11/05/2017
22:31:42
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[Directoire Collectif]

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« Attaquer l'un d'entre nous c'est nous attaquer tous. »

Le Directoire est l’instance de coordination centrale du LiberalIntern, chargé de superviser les actions de l’organisation et d’assurer sa cohérence stratégique. Il joue un rôle fondamental dans l’admission des nouveaux membres, les réformes de fonctionnement de l’organisation et la coordination des initiatives proposées au Haut Bureau des Initiatives.

Composition :
  • Représentants de chaque pays membre avec droit de vote.
  • Observateurs des mouvements membres (organisations, partis, associations non-territoriales) sans droit de vote mais participant activement aux débats.

Fonctions :
  • Examiner et voter l’adhésion de nouveaux membres.
  • Proposer et soumettre au vote des réformes du LiberalIntern.
  • Coordonner les projets intergouvernementaux en matière de coopération économique, sociale, idéologique, stratégique, etc.

Processus de Décision : Les décisions du Directoire sont prises à la majorité simple des voix.
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Ordre du Jour du premier congrès du Directoire Collectif de l'Internationale Libertaire
Date : Du 14/01/2015
Lieu : Axis Mundis

1. Ouverture du congrès
  • Allocution d'ouverture et Mot de bienvenue du pays hôte.
  • Approbation collective de l'ordre du jour pour garantir une direction commune et librement consentie des débats..

2. Standardisation du Matériel Militaire et des Normes Communes
  • Exploration collective des opportunités de standardisation volontaire du matériel militaire pour une compatibilité efficace.
  • Établissement de normes ouvertes pour garantir l’interopérabilité tout en respectant l’autonomie des forces alliées.
  • Organisation d’exercices collectifs pour renforcer la solidarité et la coordination entre les membres.
Objectif : Renforcer notre capacité d’autodéfense commune sans sacrifier l’autonomie de chaque communauté.

3. Coopération entre les Services de Renseignement
  • État des lieux des services de renseignement nationaux.
  • Création d'une plateforme de partage d'informations sensibles.
  • Définition de protocoles pour une collaboration efficace et sécurisée.
Objectif : Renforcer la sécurité collective face aux menaces communes et améliorer les capacités de renseignement de l'Internationale.

4. Mise à Niveau des Universités et Coopération Académique
  • Évaluation des besoins en formation et recherche au sein des universités membres.
  • Analyse des besoins académiques et de formation pour construire des communautés de savoir accessibles et ouvertes.
  • Propositions de programmes d’échange pour étudiants et enseignants.
  • Création d'un réseau académique libertaire pour harmoniser nos efforts en matière de recherche et de transmission du savoir.
Objectif : Élever le niveau de formation et promouvoir la recherche au service des valeurs libertaires.

5. Création d’un Organe de Coopération Économique
  • Débat sur la nécessité d'un organe de convergence économique ou d’un protectionnisme commun visant à résister aux impérialismes économiques.
  • Discussion autour des possibilités de synergie économique et de protection des économies locales.
  • Proposition de statuts pour cet organe économique et définition des responsabilités.
Objectif : Assurer une coopération économique renforcée, visant une convergence harmonieuse ou un protectionnisme adapté aux valeurs et intérêts des membres.

6. Création d’une Agence de Presse Commune
  • Étude de faisabilité et de la structure possible pour une agence de presse du LiberalIntern.
  • Définition des objectifs éditoriaux libres et représentatifs, garantissant une pluralité de voix.
  • Débat sur la ligne éditoriale et le rôle de l’agence dans la promotion des valeurs libertaires et démocratiques.
Objectif : Assurer la diffusion d’informations et la visibilité internationale des actions et positions du LiberalIntern.

7. Détermination de la Ligne Politique et Stratégique de l’Internationale
  • Débat sur l’orientation stratégique de l’Internationale : intervention au service des opprimés, ou soutien moral et matériel ?
  • Évaluation des relations avec l’OND (Organisation des Nations Démocratiques) et l'UICS (Union Internationale pour la Coopération Socialiste).
  • Étude des axes géopolitiques prioritaires, notamment les régions de Nazum et d’Afarée, en vue de promouvoir la pensée libertaire et de trouver de nouveaux partenaires.
Objectif : Consolider une ligne politique commune et définir des priorités d’action géopolitique adaptées aux valeurs et objectifs de l’Internationale.

