Activités étrangères au Zhōnguaï
Posté le : 20 nov. 2024 à 12:18:10
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Posté le : 22 nov. 2024 à 11:56:47
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Dans un contexte où l’Empire de Belograd défend avec fierté son isolationnisme et sa souveraineté, le territoire de Bay, située en Nazum chinois, fait face à des menaces persistantes venant de groupes exilés au Zonghaï. Ces individus, prétendument des sois disant "réel Bayens", ne sont que des éléments perturbateurs expulsés par le Tsar pour leur opposition à l’ordre et pour leur culture. Aujourd’hui, ils revendiquent illégitimement le territoire de Bay, mettant en péril la paix dans la région.
Les soi-disant "Bayens", établis dans le pays voisin du Zonghaï, profitent de leur statut de réfugiés pour propager des discours contre l'Empire. Ces individus ont été exilés il y a plusieurs décennies par le Tsar en raison de leur incapacité à respecter les lois impériales et leur refus d’adhérer aux valeurs patriotiques comme les autres indigènes des differentes colonies.
Cependant, ces groupes exilés, soutenus par des puissances extérieures notamment le Zonghaï et l'Empire anti coloniale (ce pays abrite aussi des faux bayens)cherchant à déstabiliser l’Empire, tentent aujourd’hui de franchir les frontières et de troubler l’ordre établi.
Face à cette menace, l’Empire de Belograd a immédiatement mobilisé ses agents de sécurité et ses forces armées pour protégere territoire de Bay. Des barrages routiers, des drones de surveillance et des patrouilles constantes ont été déployés pour empêcher toute infiltration.
"Chaque centimètre du territoire de Bay est sacré et sera défendu avec une détermination sans faille", a déclaré un génerale. Les postes frontaliers entre Bay et le Zonghaï ont été renforcés avec des dispositifs, garantissant qu’aucun de ces éléments indésirables ne puisse pénétrer dans la colonie.
L’Empire de Belograd rejette catégoriquement les revendications de ces "faux Bayens". Le territoire de Bay appartient de manière légitime et historique à l’Empire. Depuis son annexion, Bay a connu un développement fulgurant grâce aux investissements impériaux et à la discipline imposée par le régime tsariste. Ces prétendants exilés n’ont aucun droit de troubler cette prospérité.
Le Tsar appelle les citoyens loyaux de Bay à rester vigilants et à coopérer avec les forces de l’ordre pour signaler toute tentative d’infiltration , heuresement cela n'arrivera jamais. La population de Bay, qui bénéficie de l’ordre , sait pertinemment que la paix et actuelles sont le fruit de la politiqe de Belograd.
L’Empire de Belograd : une forteresse imprenable
Cette crise souligne une fois de plus la nécessité pour Belograd de maintenir son modèle de fermeture. Tout comme ses frontières nationales, les territoires impériaux sont protégés par une surveillance rigoureuse et une discipline inébranlable.
Le Zonghaï et l'Empire anti coloniale doivent comprendre que l’Empire de Belograd ne cèdera pas un millimètre de sa souveraineté. La colonie de Bay restera une partie intégrante et inviolable de l’Empire, à l’abri des influences extérieures et des ambitions illégitimes.

Posté le : 23 nov. 2024 à 22:56:49
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Récemment, le Tsar à montré son engagement sans faille pour la stabilité de l’Empire et s’est illustré lors de sa visite officielle en zone neutre dans la République populaire du Zhōnguaï comme un veritable au dirigeant au sang-froid . Confronté à un Président Pan Liuxian oscillant entre méfiance et hésitation, le Tsar a démontré une maîtrise remarquable, refusant de céder aux provocations ou à l’ambiguïté.
Face à des accusations infondées concernant un supposé espionnage de la part de l’Empire de Belograd, Vladimir Sladikov a opposé un calme imperturbable et une logique implacable. Il a rappelé que le déploiement des troupes impériales à la frontière du Nazum n’avait qu’un seul objectif : garantir la sécurité et empêcher l’afflux des populations perturbatrices issues de la "Nation de Bay".
"Nous n’avons jamais espionné, ni agressé nos voisins," a-t-il affirmé avec fermeté, démontant point par point les insinuations adverses. "Notre priorité reste de protéger nos frontières et de maintenir la stabilité régionale, rien de plus."
