11/05/2017
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Fédération des Communes de Kartvélie

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Création de pays : Fédération des Communes de Kartvélie


Généralités :



Nom officiel : Fédération des Communes de Kartvélie
Nom courant : Kartvélie
Gentilé : Kartvéliens, Kartvéliennes

Inspirations culturelles : Géorgie
Situation géographique :

Géographie

Langue(s) officielle(s) : kartuli ( Géorgien )
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Russe ( utilisé par des petites communauté du Nord ), Arménien ( Parlé par des petites communauté à l'Est ), Abkhaze et l'Ossète ( C'est langues sont très peu utilisé, cependant quelque communauté les utilises au sud )

Carte représentant les statistiques linguistique
Cette carte représente les locuteurs d'une deuxième langue. Elle indique les zones où une deuxième langue est traditionnellement parlée. Nous tenons à rappeler que, sur l'ensemble du territoire, le Kartuli est la langue dominante, tout en réaffirmant que certains habitants ont une deuxième langue maternelle enseignée par leur famille.

Nous souhaitons également rappeler que l'État enseigne uniquement le Kartuli dans les écoles. Malgré l'autorisation de parler d'autres langues que le Kartuli, l'ensemble des commerces, institutions et événements sont soumis à des règles linguistiques très claires. Des dérogations peuvent toutefois être accordées pour certains festivals ou entreprises.

Carte des langues

Drapeau :
Drapeau
Liste des dates et changement de drapeau :
812 avant J-C : Royaume de Kolkhibie
Drapeau

206 : le Kral de Kartvélie
Drapeau

951 : le Royaume de Kartvélie
Drapeau

1628 : Royaume de Kartvélie
Drapeau

1806 : Protectorat de la République de Kartvélie
Drapeau

1891 : République de Kartvélie
Drapeau

1920 : République Socialiste Soviétique de Kartvélie
Drapeau

1948 : République Socialiste Soviétique de Kartvélie
Drapeau

1998 : République de Kartvélie
Drapeau

2015 : Fédération des Communes de Kartvélie
.

Devise officielle : Prolétaires du Monde Entier, Unissez-vous !
Hymne officiel :

Monnaie nationale : Unitas

Capitale : Tbilgorod

Répartition des villes
Population : 4 297 000 habitants ( 89 habitants au km² )


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

3000 avant J.-C. : Émergence des premières civilisations de la région.

Cette époque, de -3000 jusqu'à -812, voit l'émergence de nombreuses civilisations, notamment les premiers peuples kartvéliens, mais aussi les premières civilisations arméniennes antiques ainsi que les Abkhazes et Ossètes en moindre proportion. Cette période est encore assez floue sur le plan historique en raison des difficultés archéologiques.

812 avant J.-C. : Fondation du Royaume de Kolkhibie, royaume fondateur de la Kartvélie.

Le Royaume de Kolkhibie est la forme antique du futur Royaume de Kartvélie. Ce royaume fut fondé par les premiers Kartvéliens, notamment Babken "le Bon", qui unifia les peuples culturels kartvéliens autour d'un grand royaume devenu un centre culturel et commercial régional prospère.

203 avant J.-C. : Fondation du Royaume des Deux, grand rival du Royaume de Kolkhibie.

Le Royaume des Deux fut un royaume très influent des peuples abkhaze et ossète, cherchant à rivaliser avec le puissant Royaume de Kolkhibie. Ce royaume se distinguait culturellement, économiquement et religieusement, avec des croyances proches de l'animisme, tandis que le Royaume de Kolkhibie suivait une mythologie divine liée à ses personnages historiques, dont Babken, considéré comme un demi-dieu.

108 avant J.-C. à 112 après J.-C. : Guerres kalviques, guerres opposant les Royaumes de Kolkhibie et le Royaume des Deux.

Cette période fut marquée par trois conflits majeurs entre les deux royaumes pour la domination régionale, provoqués par une attaque barbare sur un village de l'Est du Royaume de Kolkhibie par le Royaume des Deux. Ces guerres, souvent de nature religieuse, culminèrent avec la défaite et l'annexion du Royaume des Deux par le futur Empire de Kolkhibie.

206 après J.-C. : Invasion et annexion par l'Empire Kral.

Cet empire s'étendait de la Tcharnovie jusqu'à la Rus've et la Samara actuelles. Il était composé de plusieurs peuples slaves nomades incorporant d'autres peuples, notamment les Kaulthes, les Kartvéliens, les Rus've, ainsi que les peuples abkhaze et ossète.

