- AnahĂ Ă‘asaindy
- Sara Jaci
- Maru Kobayashi
- Adelino Avermelhado
- Paîékatu
- PetĂşlio Ademir Ishii
- PetĂşlio Junior "PetĂşlinho" Ishii
- Gaboymila
🗣️ Vie Politique Icamienne | Bottin des personnalités les plus connues.
Posté le : 28 sep. 2024 à 00:34:50
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[En Construction : Ce post servira de sommaire avec une catégorisation et des liens vers chaque personnalité]
Cabinet de la présidente Anahà Ñasaindy
Personnalités d'opposition
Personnalités locales
Personnalités en exil
Personnalités historiques
Posté le : 15 oct. 2024 à 00:46:18
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Description:
Yara Jaci est née le 28 août 1974 dans la Cité-État d'Akahim, au centre de l'Icamie. Cette ville, centre historique, culturel et militaire important de l'Icamie depuis la chute de l'Empire du Mazaticue, marquera grandement sa jeunesse et sa carrière, tant politique que militaire ou universitaire, comme beaucoup de jeunes femmes icamiennes. Fille d'une industrielle akahime, Potira Jaci, et d'un magistrat de Marianópolis, Ludwig Jaci (né Jacinto), premier conseiller de la cour régionale fédérale d'Akahim.
La famille Jaci est une vieille famille de la haute bourgeoisie akahime, qui a fait sa fortune en délaissant la chose guerrière au profit des aciéries au XIXème siècle.
[En construction]
Posté le : 03 nov. 2024 à 21:21:18
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Description:
Adelino Avermelhado naquit le 2 Octobre 1948 à Rio Formosa, alors capitale de la province coloniale listonienne de la Costa de Cobre. Fils d'une famille d'ouvriers d'origine Listono-icamienne et Burujo-icamienne, le jeune Adelino ne dépasse pas le stade du secondaire à l'école, préférant déserter ce qu'il reste d'infrastructure scolaire pour aller combattre sur les champs de bataille de la Guerre d'Indépendance Icamienne (1959-1969). Occupant de nombreux rôles plus adaptés à son jeune âge que celui de combattant, il transporte messages et cargaisons, avant de rejoindre la lutte armée à ses 17 ans, en 1965, auprès de l'UNITI, l'organisation indépendantiste "de droite" (face à l'ELPI communaliste, "de gauche"). Pendant la guerre, il est directement témoin des exactions des forces armées icamiennes, et notamment du cannibalisme sur les populations civiles listoniennes sympathisantes des forces coloniales, ce qui motivera son anti-cannibalisme et sa misogynie latente, dans une société icamienne qui tend à gommer les traits négatifs de son Histoire.
Après la guerre, il retourne dans le civil en restant néanmoins affilié à l'UNITI, devenu parti politique, en allant travailler dans plusieurs secteurs, comme docker ou comme ouvrier spécialisé dans la métallurgie, sans pour autant s'impliquer outre mesure dans la politique. Le régime de Petúlio Ishii, d'abord jugé objectivement préférable à la botte coloniale listonienne, se révèle passablement pire - tout du moins pour les classes populaires - avec un virage vers une économie de marché débridée et une négation totale des droits des travailleurs. Après avoir acquis une haine des Icamiennes pendant la guerre, Adelino développe une solide haine des communalistes - auxquels il rattache un Petúlio Ishii pourtant condamné jusque dans son parti -. Il fait ses premières armes de militant politique à cette période avec l'UNITI, développant un "communalisme de valeurs" qui lui sera propre, avant qu'il ne découvre les thèses eurycommunistes.
Lorsque Petúlio Ishii est déposé suite à son AVC en 1984, l'UNITI et l'ELPI, tous deux en pertes de vitesse face au Sentier Lumineux, s'unissent pour former l'UNIDEP, la première formation d'opposition de la "Troisième République Icamienne". Un virage à gauche s'opère pour la formation, qui se sépare de tous les éléments jugés "trop proches" du Sentier Lumineux, tous les leaders de la droite historique qui avaient collaboré ou même simplement eu connaissance des exactions de la Guerre d'Indépendance. Adelino, là encore, se démarquera en défendant une ligne jugée trop à gauche pour l'UNITI, mais trop à droite pour être véritablement communaliste.
Il se fait une réputation de tribun en assistant les caucus socialistes de la troisième chambre, tirée au sort et propre au système icamien, dans la formulation de questions au gouvernement saluées pour leur travail de recherche et leur précision ; questions qui participeront - au moins en parti - à plusieurs séries de réformes qui s'achèveront peu avant l'arrivée au pouvoir de la Ligue du Renouveau, et rendront l'Icamie par bien des aspects bien plus "présentable" à l'étranger.
En 1996, il se présente sous l'étiquette UNIDEP à la Diète, où il fait une entrée remarquée, bien qu'hétérodoxe par rapport aux positions du Parti. Déjà à l'époque, il dénonçait certains de ses collègues comme "trop coulants". C'est également à cette période qu'il se fascinera progressivement pour la révolution loduarienne et ses "avancées", à l'occasion de plusieurs voyages.
C'est finalement à force de discussions et d'alliances qu'il arrive au Congrès de l'UNIDEP de 2010 en position de force, et en devient le Secrétaire Général au terme de négociations acharnées : depuis, l'ancien tribun prodige est devenu un redoutable leader à la poigne de fer, qui s'aligne sans coups férir à chaque décision du Camarade Lorenzo, qu'il admire ouvertement. Après quatre années d'une gestion qualifiée de "désastreuse" par ses opposants, l'UNIDEP s'essaye à une offensive de charme, en privilégiant notamment, à l'image de la politique internationale de la présidente Ñasaindy, un rapprochement avec un maximum de "camarades étrangers", quitte à devoir avaler des couleuvres en collaborant avec des idéologies divergentes ...
