21/02/2015
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NASCAC

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Le NASCAC est un indice boursier regroupant les principales entreprises privées, et publiques partiellement ouvertes à l'actionnariat. Ici se trouvera donc la présentation détaillée des principales entreprises publiques et privées et des articles financiers divers traitant des variation de valeur des positions du NASCAC.

Entreprises publiques et semi privées contrôlée par l'Etat
- PétroVal (production pétrolière)
- Elexis (production et distribution d'énergie)
- Valrail (chemin de fer)
- Transval (Transport public général)
- Aexis (Production d'arme terrestre)
- Lexys (production de navires et équipements mer)
- Orion Aerospace (production aérienne militaire et civile)
- Fédération des ports nationaux (gestion des principaux ports du pays)

Entreprises privées et semi privées contrôlée par les actionnaires majoritaires
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[A finir, ne pas oublier d'ajouter les cartes jolies et détailler à la place de la merde de la map, surtout pour le pétrole et inclure les icones en respectant bien les proportions décrites dans la description. Ne pas oublier une carte topo pour pouvoir faire les cartes de transport par la suite]
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Pétroval: fleuron de l'économie nationale
contenu
Histoire

La société publique d'exploitation pétrolière est fondée en 1865 par une ordonnance royale, elle va connaitre deux phases distinctes dans son développement, une première phase de croissance limitée s'illustrant par l'exploitation de gisements terrestres, et une seconde phase d'explosion lors de l'exploitation des nombreux gisements marins proches des cotes nationales

De 1865 à 1890, l'exploitation du pétrole va être principalement dédiée à l'éclairage public, nouvellement modernisé au pétrole dans la capitale et les principales villes du pays, l'éclairage au pétrole, ou la part d'éclairage au pétrole, c'est un petit peu comme baisser son pantalon devant les autres mairies ou villes sous administrations étatiques, les regarder de haut, et dire "C'est moi qui ai la plus grosse structure d'éclairage au pétrole, toi à coté de ma virilité lumineuse tu en as vraiment une petite". Cette première expansion pétrolière, voyant les sites terrestres de production et les sites de stockages toujours utilisés (et modernisés et largement agrandis depuis naturellement) émerger dans tout le pays permet le réel développement du socle des infrastructures pétrolières contemporaines. Cependant, en 1890, avec l'arrivée des premières ampoules électriques importées puis produites localement pour l'éclairage publique de la capitale, puis des grandes villes, le pétrole comme source de lumière va décliner.

Le secteur (qu'on peut considérer indistinct de l'entreprise monopolistique) va se renouveler en ouvrant sa première raffinerie, qui va d'abord produire de la huile de graissage pour les machines des usines limitant les besoins d'importations en huile végétale d'Afarée ou d'outre océan et offrant une réelle autosuffisance de l'industrie en matière de lubrifiant industriel, quelques années plus tard, sa survie étant garantie par la nouvelle utilisation du pétrole (qui permettra pendant toute la première moitié du XXème siècle de tenir les industriels par les couilles sous peine de ne plus disposer de lubrifiant industriel peu cher).

Petroval va encore se développer avec l'ouverture d'une extension de sa raffinerie proposant une production de fioul lourd, principalement dédié aux derniers modèles de navire. Cette extension va marquer un véritable tournant pour l'entreprise qui pour la première fois va produire un produit essentiel au transport des ressources et des hommes, donc vital pour le fonctionnement d'un Etat.

Dès 1918, La société va développer massivement ses sommaires capacités en production de carburant automobile, lui offrant sa finale explosion de croissance et lui donnant la forme que nous lui connaissons aujourd'hui en 1950 avec la construction d'une extension pétrochimique des raffineries dédiée à la fabrication de pneumatiques, afin de doter le pays d'une capacité stratégique de production de cet élément essentiel et souvent oublié de la souveraineté commerciale et économique.

Aujourd'hui le transport entre les différentes installations se fait par voie ferrée et oléoduc pour l'essentiel. A cette logistique s'ajoute une flotte de camions citernes et divers dédiés à un fonctionnement stratégique en cas de dégradation des infrastructures fixes. Cette flotte permet un fonctionnement de la production à 7.5% de la production maximale dans le cas ou l'ensemble des infrastructures ferroviaires et des oléoducs se trouveraient complètement inutilisables.

