Encyclopédie sur la Province du Qin.
⮚ I. GÉNÉRALITÉS
⮚ II. HISTOIRE
⮚ III. GÉOGRAPHIE ET CLIMAT
⮚ IV. ORGANISATION ADMINISTRATIVE
⮚ V. DÉMOGRAPHIE
⮚ VI. ÉCONOMIE
⮚ VII. TRANSPORT
⮚ VIII. POLITIQUE
⮚ IX. ÉDUCATION
⮚ X. CULTURE
[ENCYCLOPEDIE] La Province du Qin
Posté le : 11 nov. 2024 à 18:19:08
277
Encyclopédie sur la Province du Qin.
⮚ I. GÉNÉRALITÉS
⮚ II. HISTOIRE
⮚ III. GÉOGRAPHIE ET CLIMAT
⮚ IV. ORGANISATION ADMINISTRATIVE
⮚ V. DÉMOGRAPHIE
⮚ VI. ÉCONOMIE
⮚ VII. TRANSPORT
⮚ VIII. POLITIQUE
⮚ IX. ÉDUCATION
⮚ X. CULTURE
Posté le : 11 nov. 2024 à 21:20:43
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🙞 CHAPITRE PREMIER 🙜
Généralités.
Le Qin (en lingois classique 秦省 et en lingois standard : Qin sheng), est une province constitutive de l'empire du Grand Ling, dont la capitale est également la capitale fédérale du Grand Ling, Neijing. Avec une population totale de 53,6 millions d'habitants en 2013 sur une superficie de 52'796 km², la Province est la première du pays par sa population et la cinquième par sa taille. Le Qin est divisé en quatre comtés et est bordé à l'ouest par le Chuangzhi, au nord par le Hexie et la mer du ling, à l'est par la mer du ling et au sud par le Longwu. La majeure partie de la population de la province vit sur le littoral dont l'urbanisation intensive menace les espaces sauvages.
Cœur de l'empire lingois depuis des siècles, le Qin était connu sous le titre informel de Domaine Impérial jusqu'à la Constitution de 1967. En effet, l'Empereur administrait directement la province. Lors de la période libérale, les idées libertaires et égalitaires qui avaient déjà atteint les autres provinces eurent raison de ce particularisme. Le 15 janvier 1966, l'Empereur rédigea un décret introduisant des élections régionale et le droit de vote aux locaux pour un Gouverneur et une Cour Législative régionale en lieu et place des administrateurs nommés par l'Empereur lui-même.
Province du Qin
秦省 / Qin sheng
Drapeau du Qin.
Carte du Qin. 
Administration
Pays :
Grand Ling
Capitale : Neijing
Acte d'Union : 08 mai 1824. (6ᵉ province)
Gouverneur : ZHANG Ying (Union) ♀
Nombre de Pairs : 35
Nombre de députés : 66
Identifiant postal : LIN01
Fuseau horaire : KMT +17
Démographie
Gentilé : Qinanese
Population (2013) : 53'621'124 hab
Densité : 1016 hab./km²
Rang : 01ᵉ
Ville la plus peuplée : Neijing
Géographie
Altitude : 110m
Rang : 5ᵉ
Divers
Langue officielle : Lingois et anglais
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Généralités.
Cœur de l'empire lingois depuis des siècles, le Qin était connu sous le titre informel de Domaine Impérial jusqu'à la Constitution de 1967. En effet, l'Empereur administrait directement la province. Lors de la période libérale, les idées libertaires et égalitaires qui avaient déjà atteint les autres provinces eurent raison de ce particularisme. Le 15 janvier 1966, l'Empereur rédigea un décret introduisant des élections régionale et le droit de vote aux locaux pour un Gouverneur et une Cour Législative régionale en lieu et place des administrateurs nommés par l'Empereur lui-même.
秦省 / Qin sheng
Drapeau du Qin.
Pays :
Grand LingCapitale : Neijing
Acte d'Union : 08 mai 1824. (6ᵉ province)
Gouverneur : ZHANG Ying (Union) ♀
Nombre de Pairs : 35
Nombre de députés : 66
Identifiant postal : LIN01
Fuseau horaire : KMT +17
Gentilé : Qinanese
Population (2013) : 53'621'124 hab
Densité : 1016 hab./km²
Rang : 01ᵉ
Ville la plus peuplée : Neijing
Altitude : 110m
- Min. 0m
Max. 231 m (Mont Jing)
Rang : 5ᵉ
Langue officielle : Lingois et anglais
Posté le : 11 nov. 2024 à 22:56:01
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🙞 CHAPITRE DEUX 🙜
Histoire.
Avant de devenir le coeur politique de l'Empire, le territoire de l'actuel Qin était peuplé par des tributs de chasseur-cueilleur qui seraient arrivés à la suite des grandes migrations de 90'000 av. J.-C. Des fouilles réalisées dans les années 1930 attestent, par ailleurs, de la présence de poteries dont les datations au carbone 14 les font remonter entre 20'000 et 15'000 av. J.-C.
L'écriture apparait dans la région du Qin vers 2'000 à 1'000 av. J.-C. en parallèle de Kota Tua ou le Wujiang. Finalement, ces découvertent ont fait suspecter l'existence de la civilisation Zuxian, ancêtre commun à l'écrasante majorité des ethnies lingoises. A partir du septième siècle avant Jésus-Christ, l'ethnie des Qin domine la région éponyme ce qui conduira à l'émergence de la toute première dynastie impériale du Grand Ling, la Dynastie Qin qui règnera en maître sur une bonne partie du territoire jusqu'en -60. La Dynastie Qin ayant posé les bases de l'empire lingois et ayant dominé largement les autres ethnies tant sur le plan politique, militaire que économique et culturel ; le Qin et l'actuel emplacement de Neijing a été à de nombreuses périodes de l'histoire le centre économique et politique des différentes dynasties.
A partir du XIXe siècle, le Qin connaît un développe rapide poussé par la Dynastie Ling qui veut industrialiser le pays, relancer l'économie et sortir de l'isolationnisme de la fin des Liang. De ce fait, un exode massif des campagnes vers la Province du Qin est constaté conduisant les villes à s'étaler de plus en plus et les industries à fleurir de plus en plus, ayant une main d'œuvre extrêmement abondante et peu cher.
Cet afflux massif va conduire à une hausse significative de la densité de population dans la Province conduisant jusqu'en 1832 à une épidémie de choléra car les systèmes d'assainissement et les points d'eaux potables ne furent pas en capacité d'encaisser autant de monde en si peu de temps.
La Province du Qin fut la première à voir ses villes équipées en eau courante et en éclairage au gaz dans ses villes à partir de 1838. Les lingois s'en servaient déjà au Iᵉʳ siècle av. J.-C. pour produire du sel par l'intermédiaire de puit à saumure et de conduite en bambou. C'est sous l'impulsion des commerçants occidentaux qui profitent du nouveau marché lingois pour équiper leurs demeures que les autorités impériales se saisisse de la technologie pour moderniser les villes du domaine impérial. D'abord réservé aux fonctionnaires puis aux bourgeois, le Qin bénéficie de large subventions impériales pour refaire ses villes et les adapter à une occenditalisation du pays.
En 1878, la première exposition industrielle du Grand Ling est organisée. Si à l'étranger elle est discrète, de nombreuses entreprises nazuméennes y viennent et elle accueille en tout 5 millions de spectateurs par jours ce qui pousse les autorités à développer fortement le réseau ferroviaire pour les prochaines éditions de 1880 et 1882. Finalement la dernière a lieu en 1878 faute d'intérêt.
En 1925, la première route en enrobé bitumineux est inaugurée. Elle relie Neijing à Lianyuan. Cette même année, un service de PTT est inauguré et permet de relier toutes les grandes villes entre elles, cinq ans après la mise en place de stations radiotélégraphiques sur tout le littoral pour guider les navires en mer du ling.
À compter de 1934, le gaz d'éclairage est progressivement remplacé dans les villes par un éclairage électrique. L'inauguration de la première centrale à charbon de plus de 20 MW de puissance permit d'accélérer la chose en plus de renforcer l'industrialisation de la Province.
En 1940, le Qin était la province la plus riche du Grand Ling ainsi que la plus peuplée et la plus moderne. L'industrie automobile commença à s'y développer et la consommation des ménages augmenta tout en restant plus moderne qu'au Fujiwa ou au Jashuria.
La deuxième moitié du XXe siècle ouvrit l'ère de l'émancipation. Les femmes lingoises de la province cherchaient à reproduire l'idéal des puissances occidentales ou occidentalisées libérales, coupant de plus en plus avec la tradition dans une ambiance conservatrice très marquée. Finalement, le paroxysme de cela fut le changement de statut de la province en 1966 pour devenir un territoire libre d'élection et non plus dirigé par l'Empereur en personne et son administration tentaculaire.
Aujourd'hui encore, la Province du Qin est la plus riche du pays avec Zhenzhou. La qualité de vie et des infrastructures est en contraste total avec le reste du pays.
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Histoire.
L'écriture apparait dans la région du Qin vers 2'000 à 1'000 av. J.-C. en parallèle de Kota Tua ou le Wujiang. Finalement, ces découvertent ont fait suspecter l'existence de la civilisation Zuxian, ancêtre commun à l'écrasante majorité des ethnies lingoises. A partir du septième siècle avant Jésus-Christ, l'ethnie des Qin domine la région éponyme ce qui conduira à l'émergence de la toute première dynastie impériale du Grand Ling, la Dynastie Qin qui règnera en maître sur une bonne partie du territoire jusqu'en -60. La Dynastie Qin ayant posé les bases de l'empire lingois et ayant dominé largement les autres ethnies tant sur le plan politique, militaire que économique et culturel ; le Qin et l'actuel emplacement de Neijing a été à de nombreuses périodes de l'histoire le centre économique et politique des différentes dynasties.
A partir du XIXe siècle, le Qin connaît un développe rapide poussé par la Dynastie Ling qui veut industrialiser le pays, relancer l'économie et sortir de l'isolationnisme de la fin des Liang. De ce fait, un exode massif des campagnes vers la Province du Qin est constaté conduisant les villes à s'étaler de plus en plus et les industries à fleurir de plus en plus, ayant une main d'œuvre extrêmement abondante et peu cher.
Cet afflux massif va conduire à une hausse significative de la densité de population dans la Province conduisant jusqu'en 1832 à une épidémie de choléra car les systèmes d'assainissement et les points d'eaux potables ne furent pas en capacité d'encaisser autant de monde en si peu de temps.
La Province du Qin fut la première à voir ses villes équipées en eau courante et en éclairage au gaz dans ses villes à partir de 1838. Les lingois s'en servaient déjà au Iᵉʳ siècle av. J.-C. pour produire du sel par l'intermédiaire de puit à saumure et de conduite en bambou. C'est sous l'impulsion des commerçants occidentaux qui profitent du nouveau marché lingois pour équiper leurs demeures que les autorités impériales se saisisse de la technologie pour moderniser les villes du domaine impérial. D'abord réservé aux fonctionnaires puis aux bourgeois, le Qin bénéficie de large subventions impériales pour refaire ses villes et les adapter à une occenditalisation du pays.
En 1878, la première exposition industrielle du Grand Ling est organisée. Si à l'étranger elle est discrète, de nombreuses entreprises nazuméennes y viennent et elle accueille en tout 5 millions de spectateurs par jours ce qui pousse les autorités à développer fortement le réseau ferroviaire pour les prochaines éditions de 1880 et 1882. Finalement la dernière a lieu en 1878 faute d'intérêt.
En 1925, la première route en enrobé bitumineux est inaugurée. Elle relie Neijing à Lianyuan. Cette même année, un service de PTT est inauguré et permet de relier toutes les grandes villes entre elles, cinq ans après la mise en place de stations radiotélégraphiques sur tout le littoral pour guider les navires en mer du ling.
À compter de 1934, le gaz d'éclairage est progressivement remplacé dans les villes par un éclairage électrique. L'inauguration de la première centrale à charbon de plus de 20 MW de puissance permit d'accélérer la chose en plus de renforcer l'industrialisation de la Province.
En 1940, le Qin était la province la plus riche du Grand Ling ainsi que la plus peuplée et la plus moderne. L'industrie automobile commença à s'y développer et la consommation des ménages augmenta tout en restant plus moderne qu'au Fujiwa ou au Jashuria.
La deuxième moitié du XXe siècle ouvrit l'ère de l'émancipation. Les femmes lingoises de la province cherchaient à reproduire l'idéal des puissances occidentales ou occidentalisées libérales, coupant de plus en plus avec la tradition dans une ambiance conservatrice très marquée. Finalement, le paroxysme de cela fut le changement de statut de la province en 1966 pour devenir un territoire libre d'élection et non plus dirigé par l'Empereur en personne et son administration tentaculaire.
Aujourd'hui encore, la Province du Qin est la plus riche du pays avec Zhenzhou. La qualité de vie et des infrastructures est en contraste total avec le reste du pays.
Posté le : 11 nov. 2024 à 22:56:29
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🙞 CHAPITRE TROIS 🙜
Géographie et Climat.
Géographie
Carte du Qin 🔎
Le Qin est bordé par le Chuangzhi à l'ouest dont une partie de la frontière est matérialisée par le Longhe, par la mer du Ling au nord et à l'est, par le Hexie au nord et au sud par le Longwu. Sa superficie de 52'796 km² en fait la cinquième province en termes de taille sur une liste en comptant sept. Sa population est, elle, estimée à 53'621'124 habitants en 2013.
La capitale du Qin est Neijing, également capitale fédérale de l'Empire. Neijing concentre, par ailleurs, la plus grosse population de la Province avec 22'471'729 habitants en 2013.
