Création de pays : Polkême
Généralités :
Nom officiel : Royaume de Polkême
Nom courant : Polkême
Gentilé : Polk (invariable)
Inspirations culturelles : Roumanie & Balkans
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Le polk, un mélange de langues balkaniques slaves (bosnien-croate-monténégrin-serbe, bulgaro-macédonien, slovène). Pour des raisons de praticité, le slovène est pris en référence.
Autre(s) langue(s) reconnue(s) :
Drapeau :

Devise officielle : Prva kri [le plus vieux sang / le premier sang]
Hymne officiel :
Capitale : Volvoda
Population : 29 000 000 d'habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays :
Le Royaume de Polkême, aussi parfois appelé Pays de Polk (du nom de son mythique fondateur), est un grand pays d’Eurysie de l’est, d’une superficie de 283 000 km². Son territoire s'étend à cheval sur les espaces culturels slaves du nord-ouest et tatares au sud-est, qui le divisent en deux ethnies majoritaires. Il est formé par les anciennes provinces historiques eurysiennes de Polky méridionnale, de Brann et de Polky septentrionale auxquelles se sont ajoutés quelques territoires historiques blêmiens, conquis durant le moyen-âge. Fort d’une culture atypique qui s’est développée en autonomie au cœur de la vallée des Sirotci, le Royaume de Polkême se revendique d’être « la plus vieille royauté du monde » titre qu’elle se dispute avec les princes de Carnavale. La famille Vol Drek règne sur la Polkême de l’ouest depuis, dit-on, l’Antiquité rêmienne. Peu belliqueux et isolés de leurs voisins par les montagnes, la Polkême étend son territoire vers l’est au cours du XIème siècle de sorte à mater les peuples bordant la mer Blême. En découle une cohabitation difficile et une oppression politique toujours d’actualité, ayant mené au cours du XIVème siècle à l’exode massif des populations blêmes vers l’est où elles fondent le Grand-Duché de Transblêmie.
La Polkême est un pays enclavé et culturellement isolé du reste de ses voisins eurysiens dont il est séparé par la chaîne montagneuse des Vrcholky au nord-ouest, et par les vastes plaines du sud-est hostiles à l’agriculture. La culture Polk se démarque des populations russophones et hellènes par l’utilisation de l’alphabet catholan et par la pratique du catholicisme, hérités des politiques linguistiques et des alliances du royaume avec les rivaux de Rême. La langue polk est à ce jour l’unique langue reconnue par la Polkême, malgré la présence de communautés de culture et de langue blêmienne. Sans accès à la mer, la Polkême doit sa richesse principalement à une agriculture florissante, un climat humide et doux, épargné des intempéries par ses montagnes, et de nombreuses mines d’or qui firent très tôt et longtemps la prospérité du pays.
Elle souffre toutefois aujourd’hui d’un certain retard économique par rapport au reste du continent, imputable à une politique mercantiliste visant depuis plusieurs décennies à privilégier l’autonomie de son marché intérieur. En résulte un niveau d’industrialisation et d’infrastructures en deçà des standards de la région que la Polkême cherche à compenser par le protectionnisme et des politiques culturelles nationalistes visant à valoriser une certaine qualité de vie traditionnelle au détriment de l’enrichissement individuel. Grace à de fortes subventions d’État, des savoir-faire atypiques ont toutefois pu être développés dans certains secteurs liés aux énergies renouvelables, à l’agriculture et au transport.
Particulièrement identifiable, la majeure partie du territoire polk est caractérisée par des terres arables vallonnées et fertiles. Le Poli « bande de fleurs » délimite traditionnellement les champs, opérant un quadrillage coloré du paysage. Le sol riche et irrigué par de nombreux cours d’eau a rapidement permis à la région de se développer dès le début du moyen-âge en une entité politique unique et centralisée. Le Royaume de Polkême forme de ce point de vue une enclave atypique au cœur de l’Eurysie de l’est, tant du point de vue du mode de vie que du climat, produit de la proximité géographique de la Leucytalée et des vagues de froid humide descendant des steppes d’Eurysie du nord.
