INTERNATIONAL : La Karty quitte l'Union Economique EurysienneUn séisme politique en Eurysie : le Saint-Empire de Karty, puissance économique et industrielle régionale, a annoncé son départ de l'organisation multilatérale eurysienne, en conséquence de la crise ouverte après les dossiers d'un prélat orthodoxe démissionnaire et de la réticence de Volkingrad à communiquer des informations stratégiques, deux sujets de discorde entre la Karty et les institutions de l'UEE. Ce départ fracassant pourrait impacter profondément les équilibres géopolitiques en Eurysie et dans le monde.
Auteur : Major Ibrahim al-Masri, Département de la Surveillance des CommunicationsLes activités en ligne occupent une importante prépondérante dans la structuration de l'opinion. L'utilisation d'internet a permis de libérer les moyens de communication et de stimuler la croissance économique. Aujourd'hui, des secteurs aussi variés que la publicité, l'industrie musicale et audio-visuelle, la culture, la recherche scientifique, et d'autres considèrent internet comme le vecteur principal pour l'exercice de leur activité.Internet est une technologie qui apporte beaucoup de bénéfices, comme la connaissance, les possibilités d'interaction et de partage, la transparence, l'information et l'accès aux données. Ces bénéfices sont associés à des défis particuliers, notamment en terme de contrôle des contenus illégaux, des discours dangereux et de la diffusion de fausses nouvelles ou d'incitations à la violence.Les récentes actualités montrent l'apparition d'un véritable "cyber-conflit" entre l'Icamie et la Jashurie. Ces deux pays importants sont dotés l'un comme l'autre de grandes communautés de "weeb", personnes à forte implication numérique, qui portent le nom de "forums" ou "Chan". D'ordinaire anodins, il a été remarqué que les échanges de la sphère numérique d'Icama-chan, réseau social numérique principal d'Icamie, ont conduit à de violentes incriminations verbales et des attaques cyber sur Jashuria-chan, la sphère cybernétique jashurienne.De part et d'autres, ce conflit se traduit par la diffusion de contenus viraux et incontrôlables, de troll, et de propagande à des fins idéologiques et stratégiques. Cet événement a conduit, dans les pays cités, à une réaffirmation des règlements censés encadrer l'expression en ligne par les autorités. Le think-tank Cuckmachine souligne dans une note la nécessité d'améliorer les moyens des Etats pour empêcher la diffusion des contenus sensibles, sans quoi davantage d'espaces d'internet pourraient être déstabilisés par ces attaques. Le rapport pointe notamment l'émergence de fermes à troll, ou de bots, c'est-à-dire le recours par des internautes mal intentionnés à de faux profils automatiques en nombre exponentiel pour saturer les capacités d'analyse et de censure des logiciels étatiques.Les Etats tardent à réagir, sauf dans certains cas, notamment au Grand Kah où une brigade dédiée a été créée pour non seulement protéger la sphère cybernétique nationale, mais aussi pour se doter d'une "dissuasion-kun". Pouvoir disposer de trolls prêts à saturer les espaces numériques adverses semble la stratégie privilégiée par un nombre croissant d'acteurs.Cette note vise donc à informer et à suggérer au Bureau des Enquêtes et aux services d'intelligence azuréens de se doter de capacités similaires afin d'éviter, de réprimer et de contre-attaquer à des attaques malignes visant à semer la zizanie sur internet et dans la population. Le risque de voir la jeunesse pervertie par les moeurs dissolues d'Icama-chan est important ; celui de la voir frappées par une propagande méthodique faisant l'apologie du blasphème et de l'immoralité, de la part d'autres acteurs mal intentionnés, est encore plus grand.Nous recommandons donc la création d'usines à trolls sur le territoire de l'Azur pour doter le Califat de capacités de rétorsion en matière cybernétique.
