[CATOLOGUE DU DROVOLSKI]Le catalogue que vous allez consulter comprend l’ensemble des produits de l’empire de Drovolski, ainsi qu’une explication de leurs usages et destination dans les grandes lignes. Vous trouverez également des solutions impériales qui englobent la fourniture à long terme de plusieurs produits, principalement les plus vendus ou les plus populaires. Dans la mesure du possible, les produits sont ordonnés de façon thématique. Par souci de commercialisation, il peut y avoir un ton parfois mélioratif, mais jamais au point de prétendre à des performances ou des fonctions absentes du produit.
CMD-SDM(SCM) : Métaux et GazFer et AcierLe Drovolski est un pays très dynamique sur le plan minier, exploitant de nombreux filons de fer avec un véritable souci de performance industrielle. En effet, CMD, se voulant un acteur majeur de l’industrie, a toujours dirigé ses ingénieurs vers des solutions optimisées en rendement, quitte à faire pâtir la planète. Le fer est principalement extrait en profondeur par tunneliers. Les minerais de CMD sont principalement des oxydes et des sulfates, avec une teneur de 25 % en fer, ce qui en fait un minerai ferreux très intéressant. CMD vend à la fois le minerai et l’acier, ce dernier sous la marque SCM. Les minerais les plus vendus et produits sont la magnétite et la sidérite, deux minerais facilement réductibles en fer blanc ou en acier.
Le procédé principal de réduction se fait par l’hydrogène, à partir du cycle iode-soufre, et avec de l’énergie thermique d’origine nucléaire. En effet, le Drovolski n’a jamais été très riche en charbon et utilise ses dernières ressources exclusivement pour le dopage et la fabrication des alliages. Ainsi, le Drovolski fait une nouvelle exception en utilisant l’oxydation de l’H2 plutôt que du C. Le minerai de fer ainsi que l’acier sont exclusivement expédiés par voie maritime.
Le fer et l’acier du Drovolski, en raison de leur coût très faible, sont principalement destinés aux industries primaires de l’Est et de l’Occident. Dans un contexte de croissance économique et de coûts de main-d’œuvre élevés, comme à Velsna, le fer est souvent utilisé comme matériau de base dans la construction et la fabrication de machines, notamment dans les secteurs automobile et informatique.
Les forges du Drovolski produisent peu de pièces en termes de diversité, mais celles qui sont fabriquées le sont avec expertise. Les forges du Drovolski sont compétentes en matière de tuyauterie, de cuves et d’appareillages nucléaires, ainsi que pour la majorité des éléments du BTP et du domaine de l’électricité.
Cuivre et BronzeLe cuivre est très présent au Drovolski, principalement dans le nord du pays et à la frontière translave. Il se présente sous deux formes : des covellites (CuS), c’est-à-dire sous forme de cuivre et de soufre, parfois avec des traces de plomb, et sous forme de chalcocite (Cu2S), un minerai avec une teneur plus faible en cuivre mais riche en argent, le rendant très intéressant à exploiter. Contrairement au fer, CMD a choisi d’extraire le cuivre par lixiviation in situ, transportant les acides vers SDM qui parvient à réduire séparément le cuivre et le soufre, une de ses grandes spécialités. Le soufre est ensuite recyclé en acide dit propre et renvoyé vers les sites de CMD, garantissant une production de cuivre ininterrompue, un gage de qualité.
Le cuivre étant précieux et relativement rare, le Drovolski pourrait restreindre ses exportations, mais cette politique n’a jamais été mise en place. De fait, le marché du cuivre reste dynamique avec l’ouverture de nombreuses mines à travers le monde. Le cuivre est généralement utilisé comme conducteur thermique ou électrique. SDM propose également des bronzes de différentes teneurs, issus d’étain et de cuivre nationaux, faisant actuellement du Drovolski le premier producteur de l’Est.
SoufreLe Drovolski est le plus grand producteur de soufre du continent. En effet, la majorité des minerais du pays sont sous forme sulfurée, ce qui en fait un déchet hautement valorisable. On trouve également quelques roches de soufre natif près du Verbonale. En raison de sa nature de déchet, son prix est très bas au Drovolski, faisant de CMD l’un des seuls producteurs rentables de ce minerai pourtant essentiel dans de nombreux procédés chimiques. Le soufre reste cependant un polluant majeur des installations minières, et sa qualité peut être altérée au cours de la production. CMD assure toutefois qu’elle ne vend que du soufre pur à 99 %, sous forme de gaz ou d’acide. Ce produit est destiné aux grandes industries chimiques de l’Occident, notamment dans le secteur pétrolier, et est essentiel à la production d’acides et de produits agricoles variés. Son caractère polluant en fait cependant un produit très complexe à gérer, comme en témoigne la spécialisation de SDM.
NickelLe nickel est un métal très convoité, car léger et peu oxydable à l’air. Il est ferromagnétique et très utile dans la majorité des alliages courants dans l’industrie, notamment dans le domaine médical. Au Drovolski, le nickel est extrait par tunneliers sous forme d’heazlewoodite (Ni3S2), puis dissous dans de l’acide sulfurique avant d’être précipité dans des cuves d’ammoniac, car il n’y est pas soluble. Les précipités finaux sont ensuite traités dans des hauts-fourneaux, suivant le même parcours que les minerais de fer. Ce minerai, moins riche en nickel que d’autres, rend CMD moins compétitif face à ses concurrents, notamment en Translavya. Cependant, dans un contexte de pénurie, CMD peut être une option pratique pour des commandes de gros volumes, ayant actuellement peu de clients pour ce minerai. Il est également possible d’acheter ce produit à la BMS de Sylva.
AluminiumL’aluminium est un métal léger, non ferromagnétique, avec des propriétés indispensables à de nombreuses industries, notamment l’aéronavale. Le Drovolski figure parmi les plus grands producteurs d’aluminium, se plaçant juste derrière l’Empire du Nord. Contrairement au nickel, l’aluminium est présent dans un minerai très riche, abondant et facilement exploitable. Il se trouve en surface sous forme de bauxite, exploitée en mine à ciel ouvert. La bauxite est ensuite envoyée vers le LHV pour être électrolysée avec des anodes sacrificielles en carbone. Le résultat est un aluminium très pur, respectant les standards sylvois, principal marché de destination actuel. Cependant, les altérites d’aluminium sont en cours de réfection, car le dynamitage successif rend l’exploitation des gisements actuels de plus en plus complexe.
ZincLe zinc, métal essentiel s’il en est, est produit au Drovolski depuis maintenant trois siècles. Les gisements ne sont pas près de s’épuiser, avec des stocks suffisants pour durer jusqu'à la fin du siècle à notre niveau actuel de production. Comme la grande majorité des minerais au Drovolski, le zinc est extrait avec son voisin le soufre sous forme de sphalérite (ZnS), puis séparé sous forme ionique Zn²⁺, grâce à des procédés faisant intervenir notamment le cuivre. Le zinc est principalement extrait par lixiviation, car sous forme de sulfate. Les solutions ioniques de zinc sont ensuite électrolysées pour former du zinc métallique, vendu par CMD. Sa métallurgie est peu développée au Drovolski. Actuellement, le métal est envoyé sous forme de lingots vers l’Occident, où il est travaillé.