La très ancienne royauté polk perdure encore de nos jours, toujours dominée par l’indétrônable dynastie des Vol Drek. Non épargné par l’histoire tumultueuse de l’Eurysie, il fait face à plusieurs guerres d’invasion et incursions tatares menant au pillage et à l'incendie de la ville de Volvoda en 1591. La présence des tatares et des peuples slaves constituera tout au long de son histoire, en plus de Rême, la principale menace pesant sur la Polkême. Ces nombreux conflits aboutiront à la conquête et l'occupation des terres de Blême méridionale, aujourd'hui encore sous domination polk. Le pays fera également face à plusieurs tentatives de révolutions dont celle de 1860 aboutit finalement à l’instauration d’un régime parlementaire. Le Royaume est, depuis le XVIIIème siècle, une monarchie constitutionnelle gouverné par deux assemblées législatives complémentaires, une nobiliaire et une roturière (la seconde détenant le pouvoir de décision en dernière instance).


Le drapeau de la Polkême figure, de manière stylisée, l'aube se levant de l'autre côté d'une colline. Le triangle bleu représente la nuit en train de disparaitre, en plus d'être la couleurs de la Polky. Le brun figure une colline assombri couverte de forêt. Le blanc pâle représente la lumière du début de l'aube perçant par dessus le sommet. C'est un symbole d'espoir mettant en valeur la poésie des paysages de Polkême.
Mentalité de la population :
Les Polks forment un peuple traditionaliste, fortement attaché à leur qualité de vie. Ils jugent assez négativement les dérives modernes et productivistes de leurs voisins, touchés par les révolutions industrielles et socialistes. Plusieurs courants philosophiques et nationalistes polk apparus au cours du XVIIIème et XIXème siècle ont profondément marqué la culture et la mentalité des Polk. Régulièrement qualifiés de réactionnaires, ces écoles de pensées se sont très tôt opposées au désenchantement du monde et aux approches objectivantes du réel par la science et la raison. Sans pour autant prôner un immobilisme essentialisant ni un recours à la religion, la Polkême développe et devient le terrain d'expérimentation d'une doctrine alter-moderniste dite du "negotov svet" (monde incertain / monde brumeux / monde brouillard). Portée pendant plus de deux siècles par d'intenses politiques nationalistes, le negotov encourage l'idée que certaines choses ne sont pas destinées à être comprises ni contrôlées. Mieux : cette incertitude a une dimension performative puisqu'elle permet aux miracles et aux imprévus de se réaliser. Parfois considérée comme une forme de laisser-aller ou de dilettante vis-à-vis de l'existence, d'autres qualifient le negotov de "conception hédoniste de la vie" et d'une réactualisation moderne de l'eudémonisme antique hellénique.
Fortement marquée par le negotov, la Polkême est un pays atypique sur la scène internationale, parfois comparé à une forme de théocratie parlementaire, bien que ce terme ne permette pas de comprendre correctement l'absence d'un clergé influent et centralisé. L’Église y concurrence des cercles dits "de čarovnik" (de sorciers) qui occupent la fonction de conseillers et de juges locaux. Contrairement aux traditions cabalistiques et herméneutiques eurysiennes, cette institution n'a pas vocation à percer des secrets métaphysiques mais cherche seulement à se rendre témoin de la réalité des phénomènes inexplicables. Le rapport des Polk avec le monde est caractérisé par une position d'observateur, de contemplation et de non-intervention. Ces principes se retrouvent par ailleurs dans la relation qu'entretient la Polkême avec les autres nations, forme de curiosité prudente la poussant à se documenter sans nécessairement chercher à comprendre d'éventuelles lois et règles sociales. La tradition isolationniste de la Polkême s'explique de fait par le refus systématique des parlementaires d'autoriser la moindre intervention extérieure pouvant s'apparenter à de ingérence.
