Suite aux évènements connus de tous qui ont récemment eut lieu en Nouvelle-Antérinie, un grand référendum s'est tenu. Planifié par les représentants de la Rache Etznab et du gouvernement de la colonie qui se sont rencontrés pour signer l'arrêt des combats, la question de l'indépendance de la région a fait l'objet d'un compromis : un grand référendum est organisé, et chaque commune choisit, à la majorité absolue, si elle souhaite ou non rejoindre un nouvel État mis en place pour les natifs. La question posée aux citoyens était la suivante :
Les votes se sont tenus sous la direction de représentants du gouvernement antérinien et de la Rache Etznab, ainsi que d'assesseurs neutres venant des Communes Unies du Grand Kah, qui se sont portés volontaires pour assurer l'impartialité des conditions du référendum. Après les comptages des voix, les résultats suivants sont ressortis :
Carte du résultat du référendum tenu dans toute la Nouvelle-Antérinie. Les différents figurés sont :
Rouge foncé : plus de 75 % contre | Rouge clair : plus de 50 % contre
Vert clair : plus de 50 % pour | Vert foncé : plus de 75 % pour
Sur les 149 communes qui composent la Nouvelle-Antérinie, 104 ont demandé à plus de 50 % l'indépendance vis-à-vis de leur ancien pays. Malheureusement pour certaines, leur éloignement de la capitale de la province et surtout leur isolement des autres du même avis n'a pas permit, dans un souci de cohérence de respecter le souhait des habitants (généralement majoritairement antériniens). C'est le cas de quatre communes anti-sécessionistes situées en plein cœur de la région séparatiste, ainsi que d'une pro-sécessioniste au milieu de la péninsule de la Nouvelle Antrania, pratiquement complètement pro-Antérinie. Trois communes, rapprochées de leur territoire voulu bien qu'en étant séparées, ont pu conserver leur choix.
Un nouvel État est donc créé ! Avec environ 40.000 km2 et 300.000 habitants, il compte parmi les moins peuplés du monde. Toute son économie reste à développer, et un commerce à mettre en place.
[i][right]Numéro 1, du 18/12/2014[/right][/i]