On peut distinguer trois régions naturelles que sont les plaines azuréennes, les Grandes Plaines et le plateau de Taidi (台地, litt. « petit plateau ») qui est en fait une très légère surélévation liée à la présence des Lianhua non loin.
Plaines azuréennes : Ces dernières s'étendent de Shucheng (Hexie) jusqu'à Lianhai pour la partie purement qinanese bien qu'il faille en fait parler de la quasi-intégralité du littoral azuréen du Grand Ling. Composée principalement de dépôts sédimentaires relativement récents, l'agriculture y était la principale activité jusqu'aux années 1960 où l'afflux massif de lingois et la hausse de la natalité lié à l'amélioration des conditions de vie eurent raison de cette activité. Celle-ci fut progressivement chassée plus vers les terres par les pouvoirs publics et les promoteurs immobiliers. Aujourd'hui, les plaines azuréennes subissent de plein fouet les méandres de la bétonisation des sols et notamment de l'érosion du littoral, essentiellement dans l'agglomération neijiganese et baishuinese. De nos jours, de nombreux programmes privés et certaines municipalités cherchent à renaturaliser le front de mer pour limiter l'érosion et recréer des niches écologiques, notamment d'oiseaux, pour limiter la prolifération de nuisibles comme les moustiques.
Grandes Plaines : Bien qu'elles commencent aux confins du Wujiang, les Grandes Plaines s'étendent largement dans le Qin, bénéficiant du Longhe pour y pomper de larges quantités d'eaux servant à l'irrigation. Les Grandes Plaines représentent la majorité du territoire qinanese et l'agriculture y est la principale activité. En outre, on y trouve quelques richesses dans son sol qui en font un territoire de plus en plus convoité par les industriels lingois qui doivent faire fasse à l'augmentation de la demande en biens manufacturés. On y retrouve également quelques aires naturelles protégées, notamment autour de Lingchuan, à la confluence du Longhe mais également près de Haiyuan, ou de Baotai. L'étalement urbain est cependant un défis croissant pour le maintien de ses aires naturelles comme pour le maintien des exploitations agricoles. En 2001 par exemple, les Grandes Plaines perdirent l'équivalent de 1'500 km² de leur superficie naturelle ou semi-naturelle au profit de la bétonisation et de l'étalement urbain. Le comté de Qinglongzhou où se trouve Neijing est d'ailleurs le plus gros destructeur de cet espace.
Plateau Taidi : Situé à la frontière entre le comté de Qinglongzhou et celui de Mingyung, non loin de Lianyuan ; il s'agit en fait des restes des Lianhua qui s'étendaient bien plus loin, il y a plusieurs millions d'années. Le point culminant du plateau est d'ailleurs celui du Qin avec le mont Jing culminant à 231 m d'altitude ce qui en fait la plus petite montagne du Grand Ling et des Lianhua. Recouvert principalement d'un forêt secondaire, le Taidi est également un lieu de villégiature, car encore relativement bien préservé par l'étalement urbain malgré sa proximité avec Neijing ou Lianyuan. Il est d'ailleurs traversé par la VE10 et la VE12 qui vont jusqu'à Huanyuan (Chuangzhi). En 1988, le Plateau à faillit être détruit lorsque les forages en vue de construire les tunnels des VE10 et VE12 furent réalisés. En effet, une importante quantité de cuivre et de chalcopyrite pouvant indiquer la présence d'or y furent découverts. Cependant l'Empereur lui-même fit interdire toute vente ou cession du plateau, surtout, car la forêt située en surface était un lieu de chasse privilégié de la Famille Impériale.
Climat
Comme pour la majorité du Grand Ling, le Qin bénéficie d'un climat subtropical-humide expliqué par la proximité avec l'équateur, mais aussi parce que sa position entre les Lianhua et les Yushan font que la majorité des nuages y stagnent malgré de forts vents marins et sa position dans un couloir. Ainsi, les précipitations annuelles varient de 1'000 à 2'000 millimètres avec une moyenne globale à 1'193 mm soit plus ou moins 130 jours de pluie par an, principalement six mois de l'année durant la saison humide qui s'étend de fin mai/début juin.
Les températures, quant à elles, varient généralement de 16° à 29°C avec une moyenne annuelle à 23,2°C. Lors de la canicule de 2001, le record de température du pays fut battu à Neijing où il fit 38,7°C le 20 juillet. Ces températures offrent une qualité de vie et surtout une forte abondance en végétation qui profitent à l'agriculture. C'est également l'une des raisons qui justifie l'augmentation de la population sur les littoraux, cherchant les vents frais du large ainsi que le rafraichissement des baignades. Les sports nautiques, malgré la saison des pluies, sont d'ailleurs abondants et on recense une forte population de surfeur, culture importée du Lanhu et venant elle-même de Tairopototo au Burujoa.
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Géographie et Climat.
Géographie
Carte du Qin 🔎
Le Qin est bordé par le Chuangzhi à l'ouest dont une partie de la frontière est matérialisée par le Longhe, par la mer du Ling au nord et à l'est, par le Hexie au nord et au sud par le Longwu. Sa superficie de 52'796 km² en fait la cinquième province en termes de taille sur une liste en comptant sept. Sa population est, elle, estimée à 53'621'124 habitants en 2013.
La capitale du Qin est Neijing, également capitale fédérale de l'Empire. Neijing concentre, par ailleurs, la plus grosse population de la Province avec 22'471'729 habitants en 2013.
On peut distinguer trois régions naturelles que sont les plaines azuréennes, les Grandes Plaines et le plateau de Taidi (台地, litt. « petit plateau ») qui est en fait une très légère surélévation liée à la présence des Lianhua non loin.
Plaines azuréennes : Ces dernières s'étendent de Shucheng (Hexie) jusqu'à Lianhai pour la partie purement qinanese bien qu'il faille en fait parler de la quasi-intégralité du littoral azuréen du Grand Ling. Composée principalement de dépôts sédimentaires relativement récents, l'agriculture y était la principale activité jusqu'aux années 1960 où l'afflux massif de lingois et la hausse de la natalité lié à l'amélioration des conditions de vie eurent raison de cette activité. Celle-ci fut progressivement chassée plus vers les terres par les pouvoirs publics et les promoteurs immobiliers. Aujourd'hui, les plaines azuréennes subissent de plein fouet les méandres de la bétonisation des sols et notamment de l'érosion du littoral, essentiellement dans l'agglomération neijiganese et baishuinese. De nos jours, de nombreux programmes privés et certaines municipalités cherchent à renaturaliser le front de mer pour limiter l'érosion et recréer des niches écologiques, notamment d'oiseaux, pour limiter la prolifération de nuisibles comme les moustiques.
Grandes Plaines : Bien qu'elles commencent aux confins du Wujiang, les Grandes Plaines s'étendent largement dans le Qin, bénéficiant du Longhe pour y pomper de larges quantités d'eaux servant à l'irrigation. Les Grandes Plaines représentent la majorité du territoire qinanese et l'agriculture y est la principale activité. En outre, on y trouve quelques richesses dans son sol qui en font un territoire de plus en plus convoité par les industriels lingois qui doivent faire fasse à l'augmentation de la demande en biens manufacturés. On y retrouve également quelques aires naturelles protégées, notamment autour de Lingchuan, à la confluence du Longhe mais également près de Haiyuan, ou de Baotai. L'étalement urbain est cependant un défis croissant pour le maintien de ses aires naturelles comme pour le maintien des exploitations agricoles. En 2001 par exemple, les Grandes Plaines perdirent l'équivalent de 1'500 km² de leur superficie naturelle ou semi-naturelle au profit de la bétonisation et de l'étalement urbain. Le comté de Qinglongzhou où se trouve Neijing est d'ailleurs le plus gros destructeur de cet espace.
Plateau Taidi : Situé à la frontière entre le comté de Qinglongzhou et celui de Mingyung, non loin de Lianyuan ; il s'agit en fait des restes des Lianhua qui s'étendaient bien plus loin, il y a plusieurs millions d'années. Le point culminant du plateau est d'ailleurs celui du Qin avec le mont Jing culminant à 231 m d'altitude ce qui en fait la plus petite montagne du Grand Ling et des Lianhua. Recouvert principalement d'un forêt secondaire, le Taidi est également un lieu de villégiature, car encore relativement bien préservé par l'étalement urbain malgré sa proximité avec Neijing ou Lianyuan. Il est d'ailleurs traversé par la VE10 et la VE12 qui vont jusqu'à Huanyuan (Chuangzhi). En 1988, le Plateau à faillit être détruit lorsque les forages en vue de construire les tunnels des VE10 et VE12 furent réalisés. En effet, une importante quantité de cuivre et de chalcopyrite pouvant indiquer la présence d'or y furent découverts. Cependant l'Empereur lui-même fit interdire toute vente ou cession du plateau, surtout, car la forêt située en surface était un lieu de chasse privilégié de la Famille Impériale.
Climat
Les températures, quant à elles, varient généralement de 16° à 29°C avec une moyenne annuelle à 23,2°C. Lors de la canicule de 2001, le record de température du pays fut battu à Neijing où il fit 38,7°C le 20 juillet. Ces températures offrent une qualité de vie et surtout une forte abondance en végétation qui profitent à l'agriculture. C'est également l'une des raisons qui justifie l'augmentation de la population sur les littoraux, cherchant les vents frais du large ainsi que le rafraichissement des baignades. Les sports nautiques, malgré la saison des pluies, sont d'ailleurs abondants et on recense une forte population de surfeur, culture importée du Lanhu et venant elle-même de Tairopototo au Burujoa.
Posté le : 11 nov. 2024 à 22:56:53
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🙞 CHAPITRE QUATRE 🙜
Organisation administrative.
La Province du Qin jouit d'une grande autonomie par l'intermédiaire de la Constitution de 1967 qui définie les pouvoirs dont disposent les provinces dans son article quatre relatif aux Droits de l'État fédéral. Ainsi, on retrouve les articles vingt-cinq et vingt-six qui forment la base commune de la législation provinciale du Grand Ling. D'autres articles de la Constitution complètent ceux du chapitre quatre par exemple au chapitre douze avec l'article cent vingt-deux relatif aux modalités de fonctionnement des provinces. Celui-ci définie par exemple le fait que chaque province doit se doter d'une Cour Législative, ainsi que de représentants.
Gouvernement
La branche exécutive du Qin, comme toutes les autres provinces, est dirigé par un gouverneur et son cabinet, appelé Bureau du Gouverneur. Ils sont élus pour quatre ans, le Gouverneur étant en fait la tête de liste élue. C'est l'article cent vingt-deux de la Constitution qui définie cela. À l'image de l'État fédéral, la Province dispose de plusieurs administrations locales pour gérer les affaires courantes et sont compétentes dans les domaines de l'Économie (incluant la fiscalité), la culture, les sports, le développement provincial, la santé publique, l'Instruction, le tourisme, les transports ou encore les collectivités territoriales de degré inférieur, entre autres choses. En général, les différents Départements provinciaux font appel à des agences pour une partie de leurs actions. Celles-ci peuvent être entièrement autonomes bien que rattaché au Bureau du Gouvernement comme la Commission Provinciale du contrôle des procédures électorales. D'autres agences sont directement créées pour gérer des aspects entiers de la vie locale comme la gestion du personnel et des relations du travail, les inspecteurs des audits, le contrôle des actions des forces de l'ordre ou la gestion de l'eau pour ne citer que ces exemples. Enfin, le pouvoir exécutif peut également compter sur des entreprises publiques pour certains services qui sont directement ou non rattachés aux Départements provinciaux par l'intermédiaires d'agences comme ce qui concerne l'assainissement de l'eau. Ce curieux découpage s'explique par la volonté de certains pouvoirs publics de créer des agences communes entre provinces et municipalités ou comtés et donc d'éviter un trop gros millefeuille administratif. De fait, pour simplifier la gestions entre acteurs, les agences servent de plateforme commune.
La branche législative, comme toutes les autres provinces aussi, est dirigée par la Cour Législative de la Province. L'article cent vingt-et-un de la Constitution définie les modalités d'élection de la Cour Législative du Qin comme de toutes les cours provinciales. Il y est défini que les représentants sont élus proportionnellement à la population des comtés qu'ils représentent et pour quatre ans sans restriction de mandat. Ils sont élus au suffrage universel direct par tout citoyen résidant dans le comté depuis plus d'un an. La Cour Législative provinciale est compétente pour préparer, voter ou abolir les lois provinciales ; faire voter le budget de la province soumis par le Gouverneur ; approuver les comptes et contrôler les activités des organismes provinciaux par le biais de la commission d'enquête ou du vote de confirmation. Elle peut voter contre le Gouverneur une motion de censure qui requiert la majorité des trois quatre de la Cour Législative réunie en assemblée extraordinaire.
Siège de la Cour Législative du Qin,
sur Great Harmony Park à Neijing 🔎
Les citoyens du Qin ont également un droit de regard sur les activités de la Cour Législative et du Bureau du Gouverneur. En effet, ils peuvent demander par référendum d'initiative populaire la mise en place d'une loi, son amendement ou son retrait à condition d'obtenir le bon nombre de voix, fixé par la loi. Les citoyens peuvent par ailleurs faire appel à un référendum révocatoire dont le but est de retirer son mandat à un élu pour le remplacer par un autre. Toutefois, ce dernier point n'est utilisé que dans très peu de circonstances au niveau de la Province et est plutôt adapté aux comtés ou aux municipalités. Là aussi, le nombre de voix nécessaire est défini par la loi.
Le Qin n'est pas la seule province où ces deux procédés sont en place. En effet, à Zhenzhou, dans le Hexie et dans le Lanhu, des procédures similaires existent. Si celle-ci ont des particularités, on note cependant un procédé semblable aussi bien pour le RIP que le RR.
