21/02/2015
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[COMMUNICATION] La Tribune des Savoirs

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LA TRIBUNE DES SAVOIRS
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Tempête de Sable à Shadowfen :
Une Force de la Nature Déchaînée


Shadowfen, Désert de Maoplat
18/09/2014

Opa Souvx, journaliste, s'est rendu sur les lieux dès l'alerte des premiers nuages. Elle a été amené dans la salle commune où quelques habitants ont eu le temps de venir de réfugier.

tempete

Dès les premières heures du jour, des nuages de sable s'accumulaient à l'horizon, attirant l’attention des résidents qui savaient d'amont ce que cela signifiait. En effet, l'eau Perdu, régulièrement agitée, provoque fréquemment des tempêtes de sable à Shadowfen. << La tempête s'est intensifiée en quelques minutes, et avant que nous puissions réagir, il etait deja trop tard >>, raconte Amira, une jeune bergère. En l'espèce de quelques heures, des rafales de vent soufflaient à plus de 100 km/h, obscurcissant le ciel. Les alertes météorologiques émises la veille n'avaient signalé qu'un faible voile de sable à plusieurs kilomètres qui, au plus grave, traverserais Shadowfen avant de se jeter à la mer. << Cette fois-ci pourtant, il n'est pas question d'un voile de sable, mais bien d'une tempête de sable >>, continue Amira, le souffle court. Les services de secours et d’urgence ont immédiatement été mobilisés pour répondre à la situation, mais le rafales de vent et les grains de sable tranchants ont rendu les intervention extrêmement difficile et la visibilité presque impossible. Plus les heures passaient, nous raconte les habitants de Shadowfen, plus les toits des maisons commençaient à céder et les portes s'arracher.

A l'heure d'aujourd'hui, il nous est encore impossible d'établir un bilan sur les conséquences de cette tempête de sable. De l'extérieur, plusieurs structures se sont effondrées, et les rues qui, hier encore, résonnaient de vie, sont désormais recouvertes d'une épaisse couche de sable. Les véhicules sont restés bloqués et de nombreux habitants sont restés piégés dans leurs maisons, craignant de sortir face à la tempête déferlante. Le centre de santé local a dû fermer ses portes en raison de l'impossibilité d'accéder aux urgences et l'incapacité de circuler dans la ville. Des cas de complications respiratoires causés par l’inhalation de sable et de poussière ont été signalés avant que les lignes de communication ne soit entièrement coupées. << Nous avons commencé à recevoir des appels de patients souffrant de problèmes respiratoires et de visages égratignés. C'est une veritable course contre la montre a laquelle, pourtant, nous sommes en incapacité de participer >>, explique le docteur Ghuxc, médecin urgentiste à Shadowfen. << La tempête a limité nos capacités, nous espérons que la situation s’apaisera bientôt afin de pouvoir porter secours aux habitants >>. Cet événement tragique soulève des questions sur la préparation de la ville face aux catastrophes naturelles fréquente. Alors que le climat de la région continue de s'aggraver, les experts craignent que de tels phénomènes pourraient devenir de plus en plus fréquents. << Il est crucial que Shadowfen investisse dans des infrastructures résilientes pour mieux faire face à ce type d’événement >> déclare le maire de Shadowfen, fortement préoccupé par la situation. Le conseil municipal de Shadowfen a déjà annoncé des réunions d'urgence pour discuter des mesures immédiates et à long terme lorsque la tempête se serait calmé. La situation ne semble pas se calmer et les habitants de Shadowfen craignent qu'à terme, plusieurs décès soient révélé. << Ma fille jouait avec ses amis lorsque la tempête a commencer, je l'ai appelé mais elle ne répondait pas, je ne sais pas où elle est ni même... si elle est encore vivante >> affirme cette jeune mère de famille. Aucun signe de vie n'est émis à l'extérieur et la colère chez les habitants commence à croître face à l'incapacité d'action. La porte d'entrée à été clôturée et les fenêtres barricadées. Le maire est ferme, << personne ne rentre et personne ne sort, il est de notre devoir de protéger ceux que nous pouvons >>. Une situation de crise à laquelle ce maire récemment nommé n'a jamais été confronté
.

CRASH CLING WHOOSH

À lo- CRSHHH la vitre CRSHHH le maire CRSHHH beaucoup de sang, aid- CRSHHH secours !

L'enregistrement se coupe violemment.

- - -

Shadowfen, 7 heures après l'incident, retour sur les dégâts de la tempête de sable.

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Les premiers rayons du soleil percent à travers les nuages de sable résiduels, révélant un paysage dévasté. Les rues de Shadowfen sont désormais méconnaissables, ensevelies sous des tonnes de sable. Les habitants, encore sous le choc, tentent de regagner leur maison. Des maisons écroulées, des véhicules renversés et des débris éparpillés témoignent de la violence des rafales de vent. << Nous avons perdu des amis, des voisins >>, confie un homme d’âge moyen, les larmes aux yeux. << Je ne sais pas combien de temps nous pourrons tenir dans ces conditions >>. Les équipes de secours peinent à atteindre les zones les plus touchées et tous les hommes du village ont été mobilisés pour creuser le sable. Le maire, souhaitant protéger sa ville, déclare : << Nous allons tout faire pour retrouver les disparus et aider ceux qui sont dans le besoin. Mais nous avons besoin de soutien >>. Des appels à l'aide ont été lancés aux villes voisines pour obtenir des ressources supplémentaires et, si possible, un refuge pour les nuits suivantes. Le docteur Ghuxc, avec son équipe, a commencé à établir un poste de secours temporaire dans l'une des écoles encore debout. << Plusieurs décès ont été constatés, et de nombreuses personnes ont été victime de cet incident >> déclare-t-il. Les prochaines heures seront décisives.
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Retour sur la tempête de Sable à Shadowfen : un événement ancré dans l'histoire

Shadowfen, Désert de Maoplat
18/09/2014

Le journaliste Plaillac Belseau s'exprime sur les conséquences humaines et matériels de la tempête depuis de la tente de premier secours.

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Dans la chaleur écrasante du désert de Shadowfen, des volontaires se sont rassemblés pour chercher les survivants et les corps ensevelis sous les dunes de sable après la violente tempête. Armés de leur pelle et d'espoir, ils s'aventurent dans les monticules de sable, s'enfonçant profondément pour dégager les débris et retrouver le potentiel corps de ceux qui n'ont pas réussi à s'abriter. Malgré la fatigue et le poids de la tragédie, chacun persistent, determinés a trouver et rendre hommage aux victimes de la tempête. Au fil des heures, ils découvrent le corps figé dans des poses de douleur et de peur de plusieurs personnes : amis, familles, voisins. Chaque découverte provoque des cris et des pleurs. De l'autre côte, les médecins s'activent. Leur rôle ne se limite pas à traiter traiter les blessures physiques, mais aussi de répondre aux préoccupations psychologiques et émotionnelles. Les conséquences humaines de cette tempête sont plus que visibles. Un flux de patients souffrant de respirations difficiles, de brûlures et de blessures dues à des débris volants s'est fait remarquer. Sans compter ceux qui, encore aujourd'hui, n'ont pas été trouvé. Des services de soutien psychologique on été mis en place pour aider les personnes à surmonter ce choc. Il est fondamental de reconnaître que la douleur et la souffrance après un tel événement ne sont pas seulement physiques; mais aussi psychologique. Ce qui est, en prime, préoccupant, c'est l'augmentation des cas de stress post-traumatique observés chez les shadowfeniens. Cette tempête plus violente et destructrice que les autres laissera sans aucun doute des séquelles à vie aux habitants de Shadowfen. En quelques heures de tempête, les infrastructures essentielles ont subi des dommages considérables. Les maisons et voitures ont été ravagées par les vents violents chargés de sables et de débris, de nombreuses structures ont vu leurs toits arrachés, leurs murs fissurés, et certaines ont même été complètement détruites. Les infrastructures publiques n'ont pas non plus été épargnées. Les routes sont couvertes de débris, rendant l'accès aux villes voisines et aux zones environnantes difficile. Des poteaux électriques ont été déracinés, entraînant des coupures de courant frequentes. Les lignes de communication ont également été affectées, isolant encore davantage les résidents de leurs proches et des services d'urgence. Les installations agricoles ont également été touchés. Les champs sont désormais recouverts d'une épaisse couche de sable, détruisant les cultures en place et compromettant les récoltes futures. Les agriculteurs sont confrontés à une perte financière consequente.

