04/07/2016
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Médias et journaux en Adélie / Media dhe dita në Adëlia

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L'ADELIE ACHÈVE AUJOURD'HUI SA PERIODE TRANSITOIRE


Le 30 décembre 2004, la tête du dernier roi adélien, Eldo Bëshir, était séparée de son corps par un soldat de sa propre garde. Un an et demi plus tard, le 24 mars 2006, le Conseil de Transition officialisa la République Unie. Mais, le pays étant dévasté par la guerre civile ayant duré trois ans, le gouvernement tout fraîchement élu instaura une période transitoire, au cours de laquelle le pays s'est officiellement fermé de toutes interactions diplomatiques pour une durée de 9 ans, afin de laisser le pays se relever en empêchant au maximum les interactions étrangères.
Cette décision avait été critiqué par bon nombre de gens ; beaucoup prétendaient que des aides étrangères auraient pu contribuer au rétablissement plus rapide du pays. Aujourd'hui, les voies de communication sont rétablies quasiment partout, le taux de pauvreté a baissé d'environ 50% en dix ans, notamment grâce à la reconstructions de nombreux logements. Mais le niveau de vie des adéliens reste aujourd'hui, malheureusement, moins élevé que les pays voisins.
Le Président de la République Unie, Florian Grëjshia, a assuré que l'ouverture prochaine de canaux diplomatiques, ne pourrait que accélérer le processus de guérison nationale, en commençant par les pays voisins et une ouverture progressive des frontières. Pour rappel, entrer ou sortir de l'Adélie est aujourd'hui très compliqué, tant les gouvernements successifs ne craignaient de voir la main d'oeuvre qualifiée adélienne fuir vers d'autres pays pour une vie meilleure, ce qui aurait certainement ralenti considérablement la reconstruction du pays.

Donc, que va désormais faire le gouvernement adélien ? Qui plus est, en avril, aura lieu l'élection présidentielle. Pour rappel, les députés sont élus pour 4 ans (première assemblée en 2006, puis en 2010, 2014 et 2018), et le président pour cinq ans (2006, 2011, et donc 2016). Le président, malgré son pouvoir surtout symbolique, a tout de même une importance, notamment en cas d'ouverture effective des canaux diplomatiques.

texte originelADËLIA PËRFUNDON PERIUDHËN KALIMTARE SOT


Më 30 dhjetor 2004, kreu i mbretit të fundit Adëlian, Eldo Bëshir, u nda nga trupi nga një ushtar i gardës së tij. Një vit e gjysmë më vonë, më 24 mars 2006, Këshilli Kalimtar zyrtarizoi Republikën e Bashkuar. Por, vendi i shkatërruar nga lufta civile që zgjati tre vjet, qeveria e sapozgjedhur vendosi një periudhë tranzitore, gjatë së cilës vendi u mbyll zyrtarisht nga të gjitha ndërveprimet diplomatike për një periudhë 9-vjeçare, në mënyrë që vendi të rimëkëmbet. duke parandaluar sa më shumë ndërveprimet e huaja.
Ky vendim u kritikua nga shumë njerëz; shumë pretenduan se ndihma e huaj mund ta kishte ndihmuar vendin të rikuperohej më shpejt. Sot linjat e komunikimit janë rikthyer pothuajse kudo, shkalla e varfërisë ka rënë me rreth 50% në dhjetë vjet, veçanërisht falë rindërtimit të njësive të shumta banimi. Por standardi i jetesës së adelianëve mbetet sot, për fat të keq, më i ulët se vendet fqinje.
Presidenti i Republikës së Bashkuar, Florian Grëjshia, siguroi se hapja e ardhshme e kanaleve diplomatike vetëm sa mund të përshpejtojë procesin e shërimit kombëtar, duke filluar nga vendet fqinje dhe hapjen graduale të kufijve. Si kujtesë, hyrja ose largimi nga Adélie është shumë e komplikuar sot, pasi qeveritë e njëpasnjëshme kishin frikë të shihnin fuqinë punëtore të kualifikuar të Adëlia të iknin në vende të tjera për një jetë më të mirë, gjë që sigurisht do të kishte ngadalësuar ndjeshëm rindërtimin e vendit.

Pra, çfarë do të bëjë qeveria Adeliäne tani? Për më tepër, në prill do të zhvillohen zgjedhjet presidenciale. Për përkujtim, deputetët zgjidhen për 4 vjet (kuvendi i parë në vitin 2006, pastaj në 2010, 2014 dhe 2018), dhe presidenti për pesë vjet (2006, 2011, pra 2016). Presidenti, pavarësisht fuqisë së tij kryesisht simbolike, ka ende rëndësi, veçanërisht në rast të hapjes efektive të kanaleve diplomatike.
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UN TERRIBLE ATTENTAT A FUSHJENDIJA QUI RAPPELLE DES TEMPS SOMBRES



Fushjendija, la plus grande ville du pays, a été, ce matin, le théâtre d'une scène aussi triste que terrible. Un attentat a fait pas moins de 46 morts et une centaine de blessés à la gare ferroviaire de la métropole. Et, aussi stupéfiant cela puisse paraître, l'attentat a été revendiqué par le SMMS, l'Union de Défense de Sa Majesté. Preuve de la faiblesse des services de renseignement nationaux, personne ne se doutait encore de leur existence, leur dernier attentat remontant au dernier jour de la guerre civile, il y a 10 ans. Tout le monde croyait le groupe terroriste disparu ; il n'en serait rien.

