11/05/2017
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👥 [CULTURE] Les groupes ethnolinguistiques du Jashuria

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Les groupes ethnolinguistiques du Jashuria

« Who the heck is Giralt of Ribery ? »

SOMMAIRE

  • Introduction
  • Les Jashicos et les Jashicas : les descendants jashuro-icamiens
  • Les Jashis : Ethnie principale du Jashuria
  • Les Muong : les Ă©migrĂ©s du MĂ©dian
  • Les Ordous
  • Les Fujiwans et les Fujins
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Les Jashicos et les Jashicas : les descendants icamo-jashuriens


Les relations icamo-jashuriennes au cours du XXe et du XXIe siècle ont donné naissance à une population atypique, en augmentation constante depuis la fin du XXe siècle, et dont la croissance s’accélère à mesure que les deux pays nouent des relations de plus en plus poussées. Les Jashicos (ou Jashicas pour les femmes) sont le nom donné aux descendants des couples jashuro-icamiens formés lors des précédentes décennies. A cheval entre deux continents et entre deux cultures, les Jaschicos forment un peuple à part, clairement identifiable, qui s’est progressivement installé dans la démographie locale, si bien qu’il est commun de les rencontrer dans les grandes métropoles icamiennes et jashuriennes.

A la fois le produit d’une sous-culture hybride et d’un métissage entre deux peuples, les Jashicos se sont faits essentiellement connaître sur les réseaux sociaux, notamment au travers des communautés de Jashury-chan et d’Icama-chan, où les plus jeunes sont particulièrement actifs et revendiquent leur identité particulière. Résolument connectée, la jeune génération a su utiliser le pouvoir de communication des réseaux sociaux pour structurer ses codes et son identité “officielle”, les rendant ainsi assez aisément identifiables pour les sociologues et les anthropologues.

Si la première génération de Jashicos s’est largement fondue dans le paysage culturel de son pays d’accueil, la deuxième et la troisième génération arbore des spécificités culturelles marquées, qui visent - selon les principaux intéressés - à les rendre visibles dans l’espace public et à affirmer une identité en prise sur les deux mondes.

De manière générale, les Jashicos et les Jashicas ont une peau bronzée, les cheveux noirs et des yeux très clairs. Leurs traits physiques sont un mélange des héritages nazuméens méridionaux et icamiens. Leur langue est un mélange argotique de Forto, de Jashurien et d’Icamien qui donne de belles sueurs froides aux linguistes les plus chevronnés. Pire encore, les Jashicos, contrairement aux Jashuriens, parlent forts et avec de grands gestes évocateurs, ce qui, dans une contrée aussi policée que le Jashuria, tranche grandement avec l’ambiance locale.

Les Jashicos de toutes les générations partagent un même amour pour les idoles religieuses héritées des panthéons icamiens et jashuriens. Le brassage spirituel entre les divinités icamiennes et les divinités hindoues, ainsi que les panthéons mineurs évoluant dans les franges de la spiritualité des deux pays a créé chez les Jashicos un panthéon hybride, où se mélangent les divinités dans une cohérence qui donne parfois le tournis aux historiens des religions. Il n’est pas rare de voir les Jashicos révérer à la fois Ganesh et certaines divinités icamiennes sous l’aspect de la sagesse, le tout sur de petits autels improvisés où de petites statuettes bricolées siègent entourées de bougies parfumées.

A ce titre, l’amour du bricolage est un trait culturel partagé par la quasi-totalité des Jashicos. Composer avec deux cultures différentes les a amenés à s’approprier les divinités et à les réinterpréter, mais aussi à développer cette compétence dans le bricolage des objets du quotidien. Experts dans le rafistolage, le bricolage et l’improvisation mécanique, les Jashicos ont fait du recyclage et de la désobéissance technologique un art de vivre. Ils nomment ce principe “Rikimbili”, ou l’art de transformer chaque objet en panne en opportunité pour améliorer ou réparer un autre objet.

Au niveau culturel, les plus jeunes Jashicos arborent des codes vestimentaires distincts de ceux des premières générations. Les Jashicos nés dans les années 90 et le début des années 2000 ont saisi le potentiel de leur métissage à l’heure des réseaux sociaux et ont créé leurs propres codes pour se distinguer du reste de la population. La plupart des Jashicos - et surtout les Jachicas - arborent des cheveux colorés aux couleurs vives et des tenues bien plus colorées que leurs homologues icamabas ou jashuriens. Cette couleur de cheveux, notamment le bleu électrique, est devenue un signe de ralliement pour la plupart d’entre eux, par mimétisme social envers les plus visibles d’entre eux. Les Jashicas sont particulièrement reconnaissables et ont marqué l’imaginaire populaire à maintes reprises, notamment avec l’apparition de la mascotte numérique vocaloid Asuna Mibu, détournée par le forum Icama-chan en Jashica sur la plage. Véritable icone de la culture jashica, l’Asuna Mibu détournée par Icama-chan est devenue un symbole de ralliement de la communauté de par le monde.

La population des Jashicos et des Jashicas augmente de façon drastique depuis maintenant plusieurs dizaines d’années, mais ce phénomène s’est accéléré avec le renouvellement des relations icamo-jashuriennes. Le phénomène prend de l’ampleur dans les principales métropoles des deux pays, créant petit à petit une culture hybride qui impacte grandement le paysage culturel des deux pays. Le côté déluré des Jashicas tranche avec le caractère posé des Jashis et des Wans, ce qui n’est pas sans étonner dans certains quartiers des métropoles.

