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La culture du Saint-Empire Menkelt

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La culture au sein du Saint-Empire Menkelt :

Le Saint-Empire Menkelt se vante souvent d'être une grande place de culture. Que ce soit au niveau de la littérature, de la musique, des danses, de sa peinture, de son architecture ou encore de ses séries d'animations. Cela n'en fini pas décidément ! En conséquence, ici seront répertoriés tout ce qui est en rapport avec la culture Menkienne de près ou de loin, c'est une culture toujours vivante qui ne se repose jamais !



Nos racines s'enfonceront encore plus profondément et nos branches iront toujours plus haut, ainsi sera l'avenir.
Mickaël Land, écrivain, idéologue et professeur de mathématique du Saint-Empire Menkelt.
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Art :

Le Surhéroïsme :

Mouvement culturel présent surtout dans la peinture, ce courant se veut nostalgique des temps de la chevalerie et déplore le désenchantement du monde. Le Surhéroïsme existe toujours aujourd'hui et est très apprécié par les Menkiens. Les thèmes abordés généralement sont la chevalerie, Dieu, l'amour, le combat, les anges, le mal, la magie, le moyen-âge, le courage, la bravoure, l'honneur.

Morvan Meirion (1878-1955), peintre bretonnien de Ker'Ys et créateur du mouvement Surhéroïque :


L'ange de justice (1924),


Autres exemples d'oeuvres Surhéroïque :



Juhel Le Mézec, peintre bretonnien originaire de Nalghued (né en 1974) :


L'âme qui brille. (1997)



Le chevalier dans une plaine. (2004)


Oeuvre de Marc Flynn (Né en 1937, assassiné en 1999), peintre ardien de Dablun :


Un déchu androgyne. (1983)
1924
Littérature :

Hillbilly Elegy : Une ode menkienne dans un Empire en crise



Auteur : Patrick Pearse


Sortie du livre : 2009

Synopsis : ''Mon clan vient d'un paisible village d'Ardee, qui était alors en plein développement économique depuis les années 1920. J'appartenais à une famille de bergers pleinement enracinée et vivant dans une relative pauvreté. Nous n'avions cependant pas à nous plaindre, un entourage aimant avec une communauté solide dans le village. Je vivais une petite enfance heureuse, jusqu'à ce que cette catastrophe que fut la guerre occulte finisse par arriver sur nos terres et montra les travers, mais également les qualités, du peuple auquel j'appartenais.''

C'est sur ces mots que Patrick Pearse commence à nous livrer sa biographie, le futur ministre y décrit son enfance et ses origines familiales, jusqu'à son admission à l'université impériale de Ker'Ys. Ainsi l'auteur nous raconte les divers abus qui l'a pu subir pendant son enfance. Les traumatismes liés aux rackets et aux enlèvements des divers groupes terroristes communistes sur son village. Une mère plongeant dans l'alcool suite à l'enrôlement de force du père ou encore la crise économique frappant de plein fouet le village Ardien. Ces diverses situations vont faire que le clan familial va se diviser sur l'altitude à adopter face à ces crises.
Sa grand-mère essayant tant bien que mal de maintenir l'unité familiale va le pousser à étudier et se dépasser pour fuir cette misère. Cette dernière, stricte, crue, mais aimante l'a poussé à se dépasser et finalement, Pearse réussira à rejoindre le jour de ses 18 ans l'université de Ker'Ys ou il s'investira en politique.

Le jeune auteur ne raconte pas seulement son histoire personnelle, mais soulève aussi des questions sur la responsabilité des siens dans leur situation durant la guerre civile. Patrick Pearse dans son ouvrage se montre très critique envers la culture tribale encore bien présente dans certaines régions du Saint-Empire. Ou encore la lâcheté de certains dans son village prêt à tout pour garder leur petite tranquillité. Malgré tout, l'auteur encense en revanche les valeurs que sa famille lui enseigna incluant des traits comme la loyauté envers le clan familial, la piété et l'amour de la terre et des siens.
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Littérature :

Histoire des Menkiens



Auteur : Grégoire de Rhoazon

Sortie du livre : VIe siècle, entre 510 et 514 après Jésus-Christ.

Synopsis :
En développement...
1782
Art :

Nom : L'Âge d'or



Auteur : Cadfael Bardon

Date de l'oeuvre : 1480 - 1492

Histoire :
Cadfael Bardon disait à ses proches que ce tableau lui était apparu en rêve, qu'un esprit lui aurait alors ordonné de le peindre, ce qu'il fit dès le lendemain de ce rêve. Le peintre se mit alors au travail immédiatement. Bardon disait souvent que cette peinture représentait l'avenir de Menkelt. Pendant 12 ans ainsi, le jeune artiste peignit frénétiquement ce tableau, tout en jeûnant et priant régulièrement. Ce qui inquiéta pendant un temps ses proches, voyant sa santé s'affaiblissant petit à petit. Cependant, au fur et à mesure du temps, son entourage ne put que constater qu'il était en train de peindre une merveille qui allait marquer la culture du Saint-Empire Menkelt. À la fin de son oeuvre, Cadfael Bardon alla voir l'Empereur de l'époque pour lui présenter son tableau et lui annonça :
''Voici une représentation de l'âme provenant de notre race, ô grand empereur !''
L'Empereur d'abord sceptique regarda alors le tableau. Il fut complètement subjugué par le tableau, à tel point qu'on raconte que ce dernier resta pendant 4 heures devant celui-ci, l'admirant.
Le tableau offre une vue absolument grandiose, faisant 9 mètres de hauteurs sur 7 mètres de largeurs. On ne sait pas vraiment ce que le peintre a voulu démontrer avec l'énorme cercle noir au centre avec l'étoile extrêmement brillante au milieu. Le tableau est conservé au musée des arts et des lettres à Ker'Ys.
Certaines théories du complots voudraient faire croire que les formes rectangulaires autour du cercle noir serait des immeubles de notre époque, prouvant le fait que Cadfael Bardon aurait en fait vu le futur du Saint-Empire Menkelt. Cette théorie complotiste est renforcé par les nombreuses réactions plutôt anormale qu'on eu certaines grandes personnalités menkiennes devant cette oeuvre.
Par exemple, il est raconté que l'Empereur Griffith II qui a régné au XIXe siècle s'évanouit à la vue de la peinture. En se réveillant avec ses sujets autour qui essayaient de l'aider, Griffith II cria alors :
''J'ai enfin compris ! Merci seigneur !''
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