Illustration de l'Empire Kral
HRP : Tous se qui concerne l'Empire Kral est harmonisé avec le Rus've, le Samara, le Luminor et la Tcharnovie

Empire Kral

421 : La Chute du Kral.

L'empire, mis en échec lors d'une seconde vague d'invasion, s'effondra. Les peuples autrefois opprimés se soulevèrent pour regagner leur indépendance, notamment les Kartvéliens qui prirent les armes contre l'Empire. Après de nombreux efforts, l'empire sombra définitivement, laissant place à de nombreux "Kral", dont le Kral de Kartvélie, contrôlant la région actuelle.

694 : Le Retour de l'Empire Kral.

Une effroyable guerre éclata lorsque l'Empire Kral revint envahir la Kartvélie. Six années de conflit furent nécessaires pour venir à bout du Kral de Kartvélie, qui fut annexé par l'empire précédemment chassé. Cette fois-ci, l'empire fut tyrannique et imposa un contrôle militaire, massacrant de nombreux habitants résistants. Cette période fit perdre près de 16 % de la population de Kartvélie.

951 : La coalition de libération.

Les Kartvéliens, sous la bannière de leur roi légitime, s'unifièrent. Le roi rallia les Abkhazes et Ossètes du Sud, promettant la libération de leur peuple (promesse non tenue, ils restèrent intégrés au Royaume de Kartvélie). L'Empire Kral subit d'importantes révoltes à l'Ouest. Voyant son ennemi affaibli, le roi de Kartvélie se rebella, proclamant le Royaume de Kartvélie. L'armée kartvélienne s'approcha rapidement de la capitale du Kral, qui décida de négocier la paix en libérant la Kartvélie et en divisant le royaume en trois.

1122 : Empereur David II, dit "Le Bâtisseur", unifie de nombreux peuples kartvéliens, propulsant l'empire à son apogée.

David II finit de rallier l'ensemble des peuples kartvéliens sous son étendard, bâtissant l'infrastructure et le commerce de l'empire. Il conquit également des territoires qualifiés de barbares, entraînant la Kartvélie à son apogée territoriale.

1128 : Guerre de conquête de l'Ouest, nommée la "Guerre des Épines".
Tableau célèbre :Tableau de la Guerre de conquête de l'Ouest, nommée la "Guerre des Épines"
L'Empereur David II, après avoir conquis les peuplades barbares de l'Est et du Sud, se lança dans son projet de Grande Kartvélie en déclarant la guerre aux cités de l'Ouest, actuellement connues sous le nom de Sainte-Union des Cités du Sud. Cependant, face aux difficultés et aux pertes subies, l'Empereur signa une paix blanche avec son ennemi pour se consolider face aux incursions de barbares venant de l'Est, de plus en plus fréquentes.

1360 : Invasion barbare des Slaves de l'Est, début du déclin de l'empire.

Une coalition barbare se forma pour piller l'empire, prenant celui-ci au dépourvu et causant un véritable massacre, notamment à Tbilgorod. L'empereur réussit finalement à rallier ses troupes et repoussa l'envahisseur, mais au prix de lourdes pertes qui amorcèrent le déclin de l'empire.

1628 : Division de l'empire donnant naissance au Royaume de Kartvélie que l'on connaît actuellement.

L'empire se divisa après la mort du dernier empereur, donnant naissance à de nombreux royaumes dont le Royaume de Kartvélie, entité principale de la région, avec une nouvelle dynastie. Cependant, de nombreux défis restaient à relever, notamment le redressement économique après la chute de l'empire.

1806 : Annexion par une puissance étrangère slave du Nord après la mort du dernier roi de Kartvélie.

Un empire que le roi pensait lointain envahit et annexa le royaume, toujours affaibli par rapport aux entités environnantes. Le royaume devint une dépendance de cet empire. Cependant, le suzerain ne fut pas tyrannique et contribua à relever le pays économiquement, contre quelques concessions, notamment l'imposition de la langue russe et une contribution économique et militaire.

1891 : Guerre d'indépendance après la chute de l'empire contrôlant la région.
Tableau célèbre :Tableau de la Guerre d'indépendance après la chute de l'empire
Après la mort de l'empereur, les royaumes annexés déclarèrent leur indépendance, mais au prix du sang. L'ancien empire ne comptait pas se laisser faire si facilement. La guerre dura trois ans et se termina par l'indépendance en 1894, après de lourdes pertes.

