Le Royaume lumineux de Kobor est une monarchie constitutionnelle avec un fort pouvoir de direction en la personne du roi/reine maestà tiegħu r-re/reġina. Le roi/reine est le chef politique suprême. Il préside le Conseil des ministres ; peut révoquer n'importe quel ministre, révoquer le chef du gouvernement, dissoudre le Parlement, suspendre la constitution, convoquer de nouvelles élections.une monarchie constitutionnelle, et dispose aussi du titre ''Commandant des forces Lumineux'' (l’armée).
Le Parlement - Il-Parlament
Le Parlement est l'organe législatif bicaméral du Royaume Luminużi de Kobor, il siège à Il-belt kbira, la capitale, Le parlement peut voter le budget, faire des propositions de lois, poser des questions aux ministres, et établir des commissions d'enquêtes pour étudier les actions du gouvernement. La Chambre des représentants du Parlement peut renverser le gouvernement par une motion de censure - mozzjoni ta’ ċensura.
La Chambre des représentants - Il-Kamra tad-Deputati :
le principal organe législatif du Royaume Luminużi de Kobor, composée de 395 membres pour un mandat de cinq ans. L'élection se déroule au suffrage universel direct et les sièges sont distribué selon un système de liste proportionnelle qui assure une représentation plus équilibrée des diverses forces politiques du pays.
Le parti qui remporte le plus de sièges lors des élections législatives a la possibilité de nommer le Premier ministre chargé de constituer le gouvernement et de le soumettre au roi pour validation ou refus.
GOUVERNEMENT
CML - La coalition Mouvement libéral - CML - Il-koalizzjoni tal-Moviment Liberali (236)
Parti Libéral Koborien
Parti de l'engagement
Parti Démocratique koborien
Parti Voix populaireOPPOSOTION (156)
Parti communiste koborien (68)
Parti kobor en vert (2)
Parti national uni (13)
Alliance chrétienne de kobor (15)
Parti de la Défense Nationale Koborien (3)
GG - Groupe de gauche - GX - Grupp tax-xellug (55)
Parti de gauche
Parti du renouveau national
Nouveau Parti Démocratique
NI : 3 Indépendants
Le conseil de Kobor - il-kunsill ta' Kobor
compte 12 membres, 10 élus pour 6 ans au scrutin direct par chaque région des 10 régions du pays , et les 2 restants sont nommer par le Roi directement considéré comme conseiller personnel. Avant 1923 Chaque ethnie du pays choisissez un porte-parole au sein du conseil appelé le conseil de Kobor ''avec la loi La loi no 3-81 de 1923 relative à l'organisation régionale, le conseil est devenu reparti sur les régions du pays''
Le Gouvernement - Il-Gvern
Le Premier Ministre - Il-Prim Ministru
Le chef du gouvernement est chargé de diriger le gouvernement et de coordonner l'activité des différents ministres. Il préside le Conseil de gouvernement sous l'autorité du roi, élu tous les cinq ans.
Les ministres - Il-ministri
Nommés par le roi sur recommandation du Premier ministre, ils sont responsables de différents départements exécutifs (économie, santé, éducation, défense, etc.) et doivent présenter des rapports réguliers au Parlement.
LES PARTIS POLITIQUE AU ROYAUME LUMINUŻI DE KOBOR
PARTIJIET POLITIĊI IR-RENJU LUMINUŻI TA’ KOBORPlus de détails sur les partis politiques les plus importants
Le Parti Communiste Koborien (PCK) trouve ses origines dans la fondation du journal Luminużi Qawmien en 1896, créé par Amir Stella, un activiste socialiste. Fils d'un père arabe-koborien et d'une mère koborienne, Stella s'engagea pour la justice sociale et l'égalité des classes ouvrières face aux élites. Le journal devint rapidement une tribune influente pour les idées socialistes, dénonçant les inégalités et appelant à des réformes sociales.
Dans les années 1900, inspiré par les idéaux de Stella, le PCK fut fondé pour défendre les droits des travailleurs, la redistribution des richesses et la collectivisation des ressources, le militant du parti le plus connu est Xebat azadî un koborien d'origine kurde.
Malgré ses idées ambitieuses, le PCK rencontra de nombreuses résistances, notamment de la part des classes dirigeantes et de la monarchie. Bien que réprimé par les autorités, le parti laissa un héritage durable en contribuant à l'essor des syndicats et des réformes sociales à Kobor, et influença profondément la conscience politique du pays.