Noria, la ville voisinant Shadowfen de 55 km, s'est engagé à aider les shadowfeniens en envoyant près de 30 médecins supplémentaires et une centaine d'ouvriers pour déceler les corps. A quelques heures de leur arrivée, les habitants les attendent avec impatience. De plus, le maire de la ville a mis à disposition le gymnase et la salle communale pour abriter ceux dont la maison est détruite. Ces structures, habituellement réservées aux événements sportifs et aux rassemblements, sont transformés en un abri. Des bénévoles de Noria se sont portés volontaires pour installer des matelas, fournir des couvertures et distribuer de la nourriture et de l'eau pour les futurs arrivants. Des groupes se forment pour préparer des repas chauds à offrir aux arrivants et aux personnes hébergées dans le gymnase. Le Dr. Ghuxc, qui reste au cœur de la mobilisation, prépare des équipes médicales pour recevoir les renforts. << Nous devons être prêts à coordonner les soins et à évaluer les besoins prioritaires dès leur arrivée >>, affirme-t-il.
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Interview inédite : La rencontre tant attendue avec le Général Alexeï Balka, commandant de la base kartienne.

Noria, Désert de Maoplat
21/09/2014

Salle de réunion de la mairie de Noria, généreusement prêté par le maire pour l'occasion, et aménagée pour l'occasion. Trois journalistes sont présents pour retranscrire l'échange. Orsart Tally, représentant des Armées Unies loclenasque attend la venue du Général Alexeï Balka, commandant de la base kartienne.


Orsart Tally : Bonjour et bienvenu à Sochacia Ustyae Cliar, Général Alexeï Balka ! J'espère que vous avez fait bon voyage.

Général Alexeï Balka: Bien merci, même si je reviens d'une mission assez compliquée. Et vous ?

Orsart Tally : Plutôt agréable, je dois admettre. Puis-je vous inviter à vous asseoir et vous offrir une tasse de notre thé traditionnel ?

Général Alexeï Balka: Ma foi, essayons.

Orsart Tally : Comment se porte l'Empire de Karty ?

Général Alexeï Balka: Mis à part les récentes tensions au Diambée, rien de grave et vous ?

Orsart Tally : Et bien, nous avons eu une récente tempête de sable à Shadowfen, celle-ci a fait de nombreux dégâts : autant matériel qu'humain. Nous essayons de mobiliser un maximum de monde pour venir en aide aux Shadowfeniens.

Général Alexeï Balka: La base militaire a également été touchée mais nous sommes en attente de rapport. Néanmoins, ce type d'infrastructure est prévu à cet effet, les militaires pourraient venir en aide à votre population ?

Orsart Tally : Il est vrai que toute l'aide possible est la bienvenue. Nombreuses sont les maisons ensevelies sous le sable à l'heure où nous parlons aujourd'hui. De plus, nous n'avons pour le moment pas pu poser de bilans sur les conséquences de cette tempête. Nous craignons que certaines personnes n'ont pu trouver refuge à temps.

Général Alexeï Balka: l'Empire de Karty s'engage à envoyer 1/3 de ses soldats de la base, à savoir 100 soldats en aide à l'UC Sochacia.

Orsart Tally : Voilà un geste honorable, nous vous en sommes infiniment reconnaissant.

Général Alexeï Balka: En tant qu'allié c'est bien normal ! Nous fournirons un soutien moral, matériel par des denrées alimentaires.

Orsart Tally : Je vous en remercie, à mon nom et celui de l'ensemble de l'UC Sochacia.

Général Alexeï Balka: Naturellement, et, j'ajoute que votre thé est exquis.

Orsart Tally : Vous m'en voyez ravie ! C'est une recette loclenasque dont nous sommes très fière ; l'une des spécialités du pays, je tiens a le preciser.

Général Alexeï Balka: La spécialité de l'Empire en terme de boisson, est le schnaps, je ramènerai une bouteille si j'en ai l'occasion.

Orsart Tally : Ce serait un plaisir de goûter, j'en suis sûr, il sera à la hauteur de nos attentes.

Général Alexeï Balka: Je l'espère également !

Orsart Tally : Passons si vous le voulez bien et entrons dans dans des sujets plus concret : votre base militaire.

Général Alexeï Balka: Je vous écoute.

Orsart Tally : Votre arrivée suscite chez nos citoyens autant d'excitation que d'appréhension. Ils craignent que cette base kartienne ne vienne déranger la tranquillité habituelle de l'UC Sochacia. Pouvez-vous nous décrire les principales missions de cette base militaire ?

Général Alexeï Balka: Inquiète naturelle. Tout d'abord cette base nous sert en quelque sorte de port pour faire transiter de la marchandise, vous savez que nous sommes un producteur d'armement. De plus, cela nous permet plus généralement de pouvoir intervenir un peu partout en Afarée. Ensuite, cette base nous permet de vous aider en temps de crise avec notamment la récente tempête de sable.

Orsart Tally : Naturellement. Quel sera le personnel total ici, et quelles sont les différentes unités présentes sur la base ?

Général Alexeï Balka: Nous possédons 300 militaire sur cette base.

Orsart Tally : Et quel type de rapport comptez vous entretenir avec la population locale ?

Général Alexeï Balka: Les militaires restent la majeure partie du temps dans la base. Néanmoins une relation de bonne entente est à privilégier, pour preuve notre envoi d'aide.

Orsart Tally : Quels sont les protocoles en cas de menace potentielle ? A l'échelle de votre base et de notre pays ?

Général Alexeï Balka: En cas d'attaque sur notre base, nos militaires répondront sans hésiter. Et si c'est votre nation, 300 militaires ne suffiront pas à repousser une attaque potentielle sur votre pays.

Orsart Tally : Enfin, souhaitez vous adresser quelques mots à l'intention de nos citoyens

Général Alexeï Balka: Bien que nous sommes une nation étrangère à la vôtre, l'Empire de Karty est votre allié. Je terminerais en disant la devise impériale, Patrie, Armée, Honneur.

Orsart Tally : Tout me semble bon. Avez vous des questions auxquelles nous pourrions répondre ?

Général Alexeï Balka: Mes remerciements, au nom du Saint Empire de Karty.

Orsart Tally et le Général Alexeï Balka se serrent la main avant de se quitter.


Portrait
Portrait du Général Alexeï Balkaw,
aperçu à la sortie de la marie
Peinture à l'huile, 2014
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Éboulement mortelle à Shadowfen : Les militaires kartiens appelés en renfort

Shadowfen, Désert de Maoplat
28/09/2014

Podcast


Journaliste 1 : Des maisons détruites, des murs écroulés, des toits effondrés, vous l'aurez compris : il s'agit bien de la ville de Shadowfen. L'histoire de tout un passé s'est envolée ce 18 septembre 2014.

Musique : bip bip bip La tribune des Savoirs, des informations en continue, pour tout et pour tous bip bip bip

Journaliste 1 : Recouvert d'un épais manteau de sable, le sol de Shadowfen semble vouloir aspirer les pas des passants. À chaque mouvement les gens s'enfoncent dans le sol, comme si celle-ci cherchait à retenir ceux qui osent la fouler. Le ciel, d'un bleu aveuglant, n'est parsemé que de quelques nuages qui dérivent paresseusement à travers le ciel. L'air est devenue lourde, plus que d'habitude ; presque oppressante.

Journaliste 2 : Derrière cette image idyllique, Shadowfen continue de subir les conséquences de la tempête récente. Alors que la majorité des habitants ont pu être rapatrié à Noria et sont gracieusement nourrit, logé et blanchi par des bénévoles empreints de bonne foi, d'autres demeurent encore sous les gravats, sous le sable ou dans les caves.

Journaliste 1 : Il y a quelques heures seulement, un éboulement mortel s'est produit, et on vous raconte tout ça maintenant !

Journaliste 2 : Les forces de l'ordre ont reçu, hier dans la soirée, un message grésillant d'une famille bloquée dans le sous-sol.

Journaliste 1 : En effet, une femme enceinte, un enfant de quatre ans et un père ont signalés être dans leur cave pour se protéger de la tempête. Les forces de l'ordre n'ont pu que s'assurer de l'état de santé de chacun que la ligne de communication à été violemment rompue.

Journaliste 2 : Face à la situation, des citoyens volontaires ont été rapidement amenés à Shadowfen pour venir en aide aux militaires kartiens. Quelques tonnes de sable supportant les murs affaiblis ont été enlevées, la maison a cédée, entraînant un effondrement. Dans une course contre la montre, les équipes de secours, les militaires et les bénévoles se sont acharnées à dégager les gravats et retrouver la famille.