8. Divers
  • Réunion libre pour toute autre proposition librement initiée ou point non couvert dans l'ordre du jour.

9. Clôture du Congrès
  • Synthèse des décisions prises et des points en suspens.
  • Définition des prochaines étapes et planification des travaux à venir.

Vive la liberté.
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Mot de bienvenue du pays hôte.
Ouverture du premier congrès du Directoire Collectif du LiberalIntern


La Citoyenne Actée Iccauthli est à la tribune.

Camarades, frères et sœurs en Révolution, bienvenue.

Bienvenue à Axis Mundis, capitale d’un pays qui n’a jamais cessé de se battre. Bienvenue dans cette ville où tant d’entre nous ont grandi, étudié, aimé, espéré. Bienvenue dans ce Grand Kah qui, comme chacun de vous, porte en son sein les cicatrices de la lutte, mais aussi la fierté indomptable de ceux qui n’ont jamais cédé.

Il y a dix ans, presque jour pour jour, nous nous retrouvions à Kotios, dans une salle bien plus modeste, avec bien moins de certitudes, bien moins d’expérience, mais avec la même ardeur, la même conviction. Nous étions peu, mais nous avions déjà compris une chose essentielle : nous ne pouvions plus être seuls.

Nous n’avons pas fondé le LiberalIntern dans l’abstrait, sur des mots creux et des idéaux de papier. Nous l’avons fondé dans l’urgence, dans la nécessité impérieuse de protéger nos foyers, nos révolutions naissantes, nos rêves en construction. En 2005, Kotios était assiégée, les camarades du Pharois Syndikalii se battaient avec une bravoure inouïe contre les réactionnaires du monde entier, et nos propres communes subissaient la menace permanente de l’invasion, de l’écrasement. Le Grand Kah n’était pas aussi fort qu’aujourd’hui. Nos alliés, moins nombreux.

Mais nous avons tenu.

Nous avons tenu parce que nous avons appris à nous faire confiance, parce que nous avons compris que notre force ne résidait pas seulement dans nos fusils, nos barricades ou nos tracteurs, mais dans notre solidarité inébranlable. Parce que nous avons su unir nos forces et bâtir ensemble. Aujourd’hui, Kotios est libre. Kaulthie s’est soulevée et tient bon. Des peuples qui n’avaient plus d’espoir ont trouvé une bannière sous laquelle se rassembler.

Nous avons perdu des frères et des sœurs sur ce chemin.

Le Pharois Syndikalii, cet éclat de lumière dans l’obscurité, a été englouti. Ses camarades ont été dispersés, massacrés, brisés. Mais jamais vaincus. Leur mémoire vit dans chaque commune qui se soulève, dans chaque grève qui paralyse une usine d’exploiteurs, dans chaque cri de liberté lancé dans la nuit.

Nous pensons aussi à celles et ceux qui, en ce moment même, résistent sous la botte fasciste en Rimaurie, qui se battent dans la jungle du Gondo contre des forces bien supérieures, qui organisent la lutte démocratique et par les urnes en Westalia, en Velsna, en Teyla. Nous pensons à ces jeunes partis qui émergent, malgré l’adversité, malgré la répression, et qui refusent de courber l’échine.

Nous ne les oublions pas.

Camarades, nous sommes ici pour eux autant que pour nous. Chaque décision que nous prendrons aujourd’hui devra être prise en pensant à ceux qui n’ont pas encore de tribune pour parler, à ceux qui ne peuvent pas encore voter librement, à ceux qui risquent leur vie à chaque instant pour que l’idée même de liberté ne soit pas étouffée sous les cendres.

Nous avons construit, en dix ans, une Internationale qui n’est plus une simple alliance de circonstances, mais une force réelle. Une force qui protège, qui soutient, qui inspire. Une force qui ne se contente plus de survivre, mais qui avance, qui grandit, qui façonne le monde.