Dans son histoire, la Polkême a par ailleurs été marquée par de puissants mouvements luddites opposants une vive résistance politique aux exodes ruraux et processus d’industrialisation des villes au détriment des campagnes. En a résulté une forte décentralisation des ateliers et industries et une planification anticipée de la production sous la houlettes des seigneurs locaux. De fait, la Polkême n’a pas connu une trajectoire historique comparable à celle de ses voisins et reste profondément marquée par un mode de vie agraire et une très faible densité urbaine. L’ancienne noblesse a pu se maintenir au pouvoir grâce à un travail conjoint avec les communautés paysannes au détriment de la bourgeoisie, largement minoritaire dans le pays. Les privilèges nobiliaires ont progressivement été supplantés par des distinctions symboliques et ésotériques, ainsi que par le droit de porter les armes. Le pouvoir judiciaire a quant à lui été séparé du pouvoir militaire par les lois de 1902, pensées à l'aube du nouveau millénaire pour faire face à la monté des revendications égalitaires socialistes et remonter le pays à la hauteur des standards démocratiques eurysiens.
Le système politique polk, composé de deux chambres législatives et exécutives, est gouverné depuis presque soixante ans par le parti izolacionist (isolationniste) auquel s'oppose le parti modernist (moderne). Le bipartisme est très marqué en Polkême, aucune autre formation politique n'a réellement réussi à se démarquer jusque là. Ces deux courants majoritaires (qui malgré la domination izolacionist se partagent certaines fonctions exécutives) représentent bien la division de la société polk entre désire et réticence vis-à-vis de l'ouverture au reste du monde. La bipolarisation gauche/droite y est moins pertinente, bien que le parti modernist soit parfois classé à gauche de l'échiquier politique en raison de ses idées libérales quand le parti izolacionist est plutôt classé à droite pour ses idées conservatrices et nationalistes.
Anthropologiquement, la société polk se caractérise par un tissu social très dense, faisant la part belle aux fêtes et à l’engagement volontaire au sein des différentes associations et clubs. Cette part de travail informel compense par de nombreux aspects l’absence d’Etat social et de services publics centralisés. Ces derniers sont assurés localement par des ligues de Bien, composées de barons, bourgeois et notables de la province qui investissent et financent les infrastructures nécessaires à la vie courante. Théoriquement gratuits, il existe toutefois des attendus sociaux en gage de réciprocité dont l’engagement associatif et le travail physique bénévole au service de la communauté.
Ce mode de vie est permis par l'existence de klub ce que les anthropologues ont qualifié de « sociétés informelles » parfois abusivement comparées à des sociétés secrètes. Elles forment, avec les reliquats non-abolis du modèle féodal et l'omniprésence de la ruralité, le troisième pilier de la société polk. Il s'agit de réseaux d'entraides cloisonnés les uns des autres auxquels adhèrent les habitants selon différents critères : religieux, professionnels ou simplement géographiques. Ces réseaux informels rendent malaisés la compréhension des évolutions sociales et politiques de la société polk, parfois jugée en décalage ou à « contretemps » de l'histoire. Les klubs forment de puissants leviers d'influence, invisibles aux yeux des étrangers, mais omniprésents au quotidien tant ils motivent les transformations économico-politiques sous couvert de délibérations publiques. La grande spécificité des klub est de ne pas être familiaux et donc de ne pas relever des logiques lignagères. Plusieurs membres d'une même famille peuvent et sont même encouragés à appartenir à des réseaux différents pour faire bénéficier indirectement leurs proches de leurs avantages respectifs. On suppose que la fonction des klub était à l'origine de favoriser le brassage génétique en évitant la consanguinité jusqu'à progressivement former l'architecture de la société polk contemporaine.