Journaliste 1 : Après des heures de travail, la famille a été retrouvée. Le père, gravement blessé après s'être sacrifié pour protéger sa femme et son fils, avait été touché par une planche lors de l'effondrement. La mère et l'enfant, traumatisés par l'expérience, ont été sauvés. L'examen gynécologique a malheureusement démontré le décès de l'embryon.

Journaliste 2 : La ville de Shadowfen se relèvera de cette épreuve avec courage et détermination. Les efforts de secours se poursuivent sans relâche pour retrouver d'autres survivants. Une lueur d'espoir et de solidarité brille à travers les ruines et les décombres. La communauté reste unie dans l'adversité, priant les esprits plus que jamais.

Journaliste 1 : Restez à l'écoute pour plus d'informations sur la situation à Shadowfen.

Fin du podcast
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Tempête de Sable : Les dernières nouvelles et le bilan.

Shadowfen, Désert de Maoplat
01/10/2014

Plaillac Belseau, journaliste pour la Tribune des Savoirs, et le maire de Shadowfen.

Le soleil brille sur le petit village de Shadowfen, 7h30 du matin, et tous les villageois sont déjà au travail. Un travail différent, celui de la reconstruction presque totale, d'un village. Leur village. Chacun tente de reprendre sa vie d'avant, celle que la tempête n'aurait pas touchée. Les rues, animées par le bruit des enfants et non le vent qui s'inflitre au travers des maisons, le cliquetis des outils de maçonnerie et boiserie et non celui des vitres qui se brisent, et les échanges amicaux entre les résidents qui ne sont plus des cris d'horreur donnent l'impression d'un jour d'octobre normal. Un jour presque normal. Pourtant, au-delà de cette tranquillité, une fragile façade masque le lourd impact de la tempête. Le sable, donc presque la totalité du superflus à réussi à être ôté, laisse voir pleinement les dégâts. Certaines maisons se sont volatilisée, d'autres ont été jetée plus loin par le vent. Le centre du village, composé de maison en béton, ont été épargnées et ne voient que leurs vitres brisées et leurs portes arrachées. Les jardins, les serres et les plantations ont été emporté par la tempête. Les routes sont couvertes de débris et certains morceaux de macadam troués. Il faudra plusieurs jours, voire plusieurs semaines, pour rétablir la situation et réparer les routes. <<Les maisons, en particulier dans la vieille partie du village, ont subi des pertes. Des dizaines sont inhabitables, avec des toits arrachés et des murs qui menacent de s'effondrer. Nous avons commencé à rassembler des fonds d'urgence pour aider ceux qui ont tout perdu >>, un appel à l'aide que le maire de Shadowfen adresse à tous.

Notre Reine a expressément organisée une réunion avec les quatre représentants de région afin de poser un premier bilan sur la situation complexe à laquelle fait face Shadowfen ; et en voici un court extrait :

Journaliste redacteur royal a écrit :Reine Limollac Hermaris : La situation à Shadowfen est préoccupante. Notre peuple a besoin de notre soutien immédiat. Il est de notre devoir de venir en aide financière au maire de Shadowfen pour permettre la restitution du village.

RD : Votre Majesté, je suis tout à fait d'accord. Les ressources de notre région peuvent être mises à disposition pour contribuer à la reconstruction. Nous devons agir rapidement pour éviter que la situation ne s’aggrave.

RJ : Je soutiens cette initiative. Nous avons également des fonds d'urgence que nous pourrions offrir. Il est crucial que chaque région apporte sa part pour aider Shadowfen à se relever.

RTK : Je mettrais également les fonds nécessaires, il nous faut reconstruire ce village au plus vite et permettre aux habitants de reprendre une vie normale.

RA : Je suis entièrement d'accord. Nous devrions également envisager des mesures à long terme pour assurer un soutien continu.

Le bilan :
83% des maisons sont inhabitables, 7,2% des shadowfeniens sont décédés lors de la tempête et 65% ont été blessé dont 19% l'ont été gravement.

Notre Reine a également annoncée, lors de la réunion, un bal au palais royal afin de laisser partir les morts comme il se doit. Cet événement ne sera pas seulement une occasion de célébration, mais un moment solennel pour rendre hommage à ceux que nous avons perdus. Le bal débutera par un discours de la Reine, qui exprimera ses condoléances et sa solidarité envers toutes les familles. Par la suite, une prière sera faite par l'ensemble des invités, suivie du sacrifice d'une chèvre et la crémation. Tout au long de la soirée, des danses traditionnelles, des performances de musiciens locaux et des discours de soutien auront lieu. Les fonds récoltés lors de cet événement seront également reversés au village. Les habitants de Shadowfen auront la priorité pour s'inscrire à cet événement.
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Bal de rendu : Le Palais Royal comme église religieuse

Garthram,
13/10/2014

Opa Souvx, journaliste, s'est rendu au palais royal pour le bal de rendu aux esprits des victimes de Shadowfen.

À l’heure où le jour cède lentement sa place à la nuit, le ciel se pare de nuances colorées : passant du bleu au violet, puis à l'orange. Les dernières lueurs du soleil filtrent a travers les tours du palais royal. Des lanternes et guirlandes lumineuses, accrochées aux balcons, sont allumées et permettent de le voir. Érigé au cœur du désert, les dunes dorées ondulent sous le doux souffle du vent du soir. Les murs du palais, d’un blanc aveuglant, scintillent à la faible lumière du soleil, créant un contraste éblouissant avec la chaleur des sables environnants. Le palais, ornée de mosaïques en marbre, est inspirés des traditions anciennes évoquant à la fois la grandeur et l'élégance. Le parfum des fleurs exotiques s’élève dans l’air chaud, tandis que les palmiers se balancent doucement. Dans les jardins du palais, les fontaines, sculptées avec soin, jaillissent d'eau claire. Au centre du jardin central, un feu est établie en prévision du rendu. Dans les jardins autour, des silhouettes se déplacer, vêtues de robes traditionnelles aux couleurs vives qui flottent. Les rires et les conversations à voix basse résonnent, créant une atmosphère de convivialité et de joie. À l'intérieur du palais, les salles sont décorées avec soin, où des tapis persans tapissent le sol et des lustres en cristal brillent au-dessus des têtes.

La reine a ouvert le bal à 19 heures, lors d'un discours mêlant informations, condoléances et vœux :
Limollac Hermaris a écrit :<< Cher loclenasquenyien,

Ce soir, alors que nous nous rassemblons dans ce palais, nous nous unissons pour célébrer la vie : la vie passé, et la vie future. Nous honorerons la mémoire de ceux qui vont rejoindre Dieu lors de la terrible tempête de sable qui a frappé Shadowfen. Des vies, des rêves et des espoirs pourront etre effectués et béni par Dieu. Nous avons perdu, physiquement, des êtres chers, des amis, des membres de notre communauté. Mais ne pleurez pas leur mort, implorez les, ils viendront a vous. Ce soir, nous levons nos verres pour célébrer la mort. La mort et la vie nouvelle qui s'offre à eux. Ensemble, nous ferons face à cette épreuve. Ensemble, nous reconstruirons.

Ce bal n'est pas simplement une célébration, mais un acte de solidarité envers vous. L'ensemble du corps supérieur tient a vous soutenir dans la demarche de crémation. C'est pourquoi, en plus de nos prières, nous avons mis en place des initiatives pour fournir aide et réconfort. Chaque don, chaque geste compte dans ces moments difficiles.

Alors, levons nos verres à ceux qui nous ont quittés, et célébrons la force de notre peuple. Que cette soirée soit un hommage à la résilience de notre peuple et un appel à l'unité en ces temps.

Merci à tous d'être ici ce soir, et que la lumière de l'amour et de l'espoir guide nos pas. Ouvrons nos cœurs et nos esprits en mémoire de ceux que nous chérissons.

Je déclare ce bal ouvert. >>
Suite à son affirmation, les serveurs royaux ont servi successivement l'apéritif, le plat et le dessert. Le thé, spécialité de l'UC Sochacia dont la recette demeure encore secrète, a été offert à tous les invités. La musique n'a pas cessé durant le dîner, offrant aux invités la possibilité de divertir et se divertir par la danse.

Par la suite, un représentant du culte religieux à mené à bien une prière afin d'appeler Dieu.
Représentant du culte religieux a écrit :<< Ô grand Esprit des cieux,
Entendez notre prière, notre chant.
Gardiens des Cieux,
Accordez-nous lumière et paix,
Pour guider nos âmes sur le chemin.