Ce pragmatisme a révélé une vérité éclatante : l’Empire de Belograd n’est pas un fauteur de troubles, mais bien une force d’équilibre dans un monde en proie à l’instabilité.
Le Tsar n’a pas seulement répondu aux provocations du Zhōnguaï. Il a aussi démontré qu’il comprend parfaitement les enjeux sous-jacents des tensions actuelles. Bien qu’isolée géographiquement, le territoire de Bay, est un véritable joyau de l’Empire, reste un territoire clé pour l’influence de Belograd dans le Nazum. En consolidant la sécurité autour de ses frontières, Sladikov affirme avec que l’Empire ne reculera jamais.
Cette détermination a surpris plus d’un observateur , beaucoup soulignant que son comportement imposant et son regard perçant, capable de troubler ses adversaires les plus sûrs d’eux, sont devenus une signature du Tsar.
Au-delà des salles feutrées de la diplomatie, Vladimir Sladikov incarne la résilience et la grandeur de l’Empire de Belograd. Son refus de céder face aux pressions extérieures et son habileté à retourner chaque situation en sa faveur renforcent son aura au sein de la population belograde.
Les médias de l’Empire saluent sa performance, qualifiant son intervention de "véritable leçon de leadership." Le Tsar a montré qu’il ne suffit pas de parler fort pour diriger ; il faut aussi savoir écouter, anticiper et agir au bon moment.
Un avenir sous le signe de la force et de la stabilité
Le Tsar Vladimir Sladikov continue de dessiner l’avenir de l’Empire de Belograd avec une main ferme. Sa gestion des relations internationales, alliant tact diplomatique et fermeté militaire, prouve que l’Empire est prêt à affronter n’importe quel défi.
Comme l’a déclaré un proche conseiller du Tsar après la rencontre avec le Président Pan Liuxian :
"L’Empire n’a pas besoin de brandir l’épée pour démontrer sa puissance. Sa simple présence impose le respect."
Vladimir Sladikov, à travers ses exploits récents, rappelle à tous que l’Empire de Belograd est une nation forte et unie, prête à protéger ses intérêts, quelles que soient les provocations ou les pressions. Un Tsar de fer pour une époque de tempêtes.
Posté le : 24 nov. 2024 à 00:04:29
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Dai Pô observait les dernières nouvelles de la Ramchourie avec minutie. Depuis Avril 2014, son pays natal était tombé dans une tragique guerre civile qui commençait à totalement dégénérer, en amenant notamment les puissances mondiales à se joindre au gâteau Ramchoure.
Ce moment, lui et nombre de ses frères et sœurs l’avait attendu, s’apprêtant à revenir afin de rétablir le régime véritable de la nation.
En effet, suite à la révolte des printemps rouges ( dans les années 1970 ), causée en partie par les inégalités de richesses, la tyrannie bourgeoise et par la naissance de régime voisin communiste comme au Zhōnguaï ( bien qu’à l’époque une dictature ), et qui avait entraîné une violente révolution et répression par la suite, les ramchoures à quitter le pays étaient légions. Alors que certains s’étaient enfuis au Negara Strana, la majorité s’était réfugiée dans la jeune République Populaire voisine.
A cette époque, le dirigeant du pays du Zhōnguaï était Mo Chen, devenu président suite à une révolution vers les années 1940-1950 puis dictateur de son pays jusqu’en 1975. Après la révolution ratée en Ramchourie, le pays accueillit à bras ouvert les caumussites ( communistes ) ramchoure. Ces derniers, heureux d’avoir pu éviter la tyrannie des aristocrates, découvrirent, en même temps qu’un nouveau pays, une nouvelle idéologie : le Mochenisme. Celle-ci se divise en quatre points fondamentaux : « tous les hommes ne sont pas égaux », qui consiste à dire que toute personne n’étant pas mocheniste est en théorie inférieure à la personne de l’idéologie. Autrement, il y a « l’exportation de la révolution » qui consiste à étendre le mochisme dans le monde et ne pas s’arrêter en chemin. Aussi, il y a le principe de « former un bloc solide et uni », qui signifie que tout mocheniste se doit d’être solidaire envers son compatriote, s’il est dans la difficulté ou dans la misère. Enfin, et certainement l’élément le plus important, le « capitalisme économique », qui consiste à être communiste dans les décisions internes au pays, mais, tant que le monde n’est pas mocheniste, à fonctionner sur le modèle capitaliste à l’international.