ZHANG Ying est la gouverneure du Qin depuis le 30 juillet 2013 date à laquelle sa liste remporte les élections face au gouverneur sortant, LI Jian. Du fait de l'originalité de l'élection, celle-ci eut énormément d'impact au niveau national et fit la une des médias durant des mois. En effet, outre le fait que LI Jian était le Gouverneur depuis quinze ans, c'est aussi la première fois qu'une femme se présentait et était bien placée pour gagner une élection provinciale de l'histoire du Grand Ling. Par ailleurs, l'élection fit énormément réagir parce qu'elle fut extrêmement serrée, mais aussi du fait de nombreuses polémiques liées à des actes supposés de harcèlement ou d'abus sexuels et de misogynie. Finalement ZHANG Ying est élue à 2'000 voix près faisant d'elle la gouverneure la plus influente du Grand Ling mais également l'une des femmes les plus influentes du pays en dehors de la Famille Impériale.
Madame la gouverneure ZHANG Ying, portrait officiel. 🔎
Source HRP Jennifer Yang, première sino-australienne élue à la chambre des représentants du Parlement australien (de ce que j'ai compris).
Subdivisions
Le Qin, comme certaines autres provinces du Grand Ling ont un échelon intermédiaire entre le comté et la municipalité, c'est le district. Le district est géré par les comtés eux-mêmes et n'ont aucun pouvoir juridictionnel. Ils servent surtout pour l'administration, les statistiques ainsi que pour faciliter les démarches liées aux élections. Au Qin, il y a quatre comtés qui sont divisés en trente-huit districts dont le plus grand est le district de Longhua. Situé dans le comté de Qinglongzhou et d'une superficie de 6'340 km², il ne comporte qu'une seule municipalité : celle de Neijing. Le district de Longhua est issue d'une fusion de trois anciens districts lors de la réforme urbaine de 2002 durant laquelle la ville de Neijing intégra huit autres villes dans ses frontières métropolitaines. Le plus petit des districts du Qin est également dans le comté de Qinglongzhou, il s'agit du district de Qingshui qui s'étend sur une superficie de 693 km².
Liste des districts par comté :
Tous les districts ont au minimum une municipalité mais il peut arriver que certains districts en aient plusieurs. Notamment quand ceux-ci sont très gros ou qu'il y a une forte concentration de municipalité sur le territoire. Dans la Province du Qin, on compte pas moins de vingt-cinq municipalités de plus de 150'000 habitants. Parmis elles, il y a évidemment la capitale de chaque comté. Bien souvent, d'ailleurs, le nom du district est également celui de sa municipalité principale.
Liste des municipalités principales par comté :
En gras la capitale comtale.
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Organisation administrative.
Gouvernement
La branche exécutive du Qin, comme toutes les autres provinces, est dirigé par un gouverneur et son cabinet, appelé Bureau du Gouverneur. Ils sont élus pour quatre ans, le Gouverneur étant en fait la tête de liste élue. C'est l'article cent vingt-deux de la Constitution qui définie cela. À l'image de l'État fédéral, la Province dispose de plusieurs administrations locales pour gérer les affaires courantes et sont compétentes dans les domaines de l'Économie (incluant la fiscalité), la culture, les sports, le développement provincial, la santé publique, l'Instruction, le tourisme, les transports ou encore les collectivités territoriales de degré inférieur, entre autres choses. En général, les différents Départements provinciaux font appel à des agences pour une partie de leurs actions. Celles-ci peuvent être entièrement autonomes bien que rattaché au Bureau du Gouvernement comme la Commission Provinciale du contrôle des procédures électorales. D'autres agences sont directement créées pour gérer des aspects entiers de la vie locale comme la gestion du personnel et des relations du travail, les inspecteurs des audits, le contrôle des actions des forces de l'ordre ou la gestion de l'eau pour ne citer que ces exemples. Enfin, le pouvoir exécutif peut également compter sur des entreprises publiques pour certains services qui sont directement ou non rattachés aux Départements provinciaux par l'intermédiaires d'agences comme ce qui concerne l'assainissement de l'eau. Ce curieux découpage s'explique par la volonté de certains pouvoirs publics de créer des agences communes entre provinces et municipalités ou comtés et donc d'éviter un trop gros millefeuille administratif. De fait, pour simplifier la gestions entre acteurs, les agences servent de plateforme commune.
La branche législative, comme toutes les autres provinces aussi, est dirigée par la Cour Législative de la Province. L'article cent vingt-et-un de la Constitution définie les modalités d'élection de la Cour Législative du Qin comme de toutes les cours provinciales. Il y est défini que les représentants sont élus proportionnellement à la population des comtés qu'ils représentent et pour quatre ans sans restriction de mandat. Ils sont élus au suffrage universel direct par tout citoyen résidant dans le comté depuis plus d'un an. La Cour Législative provinciale est compétente pour préparer, voter ou abolir les lois provinciales ; faire voter le budget de la province soumis par le Gouverneur ; approuver les comptes et contrôler les activités des organismes provinciaux par le biais de la commission d'enquête ou du vote de confirmation. Elle peut voter contre le Gouverneur une motion de censure qui requiert la majorité des trois quatre de la Cour Législative réunie en assemblée extraordinaire.
Siège de la Cour Législative du Qin,
sur Great Harmony Park à Neijing 🔎
Le Qin n'est pas la seule province où ces deux procédés sont en place. En effet, à Zhenzhou, dans le Hexie et dans le Lanhu, des procédures similaires existent. Si celle-ci ont des particularités, on note cependant un procédé semblable aussi bien pour le RIP que le RR.
- Le dépôt de la pétition visant à rassembler un nombre minimal de signatures. Celle-ci doit toujours être accompagnée d'un motif valable parmi une liste établie par la Cour Suprême ou la loi fondamentale de la province,
- La mise en circulation de la pétition pour une période donnée et avec un seuil minimal de voie définie par la loi,
- L'examen de la pétition, si les critères précédents ont été respectés, par la Cour Suprême provinciale,
- L'organisation du référendum, si les critères précédents ont été respectés, par la Commission Provinciale du contrôle des procédures électorales. Celui-ci défini également un seuil minimal qui varie en fonction de la procédure (la majorité pour un RIP, les trois quarts pour un RR),
- L'application du référendum, si les critères précédents ont été respectés et si le résultat est favorable. Sinon l'abandon pur et simple de la procédure avec l'empêchement de déposer une procédure similaire, par une même personne physique ou morale, dans les trois mois qui suivent.
ZHANG Ying est la gouverneure du Qin depuis le 30 juillet 2013 date à laquelle sa liste remporte les élections face au gouverneur sortant, LI Jian. Du fait de l'originalité de l'élection, celle-ci eut énormément d'impact au niveau national et fit la une des médias durant des mois. En effet, outre le fait que LI Jian était le Gouverneur depuis quinze ans, c'est aussi la première fois qu'une femme se présentait et était bien placée pour gagner une élection provinciale de l'histoire du Grand Ling. Par ailleurs, l'élection fit énormément réagir parce qu'elle fut extrêmement serrée, mais aussi du fait de nombreuses polémiques liées à des actes supposés de harcèlement ou d'abus sexuels et de misogynie. Finalement ZHANG Ying est élue à 2'000 voix près faisant d'elle la gouverneure la plus influente du Grand Ling mais également l'une des femmes les plus influentes du pays en dehors de la Famille Impériale.
Madame la gouverneure ZHANG Ying, portrait officiel. 🔎
Subdivisions
Le Qin, comme certaines autres provinces du Grand Ling ont un échelon intermédiaire entre le comté et la municipalité, c'est le district. Le district est géré par les comtés eux-mêmes et n'ont aucun pouvoir juridictionnel. Ils servent surtout pour l'administration, les statistiques ainsi que pour faciliter les démarches liées aux élections. Au Qin, il y a quatre comtés qui sont divisés en trente-huit districts dont le plus grand est le district de Longhua. Situé dans le comté de Qinglongzhou et d'une superficie de 6'340 km², il ne comporte qu'une seule municipalité : celle de Neijing. Le district de Longhua est issue d'une fusion de trois anciens districts lors de la réforme urbaine de 2002 durant laquelle la ville de Neijing intégra huit autres villes dans ses frontières métropolitaines. Le plus petit des districts du Qin est également dans le comté de Qinglongzhou, il s'agit du district de Qingshui qui s'étend sur une superficie de 693 km².
Liste des districts par comté :
- Qinglongzhou Superficie totale : 13'283 km².
- Longheguan Superficie totale : 12'962 km².
- Fenghuangyuan Superficie totale : 12'962 km².
- Mingyung Superficie totale : 13'589 km².
Siège de comté : Neijing.
District de Longhua — 6 340 km²,
District de Shiyun — 1 200 km²,
District de Fenglin — 1 100 km²,
District de Yueliang — 1 050 km²,
District de Heiyan — 1 000 km²,
District de Baitao — 900 km²,
District de Qingshui — 693 km².
Siège de comté : Lianyuan.
District de Huayang — 1 280 km²,
District de Jinyuan — 1 200 km²,
District de Fulong — 1 150 km²,
District de Nanlin — 1 100 km²,
District de Yonghe — 1 050 km²,
District de Baishi — 1 000 km²,
District de Qianlong — 960 km²,
District de Mingshan — 922 km²,
District de Qingping — 900 km²,
District de Xiaoli — 900 km².
Siège de comté : Baishui.
District de Xicheng — 1 280 km²,
District de Lianzhou — 1 250 km²,
District de Heping — 1 150 km²,
District de Fenghua — 1 100 km²,
District de Baolong — 1 020 km²,
District de Jinghai — 980 km²,
District de Taihe — 940 km²,
District de Shuguang — 900 km²,
District de Hongshan — 850 km²,
District de Pingfeng — 842 km².
Siège de comté : Fengling.
District de Beihai — 1 280 km²,
District de Pinghu — 1 280 km²,
District de Shuanglin — 1 280 km²,
District de Xiangshan — 1 280 km²,
District de Nanshan — 1 280 km²,
District de Tonglu — 1 100 km²,
District de Huanghua — 1 050 km²,
District de Baoyang — 1 000 km²,
District de Xinyuan — 960 km²,
District de Xinfeng — 960 km²,
District de Changhe — 919 km².
Liste des municipalités principales par comté :
En gras la capitale comtale.
- Qinglongzhou Municipalité de Neijing,
- Longheguan Municipalité de Lianyuan,
- Fenghuangyuan Municipalité de Baishui,
- Mingyung Municipalité de Fengling,
Municipalité de Linhua,
Municipalité de Guangping,
Municipalité de Lingchuan,
Municipalité de Yunqing,
Municipalité de Huanshan.
Municipalité de Mingzhu,
Municipalité de Zhende,
Municipalité de Furong.
Municipalité de Jingdao,
Municipalité de Jinyun,
Municipalité de Shengyu,
Municipalité de Baotai,
Municipalité de Hanlin,
Municipalité de Xinbei.
Municipalité de Lianhai,
Municipalité de Baiguo,
Municipalité de Pingdao,
Municipalité de Chunping,
Municipalité de Haiyuan,
Municipalité de Jinwei.
Posté le : 11 nov. 2024 à 22:57:11
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🙞 CHAPITRE CINQ 🙜
Démographie.
Selon le Ditongsuo (帝统所 - litt. Institut Impérial des Statistiques), on estime la population de la province à 54'691'120 habitants au premier janvier 2015, ce qui représente une hausse de 4,49 % depuis le recensement de 2010 qui affichait une population de 52'237'678 habitants au premier janvier. Depuis les années 1950, le Qin connait la première croissance la plus soutenue du Grand Ling notamment lié à la période de libéralisme, la hausse de l'emploi citadin autour des grands centres urbains ou encore par les différentes politiques publiques offrants des services bien meilleurs que dans les autres régions plus rurales.
À titre comparatif, il y a cent ans, le Qin disposait d'une population de 11'491'648 habitants, soit moins de 8 % de la population totale du pays à l'époque. Si c'est toute la province qui bénéficie de cette croissance démographique – qui s'accompagne d'une croissance économique très soutenue – le centre démographique reste toutefois conditionné au comté de Qinglongzhou où se situe la capitale fédérale du Grand Ling. En effet, le comté à lui seul concentre 32,8 % de la croissance démographique annuelle ; les 67,2 % restant étant partagés entre trois les comtés restants.
Évolution de la croissance démographique de la province depuis 1900.
Depuis 1900, le Qin a connu trois phases de croissances démographiques s'axant autour d'événements politiques locaux ou nationaux. La plus forte période commençant un peu avant le début de l'Ère Guangzhe (1956-1979) qui précède l'Ère Chongsheng (1979-2015).
Au début du siècle, de 1900 à 1950, la croissance moyenne était d'environs 175'000 nouveaux habitants par an avec une variation pouvant être de ±45 %. À cette époque, le Grand Ling connait une période de croissance relativement faible et les pouvoirs publics tentent de mettre en place des politiques incitant à accroître la natalité. Le programme des gouvernements de l'époque tourne autour de politiques natalistes incitatives. Différentes lois sont créées pour cela, des exonérations fiscales ou des aides sont mises en place, mais c'est véritablement l'industrialisation du pays qui incite de plus en plus les populations à se déplacer ou à faire des enfants.