Que l’amour et l’unité brillent en nous,
Et que votre sagesse éclaire nos jours.
Entendez notre appel,
Nous vous honorons, maintenant et toujours. >>
Les invités ont été invités dans les jardins, près du feu établi préalablement. Avec respect et solennité, le rituel était préparé. La chèvre, ornée de guirlandes de fleurs, était amenée au centre du cercle. Les participants, en silence, observaient, conscient de la gravité de l'acte. Cela représentait non seulement un acte de dévotion mais aussi une manière de rendre hommage aux ancêtres et aux forces de la nature. Après le sacrifice, la chèvre était placée sur le bûcher, où elle est crémée. Les flammes, nourries par les offrandes, montaient haut dans le ciel, emportant avec elles les prières et les souhaits des invités. Lorsqu'elle fut devenu sandre, une foule d'homme costumé amènerent les cercueils. Les familles, formulant tour à tour la prière funéraire, ont laissé les cercueils aller sur le feu de bois, formant une tour. Des pétales de fleurs ont été lancé en offrande.

La centaine de militaire kartiens à également été convié au bal, indépendamment des rituels religieux, en remerciements de l'aide précieuse qu'ils ont apportés. Ils ont eu la possibilité de jouer leur hymne national, symbole de liaison entre Sochacia Ustyae Cliar et Karty. Un acte fortement apprécié, autant par les citoyens que les militaires.
hymne
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Enquête spéciale : l'incroyable, mais vrai, vie des habitants de Noria

Noria, desert de Maopla
08/11/2014

Vika Lxem, journaliste, se rend dans le bidonville Noria pour nous témoigner de la vie des habitants.

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Les premiers rayons du soleil percent à travers les nuages et, déjà, le centre-ville de Noria est animé. Les étals du marché, bien que faites sommairement, s'installent doucement. Les vendeurs ambulants crient leurs marchandises, les plus courageux d'entre eux font la manche : chacun essaye de récolter quelques sous pour subvenir aux besoins de leur famille. Des fruits, des légumes, des bijoux, les artisans prônent le fait-maison. Les parfums se mélangent : celui des fruits mûrs et juteux, des épices exotiques, et des fleurs fraîchement cueillies. Les stands de bijoux scintillent sous les premiers rayons, attirant l'œil avec leurs métaux brillants. Les artisans, avec des mains habiles et des sourires chaleureux, invitent les passants à découvrir leurs créations uniques. Au centre de cette effervescence, un groupe de musiciens joue une mélodie entraînante avec des morceaux de bois, des vieux cartons mouillés et des boites de conserves. Une technique peu connu mais qui apporte pourtant une belle note musicale.

Les rues étroites et sinueuses sont tapissés de détritus et de débris. Les maisons, faites de tôles, de carton de boue séchée, s'entassent les unes sur les autres. Une situation dans laquelle chacun semble trouver son bonheur : un bonheur sommaire, il va de soit, mais sincère. Un peu partout dans la ville, des coins convivial ouvert a tous sont aménagés avec des tables, des canapés ou des bars. Telle une ville normale, les commerces aux portes inexistantes affichent des horaires d'ouverture, les restaurants préparent leurs repas et les galeries d'art exposent les premières toiles. Les habitants paraissent pouvoir se contenter du minimum. Les odeurs sont un mélange de fumée, d'excréments et de cuisine en plein air. Les bruits sont assourdissants, entre les voix aiguës des vendeurs, le bruit des machines "industrielles" et les éclats de rire des enfants qui jouent pieds nus dans les rues boueuses, faisant omission de la saleté et de la misère. "Nous vivons de peu, mais nous vivons bien. Chacun apporte ce qu'il peut pour aider les autres." confie une femme âgée qui prépare du pain. "Nous n'avons pas de richesse matérielle, mais nous avons un tout autre trésor : la solidarité. Les grandes villes semblent l'avoir perdue il y a longtemps". surenchérit son mari. Les défis sont nombreux : manque d'eau, infrastructures précaires, accès limité à l'éducation.

En recule de l'agitation de la ville, une école se dresse. Faite de bois et de carton, des écoliers sortent et rentrent, courent et jouent dans la cour aménagé à cet effet. Les enfants, malgré les difficultés auxquelles ils sont confrontés, semblent heureux d'apprendre. Les salles de classe sont simples mais colorées, remplies de dessins d'enfants et de livres usagés. Les enseignants, passionnés par leur travail, font de leur mieux pour transmettre savoir et valeurs à leurs élèves. "Il est évident que le diplôme que nous leurs offrons n'est pas reconnu par l'état, mais voir le sourire illuminer leur visage est l'un des plus beaux cadeaux d'un enseignant. Ici, le diplôme que nous offrons compte pour trouver un travail, bien que la majorité prennent la relève de leurs parents" affirme l'une des quatre enseignantes de l'école.image

Malgré la précarité des conditions de vie, des monuments de prière religieux se dressent de part et d'autre de la ville. Ces lieux de culte, qu'il s'agisse de petites églises, de mosquées modestes ou de temples improvisés, sont des havres de paix dans la misère qui anime la ville. Issus de différentes origines ethniques et religieuses, les habitants se réunissent pour prier et trouver du réconfort dans ces lieux sacrés. Les chants, les prières et les rituels constituent des points clés dans leur quotidien, leur permettant de trouver du réconfort et de puiser la force nécessaire.

Les fêtes religieuses, quelqu'en soit la religion, occupent une place centrale dans la vie des habitants de Noria. En plus des fêtes religieuses, les habitants de Noria ont créé leurs propres traditions et festivités pour marquer les événements importants de leur vie dans le bidonville. Que ce soit pour célébrer un mariage, une naissance, ou se retrouver et partager un repas, les habitants trouvent des moyens de rendre ces moments spéciaux. Ces traditions et fêtes inventées sont le symbole de leur force et de leur capacité à trouver de la joie et du bonheur même dans les circonstances les plus difficiles. Elles renforcent le tissu social et créent un sentiment d'appartenance et de solidarité parmi les habitants du bidonville.

Malgré la misère et la précarité qui règnent dans le bidonville de Noria, ses habitants ont su s'armer de solidarité, de joie et de force. À travers leurs traditions, leurs lieux de culte et leurs festivités, ils ont créé une communauté où règnent l'entraide, la résilience et la joie de vivre. Leur capacité à se soutenir mutuellement et à trouver la beauté et la richesse dans la simplicité est une leçon de vie pour nous tous.
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Sejour du Tsar Stanislas I et de sa femme : le renforcement des liens entre Karty et Sochacia Ustyae Cliar

Aujourd hui est un jour mémorable pour LUC Sochacia, alors que les citoyens Joclenasque se pressent sur-la Place des Sables pour accueillir le Tsar Stanislas I et de sa noble épouse, la Tsarine, Sous un ciel bleu éclatant, la place, habituellement animée par le bruit de la fête, est empreinte d'une atmosphère de solennité et d' excitation. Limollaç Hermaris, déjà présente, est encerclée de ses gardes du corps.

A leur arrivée, le couple royal est reçu avec chaleur et respect dans un mouvement d'applaudissement. Escortés par les militaires kartiens, ils rejoignent la reine au centre de la place. Les vêtements ornés et majestueux des deux souverains, ainsi que la sincérité des remerciements échangés, témoignent de l' importance de cet événement. Les locaux, en habit traditionnel, forment une haie d'honneur qui mène la Reine à serrer la main au Tsar et faire une révérance à la Tsarine. Des groupes de musiciens et de danseurs, postés à des points stratégiques, divertissent les invités dès leur arrivée. Sous les regards curieux des citoyens, la Reine et le Tsar échangent quelques banalités, riant doucement et se félicitant mutuellement de la grandeur de cette rencontre. Le Tsar, dont le charisme et la fierté ne passent pas inaperçus, fait preuve d'une facilité déconcertante à engager la conversation. A ses côtés, plus en retrait, la Tsarine, dont la beauté illumine la place, sourit chaleureusement. Deux temps plus tard, la Reine Limollac Hermaris, figure de l'UC Sochacia, fait un pas en arrière afin de faire face au Tsar, sa femme et l'ensemble des citoyens et musiciens qui se sont regroupé. D'une voix forte et clair, son discours résonne sur la place, accentué par un micro. Celle-ci exprime sa joie de recevoir leurs majestés et parle d’un avenir prometteur entre UC Sochacia et Karty.