1920 : Annexion par les communistes slaves, intégrant la République de Kartvélie sous domination communiste, devenant la République Socialiste Soviétique de Kartvélie.

Profitant des troubles que subissait le royaume, une fédération de pays slaves communistes envahit et annexa le royaume, renversant le gouvernement et établissant une République Socialiste Soviétique, posant les bases modernes des institutions actuelles de la République de Kartvélie.

1963 : Dislocation de l'empire communiste, redonnant l'indépendance à la République de Kartvélie.

La crise monétaire de la fédération ne plut pas aux nombreux peuples de celle-ci, qui se rebellèrent en renversant le gouvernement et en déclarant leur indépendance. Ce qui officialisa l'indépendance fut le référendum approuvé par 87,21 % des Kartvéliens, devenant ainsi la République Socialiste de Kartvélie.

1998 : Révolution Rose, manifestations massives amenant à l'augmentation des libertés individuelles du peuple ainsi qu'aux institutions actuelles.

Cette révolution pacifique consista à bloquer l'ensemble du pays, forçant la démission du président et des dirigeants. Après de nouvelles élections, le pays devint l'actuelle République de Kartvélie, augmentant les droits et libertés individuelles du peuple, se détachant définitivement du communisme. Cependant, les années qui suivirent furent troublées par une série d'attentats communistes, stoppés par une répression intensive. Depuis 2003, le communisme est restreint dans le pays.

2006 : Révolution Économique, découverte de gisements massifs de gaz enrichissant grandement la nation, ouvrant la porte à l'aménagement infrastructurel que l'on connaît de nos jours.

Les progrès technologiques de l'époque poussèrent à l'exploration souterraine, révélant d'immenses gisements de gaz dans les sols de Kartvélie. Grâce à cela, le pays se redressa économiquement, devenant l'un des leaders mondiaux du gaz. Cette richesse fut investie dans des infrastructures modernes, faisant de la Kartvélie un exemple régional en quelques années.

2015 : Révolution Brune

Après plus d'un an de confrontation idéologique et géopolitique avec l'Estalie, son voisin du sud, la République de Kartvélie s'est effondrée sur elle-même suite à une Révolution comprenant une large partie de la population, de cellules anarchistes clandestines formées et armées par les Estaliens et par une partie de l'armée souhaitant renverser le gouvernement face aux échecs de Tbligorod à lutter contre les terroristes d'extrême droite de la Rache et à maintenir une crédibilité suffisante dans l'opinion publique. La Révolution a été un semi-succès, une partie du territoire a pu être saisie par les révolutionnaires et les forces armées kartvéliennes loyales à la Révolution mais le reste du territoire, pour ainsi dire les trois-quarts de celui-ci, sont tombés dans le chaos total, le reste de la République s'est effondré et s'est morcelé en de très nombreux micro-Etats réactionnaires. Après la Révolution, la Kartvélie ou ce qu'il en reste se reconstruira avec l'aide de son grand frère estalien.

Mentalité de la population :

Les citoyens de Kartvélie sont très attachés à leurs traditions et à leurs coutumes, où le respect est central, tout comme le travail. La population hérite d'un passé tumultueux, étant historiquement un peuple guerrier ainsi qu'un peuple de fermiers. La famille joue également un rôle important dans la société Kartvélienne.

Point culturel important :
La Culture du Cavalier et du cheval :

Les Kartvéliens disposent d'immenses plaines peuplées non seulement par des Kartvéliens mais aussi par des chevaux. Les troupeaux furent rapidement apprivoisés et utilisés dans la vie quotidienne des petites gens, puis finalement dans les guerres. Aujourd'hui, il existe encore des régiments de cavalerie dans l'armée.

De plus, les chevaux sont considérés comme des frères pour les Kartvéliens, ce qui se manifeste par la création et l'aménagement de terrains et d'abris réservés aux chevaux apprivoisés ainsi qu'aux chevaux sauvages. Dans ce pays, tuer un cheval est impardonnable, équivalent à l'assassinat d'un humain.

