31/12/2015
09:51:36
Index du forum Continents Aleucie Lofoten

United-Provinces Spatial Agency (UPSA)

Voir fiche pays Voir sur la carte
8096
United Provinces Spatial Agency

Dans ce topic seront développés toutes les activités, évènements et communications de l'UPSA...



La Voix du Lofoten

Lancement du programme spatial Søvengard 2020

Base spatiale de Dunwall


  • Une nouvelle ère :
  • Une nouvelle ère pour l’exploration spatiale lofotenoise débute aujourd’hui, car les Provinces-Unies annonçent la création d’un très ambitieux programme spatial baptisé Søvengard 2020, ( ndlr : du nom du monde de l’au-delà que rejoignent les guerriers défunts qui ont eu une vie digne et honorable dans la mythologie nordique ) qui vise à renforcer la position de notre nation nordique dans le domaine de l’exploration spatiale et de la recherche scientifique. Cette initiative marque un tournant décisif pour les ambitions spatiales de la quatrième économie mondiale, avec des objectifs allant de l’exploration lunaire à la mise en place de stations spatiales modulaires en orbite terrestre.

    Le programme Søvengard 2020 a été officiellement lancé ce matin lors d'une cérémonie au siège de la toute nouvelle l’Agence spatiale loftenoise (UPSA) à Dunwall, dans le Fylke du Nilfgaard, dans le sud-est du Sutherlands. De nombreux officiels, scientifiques et représentants de l’industrie spatiale et aéronautique étaient présents pour célébrer cet événement historique.
    Cette initiative fut lancée lors de la mandature précédente par le Chancelier Atreus Fjörgyn, dès sa prise de fonction. Le leader du parti social démocrate ne cachait pas sa passion, sinon sa fascination pour le domaine de l’exploration spatiale, des performances technologiques aéronautiques et dans le domaine des sciences astronomiques de manière générale. Monsieur Fjörgyn n’avait par ailleurs pas lésiné sur les subsides et les prêts fédéraux accordés par exemple à Airlander et Lofoten Airways pour leurs départements recherche & développement.
    Elle se concrétise que maintenant pour des raisons administratives et législatives, la date de mise en application du vote du budget fédéral de l’année ayant précédent l’élection de madame Gudrün Stefersøn ayant été ajournée.
    L’un des principaux objectifs de ce programme est de positionner les Provinces-Unies comme un leader de l’exploration spatiale dans les dix prochaines années. Le plan, dont les deux premières années sont déjà financées à hauteur de 50 milliards de Dråkks sur la décennie, inclut plusieurs missions stratégiques. Celles-ci comprennent l'envoi de sondes d’exploration et de mesure vers des astéroïdes, le développement d'une nouvelle génération de satellites pour améliorer les communications et l'observation de la Terre, et à terme des missions scientifiques dites habitées.


  • L’exploitation des ressources spatiales, un objectif prioritaire :

  • L'une des missions phares Søvengard 2020 est la mission “Nibelung”, qui prévoit l’envoi d’astronautes lofotènois sur l’astre lunaire à partir de 2020. L’objectif à très long terme est de construire une base scientifique permanente dans la région du pôle austral lunaire, une zone que les scientifiques et astrophysiciens pensent qu’elle est riche en ressources telles que l’eau lourde, l’hélium et l’argon, des éléments chimiques plutôt rares sur terre, mais par exemple indispensables au développement de la motorisation HLC des zeppelins.
    « Søvengard 2020 est une réponse audacieuse aux défis scientifiques et environnementaux de notre époque, et les Provinces-Unies, qui ont toujours été en pointe dans les nouvelles technologies, se doivent de se hisser dans les rangs du club très fermé des nations tournées vers l’exploration spatiale », a déclaré la toute nouvelle directrice générale de l’UPSA, Tauriel McMonaghan. « Nous voulons non seulement participer à l’exploration de l’espace, mais aussi jouer un rôle moteur dans les recherches sur les ressources extra-planétaires, la sécurité énergétique et les futures missions habitées. »

  • Des partenariats internationaux et privés :