Ainsi, après cette découverte, les ramchoures disséminés un peu partout au Zhōnguaï se retrouvèrent lors de la conférence de Jingcheng en 1985. Au cours de celle-ci, la centaine de ramchoures élurent un certain Dai Pô comme Président Temporaire de Ramchourie, et fondant de ce faire la République Populaire de Ramchourie.

Cependant, suite aux années, Dai Pô développa sa propre idéologie qui l’inculqua à tous ses camarades ; le Daiponisme. Cette branche du Mochenisme se base en plusieurs points :
Ainsi, Dai Pô en est là. Leader d’une faction jusqu’alors non présente dans le conflit ramchoure. Cependant, il y a peu, il a reçu une missive stipulant du soutien du Zhōnguaï à la cause de la République Populaire de Ramchourie. Cette nouvelle intervient suite à une demande rédigée par Dai Pô lui-même, afin de commencer à armer les forces daiponistes afin de regagner la Ramchourie et installer une base solide pour tenter d’unifier le pays.
Cependant, il fallait trouver un premier point d’appui pour lancer cette offensive. Finalement, le lieu idéal pour Dai Pô était plutôt simple à trouver : le sud. En effet, c’était l’une des rares zones de Ramchourie à n’avoir été que peu touchée par la crise. Ainsi, après mûres réflexions, le leader et son entourage définirent alors les états de Quianshan, Danshian et Sushian comme la future base solide de la République Populaire de Ramchourie. Pour de plus, lorsque l’assaut sera prêt, détenir une légitimité au yeux de la population, le régime prendra comme capitale Tang’an, l’une des plus grandes villes du pays, avec près de 3 millions d’habitants. Si elle est prise, alors le sud sera soumit rapidement…
En bref, ce qu’il faut attendre...
Posté le : 24 nov. 2024 à 11:02:46
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De la part du Tsar Vladimir Sladikov
Mes chers compatriote , mes chers freres , l’Empire de Belograd tient à informer à ses citoyens que la rencontre avec le Président Pan Liuxian de la République populaire du Zhōnguaï s’est conclue sans compromis et ni recul de notre part.
Nous avons clairement réaffirmé notre positions : le déploiement de nos forces à la frontière n’est pas une provocation, mais une mesure légitime pour assurer la sécurité de nos territoires face à des flux incontrôlés de populations , c'est sois disant bayens. Nous n’accepterons jamais aucune remise en question de nos décisions souveraines, ni d’accusations concernant des prétendus actes d’espionnage.
L’Empire de Belograd reste ferme. Nous ne plions pas sous la pression. Que cela soit bien compris par tous.
Tsar Vladimir Sladikov

Posté le : 24 nov. 2024 à 17:07:30
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Multiplication des tensions à la frontière bélogradienne – 25/02/2015
C’est dans ce contexte que la République du Zhonguaï, un autre régime tout aussi peu sympathique, s’est décidé à utiliser le ressentiment de milliers d’individus jetés entre ses griffes afin de faire progresser son agenda politique délétère. Le Monechisme, cette idéologie austère faisant de l’Autre un ennemi tant qu’il ne s’est pas converti, a visiblement gagné les têtes des réfugiés, qui se massent désormais à la frontière belogradienne du Zhonguaï, réclamant l’autonomie de la région de Bay, à titre de réparation pour les préjudices subis. C’est désormais pas moins de 68 000 individus qui se sont avancés vers les frontières du Belograd, exigeant d’être reçus et écoutés par les autorités belogradiennes.