ÉtainPremier métal de l’histoire, l’étain a été découvert et popularisé à l’âge du bronze. Il est actuellement très utilisé en électronique et dans les alliages, et la demande n’a jamais vraiment diminué. Dans ce contexte, le Drovolski a toujours augmenté sa production pour répondre à la demande régionale puis mondiale. Le Drovolski exploite des minerais en surface et en souterrain avec des tunneliers. Le principal minerai est la cassitérite, un oxyde d’étain très pur, ce qui rend sa réduction par hydro-réduction à haute température très simple. L’étain est ensuite chauffé jusqu’à fusion, puis tiré progressivement pour en faire un fil très ductile. On y ajoute souvent du plomb pour abaisser le point de fusion, un alliage apprécié des clients.
MagnésiumLe magnésium, le plus léger des métaux de construction et un des champions des alliages, est sans conteste la star des métaux légers. Plus léger de 75 % que l’aluminium et très dur, le magnésium est utilisé pour la fabrication d’automobiles et d’avions, où il est très apprécié pour ses propriétés. Bien que sa métallurgie soit peu maîtrisée au Drovolski, ce métal est largement produit en mine à ciel ouvert à partir de magnésite, puis réduit selon le circuit du fer. La principale débouchée actuelle est l’industrie automobile, notamment à Rasken, ainsi que l’aviation aleucienne. La pollution engendrée par son extraction est souvent critiquée, mais CMD n’a jamais fléchi sur ses pratiques.
Potassium, ChromeLe potassium est principalement utilisé dans deux industries au Drovolski et dans le monde. Il est employé par le LHV pour ses excellentes propriétés thermiques dans les échangeurs de chaleur, ce qui a nécessité la maîtrise de sa métallurgie. Il est également utilisé en chimie, intervenant dans de nombreuses réactions électrochimiques, notamment dans les piles Daniell. Le potassium est le seul minerai extrait en zone sous-marine et est également associé au chrome et au chlore. En effet, la carnallite, minerai associé, est présente sur la côte de Mesolvarde. Ce métal est extrait par dynamitage, puis récolté par bateau. Le minerai est ensuite aggloméré, filtré, et hydrolysé avec des anodes sacrificielles en carbone, permettant d’obtenir du chrome, du potassium et du chlore gazeux. Le chrome est vendu directement aux clients, tandis que le potassium est envoyé aux forges où il est moulé en échangeurs de chaleur nucléaire ou en lingots pour la vente.
Calcium, Lithium, TitaneCes métaux, bien que différents, sont produits simultanément au Drovolski. Le calcium est exclusivement envoyé à SDM, qui en fait des produits chimiques destinés à ses clients, notamment des chaux très pures. Il est aussi très utilisé comme réducteur dans l’industrie nucléaire, notamment au LHV. Le lithium, quant à lui, sert à produire des batteries. Cependant, le Drovolski n’est ni un grand producteur, ni un grand consommateur de lithium, préférant les batteries au plomb en raison des difficultés de recyclage du lithium. Le titane, bien connu pour ses propriétés, est extrait, mais sa métallurgie n’est pas encore maîtrisée au Drovolski. Ces trois métaux sont extraits conjointement d'une tourmaline abondante dans les montagnes du Drovolski, principalement par tunnelier et dynamitage. Le minerai est ensuite aggloméré puis dissous dans trois acides différents : fluorhydrique, sulfurique, et ammoniacal, permettant de précipiter successivement les minéraux souhaités. Le calcium est envoyé à SCM pour des produits chimiques et au LHV pour la réduction des uranifères. Le titane et le lithium sont quant à eux directement vendus et envoyés à Nazum, où ces deux métaux sont très demandés par les industriels occidentaux.
Plomb, Argent, Bismuth, Antimoine, ArsenicLe plomb est un métal lourd essentiel à l’industrie chimique et nucléaire. Il intervient dans de nombreuses réactions et fait partie du groupe très restreint des métaux denses, ce qui lui confère une forte résistance aux déformations et aux radiations. L’argent, métal noble, est utilisé dans de nombreux alliages et dans l’industrie de la bijouterie. Le bismuth, l’antimoine et l’arsenic ont, quant à eux, des usages limités, principalement dans l’électronique et l’industrie minière, leur production et leur demande étant faibles. Ces métaux sont tous produits par électrolyse à partir d’un plomb sulfureux appelé "plomb d'œuvre", légèrement radioactif, mais contenant de nombreux métaux facilement extractibles, ce qui en fait un minerai très intéressant. La métallurgie de ces métaux est bien maîtrisée par CMD, qui ne vend que des pièces déjà fabriquées, protégeant ainsi son filon, car ce dernier menace depuis longtemps de s’épuiser.
Bore et BoraxPremier producteur mondial de bore, le Drovolski possède la majorité des gisements de kernite, situés en souterrain à Kotüme et exploités par tunneliers. Le bore est principalement destiné à l’industrie nucléaire et chimique, où l'acide borique joue un rôle essentiel. En tant que seul producteur connu, le carnet de commandes du Drovolski est bien rempli par les nations nucléaires du monde, ce qui justifie un procédé de production très avancé. La kernite, étant un borate, est facilement soluble dans l’eau, mais pour accélérer le processus de séparation du bore et du borax, la CMD utilise des acides sulfurique. Le bore est ensuite envoyé à la SDM pour être purifié, toujours sous forme d’oxyde, avant d’être transformé en acide borique, lequel est ensuite vendu.
BérylliumLe béryllium est principalement utilisé dans les alliages, où il sert de durcissant, et dans l'industrie nucléaire, notamment pour certaines couvertures dans les chaînes radioactives. En Occident, il est également utilisé dans les prothèses dentaires et les bijoux, des industries moins développées au Drovolski, mais qui assurent tout de même des débouchés. Le béryllium du Drovolski est produit par réduction de chlorure de béryllium, extrait de grottes en surface dans les montagnes du pays.
KaolinLe kaolin est un minerai très important dans la production de vaisselle. Bien que le Drovolski n’en soit pas un grand producteur, il peut en fournir suffisamment sans difficulté. Ce minerai, présent en surface, est exploité par dynamitage, puis aggloméré et directement vendu. Le kaolin, un silicate d’aluminium, est facilement utilisé en faïence, une spécialité du SCM qui travaille pour le compte de la CMD. Le SCM produit également un substitut de papier à partir du kaolin, en raison du coût élevé de l'importation de bois.
Silicium et GermaniumLe silicium et le germanium sont incontournables dans la fabrication des semi-conducteurs. Bien que le Drovolski ait lancé la production pour préserver son indépendance, la faible consommation locale n'a jamais justifié un niveau de production élevé. Pour écouler son surplus, le Drovolski est obligé de vendre ces matériaux à des prix très bas, notamment à Tenska. Les mines de silicium et de germanium sont souterraines et utilisent des méthodes d’extraction conventionnelles pour récupérer le quartz très pur, essentiel à la production des matrices de silicium. Le dopage peut être réalisé au Drovolski, mais le retard du pays par rapport à Tanska ne justifie pas commercialement de le faire.