Le stockage de carburant et de pétrole brut permet un fonctionnement normal de l'économie sans aucune production pendant 4 mois, un fonctionnement de 2 ans est possible avec un rationnement maximisé, et naturellement, un fonctionnement à long terme des forces armées. outre les grands dépots de nombreux petits dépots affiliés sont disséminés sur le territoire, et comprennent aujourd'hui près de 50%. Cette dimension décentralisée relativement récente permet une meilleure résilience du dispositif stratégique d'autonomie pétrolière

organisation de la direction et de la force de travail

- Président Directeur Général
- Conseil d'administration de 11 hauts fonctionnaires ayant travaillé généralement en tant qu'ingénieur ou cadre de l'entreprise. Deux anciens ouvriers pétrochimiques, deux anciens ouvriers travaillant dans l'extraction et deux anciens ouvriers travaillant dans la sécurité des installations sont présent sans droit de vote au conseil d'administration, représentant l'ensemble des travailleurs.
- Gestionnaires locaux: chaque gestionnaire administre un site d'infrastructure avec une relative autonomie, il est assisté d'un responsable sécuritaire systématiquement issu des forces armées ou du renseignement, un responsable médical ainsi qu'un ingénieur en chef chargé de l'entretien et du maintien de l'intégrité des infrastructures.

- Séparation des effectifs en plusieurs groupes: Groupe sécuritaire issu de l'armée, des forces de l'ordre, de la sécurité privée et des services de renseignement, Groupe ouvrier regroupant l'ensemble des ouvriers qualifiés travaillant sur les installations, Groupe logistique gérant le transport des ressources, travaillant avec le sécuritaire sur la sécurisation du transport pétrolier, Groupe Scientifique, gérant le maintien des infrastructures et le contrôle de qualité de la production. Un sous groupe médical existe au sein du Groupe Scientifique, ayant la naturelle fonction de soigner et contrôler l'état de santé de la force de travail.

Organisation des Infrastructures

 Illustration des infrastructures nationales concernant l'exploitation le traitement et le stockage du pétrole
[i]Illustration des infrastructures nationales concernant l'exploitation le traitement et le stockage du pétrole/i]
(ajouter plus tard les voies ferrées et le réseau d'oléoduc)

- Site de stockage Nord
- Site de stockage Centre
- Site de stockage Est
- Site de stockage Sud

- Site de production Terre
- Site de production Mer Nord
- Site de production Mer Sud

- Site de traitement Nord
- Site de traitement Est
- Site de traitement Ouest
- Site de traitement Sud


Dispositions sécuritaires spécifiques

à faire
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Elexis, la condition sine qua non à une industrie puissante et compétitive


Histoire et généralités

Fondée en 1905 pour centraliser le réseau électrique et mieux organiser la production des centrales électriques, d'abord au fioul, produit par la société Petroval, et au charbon puisé dans les riches et réputés inépuisables gisements des montagnes centrales, la société Elexis, d'abord Société Nationale de l'Energie (SNE) va se développer pendant les 40 premières années de son existence sous perfusion de l'Etat dans le cadre de la construction des infrastructures énergétiques permettant la généralisation, d'abord en 1911 dans les grandes villes, puis en 1929 dans l'ensemble des villes et villages du pays.

Cette période va poser le socle d'infrastructure encore utilisée aujourd'hui pour l'essentiel de ses éléments. Tout va changer dans les années 40 avec l'électrisation progressive et de plus en plus massive de l'industrie qui va provoquer un réel boom des constructions de centrales électriques. A cette période, la taxe énergétique généralisée mise en place jusqu'à présent est remplacée par les formules individuelles que nous connaissons aujourd'hui, offrant un financement propre à la société sans intermédiaire direct de l'Etat pour la première fois en 1948.

Cependant la qualité de l'air se dégrade, particulièrement dans les villes, amenant une certaine impopularité aux gouvernements successifs d'alors, c'est donc en 1956 que va être décidé un programme nucléaire civil qui offrira à la nation son âge d'or économique dans les années 80 et 90. Terminé en 1970, les deux réacteurs expérimentaux sont lancés et plusieurs centrales fossiles, les plus vieilles et les plus dangereuses, sont arrêtées. 4 ans plus tard, deux centrales de quatre réacteurs expérimentaux dont le gouvernement avait fait le paris de la réussite du projet et lancé dans un élan très critiqué et impopulaire la construction de ses huit réacteurs alors que les deux premiers n'avaient mêmes pas été encore terminés et raccordés au réseau électrique national.