La réaction du Tsar ne s’est pas faite attendre. Fidèle à la tradition isolationniste de sa politique, ce dernier a envoyé sur place l’Armée Noire, son contingent personnel, vidant les frontières bélogradiennes et le cœur du pays pour renforcer la présence bélogradienne dans la région. Si la stratégie de vider son propre territoire de ses forces armées pour créer cordon de sécurité sur le territoire nazuméens du Belograd prête à sourire, il ne faut pas oublier que le Tsar de Belograd est aussi celui qui a mis plus de 7 millions de personnes à la porte de son propre pays. Les réactions excessives et à l’emporte-pièce sont clairement dans son caractère, à défaut d’intelligence stratégique. Aujourd’hui, c’est toute l’Armée Noire qui se retrouve à Bay, laissant le cœur du pays aleucien vulnérable.
Ce face à face étrange entre les expulsés manipulés par le Zhonguaï et l’Armée Noire pourrait faire sourire si la situation ne risquait pas de dégénérer. En effet, l’Armée Noire est connue pour sa cruauté et malgré un matériel vieillissant, elle reste capable de tirer sur des civils sans sommation et sans aucune hésitation. De leur côté, les anciens réfugiés, instrumentalisés par le Zhonguaï, cherchent – vainement – à être entendus pour diffuser le Mochenisme dans la région. Quelle que soit la direction que prendra la région, ni le Mochenisme, ni l’autoritarisme belogradien n’augurent de belles perspectives pour les populations locales.
Face à cette situation, le Cercle Intérieur de la Troisième République du Jashuria a réagi publiquement, déclarant que le Jashuria suivait la situation avec beaucoup d’attention. Le Jashuria a réaffirmé par voie officielle que la stabilité de la région devait être maintenue dans le respect des conventions internationales.
Posté le : 27 nov. 2024 à 00:12:44
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6 Mars 2015, un peu avant minuit,
République Populaire du Zhonguaï,
Il était de ces jours où l'histoire s'écrivait d'elle même, où sans aucun signe avant coureur le destin était provoqué, et si bien souvent les hommes en étaient la cause, l'élément déclencheur en appelant par leurs actes au battement de l'aile du papillon, il pouvait advenir que de temps a autres la Fortuna soit écrit dans le marbre intemporelle par nulle autre que Mère Nature, ou Gaia selon les rhêmiens de l'ancien temps qui croyaient fermement que chaque part intrinsèque du monde mortel avait du divin en lui, n'étant que le sang et la chaire d'une entité supérieure.
Si ce début de nuit avait été des plus calmes, voyant la plaine en bas des hautes montagnes surplombant la sereine ville de Zhongchang qui se voyait octroyer la grâce de bénéficier du doux regard d'une magnifique lune d'argent pour accompagner ses rêves, le vent semblait pourtant avoir tourné, les signes étaient déjà là, simples, minuscules et parfois anodins, mais ils s'accumulaient. Les locaux adeptes des escapades nocturnes avaient d'abord pu apercevoir des nuées d'oiseaux s'envoler prestement et filer comme si le diable était à leurs trousses dans diverses directions, loin des montagnes. Puis, quelques petits malins se promenant sur les pentes boisées purent contempler de drôles de scènes, bêtes sauvages en tout genre filant sans s'arrêter de tel manière à mettre autant de distance que faire se pouvait avec le coeur même de la chaîne montagneuse. Cette dernière surnommée par les locaux comme "L'Ire de l'Empereur" et qui selon la légende serait maudite, apparaissant à de multiples reprises dans divers récits anciens datant de l'âge d'Or de l'Empire des Ushongs, parfois comme une protectrice, un site d'une grande puissance où les anciens détenteurs du mandat Céleste auraient soit disant proclamés leurs puissance en des temps anciens, mais bien plus souvent et dans les plupart des sources comme un vecteur de calamité, réduisant à néant des armées entières et engloutissant des villes prospères, éradiquant entièrement des civilisations prospères. Mais en cette époque contemporaine de progrès et de nouveautés, peu étaient ceux qui connaissaient encore les significations de ces vieilles légendes, ou même avaient simplement entendu parler de ces dernières. C'était là un autre des symptomes du triomphe du Mochenisme qui avait implanté durablement sa marque dans les esprits, s'imposant comme la pensée majoritaire quitte à écraser bien d'autres choses dans son sillage, dont la sagesse des textes anciens...