De 1950 à 1980, la croissance démographique était d'environs 330'000 nouveaux habitants par an avec des variations énormes de l'ordre de ±70 %, particulièrement à la fin de l'Ère Guangzhe. Le développement d'une société de consommation et l'évolution des mœurs vers plus de liberté, de quête de la réussite économique et sociale ; poussent les populations les plus pauvres à massivement abandonner les provinces les plus pauvres pour la vie en ville. Les citadins, eux, font de plus en plus d'enfant malgré une libéralisation de la femme et la multiplication des femmes travailleuses. Vers les années 60, l'immigration étrangère en quête d'une vie meilleure se fait de plus en plus importante quoiqu'encore discrète par rapport à aujourd'hui. Principalement issue de Tahoku et fuyant le régime dictatorial, les clandestins cherchent principalement de l'emploi dans le secteur du BTP et en profitent pour s'enrichir, faire venir leurs familles et naturellement, faire des enfants.
Finalement, depuis 1980, l'évolution de la croissance démographie commence à stagner malgré une moyenne très élevée de 535'000 nouveaux habitants par an, mais avec une variation de seulement ±25 %. Outre le fait que les raisons d'hier sont encore d'actualité (la quête d'un mode de vie promouvant l'émancipation, le plein emploi, la consommation et la réussite économique ou sociale), d'autres provinces se sont depuis largement modernisées comme Zhenzhou ou le Hexie et certaines autres attirent justement pour les raisons qui les rendaient repoussantes il y a cent ans comme le Lanhu et le Longwu qui, malgré une forte population, attirent parce qu'encore largement sauvages et moins tumultueuses que le Qin ultra-urbanisé.
Composition ethnique et culturelle
Le Qin, en tant que foyer de peuplement de l'ethnie Qin concentre assez naturellement la plus forte population de Qin. Bien que cette ethnie se soit déplacée partout dans le Grand Ling et malgré une superficie très limitée, la province vit encore largement sous culture qin. Toutefois, les migrations du siècle dernier et du début du XXIe siècle érodent de plus en plus ce statut de première ethnie de la province, principalement concurrencé par les ethnies voisines ou de l'immigration étrangère ushong, tahokaise ou ramchoue.
En 1900, on estime que 88 % de la population qinanese appartenait à l'ethnie Qin. En 1950, ils ne représentaient plus que 76 % et en 2000, 61,2 %. Depuis dix ans, cependant, la tendance descendante semble perdre en vélocité au profit d'une stagnation indiquant une croissance de l'ethnie.
La seconde ethnie majoritaire dans la province est sans doute les Nara qui représentent un peu moins de 20 % de la population de la province, place qu'elle se dispute fréquemment avec les Wang ou les Chu représentant respectivement 13,5 % et 10,3 %. Le reste est partagé entre les cinq ethnies restantes et les étrangers.
De fait, le Qin est l'état le plus cosmopolite qui soit à tel point qu'il est extrêmement commun de voir des personnes d'origine étrangère ou des ethnies minoritaires à la tête d'administration ou disposant de mandat électoraux.
Parmi les étrangers les plus nombreux dans le Qin, on compte une majorité de tahokais (21,9 %), de stranéens (18,7 %), de ushong (15,3 %), de fujiwans (12,2 %) et le reste de différentes origines (31,9 %).
Religion et spiritualité
A l'instar du cosmopolitisme démographique de la province, on retrouve une multitude de cultes pratiqué dans le Qin. Tout d'abord, le shintaoïsme – incluant les différents courants – représente l'écrasante majorité de la religion pratiquée dans la province. Toutefois, on retrouve une part non négligeable de chrétiens lié aux vagues d'évangélisations du XVIIe siècle venus d'Eurysie ; on retrouve également des cultes importés par l'immigration comme le yantisianisme, le bouddhisme, le shintoïsme, l'islam ou encore les philosophies taoïstes, confucianistes et thanistes.
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Démographie.
À titre comparatif, il y a cent ans, le Qin disposait d'une population de 11'491'648 habitants, soit moins de 8 % de la population totale du pays à l'époque. Si c'est toute la province qui bénéficie de cette croissance démographique – qui s'accompagne d'une croissance économique très soutenue – le centre démographique reste toutefois conditionné au comté de Qinglongzhou où se situe la capitale fédérale du Grand Ling. En effet, le comté à lui seul concentre 32,8 % de la croissance démographique annuelle ; les 67,2 % restant étant partagés entre trois les comtés restants.
Évolution de la croissance démographique de la province depuis 1900.
Au début du siècle, de 1900 à 1950, la croissance moyenne était d'environs 175'000 nouveaux habitants par an avec une variation pouvant être de ±45 %. À cette époque, le Grand Ling connait une période de croissance relativement faible et les pouvoirs publics tentent de mettre en place des politiques incitant à accroître la natalité. Le programme des gouvernements de l'époque tourne autour de politiques natalistes incitatives. Différentes lois sont créées pour cela, des exonérations fiscales ou des aides sont mises en place, mais c'est véritablement l'industrialisation du pays qui incite de plus en plus les populations à se déplacer ou à faire des enfants.
De 1950 à 1980, la croissance démographique était d'environs 330'000 nouveaux habitants par an avec des variations énormes de l'ordre de ±70 %, particulièrement à la fin de l'Ère Guangzhe. Le développement d'une société de consommation et l'évolution des mœurs vers plus de liberté, de quête de la réussite économique et sociale ; poussent les populations les plus pauvres à massivement abandonner les provinces les plus pauvres pour la vie en ville. Les citadins, eux, font de plus en plus d'enfant malgré une libéralisation de la femme et la multiplication des femmes travailleuses. Vers les années 60, l'immigration étrangère en quête d'une vie meilleure se fait de plus en plus importante quoiqu'encore discrète par rapport à aujourd'hui. Principalement issue de Tahoku et fuyant le régime dictatorial, les clandestins cherchent principalement de l'emploi dans le secteur du BTP et en profitent pour s'enrichir, faire venir leurs familles et naturellement, faire des enfants.
Finalement, depuis 1980, l'évolution de la croissance démographie commence à stagner malgré une moyenne très élevée de 535'000 nouveaux habitants par an, mais avec une variation de seulement ±25 %. Outre le fait que les raisons d'hier sont encore d'actualité (la quête d'un mode de vie promouvant l'émancipation, le plein emploi, la consommation et la réussite économique ou sociale), d'autres provinces se sont depuis largement modernisées comme Zhenzhou ou le Hexie et certaines autres attirent justement pour les raisons qui les rendaient repoussantes il y a cent ans comme le Lanhu et le Longwu qui, malgré une forte population, attirent parce qu'encore largement sauvages et moins tumultueuses que le Qin ultra-urbanisé.
Composition ethnique et culturelle
En 1900, on estime que 88 % de la population qinanese appartenait à l'ethnie Qin. En 1950, ils ne représentaient plus que 76 % et en 2000, 61,2 %. Depuis dix ans, cependant, la tendance descendante semble perdre en vélocité au profit d'une stagnation indiquant une croissance de l'ethnie.
La seconde ethnie majoritaire dans la province est sans doute les Nara qui représentent un peu moins de 20 % de la population de la province, place qu'elle se dispute fréquemment avec les Wang ou les Chu représentant respectivement 13,5 % et 10,3 %. Le reste est partagé entre les cinq ethnies restantes et les étrangers.
De fait, le Qin est l'état le plus cosmopolite qui soit à tel point qu'il est extrêmement commun de voir des personnes d'origine étrangère ou des ethnies minoritaires à la tête d'administration ou disposant de mandat électoraux.
Parmi les étrangers les plus nombreux dans le Qin, on compte une majorité de tahokais (21,9 %), de stranéens (18,7 %), de ushong (15,3 %), de fujiwans (12,2 %) et le reste de différentes origines (31,9 %).
Religion et spiritualité
A l'instar du cosmopolitisme démographique de la province, on retrouve une multitude de cultes pratiqué dans le Qin. Tout d'abord, le shintaoïsme – incluant les différents courants – représente l'écrasante majorité de la religion pratiquée dans la province. Toutefois, on retrouve une part non négligeable de chrétiens lié aux vagues d'évangélisations du XVIIe siècle venus d'Eurysie ; on retrouve également des cultes importés par l'immigration comme le yantisianisme, le bouddhisme, le shintoïsme, l'islam ou encore les philosophies taoïstes, confucianistes et thanistes.
Posté le : 11 nov. 2024 à 22:57:38
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🙞 CHAPITRE SIX 🙜
Économie.
Le Qin est la deuxième province la plus riche du Grand Ling, juste derrière Zhenzhou et largement devant le Hexie. Les deux provinces se disputent presque chaque année la première place du classement, largement influencés par les pouvoirs publics qui utilisent cette concurrence pour accroître leur attractivité et leurs revenus. Sur ces dix dernières années, le Qin a été la province la plus riche pendant six ans dont trois ans consécutifs alors que Zhenzhou le fut durant quatre ans. Toutefois, l'écart se creuse au profit de Zhenzhou qui bénéficie d'un urbanisme mieux organisé et de sa réputation de Ville Jardin en plus de crédit d'impôts ultra-compétitifs liés notamment à sa position de paradis fiscal et, car les jeux d'argent y sont autorisés alors qu'ils sont prohibés au Qin.
De 1995 à 2000, le Qin a été très souvent classé comme l'un des territoires les plus libéraux du monde, souvent dans le top 100 et deux fois dans le top 10 selon plusieurs médias nationaux comme internationaux dont LDNS et The Economic Way. De manière générale, les taux de prélèvements obligatoires sont bas et de nombreuses législations peu contraignantes renforce l'attractivité économique. La situation géographique de Neijing, ville la plus peuplée du Qin et seconde ville la plus peuplée du pays, à l'embouchure du fleuve Longhe ; font de son port l'un des principaux du Nazum et le deuxième port principal du Grand Ling derrière Lingbo mais devant Zhenzhou et Fengling qui sont respectivement troisièmes et quatrièmes.
Coût de la vie
Le Qin bénéficie directement de la politique monétaire fédérale qui vise à maintenir la stabilité monétaire qui se traduit par le maintien du taux de change à 35,25 Taëls d'or pour 1 dollar geokratosien. Si le Qin compte en 2014 approximativement trente-deux milliardaires pour plus de deux-mille millionnaires, c'est au détriment de très fortes inégalités où les 10% les plus pauvres doivent travailler cinq ans et deux mois pour gagner ce que gagne en un mois les 10% les plus riches. L'un des facteurs justifiant cela est lié au coût de la vie dans le Qin et particulièrement dans l'aire urbaine de Neijing et de Fengling. Neijing est classée comme la ville avec le coût de la vie le plus cher du Grand Ling et parmi les plus chères du continent avec un immobilier dont le m² dépasse les 90'000 Tø. À titre comparatif, le mètre carré à Fortuna est de XX Tø quand celui de Soksho tourne autour des XX Tø ou celui de Kotarakyat et Karaimu est respectivement de XX Tø et 246'750 Tø. (XX : En attente de validation par les joueurs). Dans un autre registre, le Qin ne produisant à peine que 8% de ce que consomme ses habitants, de nombreuses ressources sont importées des autres provinces du Grand Ling voire de l'étranger ce qui crée certaines différences entre provinces sur le prix d'un même produit. Par exemple, le prix d'une bouteille d'eau minérale Luji de 33 cl coûte 24,67 Tø dans le Qin alors que cette même bouteille ne coûte que 21,15 Tø dans le Hexie et 12,33 Tø dans le Wujiang, où elle est produite. De même, le coût moyen d'une bouteille de Thé Glacé de 33 cl coûte 35,25 Tø dans le Qin contre 28,20 Tø dans le Hexie et 24,67 Tø dans le Wujiang.
Il est, cependant, important de nuancer cela. En effet, le coût de la vie chez certains voisins comme le Burujoa est hautement plus important que dans le Qin. Cela en fait un paradis pour les expatriés dont le nombre augmente chaque année. En effet, la fiscalité plus avantageuse et le coût de la vie plus faible pour eux fait du Qin et du Grand Ling une destination privilégier.
Immobilier et fiscalité
Pour conserver sa place sur le podium, le Qin multiplie les ajustements fiscaux avantageux. En effet, utilisant l'Article 26 de la Constitution du Grand Ling, la province du Qin est indépendante dans sa gestion de l'impôt sur les sociétés entre autres impôts. De ce fait, la taxe sur les sociétés au Qin est de 0 % pour celles exerçant hors de la province. Il est toutefois de 18,5 % pour les entreprises exerçant au Qin. De plus, une surtaxe d'environs 5 % est appliqué sur tous les bénéfices non redistribués afin de permettre que les capitaux soient toujours ou presque toujours en circulation au sein de la province.
En outre, la province mise énormément sur les nouvelles technologies pour se développer. C'est pour cela que les pouvoirs publics ont massivement développé un parc technologique aux abords de Fengling. Le Qin applique de nombreuses déductions fiscales et autres crédits pour la recherche, développement et l'innovation toujours dans l'optique d'être ultra concurrentiel d'autres nations libérales et d'autres provinces lingoises.
D'un point de vue fiscal, il existe d'autres spécificités lié à la province comme la GST (Goods and Services, équivalent de la TVA ou de la Sales Tax) dont les taux sont légèrement différents de la moyenne nationale. Cette différence de GST est d'ailleurs sujet à de nombreuses tensions avec les autres régions, l'État fédéral et le Qin et a été à de très nombreuses reprises portée devant les tribunaux jusqu'à ce que des accords soient trouvés. Mais la volonté du Gouvernement d'imposer une norme fédérale pourrait conduire à une hausse de la GST au Qin.
L'immobilier au Qin est l'un des secteurs les plus lucratifs de la province. Avec une croissance démographique de 9,4% à l'échelle nationale, le Qin est directement en première ligne et de nombreux projets immobiliers fleurissent chaque année. Ce secteur, qui pèse pour 35% de l'économie de la province, est dominé par six familles principales qui possèdent par leurs conglomérats la quasi-totalité du secteur. La plus grosse d'entre elle n'est autre que la famille Kang Tao, connue pour disposer d'un des plus gros chaebol du pays.
