1) Doctrine
a) Stratégie
Guerre de position :
La stratégie défensive tien en deux mot : Les montagnes. Le but serais de tenir avec des ambuscades des unités montagnardes sur les adversaires et la disposition de champs de mines pendant que l’artillerie pylône les position adverse. Si les positions des montagnes cèdent, des régiments mécanisés comblent les failles.
face à un pays plus faible, la stratégie ce résume en trois phases :
*Offensive rapide sur les centres logistiques et industriels profitant de l'effet de surprise dû au début de la guerre.
*Dans le cas où l’ennemi parvient à freiner l'offensive, l'armée ce retranche dans des fortifications comme des tranchées, dans le cas contraire, continuer l'offensive.
*Gèle général du front si l’ennemi n'a pas perdu. La capture des centres logistiques et industriels devrait permettre à épuiser
l'économie adverse à long terme. Ce stade est le plus compliqué car long et stagnant. La Stagnation du front risque de provoquer une baisse de moral.
À noter que la doctrine est temporaire et attend une modernisation de l'armée. Novyavik n'est pas non plus agressif.
b)Tactique
Dans une unité d'infanterie, le groupe est organisé en un ensemble de 9 fantassins, qui gravitent autours d'une mitrailleuse lourde, à défaut d'avoir cette mitrailleuse, le groupe gravite autour d'une pièce de mortier léger ou d'un lance roquette. Les groupes mécanisés disposent également d'un véhicule de combat d'infanterie ou d'un véhicule de transport blindé.
La structure générale est en triangle (organisation en trois voir en multiple de trois) :
9 hommes font un groupe, 3 groupes une section, 3 section une compagnie, 3 compagnies + 1 compagnie lourde un bataillon, trois bataillons un régiment, 9 régiments une division (s'y ajoute aussi une compagnie de commandement).
La structure en trois est très efficace car dans ce modèle, deux unités coopèrent au combat tandis qu'une est en réserve. Ce modèle permet donc d'avoir un minimum de souplesse, une efficacité satisfaisante, mais surtout d'éviter l'ouverture de brèches lorsqu'une percée est menée. à l'échelle de la Division ce greffe des unités spécialisées : 3 régiments polyvalents qui constituent la base de la division, 1 régiment d’artillerie, 1 régiment de support arrière ( transmission, médical, logistique), 1 régiment de support avant (génie, médical sur le front etc...), 1 régiment anti-tank, 1 régiment de remplacement, 1 régiment de reconnaissance. S'ajoute à cela une compagnie de commandement.
défense à l'échelle tactique
1-Alors que l'adversaire attaque, les sonnettes s'activent pour signaler l’ennemi. Les assaillants traversent un champs de mine et les snipers tirent depuis des trous individuels sur les officiers ennemis. Dans l'idéal, l'attaque s'enlise dès le no man's land, où des frappes d'armes lourdes repoussent l'assaillant dans des trous d'obus que les mitrailleuses fixent.
2-Si l'ennemi s'infiltre dans la ligne de résistance d'un bataillon dont les compagnies sont déployées en triangle, la contre attaque s'organise par une offensive improvisée avec l'aide de la compagnie de réserve. Si possible, la contre attaque est effectuée avec l'aide d'un ou deux blindés en retrait.
3- Si le front est percé, la division entame ces ultimes réserves (tous les blindés disponibles appuyés par le régiment de remplacement, pièces anti-char, génie cantonné sur les axes routiers et les ponts) soutenue par toute l’artillerie. Si possible, les compagnies au front hors du secteur attaqué attaquent les flancs de l'agresseur.
4-Si l'ennemi ce replis et que la division dispose de suffisamment de réserve, l'ensemble des unités mécanisées/ blindées tentent une poursuite des forces adverses pour prendre du terrain sans perdre trop d'hommes.
l'artillerie lors de la défense
1-Lors de la défense, l'artillerie bombarde avec ces lances roquettes multiples les cannons adverses. L'objectif est de saturer et démoraliser les appuis arrières du front avant que les premiers coups de feu ne soient tirés. Les cannons lourds tractés eux, ciblent les chars et axes routiers dans le but de retirer la pointe dur de la percée. Les pièces plus légères bombardent les positions d'infanteries et notamment les trous d'obus où ce cachent les fantassins adverses.
