11/05/2017
16:07:51
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[Karty-Kaulthie] Négociation entre les opposés

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Gustav se tenant dans la petite baraque au milieu de "Der Valheim" ( oui, il a acquit un chapeau en plus, la classe )

Négociation entre les opposés

Après s'être installé dans la petite cabine au milieu du chekpoint "Der Valheim", on avait aperçu un homme, probablement militaire, qui tenait un drapeau blanc. Cet évènement arriva alors que Fred Von Drasvulk, un militaire fidèle depuis longtemps aux idéaux des communes, Alaric Von Habourg, un diplomate à la réputation en construction à Warenburg, et Gustav, un envoyé du Comité de la Volonté Publique, avaient envie à parlementer de diverses sujets. Mais soit. Lorsque les trois compères virent l'homme, probablement un soldat de l'armée Kartienne, se rapprochant avec un drapeau blanc, ils sortirent du cabanon, prenant un mégaphone. Alaric, le diplomate de Kaulthie du point de passage, partit en vitesse et ordonna au Kartien :

"Monsieur, veuillez ne plus avancer ou nous faisons feu ! Dites nous pourquoi vous êtes ici ou partez !"

Les mitrailleuses étaient en position, prêtes à libérer leurs balles pour lâcher la mort à l'autre extrémité du pont.
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Le militaire eu quelques frissons en voyant les mitrailleuses pointées sur lui, prêts à faire feu, il parla.

Lieutenant Dimitri: Je viens en paix, je suis venu annoncer que le Ministre de la Défense Nationale Kartienne est prêt à dialoguer avec vous afin de cesser cette situation qui n'a déjà que trop durée.
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"Des pourparlers ? enfin ? Eh bien, il était temps..." pensa Gustav.

Les trois hommes, à côté du cabanon, se firent des signes de têtes avant qu'Alaric, avec son microphone, ordonna :

"Que toutes les mitrailleuses se baissent ! Quant à vous, dites à votre Ministre de la Défense Nationale Kartienne qu'il peut venir escorter afin de parlementer dans le cabanon au milieu de ce pont, vous m'avez compris ?"

Ce que craignait principalement Fred, de son côté, regardant le soldat Kartien, c'était la possible imposture de cette rencontre, et, de part les tensions presque légitimes entre les deux pays, que l'entrevue qui allait suivre tourne rapidement au vinaigre...
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Le soldat ayant terminé sa mission, il rentra à la base. Quelques minutes plus tard, un camion de transport escorté par deux blindés arriva. Une dizaine de soldats sortirent du camion, et le Ministre Alexander Jükov.

Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov

Le Ministre de la Défense, escorté de soldats d'élites, alla au pont et attendit qu'on l'accueille.
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Après que les hommes aient baissé leurs mitrailleuses, Alaric Von Habourg était descendu auprès du Ministre Alexander Jükov. Celui-ci, en bon diplomate, l'invita d'une voix calme à entrer dans le cabanon avec un ou deux de ses hommes :

"Si vous le voulez, je vous invite à me suivre monsieur le Ministre"

Gustav, de son côté, était déjà rentré dans le cabanon, attendant l'arrivée des Kartiens afin de pouvoir négocier et observer la situation afin de faire un compte rendu clair au Comité de la Volonté Publique.
Fred Von Drasvulk, resté dehors près des batteries de mitrailleuses, semblait moins enjoué de la situation. Il tenait, en bon communaliste, une haine viscérale des pays à tendance autoritaristes voir totalitaires. De ce fait, il rejoignit le cabanon avec Alaric, bien que sans une certaine haine de l'ennemi.

Lorsque la délégation Kartienne rentra dans le cabanon, les deux camps se placèrent alors aux opposés de la Table placée en plein milieu de la pièce, s'apprêtant à lancer la discussion qui allait, si tout ce passait bien, calmer les tensions naissantes...
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Alexander Jükov suivit ses homologues et ordonna à 2 militaires de le suivre, les 8 autres devaient restés là où ils étaient.

Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov

Alexander Jükov: вы двое, следуйте за мной, остальные оставайтесь здесь.

Le Ministre de la défense Nationale s'assit et décida d'engager la discussion.

Alexander Jükov: Mes salutations à vous, à qui ai-je l'honneur ?
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Alors que les deux délégations s'asseyaient, Alaric Von Habourg prit en premier la parole d'une voix calme et rassurante :

"Votre excellence, je suis Alaric Von Habourg, diplomate en charge du checkpoint "Der Valheim". A ma droite se trouve le Général Fred Von Drasvulk, qui gère le point de passage et son armement. Enfin, à ma gauche, se trouve Monsieur Gustav, un envoyé du Comité de la Volonté Publique, qui, je ne vous le cache pas, fera son rapport aux hautes sphères de notre régime."

Il laissa un court temps avant de reprendre, toujours sur le même ton :

"Nous sommes, à vrai dire, étonné mais bien heureux de vous recevoir ici-même. Nous ne pensions pas que votre nation allait négocier avec nous, ainsi, nous prendrons soin d'utiliser cette rencontre du mieux possible. Je ne vais pas rester cependant sur ces quelques détails sans importances et rentrer vif sur le sujet : Karty, vous n'êtes pas sans le savoir, est profondément anti-communiste de ce que nous avons pu comprendre. De plus, votre puissance militaire nous inquiète grandement, surtout en tant que voisin qui ne semble pas soutenir notre ligne idéologique. De ce fait, vous comprendrez notre légitimité à avoir fermer nos frontières avec notre nation, que ce soit pour la protéger d'un éventuel danger que vous pourriez représenter. Cependant, votre venue témoigne bien d'un désir, je l'espère, de calmer ce jeu destructeur des tensions. Nous n'espérions pas mieux de votre part, et, ainsi, nous aimerions vous proposez quelque chose qui, je pense, ne sera qu'en faveur de nos deux nations : Un pacte de non-agression. En effet, afin de s'assurer de votre bonne volonté, le Comité de la Volonté Publique m'a transmise, par le biais de Monsieur Gustav, cette proposition. Ce pacte, inviolable, serait en place pour une durée de 10 ans. A travers celui-ci, la paix et une réconciliation pourrait s'entamer. Nos hautes sphères dirigeantes ont confiance en votre capacité de réflexion, et en l'espoir que vous pouvez apportez pour nos deux peuples..."

Ainsi, Alaric tendit la feuille du pacte de non-agression à Alexander Jükov, attendant sa signature.
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Alexander Jükov écouta patiemment son homologue, parallèlement, il pensait aux récents événements en Karty, qui, étaient bien plus préoccupants que cette réunion, il était donc lassé d'une situation de ce type. Nonobstant, le Ministre de la Défense Nationale ne laissa transparaître aucune émotion, ni même une réaction à la fin du bref discours de son interlocuteur. Alexander Jükov tendit son bras afin d'analyser ledit traité, celui-ci consistait en un simple pacte de non-agression, le Ministre se dit qu'il n'avait aucun intérêt à signer un accord de ce type avec la Kaulthie qui n'était guère une menace militaire. Il était néanmoins préférable d'éviter une escalade à la violence avec une nation, frontalière qui plus est. Après avoir regardé brièvement le document, Jükov repensa aux propos de son interlocuteur et notamment:"Karty, vous n'êtes pas sans le savoir, est profondément anti-communiste de ce que nous avons pu comprendre. De plus, votre puissance militaire nous inquiète grandement, surtout en tant que voisin qui ne semble pas soutenir notre ligne idéologique."
Le Ministre se dit qu'il allait devoir encore une fois justifier la politique nationale de l'Empire, surtout le militarisme et la haine profonde et ancrée du communisme. Ainsi, tout en tenant le document dans ses mains, le Ministre prit la parole.


Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov

Alexander Jükov: Je tiens tout d'abord à réagir à vos propos, vous affirmez que ma nation est militariste et anti-communiste, certes. Je vous prie nonobstant de prendre en compte l'escarmouche en Mer Espérance qui nous a valu la perte de 15 Kartiens, de braves soldats. Escarmouche déclenchée par la Loduarie communiste, inutile de vous le préciser, je vais ensuite répondre quant au côté militariste de notre nation, nous n'avons jamais menacé militairement votre nation, il est donc inutile de s'inquiéter.

Après ses explications, Alexander Jükov pose le Traité sur la table, ne le signant pas.

Alexander Jükov: Votre décision d'effectuer un Traité de non-agression est la marque d'une sincère volonté d'apaiser les tensions. Cependant, je pose la question de l'avenir de ces fortifications où nous nous trouvons actuellement.
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Alaric Von Habourg écoutait avec une grande attention les paroles de son interlocuteur. Il comprenait en partie la haine du communisme dû à la perte d'une dizaine d'hommes par la Loduarie Communiste, cependant il trouvait très regrettable de faire une telle généralisation des systèmes communistes, et, par extension, communalistes et socialistes.
Cependant, en ce qui concerne la partie militaire de la question, il ne comprenait pas comment les Kartiens ( ou dû moins, leurs dirigeants ) ne comprenaient point qu'une telle montée en puissance ne puisse pas inquiéter leurs voisins... Peut être n'avaient ils pas connu la guerre, la vraie, pendant de nombreuses années. Tout cela, Alaric l'ignorait, mais se demandait si c'était le cas. Depuis les conflits violents internes qui avaient eu lieu en Kaulthie, la mentalité des habitants était très tournée vers le pacifisme, et surtout, vers l'anti militarisation de ses voisins. En même temps, il était assez logique que la Kaulthie ait peur, après tant d'années de guerre, de souffrir encore une fois par une invasion étrangère.
Enfin, la question Kartienne quant aux fortifications était assez prévisible. Pour le moment, en un tel moment de négociation, qui semblait tourner vers l'apaisement, les forts qui gardaient la frontière ne devaient pas être démantelés, ou du moins démilitarisés, cependant en cas de pacte de non-agression ( ce qui était le souhait profond d'Alaric ), alors les barrières pourraient être enlevés.

Cependant, après que son interlocuteur ait enfin terminé, il répondit d'un ton calme et posé :

"Si vous me le permettez, Monsieur Jükov, je me demandais uniquement, dans la question concernant la ligne idéologique, si Karty savait distinguer la nation de l'idéologie, et surtout, de na pas faire de généralités envers toutes les autres nations dans cette sphère là. Vous semblez pointer du côté généraliste, à mon grand désespoir.
Nous comprenons votre haine de la Loduarie communiste, il est tout à fait regrettable que des kartiens soient morts pour des raisons futiles, nous prions pour que leurs âmes montent au paradis, cependant nous souhaiterions surtout qu'il ne puisse exister d'amalgames entre, notamment, le communalisme, le socialisme et le communisme. Et c'est pour cela que nous avons fermé nos frontières. Comprenez que nous avons toujours été en conflit cette dernière décennie, et qu'enfin un régime stable, celui du communalisme, a su permettre à notre nation de vivre dans une stabilité rarement observé dans le pays. Ainsi, voir un voisin totalement anti-communiste, et qui, de ce que nous en voyons, considère toutes les idéologies de la gauche comme mauvaises, nous inquiète très logiquement.
Cela me permet de pouvoir entamer le sujet de la militarisation. La Kaulthie a toujours été en guerre interne, entre seigneurs ou ducs, entre souverains ou empereurs. Cette instabilité a provoqué des traumatismes terribles pour nos populations. De plus, les guerres sanglantes que nous avons vécu ont profondément transformé notre mentalité du bellicisme vers le pacifisme. Ainsi, quand nous voyons une nation telle que la votre devenir de plus en plus puissante militairement, comprenez que cela nous inquiète au plus haut point. De ce fait, je pense que notre inquiétude est légitime, surtout dans cette situation.

