Généralités :
Nom officiel : Union Transernikse
Nom courant : Union Transernikse
Gentilé : Transernik
Inspirations culturelles : Mongolie, Egypte, Polynésie, Japon
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : Kruk (Région Mongol), Winsu (Région niponne), Saidii ( Région Egyptienne), Homai (Région polynésienne).
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Latin, Italien, Francais, Portugais, Espagnol, Arabe
Drapeau :
Devise officielle : C'est par l'union que nous prosperont
Hymne officiel :
Capitale : Pensifao
Population : 10 000 000 habitants
Aperçu du pays :
Présentation du pays : Transernikse est un état fondé par les anciennes colonies Stérusiennes. Après la création de la Fédération de Stérus, les différents dirigeants ont multipliés au cours de l'histoire les expansions dans les régions Nazumis et Afaréenne ainsi que sur quelques autres îles. La fédération y a développé des infrastructures destinées à l'esclavage et à l'extraction de matières premières. Après plus de 2 siècles (1846) la colonie du nord du Nazum fut la première à se rebeller. Initialement, cette rébellion ne visait qu'à réclamer les droits équivalents pour les nobles indigènes et les Stérusiens. Cette rébellion fut d'abord matée par le sang. Le gouvernement Stérusien organisa la déportation de rebelles par centaine de milliers en direction des colonies afaréennes les ou les esclaves amérindiens étaient emmenés pour travailler. Contrairement à de nombreux autres pays, les esclaves de la Fédération étaient exclusivement amérindiens. Les Nazumis et Afaréens étaient d'un rang inférieur mais non considéré comme des objets. Seul les nobles afaréens possédaient des esclaves noirs. Les peuples nazumis ne possédaient eux aucune sorte d'esclaves. Une fois les rebelles arrivés en afarée, ceux-ci furent obligé de travailler dans d'immenses champs. Ils travaillaient aux côtés des esclaves noirs et amérindiens, mais avaient tout de même la chance de dormir dans des prisons et non de simple trous. Mais c'est justement ici qu'ils ont initié la plus grosse rébellion. Après plusieurs mois de travail, ils avaient réussi à rallier à leurs causes les esclaves de tout bord, et même les nobles Afaréen. Les nobles Afaréen étaient cependant réticents à l'idée de s'allier avec les nazumis. Certes l'occupant Stérusien était dérangeant et surtout très dangereux, mais s'allier à des esclaves noirs serait une abomination pour ces nobles. Alors les nazumis soufflèrent une idée à ces nobles trop prétentieux. Il fallait armer légèrement les esclaves, les envoyer en premier ligne, les laisser mourir et en cas de trop grand échec réfuter les accusations de participation à ce coup. C'est ainsi que durant la nationale Stérusienne. Le soir ou tous les soldats et notables Stérusiens s'étaient rassemblaient dans d'immenses tablés dans les rues comme à barba. Une horde d'esclaves noirs puis amérindiens fondèrent dans les rues armés de coûteux de cuisines et de fourche des champs. Aujourd'hui on estime à 15 000 le nombre de soldats qui étaient dans la cité de Caz en afarée. Face à eux 40 000 esclaves, ce fut un immense massacre. Les coûteux des esclaves ne pouvaient en aucun cas rivaliser face aux armes à feu Stérusiennes, même si le début de l'assaut fut une réussite grâce a l'effet de surprise la suite fut d'une cruauté sans nom. Ce sont 6 000 Stérusiens qui furent tués et prés de 27 000 esclaves. Dans les jours qui suivirent l'empereur condamna l'ensemble des esclaves de la cité à mort pour venger ce massacre. Les 13 000 esclaves restant furent fusillés ou pendu, les nobles qui clamaient pourtant leurs innocences furent pendu ou jeté en pâtures aux différents animaux des arènes. Sur environ 25 000 nobles, 14 000 ont subi cette sentence. Les simples citoyens de cette ville furent eux réduis à l'esclavage et déporté en direction de la cité voisine de Nilius.
