburuvicha" Teixeira FonsecaNoms de famille: Teixeira FonsecaPrénom: WolodymyrSurnoms: Mburuvicha, O Rei, Le Roi, MC RenascimentoNaissance: 1er Décembre 1982 à Esperança Perigosa (Costa de Cobre, Icamie)
Activité Principale: Joueur d'ulama, rappeur, chanteur, auteur-compositeur, acteur, personnalité médiatique, homme d'affaire, entrepreneur, sculpteur, producteur musical, écrivain, tireur sportif, documentariste animalier, journaliste d'investigation, présentateur télévisé, flûtiste
Palmarès professionnel: Ballon d'Or 1999, 2000, 2001 et 2002. Champion d'Icamie (Ulama masculin) 1999 et 2000 (avec l'équipe masculine de Rio Formosa), 2001 (avec l'équipe masculine d'Akahim). Champion du Monde (Ulama masculin) 2000 (Sélection nationale masculine d'Ulama).Style musical: Rap Icamien, Hip-Hop, Rap Hardcore, Rap Politique, New AgeAnnées actives (ulama): 1996 à 2002Années actives (musique): Depuis 2003
Religion: Caaganisme
Description:Wolodymyr Teixeira Fonseca est né le 1er Décembre 1982 dans la favela d'Esperança Perigosa, dans la banlieue lointaine de Rio Formosa, sur la côte ouest de l'Icamie. Fils d'une détaillante et d'un propriétaire de salon de bronzage, troisième enfant de la famille (avec deux soeurs), le jeune Wolodymyr grandit dans la pauvreté et la violence des bas-fonds ensoleillés des grands centres urbains d'Icamie.
Il quitte l'école à 15 ans, se consacrant pleinement à l'Ulama comme beaucoup de jeunes Icamiennes et Icamiens des quartiers défavorisés, qui voient dans ce sport l'un des deux échappatoires à la pauvreté (l'autre étant le crime). L'Ulama est sport collectif traditionnel extrêmement populaire en Aleucie du Sud (notamment en Icamie et en Akaltie) consistant à marquer des "buts" dans des anneaux suspendus à plusieurs mètres du sol avec un ballon lourd de plusieurs kilos, et uniquement avec ses hanches.
Repéré par les recruteurs d'un petit club de Costa de Cobre, le jeune Wolodymyr entame sa carrière professionnelle à tout juste 16 ans. Décrit comme l'"Espoir" de l'Ulama masculin icamien (historiquement moins considéré que son équivalent féminin en Icamie, bien que tout de même très populaire) dès la saison 1996, il rejoint le club de Rio Formosa dès l'année 1998, afin d'entamer une carrière proprement météorique : 4 Ballons d'Or d'affilée, 3 titres d'affilée de Champion d'Icamie avec Rio Formosa puis Akahim, 1 titre de Champion du Monde en 2000, triomphant de l'Akaltie à Kintan ... Wolodymyr est simplement "Le Roi" ("Mburuvicha", en Icamien), considéré comme le meilleur joueur d'Ulama du Monde, avec un style agressif et une lecture de jeu sans égale.
Néanmoins, la carrière sportive de Wolodymyr s'arrête brutalement en 2002 à la suite d'une fracture du coccyx, dans des circonstances obscures. Mburuvicha met fin à sa carrière en pleine interview, à la surprise - et au désespoir - des téléspectatrices et téléspectateurs icamiens, rendus orphelin de leur génie du ballon rond. Les détails sont encore assez éparses aujourd'hui, plus de dix ans après ce moment solaire de télévision, mais il paraît évident
a posteriori que Wolodymyr était sous l'emprise de narcotiques vraisemblablement liés à la douleur : il a lui-même déclaré qu'il s'était essayé à l'Ayahuasca peu avant auprès d'un chaman traditionaliste de la région d'Akahim.
L'arrêt de la carrière sportive de Wolodymyr Teixeira Fonseca ne signe pas la fin de son existence en tant que personnalité médiatique dans le paysage culturel icamien ; bien au contraire, elle peut se voir comme la naissance du nouveau Mburuvicha : le Mburuvicha artiste, rappeur, chanteur, acteur ... Et même sculpteur, écrivain ou flûtiste. Jouissant d'une sympathie liée à son statut d'icône sportive, le basculement de carrière est pratiquement indolore pour l'ancienne star du ballon rond.
La qualité de sa musique divise les critiques icamiennes : véritable tourbillon commercial vendant des disques par palettes entières, il est l'un des artistes icamiens les plus écoutés et connus dans le monde entier. Pour autant, ses textes déchainent les passions dans les milieux conservateurs Icamiens pour leur caractère ouvertement misogyne : l'un de ses morceaux les plus connus et cru détaille une tentative romancée d'attouchement sur un homme à Akahim, avant qu'il ne soit mangé vif ; un morceau qui a mené à une action en justice pour retirer le morceau de la circulation, et un effet Streisand très violent.
Parallèlement à sa carrière, l'influence de Wolodymyr et son tempérament électrique le lancent dans d'innombrables aventures : il présente la matinale sportive dominicale sur
Tibisekai 1, la première chaîne télévisée d'Icamie en audience. Cette présence lui permet de rencontrer des contacts qui lui permettront de créer une émission de "documentaire" au format libre où il se rend dans divers pays du Monde, pour les faire découvrir au peuple Icamien.
C'est par le biais de cette émission qu'il découvre le Mandrarika en 2012, dont il tombe amoureux.
En 2013, après son quatrième voyage, il apparaît crâne rasé à la télévision où il déclare s'être converti au Caaganisme, "Religion de l'Amour, de l'Humanité et de l'Espoir".
Depuis, il est devenu une figure particulièrement vocale pour l'acceptation du Caaganisme à l'international, un changement qui se reflète dans sa musique, devenue majoritairement moins agressive et plus posée. Cela se voit également dans ses émissions, avec l'apparition d'une nouvelle émission de documentaire consacrée à "retrouver les preuves de nos Ancêtres".
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