Ce congrès est la preuve que nous avons franchi un cap. Nous ne sommes plus les survivants acculés de Kotios. Nous sommes une alternative crédible, une menace pour tous les tyrans, une promesse pour tous les opprimés.

Mais notre tâche est loin d’être achevée.

Nous avons gagné des batailles. Nous avons sauvé des peuples. Mais nous devons aller plus loin. Plus d’écoles. Plus d’usines autogérées. Plus de coopératives. Plus de journaux libres. Plus d’armes pour ceux qui en ont besoin. Plus de mains tendues à ceux qui hésitent encore à nous rejoindre.

Nous devons leur prouver que nous sommes là pour durer.

Nous devons leur prouver que nous ne sommes pas une étoile filante, un espoir fugace qui s’éteindra dès que le vent tournera. Nous sommes l’avenir, mais pour que cet avenir advienne, nous devons le bâtir avec une lucidité implacable, avec une solidarité infaillible, avec la certitude que nous ne laisserons jamais un seul de nos frères et sœurs tomber sans lever le poing en retour.

Camarades, ce congrès est le premier du Directoire Collectif. Il ne sera pas le dernier.

Nous avons le devoir d’être à la hauteur.

À la hauteur de ceux qui nous ont précédés et qui ont payé le prix de nos victoires.
À la hauteur de ceux qui nous regardent avec espoir.
À la hauteur de notre propre promesse, celle de ne jamais abandonner, de ne jamais laisser nos ennemis croire que nous faiblirons.

Nous ferons du monde un jardin. Nous briserons les chaînes.

Vive la liberté ! Vive le LiberalIntern !


Allocution d'ouverture .
Ouverture du premier congrès du Directoire Collectif du LiberalIntern


Le citoyen Keter est à la tribune.

Camarades,

Nous y sommes. Nous avons bâti cette Internationale sur la certitude que l’Histoire ne se fait pas toute seule, que la liberté ne se quémande pas, qu’elle ne se négocie pas dans les salons feutrés des puissants, mais qu’elle s’arrache, qu’elle se forge dans l’acier des révoltes, dans la sueur des travailleurs, dans le courage des insoumis.

Dix ans. Il nous a fallu dix ans pour en arriver là. Dix ans à lutter contre la tempête, dix ans à survivre aux assauts des empires, dix ans à voir tomber nos camarades sous le plomb des assassins et les manœuvres des traîtres. Dix ans à affronter les calomnies, à endurer les menaces, à répondre à chaque coup par un pas en avant.

Mais nous sommes toujours là.

Nous sommes toujours là, non pas parce que nous avons été épargnés, mais parce que nous avons refusé de mourir. Parce que nous avons su voir au-delà de chaque défaite, parce que nous avons compris qu’aucune tyrannie, aucun trône, aucun capital ne résiste éternellement lorsque la volonté du peuple s’éveille.

Aujourd’hui, nous ouvrons ce congrès non pas comme une réunion de vaincus reclus sur leurs derniers bastions, mais comme un rassemblement de bâtisseurs. Nous ne sommes pas là pour pleurer nos morts — bien qu’ils nous manquent, bien que leurs noms soient gravés en nous comme des cicatrices. Nous sommes ici pour honorer leur combat en poursuivant leur œuvre.

Le LiberalIntern n’est plus une alliance de circonstances, nouée dans l’urgence des batailles passées. Il est un projet, une vision, un chemin que nous avons décidé d’arpenter ensemble. Il est la certitude que l’organisation, la solidarité, la discipline et la détermination peuvent renverser les trônes et les marchés, briser les armées et les polices, donner un avenir à ceux qui n’en avaient plus.

Ne vous y trompez pas, camarades : nous avons accompli beaucoup, mais nous avons encore tout à faire.

Regardez autour de vous. Regardez les visages de celles et ceux qui sont là, ceux qui sont venus du Grand Kah, de Kotios, de Kaulthie, de Zélandia, de du Negara Strana, du Paltoterra Oriental, de Mährenie, de ces terres où la Révolution est née. Maintenant penser à celles et ceux qui luttent, dans des pays où nos idées sont en gestation, où la révolution est en marche. Regardez et demandez-vous : que sommes-nous prêts à faire pour leur garantir un avenir ?

