中华爱人民共和国国旗的图片Evènement de novembre 1568, Début des guerres coloniales du Zhōnguaï :03 novembre de l'année 1568 après Jésus-Christ :L'an 1568 après Jésus-Christ marque le début de l'une des périodes les plus humiliantes de l'histoire de la République populaire du Zhōnguaï. Cette année-là, sur les côtes de la paisible ville de Thongaï, une armée d'hommes vêtus de fer débarqua sans prévenir. Les habitants, surpris par ces visiteurs indésirés, entamèrent un premier contact, un contact qui se transforma très vite en tension lorsque les gardes de la ville rappliquèrent, armés de lances et de quelques arbalètes modernes. Face à eux se trouvait près d'une trentaine de soldats, vêtus d'armures de fer sophistiquées et de fusils à poudre primitifs. Tout de suite, comme le protocole l'exigeait, les gardes, environ 120 soldats, entourèrent les quelques hommes descendus par des barques depuis leur énorme navire de type eurysien. Le capitaine des soldats du navire commença à parler en anglais, une langue inconnue de la population du Zhōnguaï. Nul ne sait réellement ce qui s'est passé, mais un des gardes de la ville enleva de force la croix protestante du prêtre accompagnant la troupe d'eurysiens, un geste qui énerva le prêtre. Celui-ci prit alors son courage à deux mains et tenta de récupérer sa croix, un geste extrêmement déplacé pour les soldats qui, d'un coup de lance, transpercèrent le prêtre. Les hommes du navire, pris de panique, reculèrent vers leurs barques. Cependant, la tension avec la garnison de la ville se décupla après la mort du prêtre. Les soldats, voyant les Zhōnguens se rapprocher en hurlant un dialecte inconnu pour ces eurysiens, prirent leurs jambes à leur cou. Dans la précipitation, un des soldats tira au fusil à poudre sur les gardes, blessant l'un d'entre eux à l'épaule. Il n'en fallait pas plus pour que les soldats attaquent les eurysiens : une dizaine de carreaux d'arbalète plongèrent vers les eurysiens, ces derniers répliquant en tirant au fusil à poudre. Seuls quelques soldats du navire réussirent à remonter sur leur bateau, prévenant la flotte d'une escarmouche avec les locaux. Cependant, l'amiral de la flotte, un homme fier et fidèle à la couronne qu'il servait, décida de laver cet affront. Il lança alors une bataille contre la ville, cette dernière subissant alors une incessante pluie de boulets de canons qui ravagea la côte, un massacre démesuré par rapport à l'affront. Les soldats, après près de 20 minutes de tirs, ayant rasé toute forme de civilisation à leur portée, débarquèrent en nombre sur les côtes de la ville. Environ 1 200 soldats déclarèrent à l'unisson que cette ville appartenait désormais à leur royaume et que nul n'oublie ce que fait la couronne en cas de révolte ou d'attaque. Une action qui embarqua la nation Zhōnguaise dans une guerre qu'elle ne gagnera pas. Les soldats prirent alors possession de la forteresse côtière de la ville, faisant prisonniers les gardes qui se rendaient et tuant les plus braves souhaitant défendre la ville. Cette prise de la forteresse côtière de la ville entama la réserve militaire de la flotte, passant de 1 200 soldats à 987 après la fin de la conquête de la forteresse côtière de la ville, ville qui à cette époque ne comptait approximativement que 486 000 habitants. La forteresse, se trouvant ouverte par bateau, fut occupée par les soldats eurysiens avec leurs ressources, pouvant être ravitaillée facilement par voie maritime, condamnant ainsi les issues de la forteresse côtière de la ville, attendant ainsi les renforts.