Les danses traditionnelles :

Les Kartvéliens, notamment ceux du Sud, se sont beaucoup inspirés des danses abkhazes et ossètes, ce qui a donné un style particulier aux danses kartvéliennes. Voici une représentation d'une de ces danses :


Place de la religion dans l'État et la société :

La religion orthodoxe est présente dans l'État ; cependant, bien que l'État ne soit pas officiellement laïc, celle-ci ne prend pas une place prépondérante dans les décisions des institutions. En revanche, le peuple est l'un des peuples les plus croyants au monde, avec près de 98,94 % de fidèles orthodoxes, ce qui serait dû à l'isolement du pays.

Événements liés à la religion, historiquement :

1er siècle : L'arrivée de l'Apôtre

L'Apôtre André arriva en Kartvélie au premier siècle pour prêcher la bonne parole, formant ainsi les premières communautés chrétiennes de la région. S'établissant à Kolkhibi, il commença la christianisation du territoire. Cependant, les autorités locales furent réticentes à laisser s'implanter cette nouvelle religion, reléguant les membres de cette communauté religieuse à la clandestinité.

382 : La conversion du seigneur Erekle Chkonia de Kolkhibi

Erekle Chkonia, alors seigneur de la grande ville de Kolkhibi, était un fervent défenseur de la liberté des Kartvéliens. Sa conversion changea l'histoire chrétienne de la région. La légende raconte que, perdu dans la montagne durant un hiver des plus meurtriers, il s'effondra dans la neige, résigné à son funeste sort. Cependant, l'Archange Uriel lui tendit la main pour éclairer son esprit sur la religion. Une force nouvelle l'envahit, le poussant vers la ville de Telavi où il raconta son récit. Aussitôt rentré chez lui, il autorisa la liberté de culte des chrétiens et fit même construire la Cathédrale Saint Uriel de Kolkhibi en plein centre de sa ville.

472 : Formation du Catholicosat de Tbilgorod

L'Église chrétienne du Kral de Kartvélie décida de devenir autonome en formant le Catholicosat de Tbilgorod, posant ainsi les premières bases de l'Orthodoxie dans la région.

681 : Mise en relation des églises orthodoxes de l'Est Eurysien

La mise en relation des églises orthodoxes de l'Est Eurysien aboutit à un accord informel de lutte contre toutes formes de dérive religieuse et de conversion des païens au christianisme orthodoxe. Cette décision renforça la popularité et l'influence de la religion, notamment en Kartvélie, par la conversion du Kral de Kartvélie à l'orthodoxie.

1122 : David II "Le Bâtisseur" et le croyant

David II, déclaré Empereur, était un fidèle de l'église orthodoxe de Kartvélie. Il fit construire de nombreuses églises ainsi que plusieurs cathédrales, faisant évoluer le Royaume de Kartvélie en un pilier central de l'Orthodoxie dans le monde. Grâce à lui, une culture religieuse kartvélienne s'implanta, entraînant la conversion totale des peuples kartvéliens à l'Église orthodoxe.

1361 : Le Massacre de Kazbegi

Lors de l'invasion barbare, un véritable massacre, qualifiable de génocide, eut lieu dans l'Est, notamment dans la ville martyre de Kazbegi, où 70 % des habitants furent massacrés ou déportés. De nombreuses villes de l'Est subirent le même sort à moindre échelle. Aujourd'hui, chaque 9 mai, les Kartvéliens commémorent le génocide des chrétiens de l'Est dans la ville de Kazbegi, où un imposant monument se dresse en lieu de pèlerinage et de souvenir.

1920 : La chute de l'église orthodoxe sous l'occupation

Les communistes, après l'adhésion à la Fédération, dénoncèrent l'influence de l'église dans le pays et réagirent en détruisant de nombreuses églises. En 1946, ils allèrent jusqu'à interdire l'accès à l'ensemble des cathédrales du pays, déclenchant de nombreuses émeutes. Finalement, cela conduisit à l'indépendance en 1963.

Carte des villes de Kartvélie


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Système Politique : Fédération semi-décentralisée de communes autogérées (le système politique de la nouvelle Fédération kartvélienne est étroitement copiée sur le modèle estalien).