Nilius était la cité principale des colonies afaréennes, 600 milles habitants prés de 400 000 esclaves noirs et 70 000 nobles. Avec les 400 000 citoyens à présent esclave de Caz la ville posséda à présent plus d'esclaves que d'habitants. Les nobles toujours en vie étaient pour la plupart des fugitifs condamnés à mort, la plupart se cachèrent jusqu'à la fin de leur vie dans des royaumes voisins. Les nazumis prisonniers eux, étonnement ne subissaient pas la colère impériale et pas un seul homme ne fut exécuté. Comme les autres, ils furent envoyés à Nilius comme des prisonniers. Mais à Nilius, tout le monde ignorait qui ils étaient. Alors petit à petit, ils recommencèrent à mobiliser les nobles locaux contre les troupes d'occupation. Ils étaient persuadés que si les esclaves de Caz avaient eu des armes, ils auraient pu mener à bien l'opération et libérer la totalité de la Cité. Mais ici, la situation était différente, c'était 100 000 Soldats Stérusiens qui étaient présents ici, soit l'ensemble des troupes coloniales, sans oublier les citoyens Stérusiens qui eux étaient prés de 50 000 et qui n'hésiteront pas à se battre pour détruire la rébellion. Mais c'est en apprenant qu'une ville Nazumis était parvenue à faire reculer l'envahisseur que la cité s'embrasa. Cette rumeur était pourtant fausse, mais il n'en fallait pas plus. Un soir, les nobles se réunissent et affranchissent leurs esclaves, en échanges, ceux-ci doivent attaquer les Stérusiens armés d'épée et de fusils. En quelques heures, les premiers coups de feux se font entendre dans la cité ?Du coté Stérusiens, on ne veut absolument par subir la même quantité de morts qu'à la Caz, le major décide de faire reculer l'ensemble de ses troupes vers le port, il demande d'embarquer dans les navires et de charger les canons, il demande également de faire reculer toute l'artillerie de la ville au niveau du port et d'incendier les bâtiments qui longent le port de sorte à obliger les rebelles a attaquer par l'avenue principale. Mais il fallait faire vite, les ordres n'allaient que peu rapidement d'un soldat à un autre et les rebelles commençaient à s'organiser. Au moment où il fait incendier les bâtiments seulement 35 000 soldats ont embarqués dans les bateaux ou rejoins le port, sur les 300 canons de la ville, 45 sont arrivés. Le bilan s'annonce catastrophique. Il fait aligner les soldats par rangées et ordonne de charger. Il fait placer les canons légèrement en hauteur et ordonne la mise en batterie. Après plusieurs minutes, ce sont finalement des soldats Stérusiens qui sortent de la fumé et se dirige en direction des soldats. Non blessés ils se mettent en position comme les autres et attendent les ordres. Le major reçoit des nouvelles du reste de la ville, les combats ont lieu partout, dans chaque rue, dans chaque maison, les noirs, les Amérindiens, les Berbères, les Nazumis tous se battent cote à cote contre les Stérusiens. Mais selon un général, les esclaves noirs largement majoritaire en profite également pour massacrer leurs anciens propriétaires Afaréen. Le feu se propage un peu partout dans la ville, le risque est maintenant de totalement faire disparaître la cité millénaire de Nilius. Le major ordonne de faire feu en direction des réserves de poudre et d'arme dans la tour des murailles. Au moment où les boulets atteignent la tour, c'est une explosion immense qui a lieu, l'édifice s'écroule en quelques secondes et parvient à littéralement faire trembler le sol. Cela fait maintenant 2 heures que les affrontements ont commencé et le port reste toujours totalement vierge de tout combats. À présent, c'est prés de 80 000 soldats qui se sont assemblés sur le port, la place commençait à manquer, certains soldats tombaient même à l'eau sans y être vraiment poussé. Le major se rend compte de son erreur, la zone est trop restreinte, ce sera un massacre. Il ordonne alors à plus de 20 000 soldats de rentrer à nouveau dans la ville et d'essayer de rejoindre la porte ouest et de s'emparer des 50 canons qui y sont stationnés. Ces 20 000 soldats une fois les ordres communiqués s'organisent et s'élancent dans la voie principale disparaissant dans la fumé petit à petit. Un général vient voir le major et lui demande de faire évacuer en priorité les femmes et les enfants Stérusiens qui sont encore en vie. Le Major regarde alors en direction de la mer et vois les centaines de bateaux militaire et marchand Stérusiens qui attendent des ordres. Il y a trop de mondes, trop d'ordre à donner, trop de distance pour que tout le monde les entendent.
