Kintan
La cité-neuveProvince : Kintan
Code de la cité : KT
La plus jeune de toutes les cités du Territoire principal (sa fondation date de 1861, en même temps que l'unification du pays tout entier), elle n'en est pas moins la plus peuplée aujourd'hui avec ses plus de 2,6 millions d'habitants, devant Xamanac (2,3 millions) et Yulnhol (2,1 millions).
Son emplacement ne fut pas choisit au hasard, puisque la cité se trouve directement sur la traditionnelle "frontière" culturelle entre la moitié nord (les provinces de Xamanac et de Jeklum) et la moitié sud du pays (les provinces de Yulnhol, de Kahitz et désormais de Kintan). Il se trouve également sur la côte est akaltienne, permettant d'envoyer et de recevoir plus facilement des navires de commerce venant d'Eurysie ou d'Afarée.
Carte de la séparation traditionnelle nord-sudÉtant la capitale, elle abrite quelques ministères, et surtout le Palais de la Première ministre. Les ministères présents à Kintan sont ceux de l'Intérieur et des Provinces extérieures et des Affaires étrangères, ces deux portefeuilles ayant besoin d'être gérés de manière "neutre", et donc pas par une cité habituelle. Malheureusement pour la ville, le statut de fédération de l'Union des Cités la bride dans sa reconnaissance en tant que métropole de rang mondial : les sièges des grandes compagnies du pays ne sont que peu à s'y trouver, et les organisations internationales sont peu présentes (qu'il s'agisse de la Coopération Aleucienne des Nations ou même de l'Alliance pour la Sécurité Économique Aleucienne).
Comme dit précédemment, Kintan reste néanmoins, en plus de la cité la plus peuplée d'Akaltie, le premier port de commerce du pays, ayant dépassé de peu Tikalan sur la côte est. Le vieux port, dans un bassin relié à l'embouchure du fleuve, a il y a quelques décennies été complété d'un nouveau port, dans le nord de la ville.
Aux abords des quais de ce vieux port se trouve également un quartier zélandien, installé là pour favoriser le commerce avec cette nation eurysienne faisant partie des rares à avoir bonne presse auprès de la population du pays. Ceci a favorisé les relations entre les deux gouvernements et a fortement aidé lors de la fondation de la Nouvelle-Kintan, quelques années plus tard.