Place de la religion dans l'État et la société :
La Polkême est un pays majoritairement catholique où sont intégrées quelques populations blêmiennes pratiquant l'orthodoxie. Entouré de pays de tradition orthodoxe, le catholicisme polk est devenu avec le temps un syncrétisme intégrant la vénération des idoles au reste du culte catholan. L’Eglise et l’Etat sont séparés bien que la consultation des autorités ecclésiastiques soit fréquente lors des débats de société et aux parlements.
La société polk est par ailleurs travaillée par son rapport au paganisme, intégré largement par les premiers missionnaires lors de la christianisation de la région. Pour s’opposer à l’influence orthodoxe, ils proposent un syncrétisme généreux, expliquant la présence larvée d’éléments de cultes régionaux et de fêtes et rituels plus explicitement païens. Ces éléments culturels atypiques, hérités de l'histoire polk, expliquent la survivance des pratiques magiques traditionnelles et la coexistence de l'Eglise catholane avec des confréries de cabalistes.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
La royauté polk se revendique d'être "la plus vieille du monde". Prétentions justifiant sa devise nationale "le premier sang". Les Vol Drek, la dynastie régnante, a unifié la Polkême au XIIème siècle par le mariage entre les rois des deux Polky et la famille Vol Dacine, qui régnait alors sur la région du Brann. La couronne revient de droit au premier héritier dans la ligne de succession, sans distinction de sexe. Si l'héritière est une fille, tout mariage ne pourra être que matrilinéaire, sous peine de provoquer une crise dynastique. Il existe à ce jour douze membres de la branche principale Vol Drek en vie et trente-neuf en comptant les branches cadettes.
Constitutionnellement, le Souverain de Polkême occupe la fonction de chef d’État, fonction qu'il dilue puis délègue au corps parlementaire après consultations des urnes. Il a, toujours en théorie, droit de veto sur les lois, peut se proclamer chef des armées et peut renvoyer le gouvernement sur demande gracieuse des chambres. Dans les faits, la Couronne a un pouvoir limité, moins par la Constitution que par les traditions démocratiques du pays. Parfois comparée à un rôle théocratique, la Couronne de Polkême garantit par ailleurs l'intégrité du Conseil des mages dont elle nomme le président, tout en recevant ses pouvoirs de l'Eglise de Polkême qui lui confie au souverain lors de son sacre le rôle de protecteur des cultes et de l'indépendance des affaires religieuses.
Contrairement à la classique séparation des pouvoirs, les chambres parlementaires possèdent à la fois le pouvoir législatif et exécutif. Elles constituent elles-mêmes des commités d’exécution des lois qu'elles votent et rendent compte, devant leurs pairs, de leurs réalisations effective. La composition de ces commités et de leurs mandats est décidé et voté par les parlements, chaque élu ne pouvant voter qu'une fois ce système laisse mécaniquement la place à l'opposition pour occuper certaines fonction. Par habitude (mais les comités tendent à bouger marginalement), le parti izolacionist domine dans les comités touchant à l'économie, le budget, la planification, la politique étrangère, l'urbanisme, l'éducation, l'environnement et la défense, là où le parti modernist domine dans les comités touchant aux mœurs, à la culture, à la sécurité intérieure et aux affaires sociales.
Les deux chambres fonctionnent exactement selon les mêmes règles, seul le composition change. Elles travaillent normalement indépendemment l'une de l'autre ce qui permet en théorie de recueillir au moins deux avis différents sur chaque question débattue. Comme le rapport de force entre partis au sein des comité n'est pas le même dans chaque chambre, certaines manœuvres stratégiques permettent parfois à l'opposition d'avoir le dernier mot, ou au contraire offre à la majorité un garde-fou pour bloquer les projets qu'elle ne soutient pas mais où elle est ponctuellement minoritaire.