PlatineBien que le Drovolski possède de faibles réserves de platine, il reste un acteur important dans la production de plus de 70 % des électrodes destinées à l’industrie chimique. Le platine a plusieurs autres usages, mais cette application est jugée prioritaire. Le platine est inoxydable, même en milieu fortement acide, ce qui le rend essentiel pour les électrolyses. Toutefois, il est difficile à produire, car la lixiviation n’est pas possible. Le pays possède deux types de gisements : un natif et un autre contenant du platine principalement extrait de dunite. Le platine natif permet de fabriquer les premières électrodes, qui servent ensuite à réduire la dunite. Le marché principal du platine se trouve en Occident.
Iridium et OsmiumCes deux métaux, aux propriétés similaires, sont principalement utilisés dans l'électronique. Ils sont systématiquement produits ensemble en plongeant les minerais d’iridium et d’osmium dans de l’acide bouillant, puis rincés à l’ammoniac, un procédé qui permet de les séparer. Le Drovolski est l’un des plus grands producteurs de ces métaux, qui sont principalement vendus au Nazum, où ils sont utilisés pour fabriquer des composants électroniques et des puces informatiques de technologie tanskienne et stranienne.
RhéniumLe rhénium est un métal essentiel dans la tuyauterie pétrolière et gazière. Il présente des propriétés intéressantes en tant qu’alliage, permettant de fabriquer des tuyaux très résistants à la chaleur et à la corrosion. Sa métallurgie est bien maîtrisée, permettant la production de tuyaux principalement vendus à Raken et aux sociétés nucléaires mondiales. Le processus de production est complexe. Au Drovolski, le rhénium est extrait de la molybdénite, où il est présent en traces. Le rhénium précipite en présence d’ammoniac et peut être facilement réduit en présence de dihydrogène. Son prix très élevé permet à la CMD de rester rentable, malgré une production en déclin depuis 10 ans.
TungstèneLe tungstène est un métal lourd utilisé dans l’électronique et la métallurgie pour ses propriétés de résistance à la chaleur et sa grande dureté, notamment pour l’outillage. Il est produit à partir de wolframite, que l’on trouve avec le calcium dans les mines souterraines de la zone CMD, exploitées par tunneliers. La purification du minerai dans l'acide est simple, permettant ensuite de l’isoler et de le purifier. Le tungstène est ensuite fondu dans des hauts fourneaux, puis étiré pour former des filaments et des plaques utilisés dans la métallurgie.
Tantale et NiobiumCes deux métaux possèdent des propriétés chimiques qui les rendent essentiels dans l’électronique. Ils sont principalement produits pour être envoyés au Nazum, où ils sont utilisés pour fabriquer des condensateurs. Le Drovolski est l’unique producteur mondial grâce à sa grande mine de coltan, un minerai rare mais abondant dans la région. Le coltan suit un long processus avant d’être expédié vers le Nazum. D’abord extrait à ciel ouvert dans la zone SDM, le minerai est aggloméré, filtré à l'eau pure, puis dissous dans un acide fluorhydrique chauffé à 500 °C. Cela libère le tantale et le niobium, qui sont ensuite précipités séparément, soit avec de l’ammoniac, soit avec de l’acide sulfurique. Les précipités sont ensuite purifiés, puis réduits par électrolyse à haute tension. Les métaux, encore imparfaits, sont refondus à plus de 1 500 °C dans une forge. Ces métaux sont vendus au Nazum sous forme de fines feuilles, principalement pour faciliter la fabrication de condensateurs pour les industriels locaux.
BromeÀ ce jour, le CDM est le seul à vendre officiellement du brome à l'international, principalement sous forme de sel. Le brome possède des propriétés importantes dans les domaines médical et chimique. Il est produit à la SCM par oxydation des saumures avec du dichlore, un procédé extrêmement polluant mais nécessaire. Actuellement, Drovolski est l'un des rares producteurs. Les principaux marchés se trouvent en Aleucie, notamment dans les entreprises de santé des pays développés. Drovolski ne dispose pas de l'industrie nécessaire pour l'utiliser lui-même et dépend donc encore une fois de l'Occident. Pour éviter des menaces auxquelles le pays ne saurait répondre, le CDM le vend à un prix très avantageux.
CadmiumLe cadmium est utilisé dans de nombreux alliages et dans l'industrie de la bijouterie en Occident. Sa métallurgie n'est pas maîtrisée et sa production est très peu efficace. L'Empire du Nord, qui contrôle sa production, empêche Drovolski de financer efficacement ses mines, ce qui positionne le CDM comme un acteur minoritaire. Le CDM vend donc son cadmium à des prix très élevés, principalement à ses partenaires régionaux qui l'utilisent dans des appareils chirurgicaux.
IndiumEncore un métal essentiel à de nombreux alliages, l'indium est produit uniquement par le CDM en quantités raisonnables. Il est principalement destiné aux pays développés, qui l'utilisent dans des applications médicales et militaires, pour des propriétés proches du galinstan mais sans ses inconvénients. Une petite partie de la production est également envoyée au Nazum pour la fabrication de panneaux solaires et de composants électroniques, notamment optiques. Rasken en fait un usage parcimonieux pour protéger ses installations pétrolières contre la corrosion, tout comme le LHV pour ses réflecteurs neutroniques. L'indium est produit à Drovolski à partir de sels, par électrolyse à haute température, puis purifié. Le précipité est ensuite envoyé par voie maritime en Aleucie.
MolybdèneLe molybdène est un métal très utilisé pour les alliages militaires, car il permet de créer un véritable blindage avec le fer. Ainsi, sa demande reste élevée. Dans ce contexte, Drovolski a financé des mines et développé la métallurgie de ce métal précieux et très convoité. Les principaux marchés sont l'Eurysie et l'Aleucie. Le molybdène est extrait à Drovolski par lixiviation in situ de molybdénite (MbS2), un minerai sulfuré comme de nombreux autres minerais de Drovolski. L'acide utilisé est un acide fort à base de soufre, et la solution formée dans la zone d'extraction est envoyée pour recyclage dans une chambre de filtrage où le molybdène précipite. Il est ensuite électrolysé puis envoyé dans un haut fourneau. Plusieurs étapes de purification sont nécessaires, impliquant des éléments tels que l'arsenic et le mercure. Le CDM vend le molybdène directement ou sous forme d'alliages magnésiens ou ferreux.
Mercure et RhodiumIl n'existe pas de minerai spécifique pour ces deux métaux, et leur extraction est très complexe. Le mercure et le rhodium sont extraits et purifiés à partir de déchets nucléaires. En effet, le mercure liquide est facile à séparer, et le rhodium précipite facilement en présence de salmiac, rendant cette production rentable. Leur usage est limité en raison de la concurrence d'autres métaux, mais on les retrouve dans l'électronique et certains alliages médicaux. Leur principale application industrielle concerne les bijoux radioactifs de Carnavale.
CobaltLe cobalt est essentiel à de nombreux composants électroniques, notamment les condensateurs, et est partiellement produit à Drovolski. Le CDM y extrait un cobalt de faible qualité à partir de cobaltite, un minerai composé principalement de soufre, d'arsenic et de cobalt, qui est exploité à l'aide de tunneliers. Le minerai est ensuite aggloméré, fondu puis purifié par flottation à l'aide de grandes quantités de lessive minière. Bien que ce procédé soit polluant, il est très performant. Le cobalt est vendu sous forme de minerai enrichi directement au Nazum, car le CDM n'est pas capable de le réduire correctement. Plusieurs clients l'utilisent sous forme d'oxyde, notamment des industriels du secteur de la téléphonie.