Nous avons prouvé que nous pouvions tenir. Il est temps de prouver que nous pouvons avancer.

Nous devons consolider ce que nous avons bâti, poser des fondations solides pour que plus jamais les puissances de la Réaction ne puissent nous balayer comme elles l’ont fait tant de fois dans le passé. Nous devons renforcer nos économies, non pas dans une logique mercantile, mais dans l’esprit de la coopération et du partage. Nous devons structurer nos forces, non pas dans une logique impériale, mais dans l’idée de l’autodéfense commune.

Nous devons mettre fin à notre isolement.

Soyons clairs : nous ne devons rien aux institutions de l’ordre établi. Nous n’avons pas à nous plier aux diplomaties des empires, à quémander une reconnaissance que nous n’avons pas à leur offrir en retour. Mais nous devons exister. Nous devons nous imposer comme une alternative, comme une puissance capable de faire vaciller les certitudes du vieux monde.

L’OND ? Elle se veut garante d’un ordre international fondé sur la démocratie et la coopération, mais nous savons que ses mécanismes restent profondément influencés par des intérêts qui ne servent pas toujours la liberté des peuples. Pourtant, elle n’est pas un bloc monolithique : en son sein, des voix sincères s’élèvent, des forces progressistes s’organisent, et des peuples aspirent à un changement réel. Nous avons le devoir de leur tendre la main et d’explorer les possibilités de dialogue avec ceux qui, malgré les contradictions de cette organisation, œuvrent pour une justice véritable.

L’UICS ? Elle s’est voulue une alternative au capitalisme mondial, un espace de solidarité entre travailleurs, mais son évolution a souvent trahi ces idéaux, étouffant ses propres membres sous des structures rigides et des visions dogmatiques. Pourtant, comme toute institution, elle n’est pas homogène. Des débats s’y déroulent, des questionnements naissent, des franges entières de militants cherchent à insuffler un renouveau. Ce sont ces mouvements que nous devons écouter et soutenir, car l’histoire a prouvé que même les cadres les plus rigides peuvent être réformés par la volonté des peuples.

Nous devons être présents, non pour nous soumettre à ces structures, mais pour imposer notre présence jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus nous ignorer. Nous devons être l’alternative. Ou plutôt, nous devons nous vivre comme l'alternative que nous sommes déjà.

Camarades, nous avons devant nous un programme ambitieux. Nous allons discuter de la standardisation de nos équipements et de nos infrastructures. Nous allons poser les bases d’une coopération scientifique et académique qui garantira aux générations futures l’accès au savoir sans la tutelle des monopoles. Nous allons organiser notre défense, non comme un bloc militariste, mais comme une force consciente de ce qui l’attend.

Nous allons poser des bases économiques nouvelles, faire du commerce un outil de libération et non d’exploitation, mettre nos ressources en commun pour que jamais plus un de nos pays ne ploie sous l’embargo ou la famine imposée par nos ennemis.

Nous allons nous doter d’une voix. Une voix claire, forte, intransigeante. Une agence de presse qui portera nos idées bien au-delà de nos frontières, qui brisera les mensonges de nos adversaires et diffusera la vérité de nos combats.

Et enfin, nous allons définir notre stratégie. Où allons-nous frapper ? Où allons-nous soutenir ? Quels seront nos prochains fronts ?

Ce congrès est un moment charnière. Il est la preuve que nous avons tenu, il peut être bien plus que cela. Il peut être le moment où nous décidons enfin que nous ne sommes plus sur la défensive.

Nous sommes là. Nous sommes debout. Nous ne nous excuserons pas d’exister.

Nous avons commencé en survivants. Nous allons devenir l’avenir.

Camarades, que ce congrès soit le premier d’une longue série. Que nos décisions soient à la hauteur de nos ambitions. Que nos actes, enfin, surpassent nos discours.