Auteur : Major Ibrahim al-Masri, Département de la Surveillance des CommunicationsLes activités en ligne occupent une importante prépondérante dans la structuration de l'opinion. L'utilisation d'internet a permis de libérer les moyens de communication et de stimuler la croissance économique. Aujourd'hui, des secteurs aussi variés que la publicité, l'industrie musicale et audio-visuelle, la culture, la recherche scientifique, et d'autres considèrent internet comme le vecteur principal pour l'exercice de leur activité.Internet est une technologie qui apporte beaucoup de bénéfices, comme la connaissance, les possibilités d'interaction et de partage, la transparence, l'information et l'accès aux données. Ces bénéfices sont associés à des défis particuliers, notamment en terme de contrôle des contenus illégaux, des discours dangereux et de la diffusion de fausses nouvelles ou d'incitations à la violence.Les récentes actualités montrent l'apparition d'un véritable "cyber-conflit" entre l'Icamie et la Jashurie. Ces deux pays importants sont dotés l'un comme l'autre de grandes communautés de "weeb", personnes à forte implication numérique, qui portent le nom de "forums" ou "Chan". D'ordinaire anodins, il a été remarqué que les échanges de la sphère numérique d'Icama-chan, réseau social numérique principal d'Icamie, ont conduit à de violentes incriminations verbales et des attaques cyber sur Jashuria-chan, la sphère cybernétique jashurienne.De part et d'autres, ce conflit se traduit par la diffusion de contenus viraux et incontrôlables, de troll, et de propagande à des fins idéologiques et stratégiques. Cet événement a conduit, dans les pays cités, à une réaffirmation des règlements censés encadrer l'expression en ligne par les autorités. Le think-tank Cuckmachine souligne dans une note la nécessité d'améliorer les moyens des Etats pour empêcher la diffusion des contenus sensibles, sans quoi davantage d'espaces d'internet pourraient être déstabilisés par ces attaques. Le rapport pointe notamment l'émergence de fermes à troll, ou de bots, c'est-à-dire le recours par des internautes mal intentionnés à de faux profils automatiques en nombre exponentiel pour saturer les capacités d'analyse et de censure des logiciels étatiques.Les Etats tardent à réagir, sauf dans certains cas, notamment au Grand Kah où une brigade dédiée a été créée pour non seulement protéger la sphère cybernétique nationale, mais aussi pour se doter d'une "dissuasion-kun". Pouvoir disposer de trolls prêts à saturer les espaces numériques adverses semble la stratégie privilégiée par un nombre croissant d'acteurs.Cette note vise donc à informer et à suggérer au Bureau des Enquêtes et aux services d'intelligence azuréens de se doter de capacités similaires afin d'éviter, de réprimer et de contre-attaquer à des attaques malignes visant à semer la zizanie sur internet et dans la population. Le risque de voir la jeunesse pervertie par les moeurs dissolues d'Icama-chan est important ; celui de la voir frappées par une propagande méthodique faisant l'apologie du blasphème et de l'immoralité, de la part d'autres acteurs mal intentionnés, est encore plus grand.Nous recommandons donc la création d'usines à trolls sur le territoire de l'Azur pour doter le Califat de capacités de rétorsion en matière cybernétique.Michael Narbier, haut fonctionnaire eurysien, procureur de la Cour de Justice Eurysienne, est l'un des acteurs ayant précipité la crise entre l'UEE et la Karty.Le divorce"
L'UEE nous impose un traité", déclarait Aleksander Jükov, MoD de la Karty, dans un
entretien de presse. "
L'UEE souhaite contrôler notre Etat et lui supprimer peu à peu son indépendance". Les désaccords entre la Karty et les instances de l'Union étaient parvenus la semaine dernière à leur paroxysme. A cela, deux raisons : la première, tenant au
respect de la Charte de l'Union sur le respect de l'indépendance des Cultes, était invoquée par l'UEE pour traîner l'Etat Kartien devant la Cour de Justice Eurysienne, après le soupçon de démission forcée d'un prélat catholique sur ordre du Tsar - motif réfuté par Volkingrad, à la fois sur le fond et la forme, les autorités kartyennes invoquant l'indépendance du prêtre et leur bon droit à légiférer au sein de leurs frontires. La deuxième, plus pernicieuse mais plus grave encore, est constituée par un ultimatum adressé par l'UEE au Saint-Empire, le contraignant à partager avec les instances de l'organisation un certain nombre d'informations stratégiques. Simple fonctionnement du mécanisme de défense de l'Union, ou abus de pouvoir de la part des hauts fonctionnaires eurysiens ? Le parlement de Karty a tranché : à une très large majorité,
il a voté l'activation de l'article correspondant à la cession immédiate du pays aux activités de l'UEE.
