04/10/2015
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Salle de torture de l'Aiguiette :

Rare photo prise dans l'enceinte de l'Ancien ChâteauAiguiette
Habituellement fermée au public, la salle de torture de l'Ancien Château a été prise en photo en 2000. La photo, dont l'auteur demeure encore inconnu, a été publié sur internet et largement republiée, forçant l'enseignement au grand public de cette partie de l'histoire que le gouvernement souhaitait cacher pour préserver l'image des anciens régimes et leurs représentants.

L'Aiguiette, méthode de torture utilisée du Moyen-Âge à l'époque moderne, a été abolie le 7 juin 1780 à la suite d'une brève révolution du peuple. Généralement accorder aux résistants politiques, ils étaient installés nus sur le banc puis attachés avant que des cibles en papier ne soient attachées sur le corps de l'accusé. Suite à cela les gardes, et parfois le Roi lui-même, venaient tirer sur les cibles par des armes de mêlée, des armes à distance et des armes à feu. Le coup final étant fait sur la cible positionnée au niveau du cœur ou de la tête. Un tirage au sort désignait les heureux élus qui participeraient, chaque semaine, à l'Aiguiette.
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La chambre d'Usha :

Rare photo prise dans l'enceinte de l'Ancien Châteauchambre
La chambre d'Usha est l'une des pièces visitable de l'Ancien Château : situé à l'étage supérieur du château, il s'agissait autrefois d'un couloir de chambres consacrées aux prisonnières en attente de jugement. Réservées aux femmes, il etait fréquent que le Roi se serve des prisonnières pour pratiquer diverses activités sexuelles.

La chambre d'Usha tire son nom de l'une des femmes y étant emprisonnée. Le 21 mai 1929, Usha Medhafdail est arrêtée par la garde royale et emprisonnée dans l'une des 15 chambres de l'étage supérieur. A son arrivé, elle est violemment jeté par terre et reçoit une dizaine de coup de baguette ; après cela, son visage est recouvert d'un sac de pommes de terre en jute. Plusieurs jours passent, une alerte de disparition est lancée en faveur de la sœur du Roi et de nombreuses recherches sont effectuées. À terme, le Roi se rend dans la chambre numéro 13 et afflige une succession d'actes barbares et non consentis à la jeune femme dont le visage est encore caché par le sac en jute. Lorsqu'il eu terminé, il ôte doucement le sac de la tête de sa victime, dévoilant peu à peu le visage de sa jeune sœur disparue. Sous ses yeux abattus, il se tue d'un coup d'épée en plein cœur ; sa sœur suit le mouvement peu de temps après avoir gravé, sur les murs de la chambre, son histoire. Plus tard dans la journée, ils sont retrouvé l'un dessus l'autre. Le 26 mai 1929, jour du drame, les femmes sont libérées et les 15 chambres sont condamnées.

Aujourd'hui, seule la chambre d'Usha est visitable : restée intacte, il est encore possible d'observer les gravures dans le mur, l'épée mise sous cloche, le sac de pommes de terre en jute, les vêtements de la jeune femme et du Roi, et le lit. Les 14 autres chambres ont été transformées en pièces d'expositions pour le musée qu'est devenu l'Ancien Château.
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Albeleilles Astafelon découvre sa passion pour la cuisine dès l’âge de huit ans dans le restaurant familial, le BourkinasFal, à UC Sochacia. Après avoir remporté plusieurs concours de cuisine durant son adolescence et suivi une formation dans une école prestigieuse, il fait ses débuts en tant que commis dans des restaurants gastronomiques. Après une brève expérience comme chef dans le restaurant de ses parents, il devient formateur, puis s’expatrie en Karty où il acquiert de nouvelles techniques culinaires. De retour chez lui, il ouvre un restaurant avec sa femme, mais ferme ensuite pour s’occuper de leur fille. Après avoir remporté un concours national de cuisine, il obtient son propre restaurant, qui reçoit sept étoiles au cours des années suivantes. Il ouvre plusieurs autres établissements, devient juré de concours culinaires et mentor de jeunes chefs. Malgré la naissance de son fils, il poursuit sa carrière et lance Jankna, un restaurant barbecue innovant à UC Sochacia.
Premieres annees

Naissance : Albeleilles Astafelon découvre son amour de la cuisine dans le restaurant que tenait ses parents.

Enfance : À l’âge de huit ans, il commence à cuisiner régulièrement chez ses grands-parents, dans des colonies de vacances ou à l’école. Dans son adolescence, il participe à plusieurs concours de cuisine qu’il gagne brillamment à chaque fois ; sur internet, il publie des vidéos et photos de ses créations et connaît un grand succès.