  • Søvengard 2020 s’appuiera fortement sur les entreprises du secteur privé, un modèle de coopération publique-privée typique du modèle économique lofotenois, qui a fait ses preuves jusqu’à maintenant. Plusieurs start-ups du Lofoten, spécialisées dans les technologies spatiales , et d’autres sociétés plus connues comme Nørdvisk Dynamics spécialisées dans les systèmes robotiques, seront impliquées dans la conception des lanceurs, des sondes, des modules d’habitat et des systèmes de propulsion avancée. Les entreprises United Oil, Thylacine Corporation, Airlander, Lofoten Airways (sa branche aérospatiale spécifiquement, Lofoten Aerospace) ont déjà apporté leurs concours et conclu des partenariats avec l’agence UPSA.
    La Citizen Bank a également avoir annoncé octroyer un prêt spécial à taux quasi-nul pour soutenir le programme auquel “elle croit fermement”.
    Mais si l’envoi de sondes et de satellites ne remettent pas en question les moyens technologiques et infrastructures structurelles dont sont déjà dotées les Provinces-Unies, les missions d’exploration spatiale habitées nécessiteront très probablement la coopération et des connexions avec d’autres Etats et agences spatiales internationales. Si la recherche et les progrès techniques et scientifiques sont déjà très avancés, le programme, extrêmement ambitieux, ne pourra être mené à son terme seul, tant il engloutit les ressources budgétaires et humaines du pays.
    Un partenariat avec l’ASEA en Aleucie ou l'UEE est même envisagé, bien que les Provinces-Unies souhaitent d'abord privilégier les relations déjà profondes et très développées avec ses partenaires économiques actuels et alliés.

    Søvengard 2020 a également pour but de tester de nouvelles technologies de propulsion, des systèmes de survie autonomes et d’analyser la faisabilité d'une présence humaine à long terme dans l’espace. Les Provinces-Unies, de par leur climat extrêmement rude et difficile, ont déjà acquis des connaissances et des compétences dans le domaine de la survie en milieu hostile.
    « Nous devons aller au-delà de l'orbite de notre planète, mais nous ne devons, ni ne pouvons, y aller seuls », a souligné Tauriel McMonaghan.

  • L'innovation scientifique au cœur du programme :

  • Søvengard 2020 ne se résumera pas donc pas seulement à envoyer des satellites et des fusées en dehors de notre atmosphère. Le programme mettra également un accent fort sur l'innovation scientifique. De nouveaux observatoires seront mis en place pour mieux comprendre l’univers, avec des télescopes en orbite et des satellites de nouvelle génération dédiés à l'étude des exoplanètes, des trous noirs et des phénomènes astronomiques qui échappent encore à la compréhension fine de notre univers par les scientifiques
    Parallèlement, des missions seront consacrées également à la surveillance de certains phénomènes climatiques, à la détection des astéroïdes potentiellement dangereux et à la gestion des débris spatiaux. La protection de l'environnement est au cœur des préoccupations des concepteurs du programme, qui souhaitent que le Lofoten soit à l'avant-garde de la gestion responsable de l'espace, comme il l’est actuellement de ses forêts, de ses montagnes et de ses eaux.

  • Un moteur pour l’économie des Provinces-Unies :

  • Le programme Søvengard 2020 devrait également avoir un impact économique significatif, c’était en tout cas le souhait initial de la coalition écologiste-sociale-démocrate précédente. Il est prévu que des milliers d’emplois soient créés dans les secteurs de l'ingénierie spatiale, de la science des données, de la robotique et des technologies vertes. "Le marché de l’espace, en pleine croissance, représente une opportunité unique pour notre pays de renforcer sa compétitivité technologique et de sa capacité à innover et à disrupter" s'enthousiasme la directrice de l'UPSA. Malgré tout, de nombreux doutes ont été émis par la nouvelle Chancellerie en place, présidée par le Køenig Halfgård. Lors de la dernière campagne des législatives, celle qui n’était pas encore Chancelière Fédérale mais candidate Madame Gudrün Stefersøn avait fait part de son grand scepticisme à cet égard, allant jusqu’à qualifier l’agence UPSA de “trou sans fond que le contribuable lofotène devra renflouer à grands frais”. La souverainiste avait par ailleurs promis de faire voter un gel des crédits lorsqu’elle accèderait au pouvoir, une promesse difficilement tenable pour les deux prochaines années, le budget ayant été voté et les fonds déjà alloués. En revanche, cela deviendra désormais possible à partir de 2016. Une perspective qui inquiète déjà les scientifiques et ingénieurs de l’UPSA