Structure du pouvoir :

En somme, le système politique kartvélien et son fonctionnement restent étroitement liées au modèle estalien sur la plupart des points fondamentaux qui constituent le système en tant que tel. La Fédération dispose d'un gouvernement central comprenant un Président de la Fédération, des Commissions qui font office de Ministères et d'une assemblée nommée le Congrès Fédéral Kartvélien. En-dessous de la structure fédérale centrale, la Kartvélie est divisée en deux régions, elles-mêmes comprenant plusieurs centaines de communes et de villes avec des prérogatives autonomes très similaires à celle de l'Estalie. Tout comme l'Estalie, la Kartvélie ne possède pas à proprement parler de Constitution mais de ce qu'elle nomme un traité organisationnel nommé le Traité d'Organisation des Kartvéliens (TOK) qui est un ensemble de règlements qui, comme sur le modèle estalien de l'OMT, sert davantage au gouvernement fédéral kartvélien d'assurer la flexibilité des règles qui régissent la Fédération et ainsi modifier aisément les fondements de la Fédération en cas de défaillance.

Principaux personnages :

Plusieurs représentants au sein de la Révolution kartvélienne ont su s'élever au cours de la dite Révolution et ainsi acquérir une place notable dans la nouvelle scène politique de la Fédération révolutionnaire kartvélienne. Le premier, et certainement le plus imposant en terme d'influence au lendemain de la Révolution, n'est autre que Nikoloz Volka. Jeune étudiant en médecine d'origine kartvélienne, ayant étudié à Mistohir et connu pour être un jeune militant exacerbé du PCK, le parti communiste kartvélien, il a gagné une importante notoriété auprès de la jeunesse d'une part (membres actifs de la Révolution de fait) et surtout dans la diaspora communiste kartvélienne en Estalie en étant l'élement central de la redirection de la majorité des membres du parti vers l'Anarchisme Renouvelé. Participant à la création de la variante kartvélienne de l'Anarchisme Renouvelé, le Kartvéïsme, il va de ce fait propager cette idéologie jusqu'à qu'elle devienne majoritaire dans la gauche révolutionnaire kartvélienne et devienne le principal vecteur de la Révolution. Evidemment, peu le savent mais Nikoloz Volka est un pur pion du SRR et de l'Estalie en soit. Il est à la fois corrompu en partie mais personnellement très attaché à l'Estalie et aux directives de Mistohir. Il n'hésitera donc pas à suivre la volonté estalienne.
Nikoloz Volka.
La deuxième personnalité la plus importante de la Révolution n'est autre qu'Adrian Sokulis. Celui-ci est un cadre expérimenté du PCK. Considéré comme réformiste et modéré, il cherchait comme la plupart du PCK à réformer profondément la ligne idéologique du parti afin que celui-ci soit en adéquation avec les changements de la société kartvélienne. Cependant, sa modération a été assez mal vu par les partisans du changement radical vers l'husakisme. De ce fait, Adrian a perdu une large partie de son influence. Néanmoins, il représente toujours la partie modérée et réformiste de l'ancien parti et même si après la Révolution, il adhère en grande partie à l'installation de l'Anarchisme Renouvelé comme idéologie principale de la Fédération, il considère que la Kartvélie doit suivre son propre modèle à terme, encourager la pluralité politique et surtout doit rester indépendante. De ce fait, Adrian est partisan d'une alliance de longue durée avec l'Estalie mais refuse à ce que la souveraineté de la Kartvélie soit soumise par l'Estalie, souhaitant traiter Mistohir d'égal à égal en tant qu'alliés et non dans un rapport de dominant-dominé.
Adrian Sokulis.
La troisième grande personnalité de la Révolution, même si largement minoritaire et discrédité de tous depuis fort longtemps n'est autre que l'ancien secrétaire général du PCK, Ramaz Nemsadze. Ancien secrétaire général du parti, il a largement perdu l'autorité sur son parti quasiment dans les premiers jours qui ont suivis la Révolution de Novembre en Estalie, lorsqu'une partie va s'exiler en Estalie d'une part mais également lorsque le SRR va commencer à influencer le parti de l'intérieur, isolant le secrétaire général dans un noyau dur attaché au marxisme-léninisme. Davantage attaché aux principes eurycommunistes et au communisme autoritaire, Ramaz n'est que peu populaire et ne dispose que peu de soutien. Il souhaite rétablir la République Socialiste de Kartvélie et souhaite établir une politique isolationniste, ne considérant l'Estalie ni comme ami, ni comme ennemi.
Ramaz Nemsadze.
La quatrième personnalité de la Révolution, bien que n'étant pas politicien, n'est autre que l'ancien général en chef des armées terrestres kartvéliennes, Husik Dzhugashvili. Celui-ci, corrompu et népotique jusqu'à la moelle, a décidé de valider l'entrée des troupes de ses subordonnés mutins dans les rues de la capitale et a ainsi permis le succès de la Révolution. Ne s'opposant pas à la Révolution, il était donc forcé d'y adhérer. Husik n'est pas spécialement révolutionnaire, il cherche principalement à couvrir ses intérêts personnels. Il est actuellement à la solde du SRR et de l'Estalie qui assure son train de vie, sa protection et son poste. Néanmoins, sa loyauté reste ambivalente envers la Révolution, il est à la fois considéré comme une menace pour la Révolution mais aussi comme un instrument estalien très utile car sa mainmise sur sa loyauté par l'Estalie signifie de facto que l'armée kartvélienne est à la solde d'un Etat étranger.
Husik Dzhugashvili.
Enfin, pour terminer avec les personnalités kartvéliennes, on peut citer en mention honorable Sergei Tskitishvili. Un des délégués principaux du Mouvement Eurysien, un club politique estalien, Sergei a décidé de retourner en Kartvélie après la Révolution afin de poursuivre l'oeuvre révolutionnaire dans son pays natal. Il ne fait aucun doute que Sergei est non seulement un husakiste convaincu et donc allié de fait avec Nikoloz Volka mais il est également considéré comme un des porte-étendards du Mouvement Eurysien. Il est donc partisan d'une idée très simple : l'unification de l'Estalie et de la Kartvélie pour former ce qu'il appelle la Fédération des Peuples Eurysiens. Une idée simple en somme, qui rencontre encore des oppositions des deux côtés de la frontière mais qui n'empêche que l'idéologie husakiste tend vers cette idée aussi. N'est-ce pas Husak lui-même qui disait que le nationalisme et le patriotisme étaient les poisons de ce monde, divisant les hommes dans des frontières cloisonnés absurdes dont il fallait se débarrasser ? il n'existait qu'une nation, celle du genre humain. L'unification de la Kartvélie et de l'Estalie, pour Sergei, est le point de départ vers l'unification du genre humain.
Sergei Tskitishvili.