"C'est avec une immense joie et un profond respect que je vous accueille aujourd'hui en notre terre. Votre présence ici est symbole d’amitié et d’alliance qui unissent nos deux nations. Ensemble, nous partageons non seulement des intérêts communs, mais aussi des valeurs qui solidifient notre coopération. Je souhaite exprimer ma gratitude pour votre sejour en UC Sochacia, visite qui témoigne de votre engagement à renforcer les liens entre nos peuples. Au cours de votre séjour, nous aurons l'opportunité d'approfondir nos discussions sur des questions importantes, mais également vous faire découvrir ce qui fondent notre noble pays. Je vous invite à découvrir la beauté de notre pays et à rencontrer notre peuple, qui se réjouit de vous accueillir comme vous l'avez, sans doute, constaté."

La Reine adresse une révérance à son peuple, le Tsar et la Tsarine suivent le mouvement. Lorsque les solutions fut faites, un cortège impressionnant se forme pour escorter le couple jusqu'à leur hôtel.

Les rues de Sochacia Ustyae Cliar, décorées de parapluies flottants pour rappeler la Karty et de fleurs colorées pour l'UC Sochacia pour l'occasion, s'animent. Les locaux se pressent aux fenêtres pour voir le couple et la Reine passer. Les acclamations de la foule créent un brouhaha, témoignant de l’admiration que l'on porte à la Reine, au Tsar et à sa compagne.

L'hôtel qui les accueille est l'un des plus quoté de la région, le Palais de la Mer, situé au bord de la mer. Ses murs en pierre taillées et ses statues, couvertes de lierre en fleur donnent une grandeur imposante. À l'intérieur, des lustres en cristal éclairent le hall tapissé de fleurs et de peintures d'artiste. Le Tsar et la Tsarine se virent offrir l'une des plus belles suite du palais, les décors raffinés et la vue imprenable : lorsque le couple royal franchit les portes de leur suite, une ambiance de paix et d’intimité les y attend. Sur la table basse du salon aménagé, un set de bienvenu les attend, composé de thé traditionnel, gâteaux et gourmandises. A côté, une grande enveloppe est posée en cadeau : programme de leur semaine en UC Sochacia, photos, encyclopédie du pays, carte postale.

Dans la soirée, ils furent escortés jusqu'à un luxueux restaurant gastronomique. La reine, vêtues d'une robe élégante, accueille le Tsar et sa femme. La table, soigneusement préparé par le meilleur maître d'hôtel de la région, est ornée d'une nage blanche en soie et de bougie locale. Le serveur propose un choix de vins fins pour accompagner leurs plats. Un amuse-bouche d'huîtres fraîchement pêchées et de caviar ouvre le dîner. Le Tsar et la Tsarine sont tous deux émerveillés par la cuisine et ne cesse de le complimenter. Au fil des plats, le couple royal découvre les repas traditionnaux qui fondent la gastronomie riche de Sochacia Ustyae Cliar. La Reine aborde les récents accords de coopération entre les deux pays, revient sur la situation critique dont était confronté le Diambée et félicite la merveilleuse cérémonie du Kremelin. Le Tsar, avec un sens aigu de la stratégie, propose des idées pour renforcer les liens entre les nations. La Reine, tout en appréciant le plat principal de canard rôti, acquiesce avec envie. Au cours du repas, les rires se mêlent aux discussions sérieuses. Le dessert, une superbe tarte aux fruits exotiques, offre un moment de détente et une trêve des sujets politiques. En fin de soirée, après des promesses d'un avenir collaboratif, ils se lèvent pour trinquer à leur amitié et à la prospérité de leurs nations. Le retour à l'hôtel marque la fin de cette première journée. Avant de regagner leur chambre respective, la Tsarine confie à la Reine son impatience quant à la découverte de l'UC Sochacia et de sa culture.

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Le Tsar et sa femme entame leur visite après un petit-déjeuner copieux de produits locaux à l'hôtel. Quelques banalités s'imposent, et le couple royal avoue sa surprise lors de l'alarme religieuse. La Reine, par acquis de conscience, se lance dans un long monologue explicatif sur les origines, les rituels et les fêtes religieuses de l'Anthettip. Le premier jour de visite commence dans la région de Jhiania et promet d'être riche en découvertes et émerveillement. La Reine avait soigneusement organisé chaque détail pour illustrer l’importance leur visite. Dès leur arrivée, sous une haie d'applaudissement et de cris de joie des locaux, ils se dirigent vers une ancienne pyramide. Là-bas, des journalises les y attendent : la Tsar prend le temps de repondre a quelques questions avant de , cordialement, annoncer son indisponibilité. Cette structure, témoignage d'une époque ancienne, dressée vers le ciel, fascine le souverain. "Cette pyramide a servi de refuge pour le prince, en 1780, lorsqu'il fut obligé de fuir lors d'une révolte" explique alors le guide. Agencé en un véritable royaume pointu, le Tsar entre dans l'intimité du prince, resté intacte et préservé. Il découvre des traditions anciennes, comme le fait de se purifier chaque matin en plongeant sa tête dans un bassin d'eau froide, s'allonger sous un tapis de fleurs ou encore prier devant une statue. La Tsarine, intéressée, questionna beaucoup l'historien qui mène la visite et s'atèle a des explications historiques. Après la visite, ils se dirigent vers une statue des Esprits, sculptée avec soin il y a plusieurs centaines d'années, veillant silencieusement et transmettant un sentiment de protection et de sagesse ancestrale. Présentant deux Esprits connu de tous, elle sert de lieu de culte les jours religieux.

Après cette immersion historique, le Tsar, sa femme et la Reine se régalent d'un déjeuner dans un restaurant gastronomique de la région. Le chef met en avant des ingrédients locaux, créant des plats raffinés qui satisfaissent les papilles du souverain. Entremets, chevraux mijoté, Malva Pudding. Chaque bouchée est une célébration de la culture gastronomique jhianienne.

L'après-midi, le couple royal est amener à visiter le marché régional d'artisanat local. Les stands colorés présentent des produits artisanaux, allant des textiles aux bijoux. La Tsarine cède a quelques produits, sous l'œil avisé de son mari. Le couple royal prend le temps d'échanger avec les artisans et les locaux, admirant leur savoir-faire et les objets qu'ils proposent.

Pour clore cette journée, une visite au musée local s'impose. Ce lieu conserve les souvenirs du passé, exposant des objets et textes emblématiques qui révèlent l'histoire et la culture du pays. Une source de connaissances pour le Tsar, bien que déjà renseigné sur l'histoire de l'UC Sochacia. Le guide ouvre même les portes d'une bibliothèque privé, sauvegardant des livres anciens et des papiers témoignant des actions passées.

Le soir, le Tsar et la Tsarine se rendent dans un restaurant gastronomique du centre vid. La Reine, souhaitant les laisser en intimité, dîne avec le représentant de la région. Celui-ci évoquent la situation à laquelle à fait face Shadowfen, les aides misent en place et les futurs événements à venir dans le pays. Plus tard dans la soirée, la Reine se rend dans sa demeure à Pinnella Pass et le couple royal a son tour dans un nouvel hôtel. En approchant, ils découvrent un bâtiment construit en pierres naturelles et en bois, parfaitement en harmonie avec le paysage environnant fait de montagnes, forêts, stations de ski. Les balcons sont ornés de fleurs, ajoutant une touche de couleur. À l'intérieur, c'est un mélange de confort et d'élégance. Les salons ont de grandes baies vitrées qui offrent des panoramas à couper le souffle. Des cheminées en pierre accueillent les hôtes, créant une atmosphère chaleureuse et conviviale, mêlé au luxe de l'hôtel. Chaque suite est un cocon intime, équipée de lits king-size drapés de tissus rouge, et d'un mobilier en bois sculpté par un maître dans le domaine et un jacuzzi avec vue sur les montagnes.

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La deuxième journée commence par une visite guidée de Pinnella Pass, une ville montagneuse réputée pour son charme et ses stations de ski luxueuse. Les paysages offrent de magnifiques vues, propice à la détente et à la contemplation. Le Tsar et la Tsarine sont subjugué par la beauté, promettant de revenir passer des vacances en UC Sochacia. Le guide raconte des anecdotes historiques et géographiques, certaines drôles et d'autres plus sérieuses. A nouveau, ils se livrent à une cession de questions/reponses avec les locaux, qui paraissent émerveillés devant le Tsar.

Pour le déjeuner, le couple royal et la Reine sont accueillis dans une ferme auberge gastronomique, où la cuisine traditionnelle émerveillent leurs papilles. Des plats locaux, préparés avec des ingrédients frais de la région sont servis, offrant une expérience culinaire authentique, suscitant des sujets diplomatiques et politiques sur l'avenir commun des deux nations et la façon de contrer les différences pour en faire une force.