Des leur mise en place, trois autres centrales similaires sont construites portant à 22 le nombre de réacteurs, 2 du modèle expérimental initial, 8 du modèle expérimental dérivé, et donc ces 10 réacteurs d'une nouvelle générations. Leur construction se termina en 1988 réduisant encore un peu plus le cout de l'énergie et décarbonant presque intégralement l'énergie Valmontaise.

Sur la même période, de nombreux barrages seront construits afin de diversifier le mix énergétique offrant aujourd'hui une production énergétique diversifiée, avec une domination du nucléaire. Des centrales fossile fonctionnant avec un dérivé du pétrole sont toujours en activité, ayant pour principal objet de corriger la production énergétique en cas de disfonctionnement d'autres éléments du réseau, elles font office de véritable variable d'ajustement.

Dans les années 2000 malgré la crise l'entreprise étend son domaine d'activité à la fabrication des batteries destinées aux forces armées, et le matériel destiné à la construction des infrastructures jusque là confié au privé, amenant une période 2000 2005 ou les différentes infrastructures vont être véritablement standardisés à l'échelle nationale.

Depuis le début de la Présidence de Charle de Valmont en 2006, Deux centrales de quatre réacteurs de quatrième génération sont commandées par l'Etat à l'Entreprise publique (selon la classification valmontaise, c'est littéralement juste la quatrième version du modèle de réacteur, ne pas y voir de futurisme ou d'abus de liberté de ma part). Les deux centrales devraient être achevées en 2018, et destinées à remplacer les deux réacteurs expérimentaux originels qui vont être démantelés, ainsi que les huit réacteurs expérimentaux dérivés qui, s'ils sont parfaitement fonctionnel n'ont pas une durée de vie exceptionnelle par rapport a des réacteurs plus travaillés et développés plus longtemps avec des scientifiques mieux formés sur la question, disposant d'une véritable expérience comme ceux qui ont pu développer les deux derniers modèles de réacteurs.

Ce plan permet aussi d'assurer la prévision de croissance démographique et industrielle du Plan, garantissant l'énergie peu chère en quantité suffisante. La société est aujourd'hui véritable source de fierté pour la population et ses agents bénéficient d'un certain prestige social, comme l'ensembles des travailleurs des prestigieuses entreprises et industries du pays ou il fait bien socialement vis à vis des autres de travailler.

A l'heure actuelle l'entreprise est bénéficiaire nette et utilise ses bénéfices pour entretenir les centrales, l'état touche des dividendes à hauteur d'un remboursement progressif des subventions accordées, et l'essentiel des fonds et réinvesti dans la modernisation des infrastructures, aujourd'hui particulièrement du réseau de distribution dans son câblage de haute intensité et ses transformateurs, ainsi que les réseaux de distributions ruraux souvent vétustes, remplaçant les traditionnels pilones en bois par des pilones en béton armé, en métal, ou lorsqu'il est possible de le faire, simplement une absence de pilone par l'enterrement des cables dans des gaines en acier inoxydables, généralement placées aux cotés du réseau gazier et d'eau courante. Pour expliquer ce dernier point, afin de faciliter la maintenance, les câbles enterrés sont régulièrement sondé par un intermédiaire électronique permettant de voir sur quelle section de 100 mètres le cable est dégradé. Ce dispositif n'est de mise que pour les grandes villes qui voient simplement leurs infrastructures électriques souterraines ou à même les façades rénovés, et pour les zones soumises à de régulières intempéries de nature à pouvoir endommager des infrastructures suspendues.

