21/02/2015
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Littérature Stérusienne

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SCIENTIA LITTERAE DOCTRINA

POSSA LA CONOSCENZA GUIDARTI VERSO LA LUCE








Répertoire national des œuvre de littérature Stérusiennes
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Le poème :



Par une chaude soirée d’été
Dans le bruit et la chaleur
Au sein du palais d’été
Par amour et sans aucune peur

Fortement désemparé par ce moment
J’ai vécu une entrée au paradis
D’un coup rapide et puis lent
Il m’a fait découvrir la sodomie

L’éclatante joie d’une entrée à sec
La mirobolante taille de sa verge
Le sentiment d’un véritable avant-bec
Bientôt la pluie inonde la Berge

Quand l’histoire se termine
S’asseoir m’en devient une épreuve
Dans un lit comme à la mine
J’attends chaque jour qu’il m’abreuve





Poème retrouvé dans une chambre du palais impérial, nommé autrefois Palais d'été. Ce poème fut retrouvé dans les appartements de Baltasar Guillermo Empereur de 1798 à 1823. Autre fois attribué à Baltasar et destiné à sa femme l'impératrice Katerina. On sait aujourd'hui qu'en réalité ce poème fut écrit en 1790 par le Centurion Louis Servio lors d'une soirée endiablé avec le futur empereur. Les deux hommes alors âgés de 17 ans étaient réputé pour apprécier se retrouver en compagnie l'un de l'autre. Bien qu'aucune relation sentimentale ne fut avérée entre les deux hommes, on sait désormais qu'ils entretenaient bien plus qu'une relation amicale. On estime que leur "amitié" aurait duré de 1790 à 1834 à la mort de Louis. On dit d'ailleurs de l'empereur Baltasar que rien ne put jamais consoler la mort de son ami(et amant).
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Le poème :


L’enfer de la vision de ton âme
La malédictions de ton amour
L’horreur de la vie de femme
Le bagne de finir mes jours

Dans le lit d’un barbare
Qui par la force exprime
Un amour qui bagarre
Un corps si sublime

La terreur de me réveiller
Auprès d’un homme violent
Qui chaque jours passé
Se délecte en flageolant

Les démons de sa bien aimé
Pour qui il était le paradis
Mais qui années après années
Devient une des pires maladie

Sa vie comme son corps
Adapté à une quotidienne survie
La violence d’un homme sans remords
Son amour lui aura finalement coûté sa vie


Ce poème fut écrit en 1834 par Joséphine Decorre. Ce poème décrit dans les trois premières strophes la vie de violence qu’aura vécu sa mère à cause de son mari le père de Joséphine. Dans la deuxième partie elle bascule sur la vision de la petite fille qu’elle était. Lors de l’écriture de ce poème Joséphine avait 15 ans sa mère, fut retrouvé sans vie la veille après avoir succombé aux coups de son mari. Le corps de Joséphine fut lui retrouvé deux jours plus tard sans vie après avoir lui aussi succombé au coups du père. Il ne fut jamais retrouvé ni arrêté pour ses crimes.
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Poeme


Lors des vieilles soirée d’été
Quand le soir nous dansions
Plein d’amour et de gaieté
Dans les beaux jardin d’Anion

Après avoir découvert la beauté
Et la noblesse des danses nuptial
D’un de ces beau peuple d’Afarée
Et de leurs si renommée femme

A chaque fois que nous parlions
Dès lors que vous me regardiez
Une envie de vous bouffer le fion
Ne pouvait sortir de ma pensée

Quand par un heureux hasard
Vous et votre belle et sage sœur
Vous reposiez sur mon bazars
J’ai vu que de tout mon cœur

Rien n’était sur cette terre bien meilleur
Que les si profonde cuisses Afaréenne
Pas même à cause d’un grand malheurs
Je pourrais oublier la valeur de ces reines


Ce poème fut écrit en 1701 par Marius Delamio à Nilius en Saidi. Grand propriétaire terrien et d'esclave, il fut également un des artistes Stérusiens les plus importants du pays. Il écrira ce poème dans son recueil "Force d'esprits" en 1704 après l'avoir écrit 3 ans plus tôt. Ce poème fait référence aux multiples aventures sexuelles que Marius aura eu avec des servantes de son hôtel particulier en Afarée.
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