Vive la Liberté, et vive l'Humanité !
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Synthèse des positions du Grand Kah sur les points à l'ordre du jour du Directoire Collectif du LiberalIntern


Standardisation du Matériel Militaire et des Normes Communes
La position kah-tanaise est pragmatique : l’autodéfense est une nécessité face aux menaces extérieures, mais elle ne doit pas se faire au détriment de l’autonomie des communes et des nations membres. Le Grand Kah est favorable à une standardisation volontaire du matériel militaire, garantissant une compatibilité efficace des équipements sans imposer une uniformisation rigide. Il soutient notamment l’idée d’exercices conjoints et de protocoles de coopération militaire renforcés, sans pour autant favoriser une centralisation excessive qui irait à l’encontre des principes libertaires.

  • Élaboration d’un cahier des charges commun, basé sur les productions existantes des différents membres, afin d’éviter une dépendance excessive à un modèle unique.
  • Création d’un comité technique pour l’interopérabilité militaire , chargé d’harmoniser les calibres d’armes, les protocoles de communication et les pièces détachées essentielles.
  • Développement d’un réseau d’ateliers mutualisés entre les membres du LiberalIntern pour assurer l’entretien et la production des équipements standardisés, tout en favorisant l’autosuffisance locale.
  • Organisation d’exercices militaires conjoints avec partage des retours d’expérience pour tester la compatibilité des matériels et des stratégies d’engagement.
  • Définition de normes communes pour les véhicules blindés légers et les équipements de protection individuelle afin de garantir une interopérabilité minimale sans imposer une uniformisation excessive.

Coopération entre les Services de Renseignement
Si la méfiance envers toute centralisation d’un service de renseignement est forte au sein du Grand Kah, la nécessité d’un partage d’informations entre membres du LiberalIntern est reconnue. Le Grand Kah privilégie une approche horizontale, basée sur la mise en réseau et le partage de renseignements par coopération volontaire, sans institutionnalisation d’une quelconque structure centralisée. Il défend un cadre transparent, où chaque membre conserve le contrôle sur ses informations tout en ayant accès à celles qui lui sont utiles pour contrer les menaces communes.

  • Création d’un réseau d’information sécurisé pour faciliter l’échange de renseignements sans centralisation excessive.
  • Élaboration de protocoles cryptographiques communs permettant aux membres d’échanger des informations sensibles sans risque d’interception par des puissances extérieures.
  • Mise en place d’un cadre de partage des bases de données sur les menaces transnationales, tout en garantissant la souveraineté des communes et des nations sur leurs informations spécifiques.
  • Formation d’agents de liaison spécialisés dans l’infiltration et la contre-subversion, pour renforcer les capacités d’espionnage et de contre-espionnage des membres.
  • Identification des zones critiques et mise en place d’un système d’alerte rapide en cas d’activités hostiles menaçant l’Internationale.

Mise à Niveau des Universités et Coopération Académique
L’éducation et la recherche sont des priorités du Grand Kah, qui a déjà mis en place un vaste réseau universitaire en lien avec d’autres membres de l’Internationale et extérieure. Il soutient la création d’un réseau académique. Des universités kah-tanaises sont prêtes à accueillir des étudiants étrangers, à former de nouveaux chercheurs et à développer des cursus communs avec les institutions alliées. Il plaide aussi pour la gratuité et l’accessibilité des savoirs à l’ensemble des peuples.

  • Création d’un Fonds Commun pour la Recherche et l’Éducation permettant de financer les projets universitaires prioritaires.
  • Mise en place d’un programme de mobilité étudiante pour faciliter les échanges entre universités et instituts de recherche membres.
  • Harmonisation des cursus sur les sciences politiques et sociales, pour promouvoir une pensée révolutionnaire cohérente et adaptée aux enjeux contemporains.
  • Lancement de chaires internationales d’enseignement en autogestion et économie solidaire, pour structurer et diffuser un savoir appliqué dans les domaines économiques et sociaux.
  • Développement d’un consortium technologique et scientifique, chargé d’encourager les projets de recherche transnationaux et d’assurer leur financement.
  • Mise en commun des infrastructures numériques et accès libre aux bases de données universitaires, afin de démocratiser l’accès au savoir.