L'après-midi est consacré à la découverte des villes pittoresques d'Archensheen et de Leefside. Les deux villes, connues pour leur histoire et leur culture, permettent au Tsar et à sa femme de rencontrer des habitants et d'explorer l'artisanat local. Des visites guidées des sites historiques et des arrêts dans les galeries d'art enrichissent leur expérience.

La journée se conclue par un dîner raffiné au restaurant de leur hôtel. Après le dîner, le couple royal est transféré vers leur nouvel hôtel, un établissement 5 étoiles luxeux. Cet hôtel se distingue par son service impeccable, ses chambres élégantes avec vue sur les dunes de sable, un hammam de renommée et diverses installations de loisirs. La décoration lie modernité et locales, créant une atmosphère chaleureuse et accueillante pour un séjour royal inoubliable.

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Le Tsar et sa femme, accompagnés de la Reine, commencent leur journée par une visite enrichissante au musée local. Ils y découvrent, sous une nouvelle forme, l'histoire et la culture du pays, avec des expositions, la faune et la flore. Les guides partagent des anecdotes ancestrales fascinantes. Ils ouvrent les portes à la galerie d'art du musée, les tableaux, mis dans l'ordre de l'évolution du pays, montrent à la fois l'évolution artistique et l'évolution de l'histoire du pays.

Après la visite du musée, la Reine dû s'absenter pour le restant de la journée pour des raisons inconnues. Le couple royal assiste à un défilé gourmand en plein air. Les stands sont décorées de fruits, légumes et fleurs colorées, diffusant des odeurs envoûtantes des spécialités locales. Le défilé met en avant la richesse des produits désertiques, et les invités peuvent déguster des mets raffinés préparés par des chefs locaux. La convivialité et les échanges culturels ajoutent une touche spéciale à cet événement. Ils y découvrent la musique et les danses locales, qu'ils se surprennent même à apprécier.

Pour le déjeuner, le Tsar et sa femme se dirigent vers un restaurant gastronomique de la région où ils sont accueillis avec une vue imprenable sur les dunes brillantes. Le chef propose un menu dégustation mettant en avant des ingrédients locaux, accompagné de champagne de haute qualité.

L'après-midi se poursuit par un trajet vers Thalassa, une ville réputée pour sa station de ski. La beauté des montagnes et l'architecture montagnarde laissent sans voix le Tsar et sa femme qui ne cessent de complimenter la ville. Ils prennent le temps de flâner dans la ville, parler aux locaux, visiter des boutiques, tantôt banales, tantôt artisanales. La Tsarine cède pour une jolie robe en dentelle blanche et rouge, laissant un pourboire conséquent à l'artisan.

Le couple royal regagne leur hôtel pour un dîner intime, directement en chambre. Le chef de l’hôtel a concocté un menu spécial pour eux, alliant gastronomie locale et influences internationales, permettant aux invités de savourer des plats copieux. En fin de soirée, le Tsar et sa femme prennent le chemin de Theuyt Kilap, la dernière region de leur périple. À leur arrivée, ils s’installent dans un hôtel prestigieux, réputé pour son service impeccable. Le personnel les accueille avec suprise, connaissant de réputation le Tsar. Ils se virent offrir un open bar pour la soirée et un libre accès aux services de l'hôtel.

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Le Tsar et sa femme arrivent à Blencalgo, une ville désertique chargée d’histoire et de péripéties. Ils s'atèlent a répondre aux questions des locaux et recoltent une dizaine de dessins d'enfants. Le guide les mène à travers la ville, présente les principaux monuments et propose une dégustation de gourmandises locals.

Après cette visite, le couple royal découvre les trésors culturels et historiques de la région, incluant des artefacts datant de l'antiquité jusqu'à la période moderne. Fasciné par l'histoire loclenasque, ils complimentent l'évolution du pays et les différentes actions que le pays mena.

Pour midi, les royautés sont amenés à déguster des plats traditionnels de la région, tout en échangeant avec des locaux sur la culture culinaire d'UC Sochacia. Un repas enrichissant et prometteur, puisque le Tsar semble totalement conquis par la culture, la gastronomie et l'histoire de Sochacia Ustyae Cliar.

Départ pour le palais royal où la Reine les y attend. Le Tsar et sa femme sont amenés a visiter les majestueuses salles du palais, où ils admirent les œuvres d’art, les meubles d’époque et les jardins parfaitement biens entretenus. La Reine accompagne le couple, partageant les histoires et les traditions qui entourent chaque pièce. La Tsarine suit un moment de danse traditionnelle pendant que le Tsar et la Reine s'entretien pour discuter des ambitions culturelles et des projets de partenariat entre les deux nations afin de renforcer les liens entre les deux nations.

Au terme de leur dernière journée, le Tsar, sa femme et la Reine dînerent au palais. Les chefs confectionnent un menu spécialement pour leur venu qui les ravis. La soirée se termine par les remerciements du Tsar et de la Tsarine, qui affirment avoir passer un séjour mémorable et qu'ils ne manqueront pas de revenir dès que l'occasion se présentera. Le Tsar et la Reine se sert la main, la Tsarine applique une révérance et chacun des deux partis repart de son côté.
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L'UC Sochacia et la Rosanie : un lien en développement

03/12/2014
Le Gouvernement loclenasque a récemment annoncé sur les réseaux sociaux son intention de reconnaître la langue Rosanais. Cette décision marque l'importance stratégique des relations avec l'État libre de Rosanie qui partage une frontière avec notre pays. Cette initiative témoigne d'une volonté d'encourager un dialogue bienveillant et un respect entre nos deux nations.

Le Rosanais est la langue officielle de la Rosanie. La reconnaissance de cette langue par l'UC Sochacia va au-delà d'un acte diplomatique, elle vise à prouver le souhait de notre pays à la diversité culturelle. En effet, rendre le rosanais comme langue reconnue facilite les possibles attractions en les deux pays. L'amélioration de la compréhension mutuelle entre nos deux peuples puvre la voie à des collaborations renforcées dans certaines secteurs.

Le Gouvernement exprime par ailleurs son désir d'entretenir de bonnes relations avec les pays frontaliers, que ce soit par la terre ou par la mer. De sorte, il annonce officiellement que des mesures seront prises pour créer ou solidifier les relations avec les pays frontaliers : par la voie d'ambassade, de traités ou d'actions communes.
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L'approche de Noël : un moment tant attendu

03/12/2014
Alors que l'hiver prend doucement ses quartiers en UC Sochacia, l’esprit des fêtes de fin d’année commencent a envahir les rues et les magasins des villes. Les préparatifs pour Noël débutent avec l’installation des premières décorations dans les rues et les places publiques, apportant une touche de magie qui ravit les habitants et amène une bonne humeur générale. Dès cette première semaine de décembre, les membres des communes ont oeuvrés pour décorer le paysage désertique de lumières, guirlandes colorées et de sapins. Les marchés de Noël, très prisés des habitants, s’installeront dans les prochaines semaines, et les décorations visent à donner le ton festif attendu pour cette période si particulière. D'après notre sondage dans les rues principales de la capitale, les jeunes enfants et leurs parents sont particulièrement ravis de voir leur pays se transformer en un véritable pays des merveilles hivernales, les autres, apprécient voir leur pays se transformer mais ne participeront pas aux événements religieux.

Dans le cadre de ces célébrations, plusieurs événements seront organisés tout au long du mois de décembre, notamment des marchés, des concerts et des spectacles pour enfants. Les habitants sont ainsi conviés à participer aux festivités, offrant un cadre parfait pour partager des moments en famille et entre amis. << Nous souhaitons créer une atmosphère chaleureuse et festive qui incitera les gens à se rassembler et à profiter des joies de la saison >>, a déclaré le maire de Garthram. << Noël est un moment de partage, et ces décorations sont là pour rappeler à chacun que la magie des fêtes commence très tôt. >>. Des activités caritatives seront également mises en place. Les habitants sont encouragés à offrir des jouets et des vêtements aux moins privilégiés et se rendre à Noria afin d'offrir aux familles un Noël unique, renforçant ainsi l'esprit de solidarité qui caractérise cette saison.