A 21:54, hier soir, alors que la gare était, heureusement, peu remplie, une explosion retentit. La majorité des morts et blessés eurent lieu à cause d'un déraillement de train, qui était en train de partir. Une partie du toit s'est rapidement effondré sur une boutique, heureusement, fermée.

Nous pouvons légitimement, aussi, nous demander ce qu'il en était des services de sécurité ; vu l'ampleur et la puissance de la bombe, n'aurait-elle du pas être découverte avant ? Tant de questions, alors qu'une manifestation d'ampleur est prévue dans deux jours, dans l'avenue reliant la gare, dévastée, à la Préfecture, réclamant une poursuite et une dissolution efficace de ce groupe terroriste, ainsi qu'une véritable politique de sécurisation des lieux publics. Bref, un événement qui vient faire une tâche énorme aux discours apaisants de l'élite politique, promettant que le pays va définitivement mieux.

Mais qui est le SMMS ? Composé presque exclusivement d'ancien membre du parti royaliste, seul parti autorisé avant la guerre civile, ils avaient commis d'innommable choses durant la guerre civile. Leurs actions avaient conduits à un bilan terrible : 5000 morts, le double de disparus, sans compter les séquelles physiques et psychologique.

En tout cas, les débris de la gare ne seront qu'une preuve de plus de la faiblesse actuelle des politiciens face aux menaces qui planent encore sur notre pays.
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UNE DOUBLE VICTOIRE POUR LE FRONT DE LIBERATION DE l'ADELIE, APRES L'ENTREE EN VIGUEUR DE L'ENTREE DU PAYS DANS L'UICS ET UN ACCORD HISTORIQUE AVEC L'ESTALIE



Alors que le Président, Florian Grëshjia, était en visite officielle à Mistohir, en Estalie, la Ministre de la Diplomatie Extérieure, Ana Teshë, défendait l'Adélie à Lyonnars, en Loduarie, pour une entrée rapide dans l'Union Internationale du Communisme et du Socialisme (UICS).

Une première pour notre jeune ministre. L'opposition déplorait qu'une tâche aussi importante soit attribuée à une femme qui, selon certains, manquait cruellement d'expérience. Mais celle-ci, d'une manière ou d'une autre, a réussi à convaincre le charismatique chef du PEV, Géorgi Marcos, et Maria Goduski, la représentante estalienne au sein de l'UICS, que l'Adélie n'avait que du bon à apporter à l'institution. Dans un communiqué officiel, Mme. Teshë a affirmé que "la franchise avait été le principal argument qu'elle avait pu utiliser.". Derrière cette prise de parole pour le moins mystérieuse, la ministre cherche-t-elle déjà à se déresponsabiliser d'une possible mésentente future ? Alors que les élections présidentielles approchent à grand pas, elle préférerait sans doute qu'un échec de cette collaboration ne retombe pas trop sur le FSA.

D'autant plus que l'opposition centriste, certes très minoritaire, avait vu d'un mauvais oeil ce rapprochement diplomatique. Selon leur porte-parole à l'Assemblée nationale, Marco Zäshej, "une coopération avec des régimes si peu démocratiques comme l'est la Loduarie ne pourra qu'être un malheur pour notre pays.".

De son côté, le Président devait, lui aussi, composer avec des représentants estaliens, chez eux, à Mistohir. Au programme : coopération militaire, culturel et économique. Il n'aura pas fallu longtemps à l'Assemblée nationale pour voter l'accord qui a résulté de cet échange, avec un engouement particulier : seulement trois votes contre. Il semblerait que le Président ait réussi à mettre tout le monde d'accord sur les bénéfices que l'Adélie peut tirer de cette coopération avec l'Estalie, l'une des plus grandes puissances économiques eurysiennes.

L'accord prévoit entre autres, une coopération militaire important, avec notamment des exercices communs. Qui plus est, une coopération universitaire fut à l'ordre du jour. La question économique fût un peu moins soulevé ; sans doute que la distance géographique qui sépare nos états, avec la présence de la Sitadie au milieu, explique cela... Et enfin, un article qui prévoit une assistance militaire et financière en cas d'attaque militaire, ce qui a de quoi rassuré au vu de l'instabilité régionale, même s'il paraît assez improbable que les Rosevoskyens ou les Polkêmes aient une raison de vouloir s'en prendre à l'Adélie...
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