Création d’un Organe de Coopération Économique
Le Grand Kah défend une coopération économique active entre les membres, reposant sur la solidarité et la planification démocratique. Il soutient la création d’un cadre économique commun favorisant l’entraide entre les économies locales et les coopératives, tout en se méfiant de toute structure qui pourrait s’apparenter à un organe bureaucratique pesant. Son approche est duale : protection des économies locales contre l’impérialisme commercial et promotion d’un commerce équitable et autogéré entre membres du LiberalIntern.

  • Lancement d’un programme d’investissement, avec un fonds d’aide aux coopératives locales pour favoriser l’autonomie économique des peuples.
  • Développement d’un réseau d’ateliers et de manufactures mutualisées, garantissant la production locale de biens stratégiques (équipements médicaux, machines-outils, textiles, etc.).
  • Mise en place d’une monnaie de compensation intercommunale pour faciliter les échanges sans dépendre des devises dominantes (crypto-système décentralisé ou monnaie basée sur des valeurs réelles, extension du Devlib-Kah ou de toute autre devise dédiée spécifiquement à cette tâche).
  • Création d’un observatoire des pratiques économiques, chargé d’évaluer l’impact des échanges commerciaux.
  • Accord commun sur un abaissement des droits douaniers ou une politique économique commune et un partage des informations concernant les planifications et les besoins locaux.

Création d’une Agence de Presse Commune
Le Grand Kah, fort de son expérience en matière de propagande révolutionnaire et de diffusion culturelle, soutien cette initiative. Il défend la création d'une agence de presse libertaire dynamique, plurielle et indépendante des pouvoirs politiques, capable de porter la voix de l’Internationale face aux récits dominants des médias réactionnaires et capitalistes. Il propose une mise en commun de ses infrastructures médiatiques pour la diffusion des idéaux libertaires à travers le monde.

  • Développement d’un réseau de médias au sein du Liberalintern, composé de rédactions travaillant sur une plateforme commune.
  • Mise en place d’une banque d’images et de documents offrant aux membres des ressources journalistiques utilisables sans restriction.
  • Déploiement d’une radio et d’une web-TV Libertaire, garantissant une couverture des luttes en cours et une alternative aux médias mainstream.
  • Organisation de formations en journalisme libre et en contre-propagande, pour renforcer les capacités médiatiques des membres et lutter contre la désinformation.
  • Lancement d’un service de surveillance de la désinformation, chargé d’identifier et de contrer les campagnes médiatiques hostiles.

Détermination de la Ligne Politique et Stratégique de l’Internationale
Sur ce point, le Grand Kah adopte une ligne résolument interventionniste : le soutien aux révolutions et aux mouvements libertaires ne peut se limiter à des déclarations d’intention. Il plaide pour un appui concret aux luttes en cours, que ce soit par le biais d’une assistance logistique, d’un soutien financier ou d’une intervention directe dans les cas où l’équilibre des forces le permet. Il considère l’OND comme un espace à double tranchant, où des alliances peuvent être trouvées sans jamais perdre de vue la nécessité de contrecarrer ses tendances impérialistes. Quant à l’UICS, il voit en elle une structure sclérosée mais où des fissures peuvent être exploitées pour faire avancer les principes libertaires. Enfin, il met l’accent sur la nécessité d’un engagement plus poussé en Nazum et en Afarée, régions clés où l’Internationale doit agir avec force et clarté.

  • Définition d’un cadre d’intervention internationale, spécifiant les conditions sous lesquelles le LiberalIntern soutient militairement ou logistiquement un soulèvement révolutionnaire.
  • Mise en place d’un bureau de soutien aux luttes populaires, assurant un suivi et une coordination des aides logistiques et matérielles pour les mouvements révolutionnaires en cours.
  • Développement d’une stratégie d’expansion politique, visant à infiltrer et influencer les mouvements sociaux et syndicaux des pays non-alignés.
  • Renforcement de l’implantation en Nazum et en Afarée, avec la mise en place de cellules autonomes soutenant activement les luttes locales.

Pour aller plus vite je vous propose de voter "Pour", "Contre" "Neutre" pour chaque proposition, avec si nécessaire justification ou contre-proposition. Vous pourrez aussi avancer vos propres propositions auxquelles nous répondrons de la même manière.
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