Les rues s'animeront comme chaque année pour l'annuel défilé de Noël. Un spectacle coloré, célébration de la joie et de la magie, qui a fait promesse d'être inoubliable. Il commencera traditionnellement par l'arrivée des prêtres, vêtus de leurs habits, qui ouvriront le chemin au reste des participants. Derrière eux, les danseurs de la Compagnie Musicale loclenasque, parés de costumes éblouissant, animeront le défilé avec une nouvelle danse prévue à cet effet. Les chanteurs les suivants interpreteront des chants traditionnels de Noël, des cantiques au moderne. Le défilé se terminera par l'aspiration des chars décorés, représentant des scènes emblématiques de Noël tel que la crèche ou l'arrivée des Rois Mages. Enfin, le moment tant attendu arrivera : l’entrée de la Reine. Elle apparaîtra sur un char, nouvellement construit a sa demande. Les enfants seront convié à s'approcher, et elle se livrera à une scène de photo. Pour clôturé en bonne et du forme le défilé, le Père Noël fera son entrée et offrira des chocolats aux plus jeunes.
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Noël : l'UC Sochacia promet un Noël inoubliable cette année.

Garthram, capitale
20/12/2014

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L'annuel défilé de Noël en UC Sochacia est un événement attendu par les citoyens, transformant les rues de Garthram en un véritable tableau vivant où chacun se prépare à assister à un moment merveilleux et haut en couleurs.

Traditionnellement, le défilé commence par l'arrivée des prêtres, vêtus de leur costume religieux, ils avancent fièrement, leurs robes flottant dans la brise hivernale. Leurs chants résonnent dans toutes les rues, amplifiés par des haut-parleurs, ouvrant le chemin avec grâce. Derrière eux, les danseurs de la Compagnie Musicale loclenasque se pressent dans un tourbillon aux couleurs du drapeau. Leur arrivée, dans un lancé de feux d'artifices, impressionnent les spectateurs. Parés de costumes aux couleurs vives, ornés de plumes, ils animent le défilé avec une énergie contagieuse. La musique lointaine, une mélodie qui évoque les joies de Noël, accompagne les danseurs dans leurs mouvements fluides et synchronisés, ajouteé à des sauts gracieux et des pirouettes. Leurs visages rayonnent de bonheur, et les spectateurs, captivés, ne peuvent s’empêcher de se joindre à l’enthousiasme ambiant. Le défilé se poursuit avec les chanteurs, leur répertoire, allant des cantiques traditionnels de Noël aux chants modernes, créer un véritable karaoke. Les voix selevent dans l'air frais, remplissant l'espace d'harmonies envoûtantes. Les petits et les grands accompagnent les chanteurs sur les refrains familiers, créant un lien intergénérationnel qui unit tous les participants dans une même célébration. Le défilé prend ensuite une allure magique avec les chars décorés pour Noël. Chacun représente des scènes emblématiques de Noël : l’un d’eux met en scène la crèche, avec des personnages sculptés par des professionnels et éclairés de l’intérieur, projetant une lumière dorée qui évoque la paix et la joie de la naissance de l’enfant ; un autre char montre l’arrivée des Rois Mages, portant des cadeaux. Sur un char flambant neuf, conçu selon ses souhaits, la Reine fait son apparition. Son char est décoré de fleurs et de lumières colorées. Les enfants, les yeux grands ouverts, ne peuvent contenir leur excitation et se pressent pour l’apercevoir, invités à s’approcher pour immortaliser ce moment, elle se prête avec plaisir à une séance photo. Pour clôturer ce défilé, le second moment le plus joyeux arrive : l’entrée du Père Noël. Dans un éclat de lumière, il fait son apparition, vêtu de son habit violet emblématique, la barbe blanche flottant au vent. Les cris de joie des enfants retentissent dans l’air tandis qu’il s’avance avec un grand sac rempli de surprises et commence à distribuer des chocolats aux plus jeunes.

Comme chaque année, il fut complété par la fête des vœux. Le grand arbre Noël fut décoré de boule de Noël contenant chacune le vœux d'une personne. Le marché de Noël, étalé autour, permet de préserver l'esprit de Noël d'après défilé ; la Reine, également présente, est escorté par la garde royale tandis qu'elle se présente à chaque stand.
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Projet Loomibia : Une initiative de conservation ambitieuse.
Angouville
26/12/14

Le Loomibia, un oiseau coloré et fascinant, est depuis plusieurs années en danger d'extinction. En effet, " sa population à considérablement diminué en raison de la destruction de son habitat naturel, de la chasse et d'autres menaces environnementales peu connue à ce jour " affirmait le chef du projet en devenir ; face à cette situation critique, les scientifiques du laboratoire APX, à Angouville, se sont réuni ce matin afin de discuter de possibles solutions. Des débats ont eu lieu entre les 35 membres du laboratoire et chaque nouvelle proposition fut reçue comme une lueur d'espoir pour la survie de cette espèce, des idées innovantes et des plans de conservation ont été présentés, et les scientifiques ont travaillé ensemble, pendant plusieurs heures, pour élaborer une stratégie globale visant à restaurer l'habitat naturel de l'oiseau, réduire les menaces qui pèsent sur lui et procéder à un repeuplement. Pour cela, le cabinet de protection de l'environnement et des espèces animales lance un projet prometteur : capturer deux individus de cette espèce, reproduire leur environnement dans un laboratoire afin de favoriser leur reproduction. Le projet intitulé L267_UCS vise à sauver une espèce en danger et sensibiliser le public à l'importance de la conservation de la biodiversité loclenasque. Le projet s'appliquera dès 2015 et verra raconter son évolution dans un journal de bord attitré et publié au cabinet de Protection de l'environnement et des espèces animales.

Les scientifiques étudient depuis plusieurs mois, en détails, les caractéristiques de l'environnement dans lequel vivent les Loomibia. Grâce à des témoignages passés, des photos et des vidéos et des mesures, ils ont réussit à illustrer ce qu'était leur habitat naturel avant et ainsi faire un parallèle avec aujourd'hui : le bilan final est lourd, sur près de 9 000 hectares, une grande partie de l'habitat naturel des Loomibia a été dévastée par l'urbanisation et la dévégétation, la température moyenne à vue une hausse de 3 degrés depuis ces derniers 100 ans et les zones d'eau à proximité d'eux ont considérablement baissées. Pour cela, le laboratoire installera une serre en verre de près de 90m2 et 15m de hauteur, relié jusqu'à l'intérieur par un tunnel pour permettre aux scientifiques de s'y rendre sans craindre le danger que les deux Loomibia s'échappent. Dedans, les conditions de vie naturelles des Loomibia seront recréées avec attention : des arbres, des plantes et des sources d'eau artificielles seront installés pour fournir un environnement aussi proche que possible de leur habitat d'origine, la température et l'humidité seront strictement contrôlées pour correspondre aux conditions optimales de leurs habitudes ; des caméra et des capteurs seront placés à plusieurs endroits de la serre pour surveiller en continu la santé et le comportement des oiseaux. " Notre priorité sera le bien-être des individus, si nous voyons d'une façon ou d'une autre qu'ils ne se sentent pas bien ici nous les relâcheront." prône l'un des scientifiques à sa sortie du laboratoire.

Le processus de sélection des deux individus à capturer à été soigneusement planifié par l'équipe : uniquement les individus en bonne santé et capable de se reproduire ont été choisis. La capture commencera par une observation détaillée de leurs habitudes et de leurs territoires, les experts en comportement animal étudieront les déplacement des oiseaux pour choisir le moment le plus adapté pour leur capture, réduisant le risque de perturbation de leur routine et le potentiel stress que cela pourrait leur procurer. Une fois capturé, ils seront transportés sous anesthésiant dans des conteneurs conçus pour leur confort et leur sécurité. Ils seront avant tout placés dans une zone de quarantaine pour s'assurer de leur bonne santé puis relaché dans la serre et surveillé jusqu'à leur réveil. Au cours de cette période, l'équipe de chercheurs et d'experts en biologie va surveiller attentivement le comportement, l'alimentation et le bien-être général des Loomibia. Des zones de ponte soigneusement conçues pour favoriser la reproduction seront mises à leur disposition. Des vétérinaires garantiront leur santé, de leur arrivée dans la serre à leur départ, en réalisant des examens réguliers pour identifier et traiter toute maladie ou blessure potentielle.

Une fois les oeufs pondues, l'équipe veillera à leur bientraitance et leur survie, un appareil de contrôle sera implanté dans l'oeuf afin de surveiller leur température : dès le premier signe de baisse, ils seront mis sous couveuse dans une salle mise à disposition. Une fois éclos, ils seront nourris et soignés avec une attention particulière pour garantir leur croissance et leur développement. Le laboratoire continuera d'ajuster les conditions environnementales pour simuler au mieux l'habitat naturel des Loomibia. À mesure que la population en captivité croîtra, des plans seront élaborés pour la réintroduction progressive des oiseaux dans des zones protégées de leur habitat naturel reconstitué. Les deux Loomibia seront relâché à l'endroit même où ils auront été capturé, à la même heure, afin de simuler une boucle temporelle. Ils seront transportés sous anesthésiant dans des conteneurs conçus pour leur confort et leur sécurité et surveillés jusqu'à leur réveil.

