Remise en contexte :
L'Armée de la Démocratie Communiste de Translavya, née lors des premiers assaut Loduariens sur le régime faciste scientiste, existe actuellement aux crochets de la Nation Communiste de Loduarie. Si pour le moment, notre armée composée en grande majorité de révolutionnaires est considéré comme l'héritière de l'armée de l'ancien régime, cela ne veut pas dire que nous avons également hérité de son hypothétique expérience, ni de sa force. Notre marine est inexistante, notre armée de l'air l'est aussi, notre force terrestre est faible et inexpérimentée. Sur tous les défis imposés par le reconstruction, celui de retrouver une armée efficace capable de défendre notre pays et de mener des opérations offensives est l'un des plus grands.
Situation militaire actuelle de notre pays :
Notre Démocratie Communiste dispose actuellement de moyens non suffisants à sa défense. Notre personnel est pour le moment insuffisant, et bien que prochainement doublé, il le sera tout autant. Qui plus est, la plus grande majorité de notre personnel combattant est sous-entraîné par rapport aux critères de guerre qui peuvent nous menacer. Le plus important, à ce jour, est l'existence de la République Translavique du sud. Et c'est à vrai dire au bien le seul crédible que le seul pouvant représenter une menace pour notre pays. La volonté affiché par certains protecteurs de cette république bâtarde de représenter l'intégralité de l'ancienne Translavya pourrait signifier une volonté de destruction de notre système et une conquête du territoire que nous contrôlons actuellement. Qui plus est, la protection assurée par L'OND à cette république bâtarde représente la vraie menace, la république bâtarde n'étant qu'un pion de cet alliance capitalo-fasciste.
Notre système industriel militaire est également un frein. Très touché durant le conflit, il n'est pas sorti indemne de la guerre. Actuellement, toutes nos usines de production militaires fonctionnelles ont étés construites par des ingénieurs Loduariens, et les matériels que nous produisent sont tous sans exception des modèles Loduariens, modifiés certes, mais Loduariens tout de même. Il en est de même pour nos installations militaires, qui laissent à désirer.
En plus de cela, nous devons constituer avec les restrictions imposées par la Loduarie après sa victoire. En effet, la Loduarie nous a imposé des normes concernant nos armements militaires et le nombre de notre personnel combattant.
Les chiffres à ne pas dépasser, imposés par la Loduarie à ce jour sont ceux-ci :
- 50 000 soldats de classe professionnelle
- 100 000 soldats de classe réservistes
- 200 000 soldats de classe conscrits
- 200 pièces d'artillerie
- 500 pièces d'artillerie antiaérienne
- 600 véhicules blindés
- 1 500 véhicules logistique
- 100 hélicoptères
- 100 avions
- 25 navires de combat
- 10 navires logistiques
- 5 sous-marins
- 100 000 mines
- aucun missiles, autorisés seulement demande puis sur décision de la Loduarie.
Solutions à nos problèmes actuels :
Nous faisons aujourd'hui face à un problème de sous-armement, de manque d'expérience, de manque d'infrastructures et de manque d'indépendance. À ces problèmes, je ne vois que quelques solutions. Concernant le sous-armement, nous devons nous préparer à développer notre industrie pour pouvoir répondre à la demande de notre armée. Nous avons pu produire du matériel jusqu'à aujourd'hui, mais en faible quantité et uniquement sous perfusion Loduarienne. Pour le empêcher cela, il faudra pousser nos ingénieurs à développer nos propres matériels, qui nous permettront d'acquérir une indépendance militaire à l'égard de la Loduarie. De plus, nous devrions parlementer avec la Loduarie pour retirer notre interdiction de produire des missiles. Si il y une chose que notre ancien régime a réussi, ce sont ses missiles. Nous empêcher d'en produire serait une erreur, et nous devons parvenir à négocier avec les forces Loduariennes pour nous en doter. Je sais, grâce à des discussions avec des officiels Loduariens, que eux aussi sont très intéressés par nos technologies de missiles, il sera donc pas très compliqué de les convaincre de nous interdire de produire nos missiles.
Concernant la formation de notre personnel militaire, il sera nécessaire d'envoyer des officiers formateurs en Loduarie pour leur obtenir une formation qu'ils seront à même de donner à nos forces armées. Le nombre et l'intensité de nos entraînements en condition réelle de guerre devront être augmenté également, pour parvenir aux standards Loduariens.
Pour nos infrastructures militaires, je propose que nous puissions réquisitionner les bunkers de l'ancien régime. Ceux-ci ont étés laissés en nombre, et étant des bunkers, peu affectés par le conflit. Ils représentent à ce jour de vaste espaces inutilisés qui pourront accueillir hommes, munitions et matériels sans grand problème.
Pour faire face à la menace que constitue désormais L'OND à travers la République Translavique du sud, nous devrons préparer des plans de défense tout le long de la ligne de contact, pour garantir une défense efficace quand le jour fatidique sera arrivé.