Enfin, en ce qui concerne les fortifications, nous les démantèleront si, et seulement si, nous sommes certains que vous acceptiez le traité de non-agression, et qu'une ligne de démilitarisation se créer entre nos nations. Quand je dis ligne de démilitarisation, je parle bien évidemment des deux côtés de nos nations. Nous enlèverons nos fortifications, et en échange vous promettez de ne pas créer de bases militaires, de forts, ou de lieux fortifiés et utilisés proche de nos frontières. Et cela sera réciproque.

Cependant, j'aimerais donc savoir votre avis sur le traité de non-agression que nous avons proposé, car vous ne vous êtes pas exprimé dessus, auriez vous donc l'amabilité de donner votre avis sur ce sujet ?"
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Alexander Jükov écoutait posément son interlocuteur, comprenant les points évoqués. Après avoir réfléchit quelques secondes, sieur Jükov reprit la parole.

Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov

Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov: Je vois que vous évoqué toujours la ligne idéologique du Saint Empire de Karty, notamment quant à l'idéologie rouge. Vous affirmez tout d'abord que nous généralisons ladite idéologie suite à l'escarmouche en Mer Espérance, diabolisant ainsi toute les idéologies liées, telles que le socialisme.
L'idéologie communiste est profondément détestée en Karty, de part les exactions Loduariennes, mais pas seulement, cela vient également de raisons historiques. Tout ayant commencé en 1854, Mark Picrouges écrit le manifeste Kartien du communisme. Ce livre, promulguant l'abolition du capitalisme, a déclenché les révolutions rouges, plongeant Karty dans une guerre civile qui l'a mis à feu et à sang, guerre civile qui a duré jusqu'en 1961 avec la réunification de l'Empire. Vous vous dites que ce n'est pas assez pour détester l'idéologie toute entière ? Et bien je vais continuer en disant qu'il y a à peine quelques mois, le Kaiser Van Blonski a été lâchement assassiné par le Vice-Président du Parti Communiste Kartien. Mais là n'est pas encore la fin, non bien au contraire, deux attentats perpétrés encore et toujours par des communistes, ont ôtés la vie à des milliers de Kartiens ! Après vous avoir évoqué ces événements, ne pensez-vous pas qu'il est légitimé d'haïr une idéologie qui a plongé ma patrie dans le néant, qui a tué des milliers de Kartiens, qui a fait des orphelins. Tous ces événements ont rendus le communisme anticonstitutionnel en Karty, conformément à notre constitution. Nonobstant, nous ne généralisons pas le communisme à la gauche, nous convenons que le socialisme est une idéologie qui a lieu d'être et qui a sa place à notre Conseil des Elus. En outre, nous possédons des liens diplomatiques avec Zélandia ou encore l'UC Sochacia, des nations considérées de gauche.
Je vais à présent aborder le sujet militariste de Karty, en vous expliquant les raisons de cette directive idéologique. C'est non sans vous apprendre que ma patrie ne fait partie d'aucune organisation internationale ? C'est ainsi que nous nous devons d'assurer nous même notre protection, une autodéfense implacable. Nous comprenons le passé de la Kaulthie, qui semble assez dur face au militarisme qui a sans doute déchiré votre pays. Mais cela pose la question inévitable, n'est-ce-pas l'Empire de Kaulthie qui a envahi le Royaume de Karty par le passé ? Cela vous a peut être échappé, mais c'est avant tout votre nation qui a occupé une partie de nos territoires, ce pendant plus de 400 ans. Notre nation ne vous a jamais menacé d'une quelconque manière, nous ne pouvons dire l'inverse.
Enfin, nous ne sommes pas là pour ressasser les événements du passé, votre nation a radicalement changé, de part votre volonté de pacifisme et de démocratie. Quant au traité de non-agression, nous le signerons, du moment que les fortifications frontalières à Karty sont démantelées. Nous acceptons également de ne pas ériger d'infrastructures militaires se trouvant à moins de dix kilomètres de votre nation, inversement.
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Alaric Von Habourg scrutait du regard son interlocuteur. Depuis le début de la rencontre, il avait senti ce froid entre les deux camps. Cela était assez logique, surtout avec la situation. Cependant, les derniers dires, en particulier sur l'Empire de Kaulthie, avait stupéfait certains. Gustav, par exemple, était totalement bouche-bé des paroles prononcées par le ministre de la défense de Karty. Comment osait il prétendre que la Kaulthie actuelle était responsable du conflit d'il y a 400 années ? L'égocentrisme et l'orgueil des Kartiens était connu, mais à ce point ? C'était à croire que le ministre de la défense n'avait pas ouvert de livre d'histoire de la Kaulthie, sauf peut être une vision romancé du côté kartien.