Selon la légende, le major aurait à ce moment-là, regardé le général et dit "Nilius est perdu, nous sommes perdu" avant de se rendre dans sa tante et de s'y donner la mort. Le sous-major fut alors convoqué et du prendre le reste des décisions. Abasourdis par les événements, il demanda au général d'armée Serius Yurio de prendre les commandes. Sérius accepta et immédiatement demanda à des informateurs de se rendre à la porte ouest pour savoir si oui ou non, ils avaient réussi leur mission. Serius avait comme idée d'y envoyer encore prés de la moitié des soldats pour contraindre les rebelles à se diviser et pouvoir mieux "les tailler en pièces". Malheureusement, les nouvelles des informateurs n'étaient pas bonnes, sur les 5 seul un revins, il annonça que des combats étaient en cours à la porte ouest et que les canons étaient déjà entre les mains des rebelles. Alors Serius demanda au général de la 4e division d'infanterie de se rendre avec ses hommes à la porte ouest pour soutenir l'effort. Il comprit que le fait de se retrancher ici était en fait la pire des erreurs, car en voulant réduire les portes d'entrée des ennemis, il referma finalement les portes de sortie des alliés. Après cela, il fallut attendre 1 heure supplémentaire avant de voir de nouvelles actions. Le dernier informateur envoyé sortit de la fumé à peine 10 minutes plus tard, décapité sur son cheval. Sirisu avait compris, les insurgés étaient la tout prés. Ou du moins les combats s'étaient dangereusement rapproché. Alors il ordonna de nouveau de former les rangs et de mettre les canons en batterie. Debout sur les rehausseurs en bois ou les canons, étaient positionnés, il patienta. Après plusieurs minutes de silence une marée humaine sortie de la fumé. "NE TIREZ PAS", ils portaient tous des uniformes Stérusiens, surtout ne tirez pas ordonna Serius. Mais dans le bruit, un homme cria. "ILS SONT NOIRS, GÉNÉRAL, IL SONT NOIRS" avant qu'une avalanche de tire ne provienne des hommes face à eux. Les esclaves avaient enfilé les uniformes Stérusiens des cadavres pour s'assurer un passage plus ou moins facile. Ce fut le plus gros carnage de l'histoire de l'armée Stérusienne, après 1 heure supplémentaire de combat le port était inondé de sang, la mer était rouge et le bruit d'homme agonisant résonnait dans chaque centimètre carré de ce cimetière. 280 000 personnes furent tuées ce jure là, et prés de 500 000 furent tué dans les semaines et jours suivants. Car même si Stérus était vaincus, les esclaves se rebellèrent ensuite contre les nobles, les citoyens Stérusiens furent massacrés, les citoyens indigènes de Nilius cherchaient eux a massacrer en retour les esclaves noirs et amérindiens. Et les nazumis, c'était rassemblés en petite armée pour se protéger de tout ce monde.
Mais la principale source des problèmes de la fédération n'était pas vraiment ce massacre, mais l'idée qui en émana. Une fois que la nouvelle de la libération de Nilius atteint l'ensemble des colonies alors le combat était perdu. Les Stérusiens refusaient de voir une nouvelle fois des soldats concitoyens, mourir pour protéger des intérêts se trouvant a des milliers de kilomètres de la capitale. Alors l'empereur décida qu'il était temps de modifier la politique coloniale, il offrit la possibilité à chaque colonie de négocier leur indépendance. C'est ainsi que la colonie de Mongodia au Nazum devint indépendant, que la cité de Nilius et 4 autres cité afaréenne devinrent indépendante. Malheureusement les massacrent et les décennies de colonisation avait réduis à néant les caisses locales et les sources d'approvisionnement. Alors dans le but de se soutenir mutuellement la colonie Nazumis et la colonies afaréenne décidèrent de s'unir économiquement et militairement pour faire face aux multiples crises qui les attendaient. Cette union se nomma Transernikse en hommage au général Transernik qui fut le premier général à se rebeller au Nazum avant d'être envoyé chez les esclaves Afaréens. Il mourut dans la Bataille de Nilius tué par un esclave amérindien dans la pagaille. Quelques décennies plus tard les iles Shinobi et les iles Kuruko après avoir accédé à l'indépendance ont décidé de rejoindre également cette union.