Toutefois, malgré des moyens financiers colossaux, la demande par rapport à l'offre reste importante et tire les prix vers le haut. Ainsi, les entreprises sont ultra-concurrentielles et bénéficie de la fiscalité liée à la R&D pour améliorer les techniques de construction afin de réduire les coûts tout en augmentant la cadence. Ces pratiques sont souvent décriées par l'opposition politique qui jugent cette concurrence trop malsaine et pouvant conduire à des catastrophes comme l'effondrement d'un immeuble de 58 étages au cœur de Bashui en 2008 suite à des normes non respectées pour livrer l'immeuble plus vite.
Du fait de la superficie limité de la province et de l'augmentation de l'opposition face à la bétonisation des derniers espaces verts du Qin, l'étalement urbain a largement été réduit au profit d'une course à la hauteur. De fait, on dénombre pas moins de 276 gratte-ciel de plus de 100m à Neijing dont 22 font plus de 200m. Le plus haut, par ailleurs, le Qundao Center, fait 505 mètres de haut.
Tertiarisation et Tourisme
Depuis une cinquantaine d'années, l'économie de la province se tourne de plus en plus vers une économie de service. D'abord profitant d'une industrialisation de la production agricole au milieu du siècle et de l'industrie se développant autour de ses ports, le Qin connait une croissance démographique exceptionnelle durant la seconde moitié du XXe siècle ce qui conduit inévitablement à un développement des services qui vont jusqu'à supplanter l'activité industrielle et agricole traditionnelle de la province. À partir des années 1970 la multiplication des grands groupes financiers et le développement de politiques incitatives font se délocaliser le tissu industriel ou se spécialiser comme à Fengling.
La tertiarisation trouve l'une de ses plus belles expressions dans le développement de services touristiques majeurs et de la multiplication d'une économie du tourisme. Wu Hotel, dont la création remonte à 1957 et qui ne comptait qu'un seul établissement, connait une croissance exponentielle à cette période qui pousse la famille Liang à multiplier les établissement dans la province et dans le Grand Ling de manière générale. En 2000, c'était le premier groupe hôtelier du pays et l'un des premiers du continent.
Hanqin Group développe sa filiale Hanqin Tourism en 1984 pour répondre à la demande tant de touristes qui affluent que de qinanese qui veulent quitter la province pour voyager.
Aujourd'hui encore, en 2015, le secteur du tourisme compte pour pas moins de 18 % de l'économie de la province et est, avec l'immobilier, l'un des principaux vecteurs d'emploi.
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Économie.
- 🔍 Article détaillé : Économie du Grand Ling.
De 1995 à 2000, le Qin a été très souvent classé comme l'un des territoires les plus libéraux du monde, souvent dans le top 100 et deux fois dans le top 10 selon plusieurs médias nationaux comme internationaux dont LDNS et The Economic Way. De manière générale, les taux de prélèvements obligatoires sont bas et de nombreuses législations peu contraignantes renforce l'attractivité économique. La situation géographique de Neijing, ville la plus peuplée du Qin et seconde ville la plus peuplée du pays, à l'embouchure du fleuve Longhe ; font de son port l'un des principaux du Nazum et le deuxième port principal du Grand Ling derrière Lingbo mais devant Zhenzhou et Fengling qui sont respectivement troisièmes et quatrièmes.
Coût de la vie
Le Qin bénéficie directement de la politique monétaire fédérale qui vise à maintenir la stabilité monétaire qui se traduit par le maintien du taux de change à 35,25 Taëls d'or pour 1 dollar geokratosien. Si le Qin compte en 2014 approximativement trente-deux milliardaires pour plus de deux-mille millionnaires, c'est au détriment de très fortes inégalités où les 10% les plus pauvres doivent travailler cinq ans et deux mois pour gagner ce que gagne en un mois les 10% les plus riches. L'un des facteurs justifiant cela est lié au coût de la vie dans le Qin et particulièrement dans l'aire urbaine de Neijing et de Fengling. Neijing est classée comme la ville avec le coût de la vie le plus cher du Grand Ling et parmi les plus chères du continent avec un immobilier dont le m² dépasse les 90'000 Tø. À titre comparatif, le mètre carré à Fortuna est de XX Tø quand celui de Soksho tourne autour des XX Tø ou celui de Kotarakyat et Karaimu est respectivement de XX Tø et 246'750 Tø. (XX : En attente de validation par les joueurs). Dans un autre registre, le Qin ne produisant à peine que 8% de ce que consomme ses habitants, de nombreuses ressources sont importées des autres provinces du Grand Ling voire de l'étranger ce qui crée certaines différences entre provinces sur le prix d'un même produit. Par exemple, le prix d'une bouteille d'eau minérale Luji de 33 cl coûte 24,67 Tø dans le Qin alors que cette même bouteille ne coûte que 21,15 Tø dans le Hexie et 12,33 Tø dans le Wujiang, où elle est produite. De même, le coût moyen d'une bouteille de Thé Glacé de 33 cl coûte 35,25 Tø dans le Qin contre 28,20 Tø dans le Hexie et 24,67 Tø dans le Wujiang.
Il est, cependant, important de nuancer cela. En effet, le coût de la vie chez certains voisins comme le Burujoa est hautement plus important que dans le Qin. Cela en fait un paradis pour les expatriés dont le nombre augmente chaque année. En effet, la fiscalité plus avantageuse et le coût de la vie plus faible pour eux fait du Qin et du Grand Ling une destination privilégier.
Immobilier et fiscalité
Pour conserver sa place sur le podium, le Qin multiplie les ajustements fiscaux avantageux. En effet, utilisant l'Article 26 de la Constitution du Grand Ling, la province du Qin est indépendante dans sa gestion de l'impôt sur les sociétés entre autres impôts. De ce fait, la taxe sur les sociétés au Qin est de 0 % pour celles exerçant hors de la province. Il est toutefois de 18,5 % pour les entreprises exerçant au Qin. De plus, une surtaxe d'environs 5 % est appliqué sur tous les bénéfices non redistribués afin de permettre que les capitaux soient toujours ou presque toujours en circulation au sein de la province.
En outre, la province mise énormément sur les nouvelles technologies pour se développer. C'est pour cela que les pouvoirs publics ont massivement développé un parc technologique aux abords de Fengling. Le Qin applique de nombreuses déductions fiscales et autres crédits pour la recherche, développement et l'innovation toujours dans l'optique d'être ultra concurrentiel d'autres nations libérales et d'autres provinces lingoises.
D'un point de vue fiscal, il existe d'autres spécificités lié à la province comme la GST (Goods and Services, équivalent de la TVA ou de la Sales Tax) dont les taux sont légèrement différents de la moyenne nationale. Cette différence de GST est d'ailleurs sujet à de nombreuses tensions avec les autres régions, l'État fédéral et le Qin et a été à de très nombreuses reprises portée devant les tribunaux jusqu'à ce que des accords soient trouvés. Mais la volonté du Gouvernement d'imposer une norme fédérale pourrait conduire à une hausse de la GST au Qin.
L'immobilier au Qin est l'un des secteurs les plus lucratifs de la province. Avec une croissance démographique de 9,4% à l'échelle nationale, le Qin est directement en première ligne et de nombreux projets immobiliers fleurissent chaque année. Ce secteur, qui pèse pour 35% de l'économie de la province, est dominé par six familles principales qui possèdent par leurs conglomérats la quasi-totalité du secteur. La plus grosse d'entre elle n'est autre que la famille Kang Tao, connue pour disposer d'un des plus gros chaebol du pays.
Toutefois, malgré des moyens financiers colossaux, la demande par rapport à l'offre reste importante et tire les prix vers le haut. Ainsi, les entreprises sont ultra-concurrentielles et bénéficie de la fiscalité liée à la R&D pour améliorer les techniques de construction afin de réduire les coûts tout en augmentant la cadence. Ces pratiques sont souvent décriées par l'opposition politique qui jugent cette concurrence trop malsaine et pouvant conduire à des catastrophes comme l'effondrement d'un immeuble de 58 étages au cœur de Bashui en 2008 suite à des normes non respectées pour livrer l'immeuble plus vite.
Du fait de la superficie limité de la province et de l'augmentation de l'opposition face à la bétonisation des derniers espaces verts du Qin, l'étalement urbain a largement été réduit au profit d'une course à la hauteur. De fait, on dénombre pas moins de 276 gratte-ciel de plus de 100m à Neijing dont 22 font plus de 200m. Le plus haut, par ailleurs, le Qundao Center, fait 505 mètres de haut.
Tertiarisation et Tourisme
Depuis une cinquantaine d'années, l'économie de la province se tourne de plus en plus vers une économie de service. D'abord profitant d'une industrialisation de la production agricole au milieu du siècle et de l'industrie se développant autour de ses ports, le Qin connait une croissance démographique exceptionnelle durant la seconde moitié du XXe siècle ce qui conduit inévitablement à un développement des services qui vont jusqu'à supplanter l'activité industrielle et agricole traditionnelle de la province. À partir des années 1970 la multiplication des grands groupes financiers et le développement de politiques incitatives font se délocaliser le tissu industriel ou se spécialiser comme à Fengling.
La tertiarisation trouve l'une de ses plus belles expressions dans le développement de services touristiques majeurs et de la multiplication d'une économie du tourisme. Wu Hotel, dont la création remonte à 1957 et qui ne comptait qu'un seul établissement, connait une croissance exponentielle à cette période qui pousse la famille Liang à multiplier les établissement dans la province et dans le Grand Ling de manière générale. En 2000, c'était le premier groupe hôtelier du pays et l'un des premiers du continent.
Hanqin Group développe sa filiale Hanqin Tourism en 1984 pour répondre à la demande tant de touristes qui affluent que de qinanese qui veulent quitter la province pour voyager.
Aujourd'hui encore, en 2015, le secteur du tourisme compte pour pas moins de 18 % de l'économie de la province et est, avec l'immobilier, l'un des principaux vecteurs d'emploi.
Posté le : 11 nov. 2024 à 22:59:21
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🙞 CHAPITRE SEPT 🙜
Transport.
En tant que province la plus peuplée du Grand Ling, le Qin a un réseau de transport extrêmement développé et polyvalent soutenu par des investissements massifs de la part d'investisseurs privés, de l'État fédéral ou des collectivités territoriales elles-mêmes. Sa position de province la plus riche du pays, facile d'autant plus le développement du réseau notamment dans les aires urbaines de Neijing, Fengling, Lianyuan et Baishui qui sont les quatre sièges de comté de la province. À l'échelle de la province, la répartition des modes de transports est assez similaire avec la répartition nationale dont les chiffres sont maintenus actualisés par l'IIS (Institut Impérial des Statistiques).
Ainsi, la part des modes de transports dans le milieu urbain est tel que le métro domine la majorité des transports avec 30 % de part d'utilisation, suivi de près par la voiture et ses 22 % (29 % si on inclue l'utilisation de taxis et autres VTC) tandis que le bus suit avec 18 %, les cyclomoteurs et motos avec 10 %, le tramway avec 5 %, le monorail et ses 3 % tout comme les vélos et trottinettes et, du fait de la présence de nombreux canaux à Neijing et de la proximité avec la côte, des navettes fluviales ou maritimes à 2 %.
La moyenne périurbaine est, elle est légèrement différente à la moyenne nationale par l'absence d'utilisation de bateau ou d'avions ou du moins à des niveaux trop marginaux pour êtres considérés. De fait, on considère la voiture comme largement dominante avec 40 % de part d'utilisation en zone périurbaine porté à 46 % en incluant les taxis et VTC, suivie par le bus et ses 18 % lié aux nombreuses liaisons périurbaines ou interurbaines de la province. Les cyclomoteurs et motos ont également une belle part avec 15 %, suivi de près par les liaisons ferroviaires régionale et leurs 12 % puis par les vélos et trottinettes qui représentent tout de même 5 % de la part d'utilisation, soit 2 % de plus que le tramway et ses 3 % et 4 % de plus que le monorail dont l'utilisation est très marginale, car elle ne dépasse pas 1 %.
Transport routier
Généralités
Avec un réseau routier égal à 273'000 km tout type confondu, le Qin est la province possédant le réseau routier le plus grand et le plus dense du pays. En effet, si la moyenne nationale établie 1,62 km de route par km² ou 11,3 km de route par millier d'habitants ; la moyenne de la province se situe autour de 5,17 km de route par km² et 5 km de route par millier d'habitants.
Neijing est la municipalité qui dispose du plus grand réseau routier de la province avec 63'400 km de route bitumée réparti sur une superficie de 6'340 km². Cela représente une densité de 10 km de route par km² et 2,88 km de route par millier d'habitants. En dehors des ceintures périphériques des municipalités qinaneses ou des deux ceintures périphériques de Neijing, nommées Urban Expressway One (UE1, Litt. Voie Express Urbaine n°1) et Urban Expressway Two (UE2, litt. Voie Express Urbaine n°2), surnommées U1 et U2 ; le Qin est le point de départ de trois axes majeurs. L'Autoroute Nationale 1 relie Lanji dans le Hexie à Neijing par l'AN1-North, plus communément appelée One-North et de Tianhan dans le Longwu à Neijing via l'AN1-South, plus communément appelée One-South. L'Autoroute Nationale 2, elle, relie Neijing à Yunhe dans le Wujiang.
De gauche à droite : L'AN2 au départ de Neijing, l'UE1 faisant le tour du centre historique de Neijing et l'AN1-North à la sortie de Mingzhu et en direction de Shucheng : on y voit les Lianhua en fond.