En cas de divergences d'opinion entre les comités de la chambre roturière et de la chambre nobiliaire, les comités nommés par chaque chambre se rencontrent pour débattre et soumettre leur projet au Roi qui donne son avis. Le débat se fait à huis-clos et l'avis du souverain n'est pas déterminant. A la fin, chaque comité vote sur une résolution. Les comités de la chambre roturière étant deux fois plus grands que ceux de la chambre nobiliaire, ils ont en général le dernier mot lors du vote.
La chambre roturière est la chambre principale, composée de deux cents élus. Elle est dominée par le parti izolacionist qui occupe cent-trente-neuf sièges et dispose donc de la majorité absolue. La chambre roturière est réservée aux non-nobles qui seuls peuvent y être élus.
La chambre nobiliaire est la chambre secondaire, de fait, puisque composée d'uniquement cent élus. Elle a donc deux fois moins de poids lors des votes l'opposant à la chambre roturière. La chambre nobiliaire est réservée aux nobles qui seuls peuvent y être élus.
La classe nobiliaire, longtemps restée strictement héréditaire, s'est étoffée au cours du XIXème siècle d'une seconde catégorie de nobles, dit "plemeniti prestiž" (de la noblesse de prestige). Ce sont des roturiers méritants anoblis par la Couronne. Leur titre n'est toutefois pas héréditaire, mais leur permet d'être élus à la chambre nobiliaire (ils la composent de fait majoritairement). A l'origine ce système devait offrir à la Couronne de Polkême un moyen de peser sur les assemblées en façonnant une chambre nobiliaire selon ses intérêts. Ce mécanisme a toutefois grandement perdu en efficacité depuis que des réformes constitutionnelles ont doublé le nombre d'élus dans la chambre roturière, précisément pour empêcher la domination de la noblesse aux parlements.
Sans aucuns pouvoirs politiques, le Conseil des mages partage le pouvoir spirituel avec l’Église de Polkême. Issu d'un syncrétisme païen avec des éléments de religion catholique et orthodoxe, il bénéficie de fortes politiques de revitalisation nationale pendant les XVIIème, XVIIIème et XIXème siècles. Le Conseil des mages incarne le pouvoir judiciaire en Polkême, la loi y étant associé à une dimension mystique car en mesure de contraindre les hommes et de modifier leurs comportements. Les mages de Polkême sont des lettrés qui se placent au service des barons et des communautés locales à qui ils offrent des conseils juridiques et offrent de trancher les conflits. Ils réalisent en général un travail de médiation auprès de la population et tentent de prévenir les procès en amont. Ils reçoivent une paie par l'Etat et se déplacent beaucoup à travers la Polkême. Le Conseil a entre autre pour fonction d'orienter les mages vers les lieux où leur présence est nécessaire. Conseillers juridiques et médiateurs, ils sont également souvent artistes et philosophes, encouragés à entretenir leurs originalités, ils se constituent en tendance politiques et philosophiques très actives et présentes dans le débat public. Le rôle de mage est délivré par le Conseil. Pour l'obtenir il est nécessaire de démontrer sa capacité à faire usage de magie, dans son acceptation large il s'agit de toute habilité à convaincre ou à porter sur le monde un regard jugé utile pour le pays.
Principaux personnages :
Reine mère : Ema Vol Drek
Jeune roi : Vlastimil Vol Drek (les gens ne le savent pas encore mais c'est un changelin)
Mage de la cour : Jílek
Président de la chambre nobiliaire : Václav Vol Liere
Président de la chambre roturière : Albert Poláček
Politique internationale :
La Polkême est traditionnellement isolationniste et désire le rester autant que possible. Elle se tient éloignée du commerce international et cherche à maintenir des relations cordiales avec ses turbulents voisins tout en décourageant l’immigration. Loin d’être hostile aux échanges culturels, elle dissuade et combat certaines idées politiques jugées dangereuses comme le socialisme, le panslavisme et le fascisme.
Au regard des standards occidentaux, la Polkême est considérée comme une semi-démocratie et son gouvernement classé de droite nationaliste.