21 novembre de l'année 1568 après Jésus-Christ :L'Empire du Zhōnguaï, s'étendant sur le territoire actuel de la République populaire du Zhōnguaï, envoya le quatrième bataillon d'infanterie de l'armée impériale, soit environ 4000 hommes équipés de lances pour la plupart, et pour environ 500 d'entre eux, de sabres et de boucliers nazuméens. Ils étaient tous équipés d'armures légères, un choix décidé pour leur permettre une agilité décuplée et une rapidité améliorée. Avec ces hommes, le treizième bataillon d'archers de l'armée impériale, stationné non loin de la ville, fut également envoyé, composé là aussi d'environ 2000 hommes, portant armures légères et arcs longs, disposant également d'engins de siège modernes tels que les "chuáng nǔ", aussi connus sous le nom de "balistes", des armes de siège polyvalentes, ainsi que des "huǒpào", aussi connus sous le nom de "canons à poudre noire", très utilisés pour détruire des portes, mais une utilisation très coûteuse que l'armée n'utilise qu'en dernier recours. Depuis l'incident du 03 novembre de l'année 1568, les différents bataillons prirent 18 jours pour se rassembler dans la ville afin de la libérer. En parallèle de cela, l'armée commençait à se rassembler et à se diriger vers le sud au cas où la menace reviendrait. Quant aux soldats eurysiens se trouvant dans la forteresse, ces derniers tiraient à vue sur toute forme de vie s'approchant de la forteresse, une situation intenable pour les habitants qui vivaient principalement de la pêche, devant passer par des plages assez lointaines pour continuer leur activité, tout en risquant de se faire attaquer par les navires eurysiens. Le 21 novembre de l'année 1568, fut ordonné l'assaut de la forteresse, les prenant d'assaut de nuit. Les eurysiens, pensant pouvoir dormir un minimum convenablement, furent réveillés par leurs camarades postés sur les remparts de la forteresse, réveillés par les tirs de leurs armes qui avaient une cadence industrielle. En effet, les 4000 hommes pensant gagner rapidement la bataille, foncèrent vers les parois de la forteresse, piques à la main, prêts à escalader celle-ci. Cependant, les détonations des armes à feu firent stopper durant quelques secondes les premiers assaillants, les soldats eurysiens se regroupant alors sur les remparts et devant la porte principale afin de retenir les individus. Les 200 hommes envoyés pour escalader les remparts furent rapidement abattus un à un ; seulement une cinquantaine réussirent à atteindre les remparts. Cependant, maintenant que les soldats eurysiens les avaient repérés, il devenait impossible, voire suicidaire, de monter à l'assaut. Les soldats alors se figèrent sur place, attendant les renforts des soldats de l'armée impériale. C'est alors que les archers se mirent en rang et envoyèrent des salves de flèches en direction de la forteresse, tuant par dizaines les soldats ne pouvant se réfugier, mais ces derniers répliquèrent eux aussi en direction des archers, tuant à tour de bras. C'est alors que le commandant du bataillon sortit la baliste, équipée d'un explosif à l'avant de son immense carreau, et l'envoya dans l'extrémité de la forteresse au niveau des ouvertures destinées à être utilisées par les défenseurs pour tirer sur les assaillants, créant une légère ouverture que la cinquantaine de soldats présents en bas des murailles se dépêchèrent d'utiliser pour entrer. Ni une ni deux, les soldats pénétrèrent dans la forteresse, cherchant à rejoindre la porte principale. Ces derniers, équipés de simples sabres et d'une armure légère, tombèrent face à une ligne de 100 eurysiens disposés devant la porte, prêts à la défendre. Les eurysiens, surpris par le flanc, se tournèrent alors vers les soldats Zhōnguais qui commençaient à découper de l'eurysien à tour de bras. La rixe fut longue, les eurysiens, ayant perdu l'habitude de combattre au corps à corps, se firent dans un premier temps submerger, puis réussirent à tuer les soldats Zhōnguais, perdant 80% de leurs effectifs. Mais peu importait, il s'agissait là de leur défense et de leur vie qui étaient en jeu. Les eurysiens abandonnèrent alors la porte, demandant des renforts pour celle-ci, rejoignant le point d'entrée des soldats ennemis. C'était un trou tout petit, que les soldats eurysiens ne pouvaient traverser en raison de leur armure de fer, tandis que les soldats Zhōnguais, eux, pouvaient l'utiliser en rampant grâce à leur armure légère. Les eurysiens bouchèrent alors le trou avec leur canon, tirant à leur tour vers les Zhōnguais arrivant en face. En effet, le commandant du bataillon ordonna alors que l'on détruise la porte avec les "huǒpào". C'est alors qu'au loin, les soldats eurysiens se battant depuis près de 50 minutes, virent deux canons à poudre noire, ces derniers s'actionnant firent feu vers leur position, dans un bruit assourdissant. La porte venait d'exploser, laissant des décombres devant celle-ci, permettant enfin de pénétrer à l'intérieur de la forteresse avec difficulté. Le commandant en chef désigna alors l'ensemble de ses forces de corps à corps afin de rentrer dans la forteresse, envoyant la troupe au pas de