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Les liaisons interurbaines
Si on met de côté les services urbains, on retrouve dans la province une multitude de lignes interurbaines opérées par cinq compagnies privées, publiques ou issues de partenariat privé-public. Parmi elles, les trois plus grandes se partagent la majorité du marché. La plus importante d'entre elles n'est nulle autre que la Kumkang et son service Kumkang Express qui propose plusieurs prestations de la plus modeste aux plus luxueuses ainsi que des liaisons en journée ou de nuit. Kumkang est issue d'un partenariat privé-public et représente 34 % des parts de marché. Vient ensuite Greenbus, la compagnie opère partout dans le pays, mais le hub principal se situe à la gare de Huadong dans le quartier éponyme de Neijing. Ce consortium détenu par Hanqin Group via sa filiale Hanqin Tourism et Kang Tao Corporation représente 18 % de part de marché avec une croissance exponentielle depuis deux ans. Enfin vient la SAG (Shanxi Autotrans Group), une filiale du constructeur automobile qinanese historique, Shanxi. Celui-ci possède en plus tout le réseau de bus urbain de Fengling ainsi que le métro de Baishui. SAG représente 8 % du marché.
De gauche à droite : Bus Greenbus au départ du dépôt, bus SAG réalisant une liaison Fengling-Jinwei et bus Kumkang Express au départ de Huadong lors de la campagne promotionnelle pour Sokshō (Sokcho en lingois).
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Transport ferroviaire
Généralités
Du fait de sa population et de sa concentration sur le littoral imposant une densité extrêmement forte sur ce dernier, le réseau ferroviaire doit répondre à de grands défis et permettre d'assurer des liaisons régulières comme des liaisons plus souples dépendant de la période de l'année (vacances scolaires, festival, etc). Pour ce faire, le Qin peut compter sur son réseau fort de 4'044 km de chemin de fer dont 1'044 km juste pour Neijing. Suite à la promulgation de la Great Ling Railway Network Harmonization Act, plus souvent appelée Railway Harmony Act en 2001 et visant à renforcer l'interchangeabilité du matériel et réduire les coûts de production et d'entretien ; le réseau qinanese a progressivement abandonné les systèmes en 1'500 V courant continu, qui ne représentait que 24 % du réseau, au profit du 25 kV 50 Hz en courant alternatif. Aujourd'hui plus de 95 % du réseau est électrifié avec une électrification totale autour de 2018. La Railway Harmony Act traite également des procédures de sécurité et de sûreté, des installations de manière générale, mais également de l'écartement des voies qui était standardisé à 1'435 mm. Pour répondre aux exigences de la loi fédérale ; le Qin a dû restaurer 450 km de voie dont l'écartement était de 1'067 mm et datait de 1952. L'État fédéral prit en charge 70 % du financement de la rénovation.
De par sa position et de sa population, le Qin est la province par laquelle transite le plus de train par jour. On ne dénombre pas moins de 6'217 trains circulant chaque jour sur son réseau pour 23,8 millions de voyageurs uniques. Ce sont 4'042 trains régionaux et nationaux qui circulent sur son réseau dont 1'213 ne sont qu'en transit vers d'autres provinces tandis que les 2'829 trains restant sont pour les liaisons régionales ainsi que pour les départs et arrivées de liaisons nationales. Sur le réseau GLRH (Great Ling Railway High-speed - 大岭高铁 - Da Ling Gaotie, litt. Train à grande vitesse du Grand Ling), circulent 1'213 trains Grande Vitesse par jour dont 1'400 partent ou arrivent au Qin tandis que les 350 restant ne font que transiter pour rejoindre le nord, le sud ou l'ouest du pays.
L'efficacité du réseau tient en une excellente planification de celui-ci mais surtout à l'extrême interchangeabilité de ce dernier. En effet, si les trains GLRH sont adaptées pour circuler sur les lignes Grandes Vitesses, ils peuvent également utiliser le réseau secondaire. Le niveau de sécurité est extrêmement haut pour la sécurité du convois comme des passagers et tous les trains sont systématiquement reliés à des centres de contrôles locaux qui maillonne le territoire du Qin mais également le territoire nationale. Par ailleurs, il existe deux mesures permettant de faciliter les circulations qui sont la redondance des voies, c'est à dire plusieurs voies parallèles. De plus et depuis la fin des années 1990, toutes les voies situées dans ou à proximité des grandes aires urbaines ou des autoroutes ferroviaires sont systématiquement en IPCS (Installation Permanente de Contre-Sens) afin de pouvoir continuellement faire circuler les trains sur le réseau malgré des opérations de maintenance, une surchage temporaire du réseau ou autre.
Great Ling Railways-Qin (GLR-Qin) - anciennement DTG-Qin
Issue de la restructuration de la Diguo Tielu Gongsi (DTG, litt. Compagnie Impériale des Chemins de Fer), GLR-Qin est l'entreprise publique provinciale chargée de la gestion du réseau ferré qinanese pour le compte de l'autorité organisatrice : le Département provincial des Communications du Qin. GLR-Qin est la filiale du groupe GLR la plus rentable avec un Chiffre d'Affaire pour l'exercice financier de 2014 évalué à 629,96 milliards de Tø (17,85 milliards d'euros) pour un résultat net de 101,87 milliards de Tø (2,89 milliards d'euros) grâce à sa situation ultra compétitive au Qin. Avec plus de 70'000 employés, c'est également l'un des premiers employeur de la province.
GLR-Qin est né en 1987 des fruits de la restructuration de DTG voulu par le Département des Communications pour éponger la dette galopante de l'entreprise publique. Elle est alors divisée en huit filiales interconnectées dont GLR-Qin n'est qu'une des composantes. En quelques années, la filiale devint la plus rentable et par effet de péréquation permit de financer les filiales du groupe les moins rentables jusqu'à ce que celles-ci soient à l'équilibre financier ou que la compagnie nationale prenne le relais avec l'aide des pouvoirs publics. Toutefois, GLR-Qin est également l'une des filiales avec le plus fort endettement lié à son développement massif et le coût croissant de l'entretien de son réseau composé principalement des lignes secondaires de la province, les lignes GLRH étant propriété du groupe GLR. En effet, à la cloture de l'exercice financier 2014, le ratio dette/EBITDA de GLR-Qin était de 5,4 fois sa valeur et de 6,1 fois sa valeur en 2013. La moyenne nationale est autour de 4.8 fois la valeur tandis que celui de GLR Group est de 4 fois sa valeur.
Aujourd'hui, GLR-Qin réalise la majorité de son chiffre sur les lignes pendulaires autour de Neijing et les liaisons GLRH dont elle a la charge, celles-ci dépendant du point de départ. Une autre part significative des revenus de GLR-Qin est le droit de péage prélevé par la compagnie auprès des acteurs privés (le plus souvent des joyful trains), principalement de tourisme ou Limited Express en transite dans le pays.
Enfin, GLR-Qin réalise également des bénéfices sur des services annexes comme la vente de produits ou de service à bord et en gare comme son agence de voyage, sa boutique en ligne, etc mais également par l'intermédiaire de rentes immobiliaire. La compagnie possède, en effet plus de 2 millions de m² de terrain en dehors de ses locaux et sont géré via son fond d'investissement GLR-Qin Investment & Real Estate. Ces terrains servent principalement de parc locatif pour les employés, d'autres entreprises ainsi que diverses locaux commerciaux. Son siège social est dans son plus gros bien immobilier, le Huadong Square Center situé dans le quartier de Huadong et connecté à la gare de Neijing Huadong Railway ; cet impressionnant complexe de 276'000 m² est en fait un centre commercial et une tour d'une hauteur maximale de 301,5 m. Cette dernière fait d'ailleurs 130'063 m², les 145'937 m² restant étant partagés entre un centre commercial de 41'600 m², un immense parking payant de 1'100 places ainsi que diverses locaux commerciaux indépendants du centre.
De gauche à droite : Huadong Square Center vu depuis le Huadong Square, on aperçoit le beffroi de l'anciene gare de Huadong aujourd'hui reconvertie en musée ferroviaire et autre vue du Huadong Square Center qui montre l'effet de géométrie de sa partie supérieure.
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Le Great Ling Railway High-speed - la Grande Vitesse
Le réseau GLRH se compose d'automotrice LRH1, LRH1D, LRH2 et LRH2D produites en partie sous licence burujoaise, notamment pour les LRH1 dont les cinq premiers furent construit au Burujoa puis livré au Grand Ling via cargo. Les autres modèles eux, ont été construit par Hongzhaji Rail, filiale du constructeur aéronautique Hongzhaji a partir de licence. Si la vitesse commerciale maximale est de 350 km/h, dans les zones urbaines, elle est restreinte à 290 et 300 km/h. La vitesse moyenne est, par ailleurs plus souvent autour des 290 km/h pour les LRH1 dont la vitesse maximale est de 305 km/h. Les LRH2, eux, sont limités à 320 km/h avec une vitesse commerciale de 305 km/h.
De gauche à droite : Vue du hall central de Neijing Huadong Railway Station, principale gare de la capitale ; LRH1 au départ de Neijing Huadong Railway Station et LRH2 au départ de Fengling Railway Station.
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Les liaisons pendulaires provinciales - la banlieue et la province
La majorité des services régionaux et de banlieue sont opérés à bord de AE2000 series depuis 2001. Ceux-ci se déclinent en plusieurs modèles dont les principaux sur le réseaux sont les AE2000-100, mis en service de 2001 à 2003 pour remplacer les AE1980 series dont il ne reste aujourd'hui que dix AE1980-500, produits à partir de 1989 jusqu'à 1993.
Le réseau non électrifié est, lui, assuré par les AB1985 series qui prendront leur retraite à la fin de l'électrification du réseau provincial ou seront transférés à des provinces disposant encore de lignes non électrifiées.
Les AE2000 et AE1980 font toujours sept à 10 caisses avec une cabine de réversibilité équipée d'une porte d'intercirculation afin de pouvoir coupler deux trains entre eux et réaliser des services en "UM2", c'est à dire, en Unité Multiple composée de 2 éléments. En revanche, les AB1985 ne font que quatre caisses du fait des lignes moins fréquentées qu'ils desservent. Le réseau, du fait de sa densité, est limité à 160 km/h bien qu'il existe quelques rares portions à 200 km/h. La moyenne est cependant de 120 km/h.
De gauche à droite et de haut en bas : une AE1980 réalisant un service Baiguo-Fengling ; une AE2000-100 de 9 caisses, la cabine de réversibilité avec la porte d'intercirculation se trouve à l'opposée ; Autre vue d'une AE2000-100, côté cabine de réversibilité avec sa porte d'intercirculation bien visible ; AB1985 en mode thermique en gare de Baotai.
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Les Limited Express - les liaisons nationales lentes
Enfin, le réseau ferroviaire de la province est également occupé par un certains nombres de lignes nationales qui arrivent, partent ou transitent par le réseau secondaire. Parmi les lignes les plus célèbres, l'Harmony Express emprunte le réseau pour relier Lanji dans le Hexie à Longjing dans le Wujiang via Neijing. Il existe plusieurs services inter-provinciaux bien moins longs ou moins célèbres qui circulent au Qin. Deux constructeurs se partage l'approvisionnement de ces trains à savoir Hongzhaji Rail, qui fournit intégralement le réseau GLRH et une bonne partie du réseau interurbain. Le deuxième, moins connu, YuLong Car Corporation (YCC) a fait ses faits d'armes en fournissant toutes les rames du métro de Zhenzhou, le monorail de Neijing ainsi que les AE2005 actuellement en service à Zhenzhou. Le réseau, bien qu'exploitant les mêmes lignes que les trains de banlieue/régionaux, est limité à une vitesse de 200 km/h. A proximité des grandes métropoles de la province ou du fait des services Limited Express que réalisent ces trains - les conduisants à s'arrêter régulièrement même si moins que les trains régionaux - la vitesse moyenne tourne autour de 160-190 km/h.
On retrouve principalement des AE100 series, des AE200 series ainsi que des AE300 series produits par YCC depuis 2010. Par ailleurs, des AE400 series de Hongzhaji Rail devraient entrer en service fin 2016 afin remplacer les AE100.
Les AE100 furent les premiers Limited Express automoteurs mis en service sur le réseau national. La DTG-Qin, filiale provinciale de DTG et en charge de tout le réseau ferroviaire pour le compte de la Province, effectua son premier service avec des AE100 series le 05 mars 1993. Pour compléter l'offre, les AE200 series furent mis en service en 2002. Enfin en 2010, pour prévenir le remplacement progressif des AE100 et AE200, YCC fut désigné pour produire des AE300.
De gauche à droite et de haut en bas : AE100 réalisant une mission commerciale entre Lushang et Zhenzhou ; AE200 aperçu entre Baishui et Shucheng ; AE300 et son nez caractéristique qui lui vaut son surnom de Black Manta et AE400 réalisant des essais non loin de Huanyuan (Chuangzhi).
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Métropolitain
Au Qin, chaque siège de comté et quelques grandes villes disposent d'un service de chemin de fer métropolitain. Loin d'être une volonté des autorités provinciales, la nécessité d'avoir un service urbain complémentaire aux lignes de bus et aux trains de banlieue s'est avérée d'une absolue nécessité à partir des années 1950. Neijing fut la première ville du pays et par définition, de la province, a disposer d'un métropolitain. Celui-ci était composé de trois lignes à son ouverture en 1958 pour une longueur de 194 km. Aujourd'hui, le métro de Neijing fait 500 km et compte 16 lignes. Les 4'000 rames du parc sont principalement des RM03, RM05 et des RM10 dont la mise en service se fit pour remplacer les dernières RM92 du réseau. Par ailleurs, la construction de la ligne 17 devrait ammener avec elle du nouveau matériel roulant dont le nom est pour l'instant RM16, si le calendrier est respecté.