Auteur : Major Ibrahim al-Masri, Département de la Surveillance des CommunicationsLes activités en ligne occupent une importante prépondérante dans la structuration de l'opinion. L'utilisation d'internet a permis de libérer les moyens de communication et de stimuler la croissance économique. Aujourd'hui, des secteurs aussi variés que la publicité, l'industrie musicale et audio-visuelle, la culture, la recherche scientifique, et d'autres considèrent internet comme le vecteur principal pour l'exercice de leur activité.Internet est une technologie qui apporte beaucoup de bénéfices, comme la connaissance, les possibilités d'interaction et de partage, la transparence, l'information et l'accès aux données. Ces bénéfices sont associés à des défis particuliers, notamment en terme de contrôle des contenus illégaux, des discours dangereux et de la diffusion de fausses nouvelles ou d'incitations à la violence.Les récentes actualités montrent l'apparition d'un véritable "cyber-conflit" entre l'Icamie et la Jashurie. Ces deux pays importants sont dotés l'un comme l'autre de grandes communautés de "weeb", personnes à forte implication numérique, qui portent le nom de "forums" ou "Chan". D'ordinaire anodins, il a été remarqué que les échanges de la sphère numérique d'Icama-chan, réseau social numérique principal d'Icamie, ont conduit à de violentes incriminations verbales et des attaques cyber sur Jashuria-chan, la sphère cybernétique jashurienne.De part et d'autres, ce conflit se traduit par la diffusion de contenus viraux et incontrôlables, de troll, et de propagande à des fins idéologiques et stratégiques. Cet événement a conduit, dans les pays cités, à une réaffirmation des règlements censés encadrer l'expression en ligne par les autorités. Le think-tank Cuckmachine souligne dans une note la nécessité d'améliorer les moyens des Etats pour empêcher la diffusion des contenus sensibles, sans quoi davantage d'espaces d'internet pourraient être déstabilisés par ces attaques. Le rapport pointe notamment l'émergence de fermes à troll, ou de bots, c'est-à-dire le recours par des internautes mal intentionnés à de faux profils automatiques en nombre exponentiel pour saturer les capacités d'analyse et de censure des logiciels étatiques.Les Etats tardent à réagir, sauf dans certains cas, notamment au Grand Kah où une brigade dédiée a été créée pour non seulement protéger la sphère cybernétique nationale, mais aussi pour se doter d'une "dissuasion-kun". Pouvoir disposer de trolls prêts à saturer les espaces numériques adverses semble la stratégie privilégiée par un nombre croissant d'acteurs.Cette note vise donc à informer et à suggérer au Bureau des Enquêtes et aux services d'intelligence azuréens de se doter de capacités similaires afin d'éviter, de réprimer et de contre-attaquer à des attaques malignes visant à semer la zizanie sur internet et dans la population. Le risque de voir la jeunesse pervertie par les moeurs dissolues d'Icama-chan est important ; celui de la voir frappées par une propagande méthodique faisant l'apologie du blasphème et de l'immoralité, de la part d'autres acteurs mal intentionnés, est encore plus grand.Nous recommandons donc la création d'usines à trolls sur le territoire de l'Azur pour doter le Califat de capacités de rétorsion en matière cybernétique.
Auteur : Major Ibrahim al-Masri, Département de la Surveillance des CommunicationsLes activités en ligne occupent une importante prépondérante dans la structuration de l'opinion. L'utilisation d'internet a permis de libérer les moyens de communication et de stimuler la croissance économique. Aujourd'hui, des secteurs aussi variés que la publicité, l'industrie musicale et audio-visuelle, la culture, la recherche scientifique, et d'autres considèrent internet comme le vecteur principal pour l'exercice de leur activité.Internet est une technologie qui apporte beaucoup de bénéfices, comme la connaissance, les possibilités d'interaction et de partage, la transparence, l'information et l'accès aux données. Ces bénéfices sont associés à des défis particuliers, notamment en terme de contrôle des contenus illégaux, des discours dangereux et de la diffusion de fausses nouvelles ou d'incitations à la violence.Les récentes actualités montrent l'apparition d'un véritable "cyber-conflit" entre l'Icamie et la Jashurie. Ces deux pays importants sont dotés l'un comme l'autre de grandes communautés de "weeb", personnes à forte implication numérique, qui portent le nom de "forums" ou "Chan". D'ordinaire anodins, il a été remarqué que les échanges de la sphère numérique d'Icama-chan, réseau social numérique principal d'Icamie, ont conduit à de violentes