République Musulmane de Ghailan
Nom courant :
Ghailan
Gentilé :
Ghailanais, Ghailanaise
Inspirations culturelles :
Inspiré de la culture marocaine et oriental.
Situation géographique :
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Langue(s) officielle(s) : Arabe et Français
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Anglais, Espagnol et Berbère.
Drapeau :
Devise officielle :
Courage et victoire jusqu'à la mort !
Hymne officiel :
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Monnaie nationale :
Le Dirham Ghailanais, 1 DHG (Dirham Ghailanais) = 5.7 € (Euro)
Capitale :
Al-Mahra
Population :
1 235 789 habitants, soit 3,95 hab/km².
Présentation du pays :
Les premières traces de civilisation à Ghailan remontent à l'Antiquité, lorsque des tribus nomades s'installèrent dans la région fertile du Wadi al-Jannah. Les fouilles archéologiques ont révélé des vestiges de villages et d'échanges commerciaux avec d'autres civilisations. Les habitants cultivaient des céréales, des fruits et élevaient du bétail.
Avec l'avènement de l'islam au 7ème siècle, Ghailan devint un carrefour culturel et commercial majeur. La région prospéra sous la dynastie des Omeyyades, qui établit des routes commerciales reliant les grandes villes du monde arabe. De nombreux érudits et artistes émigrèrent à Ghailan, transformant la capitale, Al-Mahra, en un centre intellectuel.
Au fil des siècles, Ghailan fut gouverné par plusieurs dynasties influentes, notamment les Mohamedades et les Anasades. Chacune a laissé son empreinte sur la culture et l'architecture du pays. La construction de la Mosquée de la Lumière au 10ème siècle est un exemple emblématique de cette époque.
Le 13ème siècle fut marqué par des invasions extérieures qui firent des ravages dans la région. Toutefois, la résilience de la population et l'unité des tribus locales permirent à Ghailan de se reconstruire. Au cours des siècles suivants, le pays s'efforça de préserver son identité culturelle face à l'influence croissante des puissances économiques.
Mentalité de la population :
Les Ghailanais valorisent fortement les liens familiaux et communautaires. La solidarité est essentielle, et les gens se soutiennent mutuellement dans les moments difficiles.
La culture et les traditions occupent une place centrale dans la vie quotidienne. Les festivals, les rituels et les pratiques religieuses sont respectés et célébrés avec ferveur.
Bien que fiers de leur héritage, les Ghailanais sont curieux et ouverts aux influences extérieures. Ils apprécient les échanges culturels et les nouvelles idées.
La population est généralement motivée par le progrès et le développement, que ce soit sur le plan économique, éducatif ou social. L'éducation est perçue comme un moyen essentiel d’améliorer la vie individuelle et collective.
La spiritualité joue un rôle important, avec une majorité de la population pratiquant l’islam. Les valeurs éthiques et morales influencent les comportements et les décisions quotidiennes.
L’histoire de Ghailan, marquée par des défis, a forgé un sens de la résilience. Les habitants ont une capacité d’adaptation et un esprit combatif face aux difficultés.
Étant donné la beauté naturelle du pays, les Ghailanais ont souvent une forte connexion avec leur environnement. La préservation de la nature et des ressources est une préoccupation importante.
Place de la religion au sein de l'État :
L'islam est la religion officielle de Ghailan, ce qui signifie que les lois et les politiques de l'État sont souvent influencées par les principes islamiques.
Une partie du cadre légal peut être fondée sur la charia, influençant des aspects tels que le droit de la famille, la justice pénale et les questions éthiques.
Les programmes scolaires incluent souvent une formation religieuse, enseignant aux élèves les valeurs islamiques et les traditions culturelles.
Les mosquées jouent un rôle central dans la vie communautaire et peuvent avoir une influence sur les décisions politiques. Des conseils religieux peuvent également conseiller le gouvernement sur des questions éthiques et morales.
Bien que l'islam soit dominant, Ghailan peut reconnaître et respecter la liberté de culte pour d'autres religions, permettant ainsi un certain pluralisme religieux.
Les leaders religieux peuvent avoir un rôle actif dans la politique, influençant les décisions gouvernementales et mobilisant la population autour de questions sociales.
La religion peut servir de ciment social, favorisant l’unité et la solidarité entre les citoyens, tout en jouant un rôle dans la promotion des valeurs éthiques et morales.
Institutions politiques :
Ghailan est une république arabe musulmane démocratique.
Le chef de l'État, élu pour un mandat déterminé. Il est responsable de l'exécution des lois et de la direction de la politique nationale.
Gouvernement : Composé de ministres chargés de divers départements (économie, éducation, santé, affaires étrangères, etc.), nommés par le président.
Élue directement par le peuple, elle élabore et vote les lois. Composé de membres nommés, représentant des intérêts régionaux et sociaux, il examine les lois et peut proposer des amendements.
Comprend des tribunaux de première instance, des cours d’appel et la Cour suprême. Les juges sont nommés pour garantir l’indépendance de la justice.
Certaines affaires, notamment celles liées à la famille, peuvent être traitées selon la charia. Plusieurs partis politiques opèrent, représentant une variété d'idéologies et d'intérêts. Les partis peuvent être basés sur des lignes politiques, religieuses ou sociales.
Organisées à intervalles réguliers pour élire les représentants au Parlement et les autorités locales. Des observateurs indépendants peuvent être impliqués pour garantir la transparence.
Les collectivités locales ont un certain degré d'autonomie pour gérer leurs affaires. Cela favorise une meilleure prise de décision adaptée aux besoins spécifiques des communautés.
Principaux personnages :
- Président, Anass Ghailan - Président de la "République de Ghailan", il est connu pour son approche réformiste et son désir de moderniser l'économie tout en préservant la culture locale.
- Ministre des Affaires Étrangères, Salmane Ben El Hachemi - Diplômé en relations internationales, elle est chargée de renforcer les liens régionaux et d'améliorer les relations avec l'Occident.
- Ministre de l'Économie, Mohamed Ali Bouzid - Économiste de renom, il met en place des politiques pour diversifier l'économie au-delà du pétrole, en investissant dans les technologies et le tourisme.
- Ministre de l'Éducation, Fatima Zahir - Engagée pour l'éducation nationale, elle promeut des réformes pour améliorer l'accès à l'éducation dans les zones rurales.
- Ministre de la Culture, Omar Benjahad - Passionné par la préservation du patrimoine, il travaille à promouvoir les arts et la littérature tout en soutenant les artistes locaux.
Politique internationale :
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