course avec en première ligne les soldats au sabre et au bouclier. Environ 300 tombèrent avant d'atteindre la forteresse, et ceux l'ayant atteinte furent accueillis par une ligne disciplinée de 400 hommes formée en trois lignes utilisant la stratégie de la ligne de feu continue. En effet, dès lors que la première ligne avait fini de tirer, celle-ci se baissait, laissant la deuxième ligne faire feu, puis se baissant, laissant ainsi la troisième faire feu à leur tour, ceci à tour de rôle, ce qui créait un incessant déluge de feu vers les soldats de l'armée impériale. Ces derniers tombèrent un à un, perdant près de 500 hommes avant de cesser leur tentative d'avancer. Ce fut alors au tour de la baliste de faire feu sur la ligne, raflant par tirs près de 15 hommes, empalés vivants à côté de leurs camarades toujours debout, brisant ainsi le moral des eurysiens après moins d'une dizaine de tirs. Ces derniers se replièrent alors vers les escaliers à l'intérieur de la forteresse, formant de nouveau trois lignes de feu, laissant ainsi rentrer dans le hall les soldats qui n'avancèrent plus, bloqués par les eurysiens. C'est alors que certains commencèrent à escalader les murailles, surprenant ainsi les quelques 200 eurysiens étant restés sur les remparts. En effet, ces derniers n'avaient pas pensé cela possible et furent surpris lorsque des vagues de dizaines de soldats surgirent dizaine par dizaine des murailles, une situation dans un premier temps gérable, puis les derniers furent submergés de toutes parts par l'arrivée des soldats Zhōnguais depuis les remparts. Les soldats furent massacrés quasi entièrement, les rescapés rejoignant les lignes des soldats eurysiens se trouvant dans les escaliers. Les soldats, submergés de toutes parts, se défendirent honorablement jusqu'à leur dernier souffle, emportant avec eux près de 300 soldats de l'armée impériale supplémentaires avant de tous succomber, transpercés par les lances ou les sabres des Zhōnguais. Seuls huit survivants furent faits prisonniers, emportés alors dans la salle de torture de la forteresse, utilisés comme source de renseignements sur leur civilisation, avec comme seul moyen de communication des gestes et des dessins conservés encore de nos jours.
29 novembre de l'année 1568 après Jésus-Christ :L'Empire du Zhōnguaï rassembla une flotte navale destinée à retrouver les voyous qui avaient attaqué la ville de Thongaï, une flotte composée de 62 navires de guerre zhōnguais, la crème de la marine, mais technologiquement inférieure aux navires eurysiens, une information que la flotte impériale ne possédait pas encore. Cette dernière tourna durant près de 12 jours vers les côtes zhōnguennes avant de réussir à retrouver les malfrats, découvrant que ces derniers avaient trouvé refuge au sein de la principauté de Fujawa, principauté archipel. La flotte, déterminée, prit par surprise l'armada eurysienne, une armada immense composée de 89 navires. Cependant, un détail troubla l'amiral de la flotte impériale : les drapeaux que portait fièrement cette immense flotte étaient différents sur certains navires, comme si deux entités avaient été réunies. Cependant, l'amiral, confiant en sa supériorité spirituelle, continua l'offensive vers la flotte. Problème, en effet, la flotte était en fait composée de trois flottes s'étant réunies dans l'archipel du Fujawa. Le royaume ayant attaqué la ville de Thongaï était bien présent avec la flotte de la principauté, mais un troisième drapeau flottait : le drapeau d'une autre nation eurysienne. Les deux royaumes eurysiens étaient en train de s'entretenir avec la principauté de Fujawa concernant l'établissement d'un traité permettant l'ouverture du port à la marine des deux royaumes afin de poursuivre la découverte du Nazum et, accessoirement, la colonisation de ce dernier. Cependant, durant la réunion, un soldat fujawais interrompit cette dernière, alertant les amiraux et le prince que leur flotte se faisait attaquer par les navires zhōnguais. Ni une ni deux, les amiraux ordonnèrent de faire face aux navires zhōnguais, mais le temps de sortir du port, il était déjà trop tard pour une grande partie de la flotte. En effet, les navires zhōnguais se ruèrent avec acharnement vers les navires ennemis, brisant et abordant les navires à leur portée, un coup qui fit perdre en quelques dizaines de minutes 16 navires des flottes eurysiennes et seulement 4 pour les navires zhōnguens. Un sacrifice utile, du fait que durant ce laps de temps, les amiraux eurent le temps d'encercler les navires zhōnguais avant de les trouer de toutes parts grâce à leurs canons. La bataille dura 2 heures 30 et termina de détruire l'entièreté de la flotte zhōnguaise présente, faisant perdre quelque 58 navires dans l'ensemble des trois flottes se trouvant dans le port. Un affront pour le deuxième royaume eurysien qui se devait de répliquer, mettant ainsi un zoom sur la nation zhōnguenne et termina par l'inclure dans les projets de colonisation des différentes nations eurysiennes qui eurent vent de cette nouvelle.
Ministère de la culture et du patrimoine.
République populaire du Zhōnguaï - 中华人民共和国.