Politique internationale :

Globalement, la Fédération des Communes de Kartvélie aura une politique très axée sur celle de l'Estalie étant donné que dans les premiers temps de la Révolution, la survie de la Révolution va reposer sur l'aide économique et militaire estalienne pour venir en aide à leurs camarades kartvéliens. Il est donc certain que la Kartvélie suivra les actions de la Commission aux Relations Extérieures estalienne dans un premier temps et s'alignera sur les positions estaliennes.

Ressources naturelles Kartvéliennes :
Les Minéraux :

La Kartvélie produit, utilise et exporte de nombreux minéraux présents sur son territoire national. Principalement, le manganèse est utilisé dans les alliages, comme désoxydant et désulfurant, ainsi que dans différents types de batteries et de catalyseurs. Il est également utilisé comme pigment et additif. Le manganèse est nécessaire à la fabrication de certains médicaments en plus de ses valeurs nutritionnelles. Pour terminer sur le manganèse, ce minéral est utilisé dans la décoloration de la verrerie ainsi que dans la céramique.

Il est bon de noter que la Kartvélie extrait également du cuivre, du plomb, du zinc et de petites quantités d'or.

Agriculture :

La Kartvélie est connue pour sa production viticole particulièrement renommée sur le plan international, produite essentiellement dans la région du Haut Kolkhibie. En effet, cette région apporte un vin particulier en raison de la présence de manganèse dans son sol, donnant l'appellation "Kazbegi" ou "Vin Kazbegi" par le célèbre producteur Aram Kazbegi.

La Kartvélie produit également de nombreux agrumes, noix, pommes et pratique l'agriculture maraîchère.

Industrie Forestière :

Le territoire kartvélien est composé de 43 % de forêt, ce qui permet une industrie forestière propice. La Kartvélie bénéficie d'une diversité forestière comprenant des chênes, des hêtres, des pins, des sapins et des épicéas.

Le gouvernement kartvélien s'est engagé dans la préservation des forêts, notamment avec une gestion forestière pointilleuse, en pratiquant la sylviculture durable afin de préserver la biodiversité et la régénération des forêts. Le gouvernement déploie également des efforts de lutte contre la déforestation illégale ainsi que sur la prévention et la promotion de la reforestation.

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