Aujourd'hui l'entreprise emploi en équivalent temps plein un total de plus 60 000 valmontais, autant pour la sécurité que la maintenance en passant par la construction et la logistique. Premier employeur public du pays après l'Etat en lui même, l'entreprise est l'aboutissement, le symbole de la réussite de la planification industrielle et énergétique des gouvernements successifs, à l'exception de ceux de la fin des années 90 au début des années 2000. L'entreprise n'est aujourd'hui toujours pas ouverte à la capitalisation privé et ne le sera probablement jamais au vu de l'attachement populaire à l'entreprise. En contrepartie l'entreprise émet sous contrôle direct de l'état des obligations étatiques permettant aux bourgeois de malgré tout s'enrichir, à 2% par an pendant 75 ans avant expiration de l'obligation qui est considérée alors comme nulle. Ce dispositif va être en réalité de facto un système de prêt privé et échantillonaire que l'on retrouve aujourd'hui dans bon nombres d'entreprises semi privées du pays

organisation de la direction et de la force de travail

- Président Directeur Général
- Conseil d'Administration: 11 hauts fonctionnaires anciens ingénieurs et cadres de l'entreprise. à titre consultatif d'autres sont présents, (dans les faits étant missionné comme les autres par l'état ils disposent comme à petroval d'un véritable pouvoir de surveillance et rapportent à l'exécutif et au parlement les détails de la politique de l'entreprise, afin de la corriger, ou de remplacer ses dirigeants si jamais elle venait à merder durablement).
- Ingénieurs nucléaires actifs désignés pour siéger au conseil
- Militaires et membre des services de renseignements placé par les forces armées pour assurer le respect des normes de sécurité
- Des ouvriers tirés au sort pour la représentation du personnel
- Divers experts logistiques, scientifiques et médicaux conseillant le conseil d'administration dans la politique
à adopter dans leurs domaines spécifiques

organisation des infrastructures

différents types d'infrastructures

véhicules et matériel
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Valrail

histoire

Cette fois ci contrairement aux deux sociétés déjà pré décrites dans cette magnifique encyclopédie nationale du capital et l'industrie, l'initiative n'est pas à l'état. En 1875, lors du boom ferroviaire national ou de grands industriels soutenus personnellement par le roi vont se partager la propriété de tronçons qui ne sont souvent pas liés entre eux et servent surtout les intérêts privés de chacune des entreprises.

Avec la IIIème Révolution et l'instauration de la République, tout change, les chemins de fer sont nationalisés, et est fondée la société du train (SDT) qui sera renommée plus tard Valrail, plus moderne, concis et marketing pour une exportation internationale. L'entreprise ainsi fondée à la suite de la nationalisation généralisée va voir 25% de ses parts rendues et réparties entre les anciens propriétaires spoliés en 1908. Cette restitution se fait en contrepartie du financement du lien entre les tronçons de rail, et donc l'unification d'un chemin littoral faisant le tour de l'ile.

Les grandes familles nobles et bourgeoises auxquelles appartenaient ses industriels sont toujours propriétaires de ses actions et s'investissent souvent activement dans le développement et la gestion de l'entreprise, par tradition familiale. La population n'y est pas hostile dans la mesure ou leur revenu (dividende ) est strictement plafonné par l'Etat, évitant tout abus et toute dégradation de la qualité des services de transports. L'essentiel des profits personnels sont fait par le bénéfice du transport peu cher sur leurs autres affaires, ces familles étant toujours parmi les principales sources de grands entrepreneurs et innovateurs encore aujourd'hui.

En 1916 tous les tronçons sont ainsi unifiés et l'entreprise va se consacrer au développement subventionné du réseau ferré à l'échelle nationale, pour desservir un grand nombre de villes et de villages, et transporter plus efficacement les marchandises. Les ingénieurs ont ici prévu l'espace pour chaque voie ou double voie l'espace pour les dédoubler en cas d'intensification du Traffic.

En 1932 la société prend pour nouvel objectif de relier les principales infrastructures portuaires au réseau circulaire, permettant par ailleurs à cette date de traverser les montagnes centrales par certaines vallée en plusieurs endroits, afin de raccourcir les trajets de parts et d'autres de l'ile. Ce lien va permettre un rapide développement économique par un commerce national et international stimulé malgré l'isolationnisme ambiant. Ainsi à cette date est complété un réseau d'infrastructure logistique ferré et naval intègre et complet.

En 1956 utilisant ses réserves et comptant sur un élan de soutien gouvernemental au développement des entreprises publiques, la société va développer le "petit chemin". Cette voie fait le tour de la chaine de montagne, allégeant le Traffic ferroviaire sur le "chemin littoral". A cette période la société va assurer l'électrisation du quasi des voies à l'échelle nationale. La majorité des locomotives fonctionnent avec un moteur bimode fuel - électricité permettant une circulation entre les voies modernisées et les voies non électrifiées.