Parallèlement, si malgré tous les efforts, les Loomibia ne parviennent pas à se reproduire, les scientifiques devront reconsidérer et ajuster leurs approches : ils analyseront les données collectées pour identifier les obstacles à la reproduction et des experts en reproduction animale et des biologistes seront consultés pour proposer des solutions alternatives et des ajustements aux conditions de la serre. Les deux Loomibia seront relâché à l'endroit même où ils auront été capturé, à la même heure, afin de simuler une boucle temporelle. Ils seront transportés sous anesthésiant dans des conteneurs conçus pour leur confort et leur sécurité et surveillés jusqu'à leur réveil.

Enfin, ce projet sera une preuve de la dégradation de la faune et la flore par l'humain. Il ne se limite pas à la conservation des Loomibia, il inclut aussi des programmes de sensibilisation pour éduquer le grand public sur l'importance de la biodiversité et de la conservation des espèces animales. L'équipe ouvrira ses portes pour permettre à certains visiteurs d'observer les Loomibia à travers les écrans et assister à des moments privilégié avec eux : tels que les moments d'alimentations ou de couve.
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Nouvel an en UC Sochacia : une baisse de moyen ou des citoyens plus difficile ?
Garthram, 01/01/2015
Le nouvel an, une fête annuelle en UC Sochacia généralement marquée par les festivités organisées au Palais Royal, s'est vu prendre une tournure différente cette année. Les habitants ont émis diverses hypothèses et craintes quant à l'avenir de l'UC Sochacia, la plus émise serait que cette diminution d'aménagements festifs due à une baisse de moyens.

Nos journalistes ont réussi a accumuler plusieurs preuves relatives aux contraintes budgétaires qu'entraîne la création du quartier loclenasque dans la capitale de la République d'Antares. En conséquence, les moyens habituellement réservés pour les festivités du nouvel an ont été réduits et le feu d'artifice écourté.

En contrepartie, d'après notre sondage, les citoyens loclenasques semblent être devenus plus exigeant en terme de qualité. Ils nous ont confiés attendre des événements divertissants mais qui préserveraient la planète et sauraient refléter la conscience forte que l'UC Sochacia éprouve à l'égard de l'environnement.
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Immersion au coeur de la cérémonie annuelle des barons : le calme avant la tempête
28/01/2015
Charzon

Le soleil se couche doucement sur la petite vallée de Charzon. Avec moins de 500 habitants, elle est pourtant le refuge des << hommes de nuit >>, comme ils se font appeler ici. Un refuge, ou plutôt repère, qui voit venir chaque début d'année plus d'une cinquantaine d'hommes à main armée. Un véritable cortège de voitures luxueuses brillantes, femmes et hommes en tenues de soirées et parfums tentations, qui traverse Charzon pour rejoindre ledit manoir. Dans les voitures, les plus grands barons de la drogue de Sochacia Ustyae Cliar et leur femme, symbole d'honneur et de respect, en gage de bon comportement durant l'intégralité de la cérémonie. Le hall du manoir, revêtu d'un sol en marbre noir et d'une fresque murale, reflète la fortune de ses habitants ; les murs sont ornés de portraits des plus grands barons de la drogue sur plusieurs générations, I Khatir y figure pour la première fois : une fierté, voire un honneur pour ces barons de la drogue en quête de reconnaissance. La salle principale inaugure une grande table en chêne massif, recouverte d'une nappe blanche aux couverts en argents polis soigneusement. Dans l'un des coins de la salle, un bar se dresse fièrement et présente les meilleures liqueurs du pays et des cocktails exquis afin de célébrer le moment.

Manteau et gants de cuir, la demarche assuré, I Khatir se dirige aujourd'hui pour sa 33e cérémonie. Sa vie ne se différencie pas tellement de celle d'un homme d'affaire ordinaire : le matin il parcourt près de 50km à vive allure avant de se rendre au travail, le midi il déjeune au restaurant avec sa belle, l'après-midi il s'occupe de son commerce et le soir il retrouve sa compagne et ses enfants pour un dîner convivial. Sa femme, d'une beauté incontestable, affiche des menstruations à faire saliver les moins purs d'entre eux et un CV à rendre jalouse n'importe quelle autre femme présente à cette cérémonie. Sa poignée de main assurée aux quelques cinq gardes du manoir, preuve de courage et de sang froid, montre qu'elle n’en est pas à sa première visite. Elle connaît les lieux et les gens : les plus hypocrites d'entre eux qu'elle essaye d'éviter et les plus dangereux qu'elle séduit sous ordre de I Khatir. Dans le milieu, elle s'est affirmé comme étant sa femme avant même de ne l'avoir connu. Ici, ils ne parlent pas d'amour mais bien d'intérêts communs. Chacun doit, à juste milieu, trouver son compte au mariage. Pour I Khatir et sa femme, le mariage fut une évidence : elle couvre, par son salaire, la fortune qu'il gagne tandis qu'il lui offre ce qu'elle veut et lui assure une sécurité permanente. Plusieurs grands barons, célèbres dans le milieu, sont installés à table et semblent scruter chaque nouvel invité. Leur femme, plus en retrait, forment une ronde émerveillée devant tant de splendeur. I Khatir, marquant la différence, s'installe avec sa femme aux côtés des barons. Décolleté plongeant jusqu'au nombril, celle-ci s'afère d'or et déjà à séduire son voisin de table. Ce soir, sa mission est simple : engager la négociation avec les autres barons et faire s'élever I Khatir comme le premier et seul baron de la drogue dépassant de 65% le droit de revenu quant à la drogue, fixé par les lois.

Extrait de discussion a écrit :[...] Aldo Moyrz : I Khatir (en regardant sa femme), c'est un véritable honneur de vous avoir ici ce soir. Votre réputation vous précède depuis tout ce temps, mais voyez-vous, je suis persuadé que notre alliance pourrait être bénéfique.

I Khatir : (souriant, sûr de lui) Merci, Aldo. Une coopération, dites-vous ? Je crois fermement que nous pouvons bénéficier d'une coopération renforcée il est vrai. Je dois avouer que cela semble prometteur, mais cela nécessite des garanties. Comment comptez-vous nous convaincre de vous suivre dans cette voie ? Vous autant que moi savons où cela mène. (Prenant une gorgée de son verre) Imaginez, Aldo, une entente qui nous permettrait de dépasser les limites imposées par les lois, un empire qui ne se contente pas de respecter les règles mais qui les redéfinit à notre avantage, et puis- (il se stoppe), vous commettiez l'irréparable avec ma femme. Nous savons tous la sanction pour un tel acte, une telle trahison vous rendrait vulnerable et a ma mercie.

Femme de Aldo : I Khatir, vous êtes audacieux. Mais ne sous-estimez pas la résistance que vous pourriez rencontrer. Mon mari ne succombera pas aux charmes de votre douce et belle protégée.

Femme d'I Khatir : (faisant abstraction du commentaire de la femme d'Aldo, avec un sourire charmeur) Mais n'est-ce pas là tout l'intérêt de notre réunion ? Nous avons tous quelque chose à gagner. Une union des forces pourrait nous donner un pouvoir sans précédent dans ce monde. [...]

Les voix s'élèvent, se mêlent et dansent autour de la grande table. La cérémonie peint le tableau d'un repas convivial, presque familial, couvrant d'un voile blanc et fin le dangereux métiers qu'ils exercent. Les conversations s'intensifient autour de la table, I Khatir et sa femme échangent des regards complices et des sourires ravageurs, conscients que chaque mots peut renforcer ou fragiliser leur position dans le milieu. La lumière des chandeliers dansent autour des différents barons, mettant en lumière leur jeu professionnel. I Khatir, tout en gardant son sourire faux, observe attentivement chaque mouvement autour de lui : il sait que sa femme est un atout précieux dans ce jeu de pouvoir, sa beauté et son intelligence lui permettant de voyager entre les tensions naissantes, néanmoins elle est egalement sa faiblesse, une proie facile pour l'atteindre. Les plats gastronomiques défilent, mais peu d'invités semblent vraiment s'en soucier, plus occupé par les conversations, les alliances, les menaces jusqu'à l'aube du lendemain.
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