Le LHV achète une fraction de la production de cobalt pour fabriquer, dans des réacteurs, des isotopes utiles pour les irradiateurs. Actuellement seul sur le marché, le LHV vend différents types de sources de cobalt-60 à des prix compétitifs.
VanadiumLe vanadium est un métal rare et peu utilisé. On le trouve dans divers produits médicaux, des alliages soumis à des environnements alcalins et dans des réactions chimiques nécessitant des catalyseurs. La production de vanadium par le CDM est très faible et diminue d'année en année. Il est principalement extrait en quantités infimes dans les mines de plomb, mais la teneur en vanadium est très variable, obligeant le CDM à procéder à une purification importante, ce qui en fait un métal très cher avec peu de demande. Le CDM cherche actuellement un repreneur, n'arrivant pas à vendre son vanadium en dehors de quelques bijoutiers occidentaux.
StrontiumLe strontium est dans une situation similaire à celle du vanadium : très cher à produire et avec peu de débouchés. Pour écouler ses stocks, la SCM fabrique des peintures et des vernis à base d’aluminate de strontium, des produits fluorescents qui offrent un style unique aux bâtiments. Le strontium est présent à Drovolski sous forme de célestine, un minerai sulfaté cristallin qui se dissout facilement, mais contient de nombreuses impuretés. Il est exploité par tunneliers et électrolysé par la SCM, une opération qui n’est plus rentable depuis longtemps.
BaryumLe baryum, quant à lui, est un élément essentiel dans de nombreuses industries. Il est crucial dans la fabrication de nombreux composants électroniques, ce qui en fait un métal très recherché par le Nazum, mais il est également indispensable à la métallurgie du titane, auquel il confère une grande dureté dans les alliages, assurant ainsi un débouché en Occident. Le baryum est relativement abondant, même en surface. Une mine à ciel ouvert de norséthite permet de produire de grandes quantités de baryum par simple dissolution et lessivage, suivis de quelques étapes de purification. L'acide utilisé est fluorhydrique, avec parfois l'ajout de chrome. Le précipité obtenu est ensuite mélangé avec du titane, puis réduit dans un four à dihydrogène pour former un alliage de titane très résistant, vendu principalement en Occident. Le reste du minerai est vendu purifié au Nazum, où il est souvent utilisé pour le dopage de composants électroniques complexes.
CésiumLe césium est un élément important pour de nombreuses applications en raison de ses propriétés exceptionnelles. Il est notamment utilisé dans des composants électroniques pour ses qualités électriques. À Drovolski, il est extrait avec difficulté de la pollucite, où il est présent en faibles quantités. Ce minerai est exploité par lixiviation. Après dissolution, il faut séparer successivement les différents métaux de la solution pour isoler le césium. La pollucite se dissout difficilement dans l'acide sulfurique, d’où l’utilisation de l'acide chlorhydrique à sa place. L'aluminium est extrait par électrolyse, un processus long, avant d’être réduit pour éliminer l’oxygène. Ensuite, le sodium réagit avec de l'eau. Le résultat obtenu est peu pur et inexploitable, nécessitant un passage en haut fourneau pour obtenir le césium sous sa forme métallique. Il est ensuite vendu au Nazum pour la fabrication de composants électroniques fonctionnels.
Phosphore et PhosphateLe phosphate, un minerai naturel, a de nombreux usages dans les domaines médical, chimique, agricole, et industriel. Sous sa forme réduite, le phosphore, il est essentiel à la fabrication de circuits imprimés, où il est utilisé pour doper les matrices de silicium. Le CMD exploite deux mines à ciel ouvert de phosphate et réduit une partie du minerai par électrolyse. Le phosphate est ensuite vendu à de nombreuses nations agricoles, tandis que le phosphore est principalement exporté vers le Nazum, notamment pour les industriels tanskiens de l’électronique qui cherchent à bénéficier des faibles coûts de production de la région.
RuthéniumLe ruthénium est extrait des déchets nucléaires, où il est suffisamment abondant pour que son exploitation soit intéressante. Pour l’instant, le ruthénium est réduit avec du molybdène afin de produire un alliage supraconducteur, un matériau nécessaire à certains projets loduariens dans le domaine de l’énergie. Il s’agit actuellement du seul client pour ce produit.
PalladiumCe métal noble, de la famille des platinoïdes, a divers usages en électronique et en chimie, notamment pour la fabrication de catalyseurs, comme ceux utilisés dans l'industrie automobile. Le CMD produit du palladium, mais il n’est pas consommé localement ; toute la production est exportée, principalement vers l'Occident, par exemple pour la fabrication de piles à combustible. Le palladium existe à Drovolski sous forme de sulfate, ce qui rend son exploitation simple par lixiviation. Le CMD a une présence mineure sur ce marché, face à l’Aleucie qui en produit la majorité. Toutefois, la proximité du Nazum avec Drovolski permet à ce dernier de couvrir 15 % de la demande en palladium pour l'électronique, sans avoir besoin de réduire le métal, ce qui offre des opportunités commerciales très avantageuses.
Terres raresLes terres rares, essentielles à l’électronique en général ainsi qu’à de nombreux équipements militaires et médicaux, représentent un enjeu crucial. Dans ce contexte, la CMD a lancé un vaste projet d'investissement pour l'extraction des terres rares, présentes en traces dans plusieurs de ses métaux. Toutefois, ce projet, à long terme, n’a pas encore rencontré un franc succès. Le Drovolski est certes un important producteur de ces métaux, mais à un coût insupportable pour ses clients, alors que le Grand Nord se positionne en tête avec des minerais beaucoup plus purs. Seul le gadolinium est produit à un prix abordable au Drovolski, un métal principalement utilisé dans les industries nucléaires et électroniques. Cependant, dans un contexte de croissance de la demande pour les composants électroniques, la CMD pense que ses minerais deviendront rentables d’ici moins de 20 ans, bien que ce projet reste incertain en raison du manque de clients. La production des terres rares au Drovolski repose sur un procédé d'échange d'ions sur une résine, permettant d’obtenir des terres rares pures. Les métaux sont soumis à cette résine, qui favorise le passage des cations et la formation de complexes, rendant les terres rares plus facilement extractibles.
ZirconiumLe zirconium est un métal de transition principalement utilisé dans l’industrie nucléaire pour fabriquer des gaines de combustible. Le Drovolski maîtrise cette métallurgie avec une grande expertise, un savoir-faire partagé avec plusieurs nations nucléaires, bien que peu d'entre elles possèdent également le minerai. Le Drovolski exploite depuis 60 ans un gisement de zircon, un silicate abondant, radioactif et difficile à dissoudre. Pour faciliter cette dissolution, le zircon est broyé puis lixivié à très haute température afin d’obtenir une solution homogène. Le silicium et l’oxygène sont retirés par lessivage, et la précipitation est déclenchée à l’aide d’ammoniac. Le zirconium est ensuite purifié et envoyé en haut fourneau pour prendre sa forme métallique. Ce métal est ensuite forgé au LHV en tubes pour devenir des gaines et pastilles de combustible nucléaire. Le zirconium est transparent aux neutrons et possède d’excellentes propriétés de résistance à la corrosion, à la chaleur et aux radiations. Toutefois, ce métal n’étant pas très dur, une seconde enveloppe est souvent nécessaire dans les réacteurs dits "modernes".