Une pensée unique, conforme, pour tous et chacun, peut être les choses auraient-elles été différentes dans d'autres circonstances ? Ce ne fut toutefois que lorsque les chiens, les fidèles amis de l'homme commencèrent à aboyer frénétiquement, un à un, dans toute la cité et même au delà, que les habitants de la paisible vallée bordant Zhongchang, réputée pour son statut de grenier à blé de par sa fertilité, donnant chaque année naissance à de faramineuses récoltes de légumes et de fruits, dont de superbes spécimens de tomates et de bananes qu'à force d'efforts et d'obstination les locaux avaient réussis à faire pousser malgré avoir été initialement importés. Il n'était pas faux de dire qu'une bonne part de la République Populaire était bénéficiaire desdites récoltes, de fait avec des statistiques nationaux estimant à environ 80 % la consommation de produits cultivés sur le territoire, la Vallée était ainsi une des garantes clé permettant à la nation d'éviter de revivre les heures les plus sombres de son histoire où la famine accablait le peuple et fauchait des vies par milliers.
Malheureusement, le Destin était cruel, et il y avait de ces choses que l'homme était tout simplement incapable d'arrêter, c'était le lot des hommes face à la toute puissance de Gaia et à sa colère, qui meurtrie ci et là de par son corps universel châtiait de temps à autres à l'occasion de soubresauts de colères l'être humain et ses créations. Les secousses commencèrent environ une heure avant minuit, et furent ressentis à des lieux à la ronde, créant par endroits des fissures béantes et engloutissant des bâtisses entières sans autre forme de procès. La panique se répandit comme une trainée de poudre et partout l'horreur et le chaos gagnèrent du terrain, dominant les esprits uns à uns, ce à une vitesse effrayante. Puis peu avant minuit les secousses qui n'avaient cesser de saccager la région s'assouplirent peu à peu jusqu'à cesser soudainement.
Pendant l'espace d'un instant les bonnes gens du Zhonguaï crurent que c'était la fin de leur calvaire, que ce qui était vraisemblablement un séisme particulièrement meurtrier et destructeur s'achevait, qu'il était temps pour les secouristes et les autorités de faire ce qu'ils devaient, de constater les dommages, secourir ceux qui pouvaient l'être, puis rebâtir. Naïfs et ignorants mortels. A minuit pile, une énième secousse, encore plus fortes que toutes les précédentes se fit sentir, comme si la terre elle même s'effondrait, mais ce n'était pas la terre à proprement parler, mais bien la montagne. L'Ire de l'empereur tremblait de toute sa rage, une scène surréaliste, prélude à la catastrophe.
Puis, au sommet de son courroux, le plus haut pic de l'Ire commença à vomir des colonnes de fumée. C'est à ce moment que tous comprirent. Une pluie de roches s'éleva avant de s'abattre avec fracas, et le sang de Gaia écarlate et bouillant commença à se déverse, annonçant tel une funeste proclamation que le destin de Zhongchang était acté et que ce dernier était de périr dans les flammes.
L'antique Volcan de l'Ire de l'Empereur venait de réveiller et il entendait réclamer son dû au Zhonguaï.
Posté le : 27 nov. 2024 à 18:11:04
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L'enclave de San Eremos est entourée de toutes parts par les terres malistaises, un pays dont les autochtones ont su garder le contrôle. Une véritable exception dans la région. Bien que le Paltoterra du nord ne soit pas des plus virulents, il est l'un de ceux qui à avoir subit le plus grand nombre d'empire coloniaux se battant pour des pans entiers de cette "nouvelle" terre. Malheureusement pour les natifs de la colonie hispanophone, le Malisto n'est pas un État connu pour son interventionnisme, même à ses frontières. La libération tant attendue depuis la fondation du pays n'a donc jamais fait mine de se préparer. Toutes les communications entre San Eremos et le Malisto ont même été coupée des décennies en arrière
Seulement, la vision du monde complètement différente des dirigeants akaltiens, soutenant les révoltes dans les (désormais) anciennes colonies, est bien plus encourageante. La victoire de la Rache Etznab en Nouvelle-Antérinie et la fondation d'un nouveau pays autochtone à part entière est un incroyable message d'espoir pour le reste des deux continents.
Quelques indépendantistes s'étaient donc réunis dans une petite maison, proche de la frontière en cas d'ennuis.