Sentant que Gustav pourrait se mettre dans une colère forte, et quelque peu compromettre les négociations, Alaric répondit finalement :

"Vous nous voyez rassuré monsieur Jükov. La haine du communisme, surtout par votre histoire, est tout à fait justifiée, et nous ne la remettrons pas en cause. Votre sincérité à ne pas confondre socialisme et communisme nous fait espérer peut être un jour une bonne entente entre nos nations, si le Comité de Volonté Publique le trouve utile.
Cependant, j'aimerais tout de même rebondir sur votre parole à propos de l'Empire de Kaulthie. Sous tout le respect que j'ai pour vous, je vous conseil de lire un livre d'histoire Kaulthe. L'Empire et l'Union des Fédérations de Communes ne représentent en rien un même pays, sachant qu'ils sont éloignés de plusieurs siècles d'histoire. Je vous prie donc de vous renseignez avant de dire de pareilles inepties.
Mais ne finissions pas sur un scandale diplomatique. La kaulthie s'engage à désarmer sa frontière de la même manière que votre nation fait avec la sienne. Je vous propose donc de terminer cette entrevue, sauf si vous avez quelque chose à rajouter ?"
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L'agacement se mêla à une haine ravivée, la remarque "je vous conseille de lire un livre d'histoire Kaulthe" avait interpellé Alexander. Il eut envie de répondre, mais se ravisa, son interlocuteur avait raison, il ne faut pas gâcher les bases faibles d'une paix trouvée il y a peu.

Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov

Ministre de la Défense Nationale, Alexander Jükov: Je vous remercie de votre compréhension quant à la haine ancrée et profonde de la menace rouge. En effet nous ne mêlons point socialisme et communalisme à l'idéologie concernée, le Front Populaire Kartien est un Parti égal aux autres au sein du Conseil des Elus, suivant le concept de la démocratie.
Une bonne entente entre nos nations, il ne faut toutefois pas aller trop vite en besogne. Certes, une paix a été trouvée, celle-ci reste précaire n'est-ce-pas ? J'ai à cœur de croire que cette dernière se solidifiera avec le temps, du moins je l'espère.
Mon but n'était pas de vous écorcher ou provoquer quant à ma remarque, simplement, il est bon de ne pas oublier le passé. J'ai souligné que votre état avait changé, c'est dans cette optique de changement que votre nation est vue par le Saint Empire. Il me semble avoir tout dit vos Excellences, que prospérité s'en suive, Пойдем.

Le Ministre Kartien se leva après avoir donné l'ordre de départ à ses deux soldats, la rencontre Kaulthie-Karty avait touchée à sa fin. Les blindés Kartiens repartirent dans les hauts plateaux de l'Empire, sans doute vers une base militaire non-loin de là.
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