HafniumDernier métal de cette liste, le Drovolski détient une sorte de monopole sur l’hafnium, un métal gris de transition aux usages dispersés dans les alliages, mais surtout employé comme réflecteur de neutrons dans les réacteurs nucléaires. Associé au cadmium, à l’argent et à l’iridium, il permet de concevoir les équipements de contrôle des cœurs nucléaires les plus performants. C’est pourquoi le Drovolski vend l’hafnium exclusivement usiné, garantissant ainsi une bonne rentabilité à long terme, compte tenu de la croissance du secteur nucléaire. La production d’hafnium provient principalement de l’épuration du zirconium, impliquant une dépendance : sans production de zirconium, pas d’hafnium. Une propriété intéressante de l’hafnium est sa grande difficulté à être dissous, ce qui permet de le séparer facilement du zirconium avec de l’acide fluorhydrique, capable de dissoudre le zirconium, mais pas l’hafnium. Ce dernier est ensuite traité avec un acide fort à base de fluor, purifié par lessives, puis réduit par électrolyse. Ce procédé est très énergivore et nécessite d'importantes quantités d'acide, ce qui fait de l’hafnium l’un des métaux les plus coûteux vendus par la CMD. Le métal est ensuite envoyé au LHV, où il est allié avec de l’argent et de l’iridium, puis fondu sous forme de tuiles. Ces tuiles sont passivées pour les rendre très résistantes à l’oxydation et aux acides, puis soudées entre elles pour former un réflecteur de cœur nucléaire. Le produit est ensuite soit vendu avec la centrale par le biais de contrats d’exportation, soit commercialisé auprès de compagnies nucléaires dans le monde entier. La CMD figure parmi les plus grands producteurs grâce à des investissements précoces dans ce domaine, malgré la rentabilité relative de ce métal très coûteux.
Uranium, Thorium, Plutonium, Américium et autres actinidesLes actinides sont des métaux globalement abondants, mais le Drovolski n’est pas le plus grand producteur, loin derrière l’Empire du Nord, par exemple. Cependant, son industrie très développée le rend performant dans la production de combustibles dits non ordinaires, notamment pour les réacteurs PHWR et les réacteurs au thorium. Il produit également du combustible à l’uranium plus conventionnel, mais malgré des coûts attractifs, il ne domine pas ce marché. Ces métaux sont utilisés dans l’industrie nucléaire comme combustibles, car une fois initiés, ils peuvent entretenir une réaction nucléaire en chaîne et produire une énergie abondante et bon marché, un savoir-faire reconnu que le Drovolski maîtrise aux côtés des puissances nucléaires. Le minerai du Drovolski contient du thorium et de l'uranium, extraits par lixiviation. L’acide sulfurique, porté à très haute température et pression, fracture la roche et en extrait une solution corrosive de métaux lourds. Cette solution est ensuite séparée par solvant, certains métaux étant solubles dans des milieux polaires, d'autres non. Le thorium, rarement enrichi, termine son parcours chimique ici, avant d’être envoyé au LHV, où il sera fondu et transformé en pastilles. L’uranium, quant à lui, subit une série d'étapes supplémentaires : il est hydrofluoré avec de l’acide sulfurique, puis fluoré à l’aide de gaz très réactifs, donnant naissance à un gaz d’uranium (UF6), envoyé par conduit au LHV pour être enrichi par centrifugation. L’uranium de retraitement est fondu et envoyé dans un réacteur à fort flux pour être transmuté en plutonium, tandis que l’uranium enrichi est réduit puis oxydé pour produire du combustible sous forme d’oxyde, capable de résister à de très hautes températures, crucial pour éviter une fusion de cœur. Après plus de deux ans en réacteur à fort flux, l’uranium de retraitement obtient une part importante de plutonium et est alors vendu comme combustible pour les RNR ou MOX, principalement en Occident. Le combustible nucléaire usé est dissous dans de l’acide fluorhydrique, puis séparé par solvant selon le procédé PUREX. Ce processus permet de séparer le plutonium, qui rejoint la filière MOX, de l'uranium, destiné à la filière de retraitement, et de l’américium, compacté pour fabriquer des sources de démarrage, un monopole de la CMD. Les autres actinides sont également séparés à cette étape, mais il n’existe pour l’instant aucun véritable client en dehors des irradiateurs du LHV. De nombreux travaux de recherche sont en cours pour leur trouver des usages. Le LHV commercialise plusieurs types de combustibles, mais reste strict quant à leur utilisation. Il est toujours demandé de justifier les achats pour éviter tout incident. Les pays trop instables sont rarement clients du Drovolski, qui souhaite éviter toute responsabilité.
HéliumLe Drovolski dispose de très faibles quantités d'hélium, qu'il vend sous une forme hautement purifiée à l'industrie nucléaire nationale, où il est utilisé comme caloporteur dans les réacteurs de la série Mesol. Ce gaz noble permet d'assurer une longue durée de vie aux réacteurs nucléaires du Drovolski en éliminant toute forme de corrosion ou d'usure. L’hélium est extrait des sous-sols où il est récupéré, stocké, puis purifié et traité pour l'industrie nucléaire. Ce processus, extrêmement coûteux, empêche sa vente à d'autres fins, faisant de la production de la CMD une production réservée exclusivement aux réacteurs Mesol nationaux.
Fluor et ChloreLe fluor et le chlore ont une destination commune : la production d'acides et d'autres produits chimiques destinés à l’industrie mondiale. Au Drovolski, premier producteur d'acides principalement pour sa propre consommation, le fluor comme le chlore sont extraits par tunneliers à partir de la fluorapatite, une roche riche en divers métaux et facilement soluble une fois agglomérée. Le Drovolski en produit des quantités massives, souvent de qualité variable, mais à des prix très compétitifs. Les acides produits sont principalement destinés aux industries minières via la SCM. Le recyclage des acides est également une pratique courante au Drovolski, et ce service est proposé aux industries incapables de gérer ce processus elles-mêmes. Ce recyclage repose sur le transfert ionique à travers des membranes poreuses, une technologie de la SCM.
Azote et AmmoniacAutrefois cruciale pour la production agricole, l'industrie de l'azote et de l'ammoniac au Drovolski est désormais principalement orientée vers l'armement et l'industrie minière. L'azote est produit par liquéfaction de l'air et distillation, où il est présent en grande quantité. L'ammoniac, quant à lui, est obtenu par hydrogénation selon le procédé Haber-Bosch. Le Drovolski n'occupe pas une place particulièrement importante ni rentable sur ce marché, mais il est l'un des rares à vendre son ammoniac sous forme liquide, utilisé comme combustible pour les bateaux. Ne disposant ni de charbon ni de pétrole, contrairement à d'autres pays comme Rasken, le Drovolski s'est tourné vers des solutions alternatives, avec des batteries au plomb pour ses véhicules et de l'ammoniac pour ses navires.