incriminations verbales et des attaques cyber sur Jashuria-chan, la sphère cybernétique jashurienne.De part et d'autres, ce conflit se traduit par la diffusion de contenus viraux et incontrôlables, de troll, et de propagande à des fins idéologiques et stratégiques. Cet événement a conduit, dans les pays cités, à une réaffirmation des règlements censés encadrer l'expression en ligne par les autorités. Le think-tank Cuckmachine souligne dans une note la nécessité d'améliorer les moyens des Etats pour empêcher la diffusion des contenus sensibles, sans quoi davantage d'espaces d'internet pourraient être déstabilisés par ces attaques. Le rapport pointe notamment l'émergence de fermes à troll, ou de bots, c'est-à-dire le recours par des internautes mal intentionnés à de faux profils automatiques en nombre exponentiel pour saturer les capacités d'analyse et de censure des logiciels étatiques.Les Etats tardent à réagir, sauf dans certains cas, notamment au Grand Kah où une brigade dédiée a été créée pour non seulement protéger la sphère cybernétique nationale, mais aussi pour se doter d'une "dissuasion-kun". Pouvoir disposer de trolls prêts à saturer les espaces numériques adverses semble la stratégie privilégiée par un nombre croissant d'acteurs.Cette note vise donc à informer et à suggérer au Bureau des Enquêtes et aux services d'intelligence azuréens de se doter de capacités similaires afin d'éviter, de réprimer et de contre-attaquer à des attaques malignes visant à semer la zizanie sur internet et dans la population. Le risque de voir la jeunesse pervertie par les moeurs dissolues d'Icama-chan est important ; celui de la voir frappées par une propagande méthodique faisant l'apologie du blasphème et de l'immoralité, de la part d'autres acteurs mal intentionnés, est encore plus grand.Nous recommandons donc la création d'usines à trolls sur le territoire de l'Azur pour doter le Califat de capacités de rétorsion en matière cybernétique.L'UEE, une organisation en déclin"
L'Union Economique Eurysienne est arrivée à un stade terminal", écrit un analyste sur son blog. "
Nous assistons à sa lente agonie. Pour le bien des peuples, il faut l'accélérer !"
Violences en marge d'une manifestation anti-UEE à Kölisburg, en septembre 2014.La séparation entre le Saint-Empire de Karty et l'Union Eurysienne semble être la fracture apparente d'un abîme qui se creuse au sein de l'organisation. "
L'UEE est en pleine déliquescence", explique Tansu Vekireyide, spécialiste de l'Eurysie à l'Université des Relations Internationales d'Agatharchidès, et nouvellement ambassadrice d'Azur à Volingrad. "
Les pays membres ne comprennent plus cette organisation qui mélange principes démocratiques et concentration des pouvoirs souverains. L'Union est tiraillée de désaccords internes, immobilisée dans une inaction qui pousse ses instances à la faute. Elle mourra de ses contradiction", assure-t-elle.
De fait, les chancelleries eurysiennes semblent perplexes face à cette organisation en perte de vitesse, dont les membres font apparaître chaque jour davantage leurs divergences.
L'instabilité politique en Tcharnovie et la récente
opération militaire lancée par elle ont jeté un pavé dans la mare des désaccords diplomatiques entre Etats membres : d'Etat fondateur, la Tcharnovie passe aujourd'hui pour "
un régime imprévisible à la stratégie peu lisible". Euphémisme : l'opposition politique à l'UEE l'accuse de dégénérer vers le fascisme, comme l'indiquent
des fuites dans la presse de conversations de hauts responsables kartvèles, laissant comprendre que la Kartvélie est de moins en moins encline à suivre les orientations erratiques de l'organisation, qui font peser sur elle et sa population une incertitude grandissante.
Après
le départ de la Confédération de Kölisburg, celui de la Karty rajoute une nouvelle couche au démantèlement en cours de l'organisation. "
Le modèle eurysien est en panne sèche", concède un représentant tcharnove, pourtant attaché à l'UEE, en laquelle il voit "
une arène unique pour la coopération en Eurysie". "
Sans l'UEE, ce serait la guerre", martèle-t-il à qui veut l'entendre - un argument éculé, que de moins en moins de monde considère sérieusement. "
La conjoncture économique est défavorable aux idéaux de justice et d'union portés par l'UEE, et les nationalismes surfent sur ce ressentiment". Son interprétation ne manque pas de justesse : le déclin de l'UEE survient au moment même où apparaissent de nouvelles puissances internationales, vers lesquelles les Etats désormais indépendants, comme la Karty, sont susceptibles de se tourner. Une reconfiguration générale des alliances est-elle à prévoir ? L'avenir nous le dira.