Le territoire Guadamos est découpé en divisions administratives, qui ont pour but d'améliorer la gestion territoriale ainsi que la représentation des cultures et des populations nationales. Mais Guadaires possède aussi des divisions géographiques qui se superposent aux administratives et qui servent principalement pour l'élaboration de données statistiques plus précises en se basant sur des réalités géographiques. Le système d'organisation territorial Guadamos est assez complexe, car le pouvoir de chaque territoire n'est pas uniformisé et que les statuts sont nombreux. Aussi, tous les territoires ne sont pas intégrés dans tous les types de subdivisions.
Les subdivisions administratives (par ordre de subordination) :
- Régions culturelles : Elles sont au nombre de 18, il s'agit de la plus grande division territoriale du pays. Chaque région a une autonomie plus ou moins fortes (le Pays Brion étant de loin la plus autonome). Elles sont basées sur les différentes cultures du pays. Toutes sont gouvernées par un Préfet et possèdent un Conseil Régional, cependant le pouvoir de ces institutions dépend des régions. Par exemple, dans le Pays Brion, la région contrôle quasiment tout (sous condition de respecter la loi de l'État auquel elle demeure subordonnée), à l'exception des Affaires extérieures, de la Justice et de l'organisation du gouvernement régional. Au contraire, la Région de Guadaires-Capital est largement soumise au gouvernement national.
- Agglomérations et Métropoles : Il s'agit de la seconde subdivision du pays, chaque grande ville du pays s'associe aux communes proches pour former une métropole (si le territoire englobe plus de 1 million d'habitants) ou une agglomération (au moins 50000 habitants). Le choix des limites territoriales de ces subdivisions est basé sur la situation géographique des villes, et est évolutif. Cependant, il est fréquent que des villes géographiquement dans l'aire urbaine d'une ville demeure exclue administrativement de l'agglomération de celle-ci. Aussi, certaines municipalités ne sont dans aucune agglomération et sont nommées communes libres. L'objectif des Agglomérations et Métropoles est de coordiner le développement urbain du territoire, elles sont tenues de posséder une assemblée élue au suffrage direct, mais elles restent libres dans leur manière de se gérer. Néanmoins, les Métropoles sont plus autonomes que les agglomérations et certaines subdivisions ont plus de pouvoir que d'autres, à l'image de la Métropole de Guadaires.
- Les communes : Le pays compte 5122 communes, elles sont dirigées par un Conseil Communal qui élit à son tour un maire. Leurs rôle est principalement de gérer l'urbanisme, et les services publiques à l'échelle locale. Mais encore une fois, certaines communes comme Guadaires-Ville ont plus de pouvoir. Par exemple, le maire de Guadaires devient le Chef de la Métropole de Guadaires.
- Les Quartiers municipaux : A l'exception de Guadaires, Puerto-en-Calabros et La Santora, la formation des quartiers est gérée par la municipalité. Ce statut territorial est reconnu par l'Etat en 1982 pour subdiviser les communes jugées trop grandes. Les citoyens élisent un Conseil de Quartier qui élit un Représentant de quartier qui siège au Conseil Secondaire des communes. Chaque quartier gère les travaux et les réparations des infrastructures publiques et doit permettre aux citoyens de faire entendre leur voix à la mairie de la commune. Le cas des trois communes citées précedement est particulier car les quartiers sont plus autonomes et administrés comme "des communes dans la commune".
- Territoires non-intégrés : Il s'agit de territoires non-peuplés qui ne sont pas intégrés aux communes. Ils sont souvent gérés par une division territoriale (communes, le plus souvent). S'il ne s'agit pas de parcs naturels la construction sur ces territoires doit être autorisé par le gouvernement national. Ils sont parfois utilisés à des fins militaires ou pour des grosses infrastructures comme les aéroports.
- Territoires Autogérés : Ils apparaissent dans les années 90 en raison du mécontentement de certains citoyens vivant dans des zones à très faible densité et qui s'opposait à des projets d'urbanisme des communes administrantes. Ces territoires qui doivent impérativement faire moins de 50 habitants majeurs sont administrés directement et horizontalement par les résidents. Il s'agit généralement de zones de montagnes et de zones agricoles où ne vivent que quelques agriculteurs. Néanmoins, le pouvoir de ces territoires est plus faible que celui des communes, entre autres ils n'ont pas la capacités de transformer la zone et doivent souvent demander l'approbation de la région ou de l'Etat pour procéder à l'application de certaines décisions. Le but de ces subdivisions est aussi d'éviter l'isolement des citoyens et l'abandon des campagnes, il est important de noter que toute les zones à très faibles densité ne sont pas des territoires autogérés (la plupart de ces endroits sont administrés par une commune).
- Parcs Naturels Protégés : Dès lors qu'un territoire est déclaré Parc Naturel Protégé, il passe sous l'administration directe de l'Etat ou de la Région culturelle. Néanmoins, ses habitants peuvent former un territoire autogéré ou sont intégrer à la commune la plus proche. Ces territoires doivent être sauvegardés, la construction de bâtiment est extrêmement limitées et certaines zones peuvent être interdites d'accès.
Cas particuliers :