Eau lourdeL'eau lourde est un produit exclusivement vendu à deux pays : la Sylva, pour son secteur nucléaire, et la Loduarie, dans le cadre de ses projets de recherche sur le nucléaire de demain. Ces deux nations ont des besoins spécifiques en matière nucléaire. Pour répondre de la manière la plus économique possible, le Drovolski importe de l'eau très douce des rivières occidentales et l'enrichit en deutérium grâce au procédé Girdler. Ce procédé, extrêmement énergivore, implique l'utilisation de niveaux de température très différents, où l'eau riche en deutérium a tendance à se lier aux sulfures d'hydrogène. Répété plusieurs milliers de fois, ce processus aboutit à une eau hautement enrichie en deutérium, appelée eau lourde. L'eau lourde possède des propriétés intéressantes pour les réacteurs nucléaires, car elle n'absorbe que très peu les neutrons et peut servir de modérateur ou même de combustible dans des réacteurs à fusion. Cependant, son coût astronomique en fait un produit d’exception. La CMD s’est toujours battue pour la rentabilité de cette production, notamment en raison des investissements colossaux réalisés par le passé.
CMD-SDM(SCM) chimieBakeliteLa bakélite peut servir de substrat en électronique, mais au Drovolski, elle est surtout utilisée pour recouvrir des métaux lourds dans le but de réduire leur toxicité, notamment pour les applications destinées au grand public. Bien que ce matériau soit devenu obsolète depuis les années 1960, il reste largement utilisé et produit par la SCM, qui continue sa production malgré l'absence de clients internationaux. La bakélite est produite, comme de nombreux polymères, par la réaction entre le phénol et le formaldéhyde, deux produits également vendus séparément mais très toxiques pour l'environnement. Le Drovolski est loin derrière les autres acteurs du secteur des plastiques, produisant des matériaux relativement dépassés, mais il trouve encore quelques débouchés nationaux grâce à ses faibles coûts de production.
MélamineLa SCM utilise son stock de formaldéhyde dans plusieurs autres applications, notamment avec de l'urée pour produire de la mélamine, une résine très dure. Elle est populaire dans le pays pour la fabrication d'outils et d'ustensiles de cuisine en raison de sa remarquable résistance à la chaleur. Cependant, cette résine est délaissée sur le marché international en raison de sa fragilité et de son caractère daté. Le SCM est le dernier producteur mondial de mélamine, sa production étant dédiée principalement au marché de l'Est.
Éthylène Tétrafluoroéthylène (ETFE)Le seul plastique moderne du Drovolski ayant des propriétés intéressantes pour remplacer le verre est l'ETFE, un matériau peu produit dans le pays mais utilisé comme isolant électrique en raison de sa grande résistance à l'usure. Certains constructeurs de bâtiments l'utilisent également à des fins artistiques, un usage que la SCM juge peu rentable. L'ETFE est un produit majeur d'exportation, bénéficiant de la complexité relative de sa production. Alors que de nombreux pays ont abandonné la production de copolymères, la SCM a conservé cette industrie, lui conférant un monopole dans ce domaine, bien que peu de copolymères soient réellement rentables à l'exception de l'ETFE, qui date pourtant des années 1940, témoignant du manque d'innovation dans ce secteur au Drovolski.
AcidesLe Drovolski, en tant qu'exportateur d'acides, produit divers acides tels que le fluorhydrique, le sulfurique, le chlorhydrique et des acides organiques. La plupart de ces acides sont de qualité minière et destinés aux grandes industries du secteur. Cependant, des problèmes récurrents de qualité affectent le commerce de ces produits, positionnant le Drovolski comme un fournisseur bas de gamme d'acides.
PolyépoxydesLes résidus de phénol non utilisés dans la production de bakélite sont envoyés dans des réacteurs chimiques à haute température et mélangés avec des monomères époxydes, provoquant une polymérisation en présence d'amine. Le produit final est une résine très rigide, principalement utilisée à Nazum pour la fabrication de circuits imprimés destinés au marché occidental. Grâce à sa position géographique, le Drovolski est un fournisseur privilégié via la voie maritime, occupant ainsi une place importante dans ce marché.
CéramiqueLe Drovolski ne produit pas de verre en raison de la mauvaise qualité de ses sables. Pour pallier cette carence, le kaolin produit par le CMD est mélangé à des oxydes de fer et de la terre cuite, puis fortement comprimé pour produire des céramiques très résistantes, principalement utilisées pour des applications industrielles, telles que des creusets de forge ou des équipements de cuisine. Le Drovolski se positionne comme le quatrième exportateur mondial de céramiques, derrière les géants nazumis, experts dans la production de céramiques destinées à l'électronique, notamment pour la fabrication d'aimants.
SolvantsLe Drovolski est le premier producteur mondial de solvants nucléaires, avec un monopole total sur la production de tributylphosphate (TBP) et de tri-n-octylphosphine oxyde (TOPO). Ces solvants sont largement utilisés à l’échelle mondiale pour la séparation des métaux par extraction liquide-liquide, notamment pour séparer le plutonium de l'uranium ou le plomb des terres rares. Ces solvants sont produits en grande quantité par estérification de l'acide phosphorique, un procédé complexe et extrêmement polluant. Bien que la production de ces solvants soit relativement faible par rapport à la demande mondiale, le Drovolski conserve une position dominante sur ce marché très spécifique.
Bonsecours - MédicamentsFurosémideLe furosémide est commercialisé sous la marque “Maintenance et Révision ®”. Il est principalement utilisé pour traiter les insuffisances cardiaques et rénales dues à des intoxications. Ce médicament est largement prescrit par les services hospitaliers et se vend à un prix compétitif dans le monde entier. Cependant, on ne peut pas vraiment parler de "fluron médical", car cette molécule est largement dépassée sur le plan de l'innovation depuis au moins 20 ans.
InsulineL’insuline est vendue sous la marque “Pas de sucre pour toi ®” et sert à traiter le diabète. Toutefois, ce médicament n'est pas commercialisé à l'international, car il ne respecte pas les normes sanitaires imposées par de nombreux pays occidentaux, à l'exception de Carnavale. La synthèse de l'insuline est réalisée à partir de bactéries par Bonsecours.
CortisoneLa cortisone est le produit phare des hôpitaux du Drovolski, vendue sous la marque “Debout ®”. Elle est utilisée pour compenser les insuffisances surrénales et stimuler l'activité des travailleurs. Disponible en liniment ou en forme injectable, Bonsecours a choisi de synthétiser ce médicament chimiquement, alors que la plupart des pays optent pour des extraits végétaux. Cela limite sa compétitivité, mais permet à Bonsecours de conserver une part de marché nationale.
DigoxineLa digoxine, bien que considérée comme une toxine, est vendue par Bonsecours comme médicament pour le traitement de l'insuffisance cardiaque chronique. Elle possède un effet remarquable sur les contractions cardiaques. Cependant, sa toxicité soulève des inquiétudes, et le médicament “C’est repartit ®” ne trouve pas beaucoup de clients en dehors du Drovolski.
HéparineL’héparine est un anticoagulant extrait de peaux et de tissus organiques. Sa production est coûteuse et soulève des questions éthiques dans de nombreux pays. Cependant, l’efficacité reconnue de ce médicament lui confère une place de choix dans les hôpitaux du monde entier, où il est vendu sous la marque “Au revoir les AVC ®”. Des molécules moins performantes tendent à la remplacer en Occident en raison des préoccupations éthiques entourant la collecte de tissus organiques.
ThyroxineLa thyroxine est utilisée pour accélérer le métabolisme en cas d'insuffisance thyroïdienne. Ce médicament est prescrit à une large partie de la population pour améliorer la productivité, malgré les effets néfastes connus à long terme. La molécule est commercialisée sous la marque “De bon matin ®”, un médicament très abordable et facile à produire, qui n’a pas vocation à être exporté.