En 1985 nait le programme TRV (Train Rapide du Valmont). programme qui se soldera en 1996 par la sortie et l'entrée en service de la première ligne TRV assurant sur une ligne indépendante du réseau le transport de passager tout autour de l'ile, avec une possibilité de coupure du tour en trois en droit, de voyager partout a une vitesse de 285km/h, permettant de traverser le pays de son extrémité sud à son extrémité nord en à peine 5 heures pour un prix bien réduit par rapport au tarif du transport aérien, qui va de surcroit se limiter à l'extrême sud, l'extrême nord et la capitale excluant de facto toute la cote est et nombre de villes plus réduites d'un transport rapide.

à l'heure d'aujourd'hui la société travaille sur la modernisation de ses infrastructures, ses gares et surtout sur la modernisation de ses modèles de trains et le remplacement de vieux véhicules toujours en service malgré leur visible et réelle désuétude.

détailler la suite plus tard avec carte etc
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L’entreprise Transval est fondée en 1822, rassemblant plusieurs initiatives privées de transport collectif. La société comprend d’abord deux volets, un transport terrestre tracté, et un transport naval maritime ou fluvial. Le réseau propose dès 1830 des grandes lignes permettant à moindre cout (c’est toujours cher mais moins, donc les petits bourgeois peuvent se le payer) de voyager entre les grandes villes du pays en cariole plus ou moins luxueuse. Les grandes lignes fermeront en [DATE] à l’ouverture des premières lignes ferroviaires.
Il convient de décrire plus en détail la section navale de l’entreprise, cette dernière aujourd’hui disparue (suppression en même temps que les grandes lignes)permettait de se déplacer à pas cher.En quelques jours le commun des valmontais pouvait donc se rendre d’une ville littorale à l’autre , pour un prix certes relativement élevé au regard des moyens des plus modestes, mais pas de beaucoup plus cher que l’avion ou le Train Rapide Valmontais aujourd’hui.
Dans un contexte de début de l’industrialisation du pays, cette mesure est d’abord faite pour fluidifier le déplacement de la main d’œuvre potentielle issue de l’exode rural. En effet, la mécanisation grandissante de l’agriculture met dans une situation précaire plusieurs millions de paysans qui se retrouvent à converger vers la métropole la plus proche, ou, le plus souvent, vers la capitale afin de trouver un emploi.
L’augmentation de la population de la capitale, qui sera multipliée au fil du XVIIIème siècle va rendre nécessaire le développement d’un transport organisé à l’échelle de la métropole et des villes industrielles alentours.
Ce premier dispositif réaffectera une partie des véhicules tractés des anciennes grandes lignes à un transport municipal efficace qui dynamisera encore un peu plus l’industrialisation de Valmérie.
Il convient de rappeler que la capitale n’est pas administrée comme une mairie classique ou le maire est élue, la capitale est administrée directement par l’état. Cette administration gouvernementale permet depuis toujours d’innover et de montrer la voie aux autres municipalités.
Ainsi les grandes villes de tout le pays vont à la fin du siècle se doter de services de transports publics, et, au début du XXème les municipalités plus petites vont s’organiser pour proposer, généralement axé autour des villes plus grandes, un réseau de transport tracté qui se perfectionnera jusqu’au remplacement des moyens tractés par des véhicules à moteur dès les années 1930. Il existera cependant encore des véhicules tractés jusqu’à la fin des années 40 dans les zones rurales.
Si cette entrée en matière historique permet de comprendre l’évolution de la nature de l’entreprise jusqu’aux années 50, c’est réellement à partir de cette date qu’elle prend sa forme finale qui est toujours celle en place aujourd’hui.
En 1956, lors de la grande vague d’investissements et de travaux publics, la société va se métamorphoser. Cette transformation si elle n’altèrera pas la structure bien en place de l’entreprise va prendre la forme d’une réforme organisationnelle et d’une réelle standardisation. Encore aujourd’hui dans tout le pays, c’est le même modèle de bus, version modernisée de l’ancien [Inclure les deux noms de modèles et les décrire à la fin, trouver nom de l’entreprise automobile qui les fabrique et la décrire ultérieurement ], qui, pour toutes les municipalités, toutes les régions, et même pour l’armée, va être utilisé.
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