Mentalité de la population : Les populations sont extrêmement variées. Au Nazum, ce sont majoritairement des peuples nomades qui vivent dans des Yourtes et qui sont de nature particulièrement accueillante et sympathique. En afarée les cités sont resté particulièrement attaché à leur aspect ville état. Ils ne sont pas xénophobes pour autant, mais particulièrement patriote. Au niveau des iles Shinobi, la population est particulièrement centrée sur l'éducation et le développement industriel. Les iles Kuruko sont, elles attachaient à la vie polynésienne et au maintien de leur mode de vie et cultures. L'héritage Stérusien les a habitués à se concentrer sur les coutumes ancestrales et non-moderne. Hormis pour les villes Shinobienne.
De 1850 à 1900 : L'union se met peu à peu en place. Initialement, un représentant devait être élu par ancienne colonie. Amenant ainsi le comité de l'union à représenter l'état via ses 4 chefs nommés. Le problème de cette méthode est que la plupart des habitants de l'union vivaient à ce moment-là en Afarée. Le représentant d'afarée milita donc pendant des décennies pour modifier le mode de représentation.
En 1878, c'est la première fois qu'il obtient ce qu'il demande. Après un vote le représentant des iles Shinobis se joint à lui menant à 2 voix contre 4. Dans ce cas, c'est aux citoyens de départager. Mais comme dis, précédemment, ce sont les Afaréens les plus nombreux, alors, ils votent majoritairement en faveur de la réforme. À compter de 1871, la représentation se fait par l'intermédiaire de grands représentants. Il y en a 10 pour l'afarée, 10 pour le nazum (en réunissant les deux anciennes colonies) et 1 pour l'île Kuruko.
1912 : les représentants décident pour la première fois de re-rencontrer des représentant de la Fédération de Stérus. Ceux-ci sont invités dans la cité de Nilius. C'est un des moments les plus tendus de l'histoire des deux pays. Alors que les Stérusiens débarquent une foule de Niliens, débarque en hurlant des mots grossiers à l'encontre des représentants. D'innombrables objets sont jetés, selon la rumeur, une chèvre aurait même atterri sur le ministre des affaires étrangères de Sterus. À la suite de cette rencontre, la fédération demande officiellement pardon pour les actes qu'elle à commis et espère pouvoir se racheter. Mais il n'en est rien, le dirigeant Stérusiens de l'époque est un descendant direct de l'empereur qui a ordonné ces massacres. La blessure étant encore ouverte, il est impossible de poursuivre la visite.
1920 à 1940 : grande période de rapprochement entre Stérus et la Transernikse. La fédération de Stérus a tué son empereur et est devenue démocratique. La Transerkinse à cette période en trés lourdes difficultés financières espères trouver en cette fédération un nouvel allié. Un allié qui ne serait plus leur ancien bourreau. Durant ces 20 ans, la Fédération de Stérus et Transernikse se rencontre à 13 reprises. Chaque fois de nouveaux accords sont signés et le peuple (nouvelle génération) ne montre pas sa désapprobation. La Transernikse évite ainsi de justesse une implosion en 1923. La crise provoque d'innombrables famines au sein des cités et des sentiments régionalistes se font de plus en plus ressentir. Mais grâce aux opportunités Stérusienns la crise s'estompe assez rapidement.
1940 à 1960 : la modernisation de la plupart des villes amène également à une modernisation des mœurs. C'est en afarée qu'éclate au sein de la cité musulmane de Téravan la première rébellion. Ils se rebellent contre l'imposition de l'islam radical. Cette révolution soutenue par les cités non-musulmanes provoque en l'espace d'un mois la mort de plus de 500 jeunes étudiants. Mais après les pressions extérieures et intérieures à l'union, la cité finie par se soumettre à la demande général et abolie sa politique d'un islam rigoriste. Les autres cités en profite également pour réclamer leur indépendance du comité de l'union. Ils demandent en fait à ce qu'à présent les régions ne soit plus représentés par de grands électeurs, mais pars un représentant de chaque cités. Les iles Shinobis réclament elles à ce que le nombre de représentants reviennent au nombre de micro nation ou de cités qu'il existe.