Le métro de Neijing est le plus fréquenté de la province avec 8,5 millions de passagers par jour soit 3,1 milliards par an. La ville étant sillonnée de canaux par endroit, une partie du réseau est en aérien, à peu près 20 à 30%.
Comme tous les métropolitains de la province et comme la majorité des métropolitains du pays, les voies sont à l'écart standard (1'435 mm). Leur vitesse maximale est de 90 km/h avec une vitesse moyenne à 35 km/h. Cette normalisation permet de pouvoir occasionnellement déplacer le matériel roulant via le réseau secondaire provincial. Il permet également aux usines d'assemblage de pouvoir directement être relié au réseau ferré provincial pour pouvoir envoyer leur matériel directement dans le parc. Étant donné que toutes les rames sont en 1'500 V CC alimenté par caténaire, celles-ci ne peuvent pas directement emprunté le réseau secondaire comme évoqué plus haut mais sont généralement tractées. Les RM16 devraient être équipées de batteries permettant une autonomie de 3 à 4 km ou bien le maintien de service malgré un défaut d'alimentation. En configuration standard, une rame de métro peut embarquer 2'000 à 2'500 passagers avec une combinaison de sièges et de places debout soit 300 à 400 passager par voiture.
Comme beaucoup partout dans le Grand Ling et comme dans de nombreux pays nazuméens comme le Fujiwa ou le Burujoa, les rames de métro revêtent une livrée spéciale dépendant de leur ligne d'affectation. Le métro de Neijing ayant la couleur rouge pour sa ligne 1, toutes les rames circulant sur cette ligne disposent d'un liseret rouge.
De gauche à droite : RM92 à gauche et RM03 à droite, RM05 sur la ligne 11 et RM10 introduisant l'éclairage led sur le métropolitain.
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Le Monorail
Loin d'être le transport en commun principal de la province, le monorail est cependant très utilisé dans des cas très précis. Le réseau le plus développé est celui de Neijing, car il relie l'aéroport international Neijing-Huangong à Huadong via la gare Neijing Huadong Railway située au centre-ville de la ville et étant le principal hub de transport de la métropole. Depuis 2011, une seconde ligne fut ouverte pour relier l'aéroport international Neijing-Padong qui fut inauguré un an plus tôt et qui se situe à 60 kilomètres de la capitale. Il permet d'ailleurs de relier la Qin State University (秦省大 - Qinshengda, litt. Université de la province du Qin) au quartier de Shanlin, en correspondance avec la ligne 4 et 7 du métro de Neijing.
Le deuxième monorail le plus développé de la province est celui de Fengling dont le réseau s'étend sur 24 km. Il est pleinement intégré au réseau métropolitain de la ville sous le nom de ligne 10 et 12 du métro de Fengling. C'est également le plus célèbre car il a la particularité de passer à l'intérieur de certains batiments. La ligne 10 a pour particularité de desservir le Fengling Innovation and Technology Park (凤岭科创园 - Fengling Kechuangyuan, litt. Parc d'innovation et de technologie de Fengling) qu'elle survole presque intégralement. Le FITP est le plus grand pôle technologique de la province et du Grand Ling et l'un des pôles technologiques les plus dynamiques du continent. Toutes les entreprises du monde tech du Grand Ling y sont et certaines étrangères s'y installent de plus en plus pour bénéficier des crédits d'impôts liés à la R&D. De fait, c'en fait non seulement un vecteur d'emploi énorme mais également une vitrine touristique et économique de la province.
Enfin, les monorails sont énorméments utilisés dans la province pour desservir l'intérieur des trois grands parcs d'attraction qu'on peut trouver en banlieue de Neijing, de Baishui et à Fengling. En effet, le plus grand parc aquatique du continent nazuméen et l'un des plus grands du monde se trouve à Baishui. Ocean Park est un complexe s'étendant sur 114 hectares et divisé en quatre parties desservies par deux gares monorail chacune à savoir la partie parc aquatique, la partie coaster, la partie centre d'étude et de conservation de la biodiversité marine ainsi que la partie dédiée aux hôtels du parc. Son réseau, en forme de boucle, mesure 2,96 km.
Le deuxième parc et le plus grand de la province est situé à Padong, non loin de l'aéroport international Neijing-Padong. D'une superficie de 390 hectares, Wonderworld land est un parc à thème divisé en quartier reproduisant la culture typique des pays du monde. Ainsi on trouve entre autre le quartier lingois, stranéen, jashurien ou encore fujiwan dans le parc Nazumland. Le réseau monorail dessert alors plusieurs points de ce parc et mesure 10,14 km. Il circule en boucle et dispose d'une correspondance au niveau de Gateway Station avec la ligne 16 reliant l'aéroport Neijing-Padong à Neijing.
Enfin le dernier réseau monorail se trouve dans le parc d'attraction Happy Valley, situé à Fengling il s'agit d'un parc à thème autour de la technologie, la science et l'innovation. D'une superficie de 54 hectares, son réseau monorail fait une boucle de 1,4 km et est en correspondance avec la ligne 10 pour relier le FITP dont il est voisin.
De gauche à droite : Monorail reliant l'aéroport international Neijing-Huangong à Huadong, on voit en arrière plan un avion atterrisant sur les pistes ; monorail de Fengling aux couleurs de la ligne 12 qui s'apprête à entrer en gare et monorail d'aspect retro-futuriste dans le parc à thème Happy Valley de Fengling.
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Transport aérien
Transport maritime
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Transport.
- 🔍 Article connexe : Infrastructures du Grand Ling et Département des Communications - Le réseau national.
Ainsi, la part des modes de transports dans le milieu urbain est tel que le métro domine la majorité des transports avec 30 % de part d'utilisation, suivi de près par la voiture et ses 22 % (29 % si on inclue l'utilisation de taxis et autres VTC) tandis que le bus suit avec 18 %, les cyclomoteurs et motos avec 10 %, le tramway avec 5 %, le monorail et ses 3 % tout comme les vélos et trottinettes et, du fait de la présence de nombreux canaux à Neijing et de la proximité avec la côte, des navettes fluviales ou maritimes à 2 %.
La moyenne périurbaine est, elle est légèrement différente à la moyenne nationale par l'absence d'utilisation de bateau ou d'avions ou du moins à des niveaux trop marginaux pour êtres considérés. De fait, on considère la voiture comme largement dominante avec 40 % de part d'utilisation en zone périurbaine porté à 46 % en incluant les taxis et VTC, suivie par le bus et ses 18 % lié aux nombreuses liaisons périurbaines ou interurbaines de la province. Les cyclomoteurs et motos ont également une belle part avec 15 %, suivi de près par les liaisons ferroviaires régionale et leurs 12 % puis par les vélos et trottinettes qui représentent tout de même 5 % de la part d'utilisation, soit 2 % de plus que le tramway et ses 3 % et 4 % de plus que le monorail dont l'utilisation est très marginale, car elle ne dépasse pas 1 %.
Transport routier
Généralités
Avec un réseau routier égal à 273'000 km tout type confondu, le Qin est la province possédant le réseau routier le plus grand et le plus dense du pays. En effet, si la moyenne nationale établie 1,62 km de route par km² ou 11,3 km de route par millier d'habitants ; la moyenne de la province se situe autour de 5,17 km de route par km² et 5 km de route par millier d'habitants.
Neijing est la municipalité qui dispose du plus grand réseau routier de la province avec 63'400 km de route bitumée réparti sur une superficie de 6'340 km². Cela représente une densité de 10 km de route par km² et 2,88 km de route par millier d'habitants. En dehors des ceintures périphériques des municipalités qinaneses ou des deux ceintures périphériques de Neijing, nommées Urban Expressway One (UE1, Litt. Voie Express Urbaine n°1) et Urban Expressway Two (UE2, litt. Voie Express Urbaine n°2), surnommées U1 et U2 ; le Qin est le point de départ de trois axes majeurs. L'Autoroute Nationale 1 relie Lanji dans le Hexie à Neijing par l'AN1-North, plus communément appelée One-North et de Tianhan dans le Longwu à Neijing via l'AN1-South, plus communément appelée One-South. L'Autoroute Nationale 2, elle, relie Neijing à Yunhe dans le Wujiang.
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Les liaisons interurbaines
Si on met de côté les services urbains, on retrouve dans la province une multitude de lignes interurbaines opérées par cinq compagnies privées, publiques ou issues de partenariat privé-public. Parmi elles, les trois plus grandes se partagent la majorité du marché. La plus importante d'entre elles n'est nulle autre que la Kumkang et son service Kumkang Express qui propose plusieurs prestations de la plus modeste aux plus luxueuses ainsi que des liaisons en journée ou de nuit. Kumkang est issue d'un partenariat privé-public et représente 34 % des parts de marché. Vient ensuite Greenbus, la compagnie opère partout dans le pays, mais le hub principal se situe à la gare de Huadong dans le quartier éponyme de Neijing. Ce consortium détenu par Hanqin Group via sa filiale Hanqin Tourism et Kang Tao Corporation représente 18 % de part de marché avec une croissance exponentielle depuis deux ans. Enfin vient la SAG (Shanxi Autotrans Group), une filiale du constructeur automobile qinanese historique, Shanxi. Celui-ci possède en plus tout le réseau de bus urbain de Fengling ainsi que le métro de Baishui. SAG représente 8 % du marché.
De gauche à droite : Bus Greenbus au départ du dépôt, bus SAG réalisant une liaison Fengling-Jinwei et bus Kumkang Express au départ de Huadong lors de la campagne promotionnelle pour Sokshō (Sokcho en lingois).
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Transport ferroviaire
Généralités
Du fait de sa population et de sa concentration sur le littoral imposant une densité extrêmement forte sur ce dernier, le réseau ferroviaire doit répondre à de grands défis et permettre d'assurer des liaisons régulières comme des liaisons plus souples dépendant de la période de l'année (vacances scolaires, festival, etc). Pour ce faire, le Qin peut compter sur son réseau fort de 4'044 km de chemin de fer dont 1'044 km juste pour Neijing. Suite à la promulgation de la Great Ling Railway Network Harmonization Act, plus souvent appelée Railway Harmony Act en 2001 et visant à renforcer l'interchangeabilité du matériel et réduire les coûts de production et d'entretien ; le réseau qinanese a progressivement abandonné les systèmes en 1'500 V courant continu, qui ne représentait que 24 % du réseau, au profit du 25 kV 50 Hz en courant alternatif. Aujourd'hui plus de 95 % du réseau est électrifié avec une électrification totale autour de 2018. La Railway Harmony Act traite également des procédures de sécurité et de sûreté, des installations de manière générale, mais également de l'écartement des voies qui était standardisé à 1'435 mm. Pour répondre aux exigences de la loi fédérale ; le Qin a dû restaurer 450 km de voie dont l'écartement était de 1'067 mm et datait de 1952. L'État fédéral prit en charge 70 % du financement de la rénovation.
De par sa position et de sa population, le Qin est la province par laquelle transite le plus de train par jour. On ne dénombre pas moins de 6'217 trains circulant chaque jour sur son réseau pour 23,8 millions de voyageurs uniques. Ce sont 4'042 trains régionaux et nationaux qui circulent sur son réseau dont 1'213 ne sont qu'en transit vers d'autres provinces tandis que les 2'829 trains restant sont pour les liaisons régionales ainsi que pour les départs et arrivées de liaisons nationales. Sur le réseau GLRH (Great Ling Railway High-speed - 大岭高铁 - Da Ling Gaotie, litt. Train à grande vitesse du Grand Ling), circulent 1'213 trains Grande Vitesse par jour dont 1'400 partent ou arrivent au Qin tandis que les 350 restant ne font que transiter pour rejoindre le nord, le sud ou l'ouest du pays.
L'efficacité du réseau tient en une excellente planification de celui-ci mais surtout à l'extrême interchangeabilité de ce dernier. En effet, si les trains GLRH sont adaptées pour circuler sur les lignes Grandes Vitesses, ils peuvent également utiliser le réseau secondaire. Le niveau de sécurité est extrêmement haut pour la sécurité du convois comme des passagers et tous les trains sont systématiquement reliés à des centres de contrôles locaux qui maillonne le territoire du Qin mais également le territoire nationale. Par ailleurs, il existe deux mesures permettant de faciliter les circulations qui sont la redondance des voies, c'est à dire plusieurs voies parallèles. De plus et depuis la fin des années 1990, toutes les voies situées dans ou à proximité des grandes aires urbaines ou des autoroutes ferroviaires sont systématiquement en IPCS (Installation Permanente de Contre-Sens) afin de pouvoir continuellement faire circuler les trains sur le réseau malgré des opérations de maintenance, une surchage temporaire du réseau ou autre.
Great Ling Railways-Qin (GLR-Qin) - anciennement DTG-Qin
Issue de la restructuration de la Diguo Tielu Gongsi (DTG, litt. Compagnie Impériale des Chemins de Fer), GLR-Qin est l'entreprise publique provinciale chargée de la gestion du réseau ferré qinanese pour le compte de l'autorité organisatrice : le Département provincial des Communications du Qin. GLR-Qin est la filiale du groupe GLR la plus rentable avec un Chiffre d'Affaire pour l'exercice financier de 2014 évalué à 629,96 milliards de Tø (17,85 milliards d'euros) pour un résultat net de 101,87 milliards de Tø (2,89 milliards d'euros) grâce à sa situation ultra compétitive au Qin. Avec plus de 70'000 employés, c'est également l'un des premiers employeur de la province.