    “ Søvengard 2020 se présente non seulement comme un projet technologique de pointe, mais aussi comme un symbole d’unité dans la conquête pacifique de l’espace. Cela permettra à notre petite nation, isolée sur le plan géographique, de jouer un rôle de premier plan. Geler les crédits alors que nous serons en pleine phase de croissance serait porter un coup fatal, voir peut être mortel, au programme, avec des conséquences économiques désastreuses au vu des fonds et des sommes déjà investies.” s’inquiète Tauriel McMonaghan

    Les premiers lancements sont prévus dès début de l’année 2016.
    7481
    United Provinces Spatial Agency

    Lancement réussi du satellite Iðunn-1 : une nouvelle ère commence pour les Provinces-Unies


    fusée qui décolle du cosmodrome

    Un moment historique s'est déroulé ce matin au cosmodrome de Dunwall, dans le Fylke de Nilfgaard lorsque le satellite Iðunn-1, du nom de la Déesse gardienne des pommes de l’Eternité, a été lancé avec succès à bord de la fusée Forspjallsljóð V. Ce lancement marque une étape décisive pour le programme spatial Lofotène, ouvrant de nouvelles perspectives pour l'observation de la Terre, la recherche scientifique et bien entendu les applications militaires.
    Les fruits d’un investissement massif et accru depuis plusieurs années dans les secteurs de la recherche dans les technologies de pointe, en matière de télécommunication, d’informatique, et radar (note à l'attention de la modération à toutes fins utiles : toutes les recherches scientifiques sont avancées au niveau maximum et justifient donc d’une percée technologique majeure dans ce domaine)

    Une mission aux objectifs multiples

    Iðunn-1, a été développée par la United Provinces Sapatial Agency (UPSA) en collaboration avec plusieurs instituts de recherche, des universités et bien entendu des acteurs privés, et est équipé de technologies de pointe, notamment des capteurs hyperspectraux, des caméras à haute résolution, et des instruments de télédétection avancés. Ce bijou de technologie 100% lofotène placé en orbite à 600 km d'altitude, aura pour mission principale de surveiller les variations climatiques (les scientifiques lofotènes sont convaincus que le changement climatique dûs aux activités humaines est une réalité, et est en train d’affecter la planète de manière plus profonde et impactante qu’on ne le pense, bien qu'aucun autre pays n'est à ce jour confirmé ces hypothèses) , de cartographier les ressources naturelles et d’analyser l'évolution des écosystèmes terrestres et marins.
    Mais c’est surtout le Département d’Etat Fédéral à la Défense qui y voit l’enjeu majeur d’un tel atout technologique dans la surveillance et la géolocalisation à grande échelle de manière précise et presque….indétectable.

    Selon le directeur scientifique du programme Forspjallsljóð V , le Dr Tøve Galloway , « Iðunn-1 représente une avancée majeure dans notre capacité à comprendre les interactions complexes entre l’atmosphère, les océans et la biosphère. Les données récoltées permettront non seulement d'affiner nos actuels modèles de prédiction climatiques, mais aussi d’apporter des solutions concrètes aux défis environnementaux auxquels nous faisons face. Evidemment, les applications évidentes liées à la Défense apporteront à nos troupes et à notre armée un indéniable avantage qu’il ne convient pas de négliger, bien qu’il ne soit pas la raison principale pour laquelle nous avons largement investis des ressources. La science et l’amélioration de nos connaissances restent notre boussole»

    Une prouesse technologique et logistique :


    Le succès du lancement d’aujourd’hui est le fruit de plusieurs années de préparation et de collaboration transnationale et internationale. Iðunn-1 est équipé d’un système de communication à haute bande passante, permettant la transmission rapide de volumes de données considérables vers les centres de contrôle au sol, et notamment vers les îles du Ponant, dont certaines ont été équipées avec des installations de réception satellitaire, des gigantesques paraboles permettant de scanner une large portion du ciel, toutes connectées entre elle et partageant l’information en temps réel, grâce aux réseaux neuronaux et à l’intelligence artificielle, largement exploitée et mise en oeuvre durant ce projet, qui a permis aux Provinces-Unies de rattraper leur retard dans ce domaine. Grâce à cette infrastructure, les scientifiques pourront accéder en temps réel aux données recueillies par le satellite Iðunn-1 grâce à de puissants calculateurs quantiques.

    les calculatezurs qUANTIQUES
    Les immenses tours abritant les calculateurs quantiques conçus et entretenus par Nørdvisk Dynamics

    Les données seront stockées dans des data center dernière génération, dont l’un des premiers exemples à été construit dans le Northerlands, dans le Fylke du Vanaheim, malgré quelques protestations des autorités et associations locales qui y voient une “défiguration” du paysage naturel du Northerlands.