Profession

Début professionnel : Lorsqu’il atteint la majorité, il s’engage dans un restaurant pour faire la plonge. Deux ans plus tard, il intègre une prestigieuse école de cuisine qui lui permet d’apprendre des techniques culinaires gastronomiques. Après ses études, il est engagé comme commis auprès d’un chef loclenasque de renommée mondiale au Palais Royal à Garthram, puis successivement dans trois restaurants gastronomiques de la région.

Travail accompli : Après des années en tant que commis, il est embauché comme chef dans le restaurant de ses parents, mais l’expérience n’étant pas concluante, il devient formateur en école de cuisine. À l’âge de trente-cinq ans, il reprend la cuisine en s’expatriant en Karty, où il dirige une grande brigade dans l’un des restaurants les plus prestigieux de la capitale. De retour dans son pays natal, il ouvre son propre restaurant au sein d’un hôtel de la capitale et pratique une cuisine familiale et raffinée. Après la naissance de sa fille, il ferme le restaurant pour s'occuper de son enfant. Il reprend sa carrière en travaillant dans plusieurs restaurants prestigieux et participe au concours national de cuisine. Il gagne le concours l'année suivante, ce qui lui vaut l’attribution d’un restaurant portant son nom. Les sept années suivantes, son restaurant Astafelon obtient un total de sept étoiles et il ouvre quatre autres restaurants à son nom. Il rejoint le jury du concours national de cuisine et se positionne comme mentor pour deux jeunes chefs. Il ouvre plusieurs petits restaurants qu’il délègue à sa famille. Il lance Jankna, un restaurant au concept nouveau en UC Sochacia, qui s’agit d’un restaurant barbecue.
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Massouseul Nerere découvre la cuisine à treize ans lors d'un stage, puis demande à ses parents des cours en extra-scolaire. Il participe à des concours culinaires et rencontre Bizeveron, avec qui il travaille sur « le projet d’une vie ». À sa majorité, il est embauché dans un café où il confectionne des plats en cachette. Bizeveron, passionnée de cuisine depuis son enfance, remporte un concours qui lui permet de rencontrer Massouseul. Elle intègre une école de cuisine et devient commis dans différents restaurants. Ensemble, ils concrétisent leur projet avec le restaurant Bleu Sable, qui devient une référence nationale. Ils ouvrent près de vingt autres établissements et, parallèlement, Massouseul crée un salon de thé et des restaurants familiaux, tandis que Bizeveron ouvre un hôtel-restaurant et plusieurs autres restaurants.
Première année

Naissance : Massouseul Nerere découvre la cuisine assez tardivement, à l’âge de treize ans, lorsque que ses parents l’inscrivent à un stage de cuisine. Bizeveron Nerere baigne dans la cuisine depuis son plus jeune âge, lorsqu’elle demande à son père de lui acheter un livre de cuisine, puis un second, un troisième et un quatrième.

Enfance : Pendant cette semaine, il découvre la cuisine et les techniques basiques de confection de plats et de dressages. À son retour, il demande à ses parents de l’inscrire, en extra-scolaire, à des cours de cuisine dans le but de s’améliorer. Durant son adolescence, il participe à plusieurs concours culinaires pour jeunes, où il rencontre des chefs professionnels, ou amateurs comme lui. Il y rencontre celle qui deviendra sa femme, Bizeveron, et travaillent ensemble à ce que l’on peut appeler « le projet d’une vie ». Pendant son temps libre, Bizeveron cuisine, pâtisse, lit des livres de cuisine. Face à cet intérêt profond pour la cuisine, ses parents l’envoient en centre de vacance spécialisé dans la cuisine où elle cuisinera dès que possible. Son premier et seul concours, qu’elle gagne avec brio, lui permet en outre de rencontrer Massouseul et travaillent ensemble à ce que l’on peut appeler « le projet d’une vie ».

Profession

Début professionnel : À sa majorité, Massouseul est embauché dans le petit café adjacent à sa maison. Il y confectionnera en cachette, le soir, des plats qu’il présente à certains clients fidèles ou qu’il ramène à ses parents. À sa majorité, Bizeveron intègre une école de cuisine prestigieuse, qui lui permet de se lancer pleinement dans la cuisine. Elle vague entre plusieurs petits posts de commis, dans des restaurants plus ou moins gastronomiques, avant de retourner dans sa ville natale et retrouver son ancien ami, Massouseul.