En 1945, les travailleurs du Royaume de Kobor, soutenus par des militants communistes comme Xebat Azadî, lancèrent une série de grèves et de manifestations pour revendiquer de meilleures conditions de travail, des salaires plus équitables et la fin de l'exploitation. Les protestations prenaient une tournure plus radicale avec la demande d'une transformation sociale profonde, comprenant des réformes foncières et une redistribution des richesses.
En 1946, après plusieurs mois de négociations difficiles et sous la pression des manifestations, le Parti Communiste Koborien fut finalement reconnu légalement et admis au sein du Parlement de Kobor. Cette victoire marqua un tournant décisif dans l’histoire politique du Royaume, et le PCK obtint pour la première fois une véritable représentation institutionnelle.
Paul Cauchi Président général du Parti Communiste Koborien
Le Parti du renouveau national est connu comme le parti des jeunes, car la plupart de ses partisans sont jeunes et la population qui vote pour le parti est majoritairement jeune. avant 2010 Les militants du parti opèrent dans la clandestinité, principalement sur les réseaux sociaux sous le nom de « Jeunesse Koborienne », et malgré la répression du gouvernement et les attaques médiatiques, le parti connaît une croissance rapide en ligne et sur les campus univeristaire. Depuis 2010, le parti a renforcé son réseau de soutien grâce à des alliances avec d'autres partis de gauche et syndicats. Le moment le plus important de l’histoire du Parti du Renouveau National s’est produit en 2013, lorsqu’il a décidé de se présenter aux élections législatives. Après une campagne de sensibilisation et de mobilisation populaire, le Parti du renouveau national a remporté sept sièges au Parlement, marquant ainsi sa transition de la légitimité clandestine à la légitimité parlementaire.
L’un des moments déterminants de l’histoire du PRN a été sa position contre la loi 23.11, une loi controversée adoptée par le gouvernement en 2011. De nombreuses organisations sociales et politiques considèrent la loi comme un outil de discrimination, notamment à l'encontre des minorités ethniques et religieuses. Il privilégie les groupes dominants tout en limitant les droits fondamentaux des autres groupes.
Luna Micalef Présidente général du Parti du renouveau national et la plus jeune députée de l'histoire de Kobor avec 23 ans
L'Alliance Chrétienne de Kobor est un parti politique d'extrême droite, fondé par des anciens partisans de l’ordre extrémiste « Christ Vengeur », Les fondateurs de l'Alliance ont compris que la violence seule ne suffirait plus pour atteindre leurs objectifs et ont décidé de s'intégrer au système politique.
En 15 juillet 1934, le clergé chrétien du Royaume de Kobor, incluant prêtres et sœurs, est sorti en procession dans les rues pour célébrer l’adhésion de l'Alliance Chrétienne de Kobor au parlement. Cet événement a marqué une étape cruciale pour le parti, longtemps resté en marge de la politique officielle en raison de son passé controversé et de ses origines dans le mouvement extrémiste « Christ Vengeur ».
Peter Azzopardi Président général de L'Alliance Chrétienne de Kobor
Avant les années 2000, le Parti national uni et Parti de la Défense Nationale Koborien formaient un parti unique, le Parti ''un Kobor arabe'', fondé sur une forte idéologie nationaliste, centrée sur l'identité arabe de Kobor et appelant à la défense des valeurs traditionnelles des Arabes koboriens. Il rassemble des sympathisants qui partagent une vision commune : kobor est un pays avec un passé où la culture arabe était valorisée, alors pourquoi changer maintenant.
Mais au fil du temps, des tensions sont apparues entre les membres à propos de l'orientation religieuse du parti. Alors que certains voulaient mettre l'accent sur l'identité arabe laïque, d'autres, menés par les partisans du futur Parti de la Défense Nationale Koborien, estimaient que l'identité religieuse islamique devait jouer un rôle central dans l'idéologie du parti.
A gauche Wael Ahmadi Président général du Parti national uni - a droite Cheikh Ahmed Abdulrahman Al Aswani Président général Parti de la Défense Nationale Koborien
Les premiers partis politiques de l’histoire de Kobor, le Parti de l’Engagement et le Parti Libéral Koborien, ont été créés à la suite de la dissolution du Conseil de Kobor et de la création du parlement. Ces deux partis ont joué un rôle fondamental dans la structuration de la scène politique koborienne, offrant des idéologies distinctes mais complémentaires dans un pays en quête de stabilité et de développement.
la création du parlement en 1860
à gauche le Premier ministre Rafael Micallef et Président général du Parti Libéral Koborien - à droite la ministre de la santé Paula Buttigieg et Présidente général du Parti de l’Engagement