En 1938 : la demande est approuvée et le comité de l'union change encore une fois. Il y aura 7 représentants Afaréen pour les 7 cités. 3 représentants des Iles Shinobis pour les trois cités-états. 2 représentants pour chaque royaume des iles Kuruko et 1 représentant pour la cité Winsu dans l'est du nazum.
1970 à 1990 : La transernikse se modernise dans les iles shinobis. Celles-ci deviennent les zones avec les plus grosses sources de développement. L'Afarée perd peu à peu de son économie et commence à ralentir dangereusement. La population devient également majoritaire dans la ville de Yokyo dans les iles shinobis. La crise afaréenne provoque en 1982 unes des pires crise économique que le pays ait jamais connu. La crise économique entraîne une crise alimentaire et provoque une famine générale. La cité de Térévan est la plus touchée, car est la plus éloignée de l'eau et donc des marchandises. Au sein de la cité, des milices se mettent en place et n'hésitent pas à piller les réserves des grands riches de la cité. En quelques mois, les forces de police sont complétement dépassées. Les attaques sont quotidiennes et se font parfois à coup de Kalashnikov. Les miliciens mènent des campagnes de haine contre les riches de la cité et les rendent coupables de la famine. La principale Milice la El Andalus, est une milice auto revendiquée prophète de l'islam. Elle combat les non-musulmans et les musulmans modérés. Au départ représentée comme une forme de robin des bois qui vole au riche et donne au pauvre, elle bascule rapidement dans des formes d'autoritarisme religieux. Elle commet en 84 sont premier crime de masse en faisant exécuter dans une ruelle 45 hommes qui fréquentaient un bar homosexuel. Le gouvernement de la cité pour la plupart corrompu par cette organisation ne riposte que très légèrement et se laisse peu à peu sombrer dans cette organisation. Les autres cités dont celle de Saladir (aussi musulmane) impose des restrictions à la cité de Terevan pour limiter les chances de propagation de leurs idéologies. En 1991, la cité de Terevan redevient officiellement cité islamique. Depuis la milice à disparu, mais leurs anciens chefs sont aujourd'hui les chefs spirituels de la cité et ne lâchent pas le pouvoir.
Depuis 2000 l'union tentent par de multiples restrictions de faire valoir les droits des Térevan, mais la cité reste muette et se contente de voter les lois unionistes. Les interactions avec l'étrangers sont très rares de la part de l'ensemble des cités. La fédération est un des seuls partenaires. Aujourd'hui les Iles Shinobis sont les plus développé et les plus peuplés avec 6 millions d'habitants et une ville/état qui semble être futuriste. La zone la moin développée reste l'ile de Kuruko ou aucune réelle infrastructure majeur (hormis aéroport) n'existe.
Place de la religion dans l'État et la société :
Les nazumis sont majoritairement adepte de royances shamanique meme si la bouddhisme est majoritaire dans la seule grande ville du pays.
Les afaréens sont majoritairement athée,musulmans ou suivent d'anciennes pratiques.Sur les 4 cités seule une est considérée comme musulmane. Les autres sont adeptes de croyance antique, sont athées ou musulmans.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Il existe autant de parlement et de chef d'état qu'il existe de cité en Afarée et qu'il existe de peuple. Tous les chefs d'états se réunissent via un comité Hebdomadaire en ce qui concerne les décision au niveau de l'union.
Il existe autant de cité que de type d'élections ou de nomination des chefs d'états. Dans les 4 cités principales en d'Afarée, 1 seule est sous un régime républicain démocratique à élections universelles. Les 3 autres sont ou des monarchies ou des états dirigé pars des conseil élu par les riches.
Dans la colonies Ouest Nazumis c'est un régime parlementaire à élections au suffrage universelle direct. Bien évidement je ne peux détailler les méthodes de nomination de chaque chef de tributs nomade mais pour la plupart c'est obtenu de façon héréditaire.
En Nazum de l'est, c'est une élections d'un comité au suffrage universel direct à 1 tour.
Politique internationale : l'union ne vise pas particulièrement à s'internationaliser, en revanche elle cherche à diversifier ses sources d'approvisionnement car elle est aujourd'hui beaucoup trop dépendante des importations Stérusiennes. De même l'union n'est pas capable d'exporter ses produits dans d'autre état que la Fédération, sont principales projet dans les années à venir sera de diversifier son économie et ses partenaires.