    « Nous avons repoussé les limites de la technologie, l'un des principaux défis de la mission a été de miniaturiser les instruments embarqués tout en conservant leur grande précision. », explique Jean-Luc Le Fourreur, ingénieur en microtechnologies chez Nørdvisk Dynamics et chef du projet. « Ce satellite est une merveille d'ingénierie : il pèse moins de 700 kg, mais il est plus performant que ceux de l’ancienne génération, notamment ceux lancés par les puissances eurysiennes, qui étaient deux fois plus lourds. »

    Nordvisk Dynamics logo
    Nørdvisk Dynamics, la firme spécialisée en robotique, nanotechnologies, et de manière générale aux nouvelles technologies du futur est un partenaire industriel indispensable dans la conquête spatiale

    Vers une exploration spatiale durable :
    En plus de son rôle d'observateur de la Terre, Iðunn-1 sera également utilisé pour tester de nouvelles technologies spatiales durables. Un système de propulsion électrique écologique ne rejetant plus que 0,2% de gaz fluorocarbohydriques et une technologie innovante de désorbitation par phénomène de cavitation à l’hydrogène liquide, ont été intégrés à bord. Ces innovations visent à réduire l’empreinte écologique des missions spatiales futures et à éviter la prolifération des débris spatiaux, conformément à la volonté de l’administration Fjörgyn initiatrice de ce projet, qui avait mis l’écologie au centre de tout.

    L’UPSA a également annoncé qu’elle envisageait de lancer une série de satellites Iðunn au cours des prochaines années, chacun étant équipé de capteurs et d’instruments de mesure spécialisés pour des missions distinctes. « Iðunn -1 n’est que le début », déclare le Dr Tauriel McMonaghan, directrice des programmes spatiaux de l'UPSA et notamment celui de Søvengard 2020 . « Ce satellite est la pierre angulaire d’une flotte qui, à terme, nous aidera à mieux comprendre notre planète, notre atmosphère, notre climat et l’espace geocentrique tout en ouvrant la voie à une exploration spatiale plus lointaine. »

    Une coopération privée-publique exemplaire :
    Le succès de Iðunn-1 témoigne aussi de la force de la coopération entre l'Etat Fédéral, les agences publiques et les acteurs privés et civils dans le domaine de l'exploration spatiale. Outre les contributions technologiques majeures et essentielles de l'UPSA , plusieurs universités, start-up technologiques et plusieurs grandes entreprises privées ont joué un rôle clé dans le développement des systèmes embarqués.
    Pour de nombreux experts, Iðunn-1 marque le début d'une nouvelle ère dans la recherche spatiale. « Il ne s'agit pas seulement d'un autre satellite en orbite », souligne le Dr Tøve Galloway . « C'est un pas en avant vers une exploration de l'espace plus collaborative et plus durable grâce aux progrès scientifiques accomplis par notre nation. »

    Des retombées attendues pour l’économie et la science :
    Les retombées économiques et scientifiques de cette mission sont attendues à l’échelle mondiale. Les industries liées à la télédétection, à l’agriculture de précision, et à la gestion des catastrophes naturelles bénéficieront directement des données produites par Iðunn-1. Les résultats devraient également alimenter les débats politiques et scientifiques concernant les solutions à apporter au réchauffement climatique.
    À peine quelques heures après son lancement, Iðunn-1 a déjà envoyé ses premières images de la planète, et les scientifiques attendent avec impatience les données supplémentaires qui permettront de mieux comprendre les phénomènes climatiques et geosptatiaux qui sont actuellement à l'œuvre.
    Le satellite restera opérationnel pendant environ 10 ans, période durant laquelle il devrait révolutionner notre compréhension des dynamiques planétaires et fournir une quantité de données incommensurable.
    Ce lancement réussi de Iðunn-1 est non seulement une victoire pour la science, mais aussi un symbole de réussite et d’accomplissement scientifique par les Provinces-Unies, une fierté nationale que l’administration actuelle ne manquera pas de souligner et de céder à la tentation de s’en attribuer tous les mérites.
    Haut de page