2-Si l'ennemi s'infiltre, les pièces de haute précision bombardent les positions des assaillants alors que les pièces saturantes ou trop puissantes sont concentrées à moitié sur les centres de commandement ou la réserve adverse. L'autre moitié est en réserve pour économiser les munitions, remettre en batterie et assurer un stock de feu si des moyens imprévus doivent être engagés.
3-Si le front est percé, toute l'artillerie est engagée sur les assaillants quelques soient les réserves en munition, et même si les pièces n'ont pas de puissance adaptée à la situation.
4-Lors de la contre attaque, les pièces doivent tirer en priorité sur les unités les plus éloignées. Les pièces les plus lourdes (artillerie tractée) bombardent les centres de commandement ou retranchés ainsi que les villes et villages où l'ennemi pourrait ce cacher.
Stratégie Offensive à l’échelle tactique :
L’Union de Novyavik mène des offensives terrestres et aériennes dont la logistique, le génie et l’artillerie sont les éléments principaux qui seront massés tout au long de l’opération. L’offensive est fondée sur la mobilité, la coordination et la capacité à utiliser la supériorité technologique et numérique.
1-Prélude à l’Offensive : la Préparation
Avant de lancer une offensive, une série de préparations sont mises en place pour affaiblir l’adversaire :
Renseignement & Reconnaissance : drones, forces de reconnaissance et satellites, toutes les faiblesses de l’adversaire sont identifiées.
Saturation Artillerie & Aérienne long portée : l’artillerie long portée (canons lourds et lance-roquettes multiples) et les frappes aériennes sont utilisées pour traiter l’artillerie adverse, les infrastructures logistiques et autres points stratégiques.
Infiltration et sabotages : unités spéciales perturbent les lignes adverses (destruction de dépôts, sabotage de communication, mines sur axes de repli)…
Déceptions stratégiques : simulation mouvements ou attaques secondaires pour éparpillages adverses…
2-L’Offensive Terrestre
L’offensive est fondée sur la percée qui sera suivie d’un encerclement et de l’exploitation des gains
Phase 1 : La Percée
L’assaut principal s’effectue sur un axe d’attaque jugé faible.
Les forces blindées et mécanisées avancent sur un soutien d’artillerie et de l’aviation.
Le génie ouvre les brèches dans la structure de défense de l’adversaire (déminage, destruction des obstacles).
L’infanterie mécanisée doit nettoyer et sécuriser les positions conquises.
Phase 2 : L’Encerclement et l’Exploitation
Une fois une brèche ouverte, les forces mobiles avancent rapidement pour encercler l’adversaire (mouvement en pincement).
L’artillerie mobile bombarde les tentatives de retrait et de renfort.
Les unités de génie construisent les infrastructures logistiques qui permettront de soutenir l’offensive.
3-L’Offensive Aérienne :
L’armée de l’air joue un rôle clé :
Supériorité aérienne : mise hors de combat de l’avion ennemi et de sa DCA
Soutien au sol : coups de masse sur l’adversaire (blindés, concentrations d’hommes).
Transport et logistique : déploiements rapides de troupes et possibilité de missions de ravitaillement au contact.
4-Consolidation et Exploitation du Terrain Conquis
L'infanterie et le génie dépêchent le creusage de tranchés et la construction de fortifications.
La logistique ne doit pas tarder à assurer l’approvisionnement des forces en avant.
Les infrastructures conquises sont utilisées ou détruites si inutilisables.
2) Généraux et figures militaires encore en service.
Maréchal Mikhail Girgoryev
Général Mikhaïl Voronov
Général Anastasi Artemiev
Amiral Dmitri Kravtsov
Commandant Viktor Zimov