ÉrythropoïétineL’érythropoïétine est l'un des fleurons de Bonsecours, qui la vend à l'international et détient le brevet. Ce médicament, nécessitant une expertise génétique, est synthétisé à partir de tissus organiques et subit plusieurs traitements génétiques. Elle constitue une solution idéale dans le combat contre l'anémie, une maladie touchant environ deux tiers de la population du Drovolski. Par précaution, tous les habitants du pays en consomment chaque matin, commercialisée sous la marque “Fer de lance ®”.
Pénicilline et dérivésLa pénicilline est une molécule impliquée dans la production d’antibiotiques. Elle est synthétisée partout dans le monde à partir de champignons, et les échanges commerciaux sont rares en dehors de l’Affarée. Ce médicament est vendu sous la marque “Au Revoir ®”, et il est produit en grande quantité, faisant partie des médicaments d'urgence du pays.
AspirineL’aspirine est un anti-inflammatoire disponible sans prescription pour toute personne manifestant une douleur. Elle est synthétisée à partir de plantes sous forme d’acide salicylique et conditionnée en pilules. Commercialisée sous le nom “Ferme là ®”, le Drovolski est un exportateur net, mais reste loin d’être proéminent sur le marché international.
MéphédroneLa méphédrone est un puissant analgésique, indiquée au Drovolski comme traitement contre la morosité. Elle agit rapidement sur le cerveau, libérant une grande quantité de sérotonine et de dopamine. Ce produit est distribué gratuitement aux mineurs pendant leurs heures de travail s'ils le souhaitent, sous la marque “Reste ici ®”. Actuellement, il n’est pas commercialisé à l’international.
SulfamideLes sulfamides sont un ensemble de molécules de synthèse destinées à combattre les bactéries et les agents pathogènes. Leur efficacité est relative, mais en grande quantité, elles permettent de résister à certaines infections bactériennes rapidement. Malgré une toxicité avérée, elles sont vendues sous la marque “Retour au travail assuré ®”.
Morphine et dérivésLa morphine et ses dérivés sont des produits antidouleur très addictifs. Extraite de la résine de pavot, elle permet de supporter des douleurs extrêmes. Les produits à base de morphine et de ses dérivés sont commercialisés sous de nombreuses marques, notamment “Demi-tour ®” et “Chochotte ®”.
AZLes solutions AZ représentent un ensemble de médicaments de thérapie génétique utilisant un vecteur variable. Existant en sept versions, elles permettent de modifier trois gènes d'importance : ACTN3, ARHGAP11B et LPL. Ensemble, ces gènes améliorent les performances physiques, intellectuelles et cardiaques à court terme. L'objectif du laboratoire est de produire le travailleur de demain, infatigable et efficace. Les médicaments AZ sont toujours en phase de test, mais il est possible de les commander ou de s'en procurer à Bonsecours.
Cyanamide hydrogèneLe cyanamide hydrogène est un produit délivré chaque matin aux Drovoliens. Il est produit par synthèse chimique et possède un rôle toxique grâce à sa fonction cyanure, qui se révèle en présence d’alcool. Cela rend la consommation de boissons alcoolisées très complexe et potentiellement impossible, entraînant des nausées et des évanouissements, ce qui correspond à l’objectif de l’empire dans sa lutte contre l’eudémonisme.
VaccinsLe Drovolski ne possède qu'une courte série de vaccins qui protègent contre de nombreuses maladies. Ils ne sont commercialisés que dans l'est, et un rappel est nécessaire tous les 10 ans. Les maladies traitées incluent les plus contagieuses ou mortelles, ainsi que celles qui sont obligatoires pour la population. Ils sont commercialisés sous la marque “Toi pas malade, toi travailler ®” et traitent globalement les maladies suivantes : Grippe, Rougeole, Tétanos, Coqueluche, Hépatite, Poliomyélite, Méningite, Rubéole, Typhoïde, Varicelle, Diphtérie, Papillomavirus et les Mumps.
AntivirauxLes médicaments antiviraux sont un domaine très actif de Bonsecours, avec trois molécules possibles et combinables, notamment le tipranavir, l'indinavir et la saquinavir. Les projets de R&D sont à l'arrêt depuis la découverte d'un médicament qui les surpasse tous les trois en Occident. On peut toujours les acheter, car ils sont bien plus abordables que les génériques occidentaux.
TechnetiumLe technétium 88m est produit par activation dans le réacteur à fort flux du LHV. Étant donné sa très courte durée de vie, le traitement et l'imagerie qui en découlent doivent être réalisés au Drovolski. Cela fait partie des couvertures de santé de la majorité des pays développés de l'Occident, une activité très rentable pour le Drovolski, qui peut compenser son retard dans les médicaments.
RadiothérapieLe Drovolski produit de nombreux isotopes très rayonnants, dont une bonne partie est conditionnée en sources radioactives qui sont ensuite vendues à des groupes médicaux pour des radiothérapies. Le Drovolski, par l'intermédiaire de Bonsecours, est l'un des grands fournisseurs de cette technologie, dont les techniques pour éliminer notamment les cancers sont maîtrisées depuis maintenant plus de 30 ans.
GKD - manufacturerMoteurs et TurbinesLe Drovolski produit uniquement des moteurs et des turbines de très grande taille pour son industrie nucléaire et navale. La plus petite turbine peut soutenir une puissance de 10 MW, tandis que la plus grande atteint jusqu'à 1900 MW avec une excellente longévité. Fabriquées en acier inoxydable, ces turbines fonctionnent exclusivement avec de la vapeur sèche à une fréquence variant de 50 à 70 Hz. Bien que les turbines GKD ne soient pas parmi les plus performantes — surpassées par les turbines rakenoises — elles offrent une solution bon marché et intégrée au système nucléaire du Drovolski. GKD propose également des moteurs à 32 pistons pour bateaux utilisant de l’ammoniac, qui, sous forme gazeuse et à haute pression, deviennent très explosifs. Ce marché est une exclusivité de GKD. En revanche, les petits moteurs représentent un échec pour l'entreprise, qui n’a pas réussi à en fabriquer avec une bonne efficacité, ne parvenant pas à concurrencer les moteurs rakenois.
TrolleybusLes trolleybus, excellents moyens de transport urbain, sont électriques, peu bruyants et peu polluants. C'est l'une des fiertés de GKD, qui les exporte dans de nombreuses nations communistes. Ils bénéficient d'une longévité exceptionnelle et peuvent transporter jusqu'à 64 personnes à une vitesse de 45 km/h sur un vaste réseau. Le châssis et une grande partie des équipements sont en alliage de zinc et de fer, et ils sont compatibles avec des tensions de 450V et 670V en courant continu, utilisant un système monocaténaire. La population les apprécie beaucoup, et ils font partie intégrante de Mesolvarde, remplaçant le métro à moindre coût.
VoituresLe Drovolski est le dernier producteur en volume de vente à l’international de voitures, mais il fait face à de nombreux déboires industriels. Il ne produit que des voiturettes électriques à batterie de plomb, avec une autonomie maximum de 56 km. Ces véhicules sont fabriqués en magnésium pour les alléger au maximum, mais leur vente a chuté depuis 1955. Malgré cela, le Drovolski prétend que ses voitures sont les mieux recyclables et réparables du monde, grâce à la simplicité de réparation des moteurs électriques et des batteries de plomb.