Travail accompli : D’un accord commun, les deux tourtereaux reprennent leur projet passé et le travaillent ensemble pour le concrétiser. Bizeveron fait don de l’argent récolter par les différents concours qu’elle a gagné et ils réussissent à faire connaître le Bleu Sable. Le restaurant devient rapidement une référence culinaire à l’échelle nationale. Ils font de ce restaurant une chaîne et ouvrent près de vingt autres restaurants rattachés au Bleu Sable. Par la suite, Massouseul ouvre un salon de thé au sud de l’UC Sochacia, puis deux autres restaurants familiales dans les montagnes loclenasques. De son côté, sa femme ouvre un hôtel-restaurant en collaboration avec Gaille Guinet, maître en architecture et gestion d’hôtel, puis quatre restaurants supplémentaires aux quatre coins du territoire.
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Photo de 2013 issue d'un album de familleportrait
Limollac Hermaris Naasdha, née le 24 juillet 1987 à l'hôpital central de Garthram, en UC Sochacia, est la fille aînée de Cynharuth Ridebniel, avocat renommé, et Jazanasin Cynharuth Teranwerd, membre de l'aristocratie loclenasque. Aînée de six enfants, Hermaris reçoit une éducation à domicile axée sur l'histoire, la littérature, les arts, l'éloquence et la musique. Elle s'intéresse tôt à la politique et à la gouvernance, malgré les réticences initiales de ses parents. À 20 ans, Hermaris annonce sa candidature pour devenir reine, reçoit la bénédiction des représentants régionaux et surmonte les doutes grâce à son courage et sa sensibilité, remportant les élections avec une majorité écrasante. Hermaris adopte des lois environnementales strictes et ouvre l'UC Sochacia aux relations internationales, devenant une figure emblématique du pays. Elle entreprend également des actions géopolitiques pour défendre les droits des hommes à l'étranger. En privé, elle essaye d'influencer les décisions politiques ; en public, elle devient rapidement une icône nationale.
Première année

Naissance et famille : Limollac Hermaris Naasdha est le premier enfant de Cynharuth Ridebniel et Jazanasin Cynharuth Teranwerd. Son père est un avocat de renom et sa mère la plus grande des filles de l'aristocrate loclenasque Jazanasin Djaheem. Hermaris naît le 24 juillet 1987 par voie naturelle dans l'hôpital central de Garthram, en UC Sochacia, et est baptisée par l'archevêque royal dans la basilique du Palais Royal le 18 septembre de cette même année. Elle prend pour deuxième prénom Naasdha en l'ommage à sa grand-mère maternelle.

Enfance : Limollac Hermaris est l'ainée de quatre garçons et deux filles. Les trois jeunes filles sont éduquées au domicile parental, sous la supervision de leur mère et leur gouvernante. L'enseignement se concentre sur l'histoire, la littérature et les arts, l'éloquence et la musique. Contre l'avis initial de ses parents, Hermaris s'intéresse très tôt à la politique et à la gouvernance de l'UC Sochacia, suivant des cours particuliers donnés par sa gouvernante. De nombreuses personnes la décrivent comme "une petite fille joyeuse et têtue, avec un air d'autorité et de réflexion profonde". À 12 ans, elle commence à recevoir une formation royale et aristocratique et prépare, dans des carnets retrouvés par ses parents et exposés au musée national de Garthram, son accession au trône.

Premiers pas dans la royauté

Accession au trône : Limollac Hermaris, à l'âge de 20 ans, annonce sa candidature pour devenir reine et reçoit facilement la bénédiction des représentants des quatre régions d'UC Sochacia qui voient en cet candidature la possibilité d'un renouveau et d'une certaine stabilité du pays. Un mouvement révolutionnaire naît face à cela, opposant les hommes et les femmes : les premiers doutant de sa compétence à gérer et représenter un pays à sa juste valeur, les secondes voyant sa féminité comme une force. L'épreuve de l'agneau a cependant réussi à convaincre une majorité d'entre eux, montrant non seulement son courage et sa fois, mais également sa douceur et sa sensibilité. Lors de sa campagne, grâce à un programme ambitieux et prometteur, Hermaris remporte l'élection à 65% des votes au premier tour, 70% au second tour et 95% au troisième et dernier tour.

Règne : Limollac Hermaris, depuis son règne, a pris des décision et des mesures importantes et fondamentales pour l'avenir de Sochacia Ustyae Cliar. D'importantes lois ont été mises en place, notamment environnementale avec l'adoption de règles strictes relatives à l'environnement. Elle a également ouvert l'UC Sochacia au monde en offrant la possibilité aux nations étrangères d'avoir une ambassade sur ses terres et conclure à des accords et collaborations. Figure emblématique de l'UC Sochacia, la Reine Hermaris a rencontrée plusieurs représentant de nations étrangères et accueillie plusieurs d'entre eux sur ses terres. Sur le plan géopolitique, elle a entrepris plusieurs actions afin de défendre les droits des hommes en terres étrangères, notamment en Diambée et au Belograd.
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