GLR-Qin est né en 1987 des fruits de la restructuration de DTG voulu par le Département des Communications pour éponger la dette galopante de l'entreprise publique. Elle est alors divisée en huit filiales interconnectées dont GLR-Qin n'est qu'une des composantes. En quelques années, la filiale devint la plus rentable et par effet de péréquation permit de financer les filiales du groupe les moins rentables jusqu'à ce que celles-ci soient à l'équilibre financier ou que la compagnie nationale prenne le relais avec l'aide des pouvoirs publics. Toutefois, GLR-Qin est également l'une des filiales avec le plus fort endettement lié à son développement massif et le coût croissant de l'entretien de son réseau composé principalement des lignes secondaires de la province, les lignes GLRH étant propriété du groupe GLR. En effet, à la cloture de l'exercice financier 2014, le ratio dette/EBITDA de GLR-Qin était de 5,4 fois sa valeur et de 6,1 fois sa valeur en 2013. La moyenne nationale est autour de 4.8 fois la valeur tandis que celui de GLR Group est de 4 fois sa valeur.
Aujourd'hui, GLR-Qin réalise la majorité de son chiffre sur les lignes pendulaires autour de Neijing et les liaisons GLRH dont elle a la charge, celles-ci dépendant du point de départ. Une autre part significative des revenus de GLR-Qin est le droit de péage prélevé par la compagnie auprès des acteurs privés (le plus souvent des joyful trains), principalement de tourisme ou Limited Express en transite dans le pays.
Enfin, GLR-Qin réalise également des bénéfices sur des services annexes comme la vente de produits ou de service à bord et en gare comme son agence de voyage, sa boutique en ligne, etc mais également par l'intermédiaire de rentes immobiliaire. La compagnie possède, en effet plus de 2 millions de m² de terrain en dehors de ses locaux et sont géré via son fond d'investissement GLR-Qin Investment & Real Estate. Ces terrains servent principalement de parc locatif pour les employés, d'autres entreprises ainsi que diverses locaux commerciaux. Son siège social est dans son plus gros bien immobilier, le Huadong Square Center situé dans le quartier de Huadong et connecté à la gare de Neijing Huadong Railway ; cet impressionnant complexe de 276'000 m² est en fait un centre commercial et une tour d'une hauteur maximale de 301,5 m. Cette dernière fait d'ailleurs 130'063 m², les 145'937 m² restant étant partagés entre un centre commercial de 41'600 m², un immense parking payant de 1'100 places ainsi que diverses locaux commerciaux indépendants du centre.
De gauche à droite : Huadong Square Center vu depuis le Huadong Square, on aperçoit le beffroi de l'anciene gare de Huadong aujourd'hui reconvertie en musée ferroviaire et autre vue du Huadong Square Center qui montre l'effet de géométrie de sa partie supérieure.
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Le Great Ling Railway High-speed - la Grande Vitesse
Le réseau GLRH se compose d'automotrice LRH1, LRH1D, LRH2 et LRH2D produites en partie sous licence burujoaise, notamment pour les LRH1 dont les cinq premiers furent construit au Burujoa puis livré au Grand Ling via cargo. Les autres modèles eux, ont été construit par Hongzhaji Rail, filiale du constructeur aéronautique Hongzhaji a partir de licence. Si la vitesse commerciale maximale est de 350 km/h, dans les zones urbaines, elle est restreinte à 290 et 300 km/h. La vitesse moyenne est, par ailleurs plus souvent autour des 290 km/h pour les LRH1 dont la vitesse maximale est de 305 km/h. Les LRH2, eux, sont limités à 320 km/h avec une vitesse commerciale de 305 km/h.
De gauche à droite : Vue du hall central de Neijing Huadong Railway Station, principale gare de la capitale ; LRH1 au départ de Neijing Huadong Railway Station et LRH2 au départ de Fengling Railway Station.
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Les liaisons pendulaires provinciales - la banlieue et la province
La majorité des services régionaux et de banlieue sont opérés à bord de AE2000 series depuis 2001. Ceux-ci se déclinent en plusieurs modèles dont les principaux sur le réseaux sont les AE2000-100, mis en service de 2001 à 2003 pour remplacer les AE1980 series dont il ne reste aujourd'hui que dix AE1980-500, produits à partir de 1989 jusqu'à 1993.
Le réseau non électrifié est, lui, assuré par les AB1985 series qui prendront leur retraite à la fin de l'électrification du réseau provincial ou seront transférés à des provinces disposant encore de lignes non électrifiées.
Les AE2000 et AE1980 font toujours sept à 10 caisses avec une cabine de réversibilité équipée d'une porte d'intercirculation afin de pouvoir coupler deux trains entre eux et réaliser des services en "UM2", c'est à dire, en Unité Multiple composée de 2 éléments. En revanche, les AB1985 ne font que quatre caisses du fait des lignes moins fréquentées qu'ils desservent. Le réseau, du fait de sa densité, est limité à 160 km/h bien qu'il existe quelques rares portions à 200 km/h. La moyenne est cependant de 120 km/h.
De gauche à droite et de haut en bas : une AE1980 réalisant un service Baiguo-Fengling ; une AE2000-100 de 9 caisses, la cabine de réversibilité avec la porte d'intercirculation se trouve à l'opposée ; Autre vue d'une AE2000-100, côté cabine de réversibilité avec sa porte d'intercirculation bien visible ; AB1985 en mode thermique en gare de Baotai.
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Les Limited Express - les liaisons nationales lentes
Enfin, le réseau ferroviaire de la province est également occupé par un certains nombres de lignes nationales qui arrivent, partent ou transitent par le réseau secondaire. Parmi les lignes les plus célèbres, l'Harmony Express emprunte le réseau pour relier Lanji dans le Hexie à Longjing dans le Wujiang via Neijing. Il existe plusieurs services inter-provinciaux bien moins longs ou moins célèbres qui circulent au Qin. Deux constructeurs se partage l'approvisionnement de ces trains à savoir Hongzhaji Rail, qui fournit intégralement le réseau GLRH et une bonne partie du réseau interurbain. Le deuxième, moins connu, YuLong Car Corporation (YCC) a fait ses faits d'armes en fournissant toutes les rames du métro de Zhenzhou, le monorail de Neijing ainsi que les AE2005 actuellement en service à Zhenzhou. Le réseau, bien qu'exploitant les mêmes lignes que les trains de banlieue/régionaux, est limité à une vitesse de 200 km/h. A proximité des grandes métropoles de la province ou du fait des services Limited Express que réalisent ces trains - les conduisants à s'arrêter régulièrement même si moins que les trains régionaux - la vitesse moyenne tourne autour de 160-190 km/h.
On retrouve principalement des AE100 series, des AE200 series ainsi que des AE300 series produits par YCC depuis 2010. Par ailleurs, des AE400 series de Hongzhaji Rail devraient entrer en service fin 2016 afin remplacer les AE100.
Les AE100 furent les premiers Limited Express automoteurs mis en service sur le réseau national. La DTG-Qin, filiale provinciale de DTG et en charge de tout le réseau ferroviaire pour le compte de la Province, effectua son premier service avec des AE100 series le 05 mars 1993. Pour compléter l'offre, les AE200 series furent mis en service en 2002. Enfin en 2010, pour prévenir le remplacement progressif des AE100 et AE200, YCC fut désigné pour produire des AE300.
De gauche à droite et de haut en bas : AE100 réalisant une mission commerciale entre Lushang et Zhenzhou ; AE200 aperçu entre Baishui et Shucheng ; AE300 et son nez caractéristique qui lui vaut son surnom de Black Manta et AE400 réalisant des essais non loin de Huanyuan (Chuangzhi).
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Métropolitain
Au Qin, chaque siège de comté et quelques grandes villes disposent d'un service de chemin de fer métropolitain. Loin d'être une volonté des autorités provinciales, la nécessité d'avoir un service urbain complémentaire aux lignes de bus et aux trains de banlieue s'est avérée d'une absolue nécessité à partir des années 1950. Neijing fut la première ville du pays et par définition, de la province, a disposer d'un métropolitain. Celui-ci était composé de trois lignes à son ouverture en 1958 pour une longueur de 194 km. Aujourd'hui, le métro de Neijing fait 500 km et compte 16 lignes. Les 4'000 rames du parc sont principalement des RM03, RM05 et des RM10 dont la mise en service se fit pour remplacer les dernières RM92 du réseau. Par ailleurs, la construction de la ligne 17 devrait ammener avec elle du nouveau matériel roulant dont le nom est pour l'instant RM16, si le calendrier est respecté.
Le métro de Neijing est le plus fréquenté de la province avec 8,5 millions de passagers par jour soit 3,1 milliards par an. La ville étant sillonnée de canaux par endroit, une partie du réseau est en aérien, à peu près 20 à 30%.
Comme tous les métropolitains de la province et comme la majorité des métropolitains du pays, les voies sont à l'écart standard (1'435 mm). Leur vitesse maximale est de 90 km/h avec une vitesse moyenne à 35 km/h. Cette normalisation permet de pouvoir occasionnellement déplacer le matériel roulant via le réseau secondaire provincial. Il permet également aux usines d'assemblage de pouvoir directement être relié au réseau ferré provincial pour pouvoir envoyer leur matériel directement dans le parc. Étant donné que toutes les rames sont en 1'500 V CC alimenté par caténaire, celles-ci ne peuvent pas directement emprunté le réseau secondaire comme évoqué plus haut mais sont généralement tractées. Les RM16 devraient être équipées de batteries permettant une autonomie de 3 à 4 km ou bien le maintien de service malgré un défaut d'alimentation. En configuration standard, une rame de métro peut embarquer 2'000 à 2'500 passagers avec une combinaison de sièges et de places debout soit 300 à 400 passager par voiture.
Comme beaucoup partout dans le Grand Ling et comme dans de nombreux pays nazuméens comme le Fujiwa ou le Burujoa, les rames de métro revêtent une livrée spéciale dépendant de leur ligne d'affectation. Le métro de Neijing ayant la couleur rouge pour sa ligne 1, toutes les rames circulant sur cette ligne disposent d'un liseret rouge.
De gauche à droite : RM92 à gauche et RM03 à droite, RM05 sur la ligne 11 et RM10 introduisant l'éclairage led sur le métropolitain.
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Le Monorail
Loin d'être le transport en commun principal de la province, le monorail est cependant très utilisé dans des cas très précis. Le réseau le plus développé est celui de Neijing, car il relie l'aéroport international Neijing-Huangong à Huadong via la gare Neijing Huadong Railway située au centre-ville de la ville et étant le principal hub de transport de la métropole. Depuis 2011, une seconde ligne fut ouverte pour relier l'aéroport international Neijing-Padong qui fut inauguré un an plus tôt et qui se situe à 60 kilomètres de la capitale. Il permet d'ailleurs de relier la Qin State University (秦省大 - Qinshengda, litt. Université de la province du Qin) au quartier de Shanlin, en correspondance avec la ligne 4 et 7 du métro de Neijing.
Le deuxième monorail le plus développé de la province est celui de Fengling dont le réseau s'étend sur 24 km. Il est pleinement intégré au réseau métropolitain de la ville sous le nom de ligne 10 et 12 du métro de Fengling. C'est également le plus célèbre car il a la particularité de passer à l'intérieur de certains batiments. La ligne 10 a pour particularité de desservir le Fengling Innovation and Technology Park (凤岭科创园 - Fengling Kechuangyuan, litt. Parc d'innovation et de technologie de Fengling) qu'elle survole presque intégralement. Le FITP est le plus grand pôle technologique de la province et du Grand Ling et l'un des pôles technologiques les plus dynamiques du continent. Toutes les entreprises du monde tech du Grand Ling y sont et certaines étrangères s'y installent de plus en plus pour bénéficier des crédits d'impôts liés à la R&D. De fait, c'en fait non seulement un vecteur d'emploi énorme mais également une vitrine touristique et économique de la province.
Enfin, les monorails sont énorméments utilisés dans la province pour desservir l'intérieur des trois grands parcs d'attraction qu'on peut trouver en banlieue de Neijing, de Baishui et à Fengling. En effet, le plus grand parc aquatique du continent nazuméen et l'un des plus grands du monde se trouve à Baishui. Ocean Park est un complexe s'étendant sur 114 hectares et divisé en quatre parties desservies par deux gares monorail chacune à savoir la partie parc aquatique, la partie coaster, la partie centre d'étude et de conservation de la biodiversité marine ainsi que la partie dédiée aux hôtels du parc. Son réseau, en forme de boucle, mesure 2,96 km.
Le deuxième parc et le plus grand de la province est situé à Padong, non loin de l'aéroport international Neijing-Padong. D'une superficie de 390 hectares, Wonderworld land est un parc à thème divisé en quartier reproduisant la culture typique des pays du monde. Ainsi on trouve entre autre le quartier lingois, stranéen, jashurien ou encore fujiwan dans le parc Nazumland. Le réseau monorail dessert alors plusieurs points de ce parc et mesure 10,14 km. Il circule en boucle et dispose d'une correspondance au niveau de Gateway Station avec la ligne 16 reliant l'aéroport Neijing-Padong à Neijing.
Enfin le dernier réseau monorail se trouve dans le parc d'attraction Happy Valley, situé à Fengling il s'agit d'un parc à thème autour de la technologie, la science et l'innovation. D'une superficie de 54 hectares, son réseau monorail fait une boucle de 1,4 km et est en correspondance avec la ligne 10 pour relier le FITP dont il est voisin.
De gauche à droite : Monorail reliant l'aéroport international Neijing-Huangong à Huadong, on voit en arrière plan un avion atterrisant sur les pistes ; monorail de Fengling aux couleurs de la ligne 12 qui s'apprête à entrer en gare et monorail d'aspect retro-futuriste dans le parc à thème Happy Valley de Fengling.
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Transport aérien
Transport maritime
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