BateauxLa GKD produit des bateaux de transport de marchandises propulsés soit par énergie nucléaire, soit par ammoniac, deux technologies dont elle partage le savoir-faire avec le LHV, qui fabrique les FLO-600 servant de base à la propulsion. Les bateaux vendus par GKD ont une capacité de 18 000 EVP pour les transports de long courrier. Bien que les porte-conteneurs du Drovolski soient bien réputés pour le transport de minerais, ils souffrent d'une mauvaise réputation en ce qui concerne les denrées alimentaires, plusieurs contaminations ayant été identifiées en raison de la gestion des bateaux. La majorité des bateaux GKD peuvent également être connectés au réseau électrique, servant ainsi de centrales électriques d'appoint.
Gamme VACLa gamme VAC comprend des composants électroniques, des ordinateurs, des mainframes et des satellites proposés par GKD. Bien que ces produits ne soient ni performants ni particulièrement optimisés, ils sont développés de manière autonome au pays. Les mainframes sont de loin le produit le plus vendu, servant de bases de données pour l'État et de pilotage à distance des centrales nucléaires. Ils fonctionnent sous des systèmes micro-noyaux développés par le LHV. Les satellites VAC sont vendus avec le service d'envoi grâce au lanceur Cannivac, le seul lanceur disponible utilisant des NERVA et des combustibles nucléaires. La gamme VAC est compatible avec l'architecture 128 bits et peut adresser jusqu'à 92 Go de RAM pour un processeur à 8 cœurs alimenté par 2 piles. Cette gamme n'a pas d'équivalent international et reste complètement inexistante par rapport aux complexes industriels du Nazum.
DavidDavid est un ensemble d'automates miniers et chimiques permettant aux sociétés de limiter leur besoin en ressources humaines. Ces automates sont très robustes et faciles à programmer avec les produits VAC. Certains peuvent être équipés de batteries nucléaires à base de protactinium lorsque l'accès au réseau électrique est difficile. Les modèles les plus courants sont dotés de cinq bras et d'une tête d'analyse. Un semblant d'intelligence y est intégré uniquement si la liaison satellite est disponible, ressemblant davantage à une commande vocale qu'à une véritable interprétation. Les David ne sont plus commercialisés en dehors du Drovolski suite à un incident dans un hôpital ayant conduit à plusieurs décès.
TrainsLa GKD propose une gamme de trains conçus pour le transport de minerais et de personnel minier dans des zones dangereuses. Ces trains sont entièrement électriques, avec une puissance unitaire de 18 MW, fonctionnant à une tension continue de 1,8 kV, exclusivement alimentés par caténaire. Ils peuvent atteindre une vitesse maximale de 67 km/h à pleine charge en ligne droite, à condition que les voies le permettent. À ce jour, ces trains n’ont pas réussi à trouver preneurs en dehors du territoire national. La gamme comprend deux modèles de grande taille : le TR-6 et le TR-8, capables de transporter tous types de minerais, y compris les uranifères, qu'ils soient sous forme solide ou liquide.
LHV - NucléaireBeno-10Le Beno-10 est un produit d’exportation majeur pour le Drovolski. Il s'agit d'un réacteur de 10 MW modéré à l'eau, utilisant de l'uranium moyennement enrichi. Sa spécificité réside dans son temps de construction rapide et sa portabilité. En effet, un Beno-10 peut être fabriqué et livré en seulement six mois, et il peut être déplacé entre différents sites selon les besoins. Il est notamment utilisé en Afarée pour alimenter de nombreux sites industriels essentiels. Proposé par le LHV et la GKD, qui détient une licence, il est commercialisé à des prix avantageux. Le retraitement et la fourniture de combustible sont toujours inclus dans le prix de vente.
FLO-600Les FLO-600 sont des réacteurs au thorium moyennement enrichi, classés comme surgénérateurs performants de 600 MW, modérés au gaz et utilisant de l'eau comme caloporteur. Ils sont conçus pour servir de propulsion pour des porte-conteneurs ou pour devenir des centrales flottantes en bord de mer. Cependant, ce projet a été un échec commercial cuisant. Le LHV avait construit plusieurs unités simultanément, anticipant un succès commercial, mais aucun n’a été vendu. Actuellement, ils attendent des preneurs dans le port de Benodïle, où ils fournissent de l'énergie au petit port.
MesolLes réacteurs Mesol sont des installations de grande puissance, allant de 300 à 1900 MW, et sont également des surgénérateurs fonctionnant au gaz. Les réacteurs Mesol peuvent utiliser du MOX, de l'uranium enrichi ou naturel. Le gaz utilisé pour leur modération est de l'hélium, ce qui confère une grande longévité aux installations et offre des propriétés intéressantes grâce à une faible modération des neutrons, permettant des fissions rapides de l'uranium-238. Toutefois, en raison du coefficient de transfert thermique plus faible entre un gaz et un liquide, les échangeurs de chaleur des réacteurs Mesol sont d’une taille impressionnante, fabriqués en alliage de potassium et de magnésium, des métaux coûteux mais offrant de bonnes propriétés de transfert thermique. Les Mesol sont principalement exportés vers l'Occident et l'Eurysie centrale, où plusieurs unités sont actuellement en construction. En tant que réacteurs avancés au gaz, le LHV détient une position de domination sur ce marché.
TomaTo - AgricultureSolution IntégréeLa TomaTo propose une solution intégrée pour l'agriculture intensive de tomates. L’entreprise installe un réacteur Beno-10 ainsi qu’une usine d’extraction de pulpe, ce qui lui permet de produire des tomates, des soupes et des sauces tout au long de l’année. Sur le marché international, TomaTo occupe une position significative dans ce secteur, et dans certains cas, elle peut également utiliser votre pays comme proxy commercial.
Soupe et SauceTomaTo est le leader du marché de la sauce tomate, détenant 87 % de parts de marché. Ses recettes sont élaborées par des chimistes experts de la SCM, garantissant la production de soupes très appréciées par les consommateurs. L'entreprise propose une large gamme de produits riches en vitamines et minéraux, un argument commercial de choix qui séduit de nombreux clients.
Semences TransgéniquesTomaTo produit des semences de tomates transgéniques qu'elle vend à l'international, lui permettant ainsi de répondre rapidement à toute demande en cas de nécessité. Actuellement, le Nazum et l’Afarée sont les plus grands consommateurs de ces semences, grâce aux installations TomaTo qui y sont présentes.
NécromélangeLe Nécromélange est une barre nutritive qui respecte tous les standards sanitaires de Carnavale. Elle est produite à partir de matière organique valorisable. Le produit est certifié comme étant issu d'un élevage en plein air. On peut la trouver sous différents formats, principalement en remplacement de la viande lorsque cette dernière est trop chère. Très populaire au Drovolski, elle peine à trouver un public international malgré des retours très positifs de la part de la population qui la trouve d'un goût exquis.
BID - FinanceLa BID propose plusieurs services internationaux, notamment la cotation de valeurs boursières à la Bourse bénodienne, une place boursière internationale qui regroupe de nombreux industriels et sociétés du monde entier. Vous pouvez effectuer la cotation sans aucune hésitation, car ce service est entièrement gratuit.