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Les Jashis : l’ethnie principale du Jashuria


Jashis

Les Jashis constituent la principale population du Jashuria. Subdivisés en une multitude d’ethnies, les Jashis sont originaires du Nazum médian, probablement de la région de l’Indor. Les Jashis ont émigré dans la région du Nazum méridional par le biais de grands navires de bois, il y a plusieurs milliers d’années, pour des raisons diverses. Certains historiens attribuent cette grande migration à la connaissance navale des Jashis de l'époque, fervents explorateurs ; d'autres à des séries de catastrophes naturelles ayant rendu pendant des années leur région natale impropre à l'agriculture et à la chasse. Peuple de navigateurs, ils se sont installés dans le sud du Nazum, emportant avec eux leurs dieux et leurs traditions. Trouvant sur les côtes jashuriennes des terres fertiles et de grandes forêts à défricher, ils s’installèrent tout d’abord sur les îles alentours avant de s’enfoncer dans les terres et de se disséminer dans tout le Nazum méridional. Ils sont désormais l'ethnie dominante dans la région, tant numériquement que politiquement.

Les Jashis ont importé l’Hindouisme au Nazum par le biais du Védisme, ainsi que de nombreuses traditions navales. Bâtisseurs doués, ils ont fondé les grandes villes jashuriennes du sud avant de s’enfoncer dans le cœur du pays et de se disséminer dans jusqu’à la côte nord, où vivent principalement les Muong. Les Jashis ont une peau mate, qui va du sombre au clair. Leurs yeux tirent plutôt vers le sombre. Plutôt grands, les Jashis ont, comme les Muong, des chevelures d’un noir sombre, qui, chez eux, est une source de grande fierté. Les cheveux des Jashis sont un symbole particulièrement précieux dans la culture jashi, tant et si bien que l’offrande de cheveux aux dieux est considérée comme un signe de protection, de chance ou de guérison. Généralement, les Jashis maîtrisent plusieurs langues : le Jashurien ; une langue ethnique locale et le Forto. La plus jeune génération apprend le Wanmirien, le Stranéen et le Fujiwan en complément de ces langues. Le Jashurien étant globalement très proche de l'Aryède, les deux populations parviennent à se comprendre sans trop de soucis, bien que les deux pays soient séparés de plusieurs milliers de kilomètres.

Les Jashis ont depuis longtemps embrassé les promesses de la modernité et du développement économique. La société jashi a certes été en partie sous administration fortunéenne pendant quelques décennies, mais cette société était déjà particulièrement avancée et moderne quand les Fortunéens se sont introduits dans la région et ont repris les morceaux d’un Empire Yahudharma décrépi. Les Jashis se sont durant longtemps appuyés sur leur étonnante capacité à absorber dans leur propre culture des éléments fonctionnels d’autres cultures, sans pour autant perdre leur propre identité. Cette disposition d’esprit particulière fait que les Jashis ont largement réussi à s’approprier les codes de la société fortunéenne, sans pour autant sacrifier à l’Hindouisme ou à leurs propres traits culturels, leur ouvrant à la fois les portes de la modernité sud-eurysienne et les portes de la modernité sud-nazuméenne. Aujourd’hui, les Jashis restent une ethnie dynamique et nombreuse : le succès économique et social du Jashuria par rapport à ses voisins, dopé par une démographie croissante, fait que la population des Jashis croît de manière exponentielle !

Les Jashis apportèrent au Jashuria le Védisme, puis le Brahmanisme, puis l'Hindouisme et le Bouddhisme, créé en collaboration avec les populations locales.
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Les Muong : les émigrés du Médian


Muong

Les Muong sont principalement localisés dans le cœur et le nord du Jashuria. Ayant des liens de parenté avec les Stranéens, les Xin et les Lingois, les Muong ont émigré des actuelles terres de l’Empire Xin il y a de cela plusieurs milliers d’années. Arrivés à peu près au même moment que les Jashis dans le nord du pays, les Muong ont formé des communautés agricoles et forestières le long des fleuves du Jashuria. Apportant avec eux le culte de leurs ancêtres, les Muong se sont distingués des Xin car ils n'ont pas vécu l'influence du Confucianisme dans leur région, mais ont développé leur propre culte des ancêtres, tant et si bien que cette religion s'est assez bien mélangée avec l'Hindouisme jashi, importé de l'Indor.

Les Muong ont des traits fins et arborent généralement de longs cheveux noirs. Leurs yeux sont en amande et ils sont généralement assez minces et secs. Leur peau est couramment plus mâte que celle des Xin et des Burujoa, mais quiconque les observe peut voir qu’ils ont plus en commun avec eux qu’avec les Jashis. Lointains descendants des Xin, des Stranéens et des Lingois, les Muong sont particulièrement présents dans le nord du Jashuria, où la proximité avec le Fujiwa a grandement contribué au métissage et dans le centre du pays, où ils se sont mélangés avec les Jashis.

Les Muong vivent aux côtés des Jashis depuis des millénaires. Si les deux populations sont aisément identifiables, des siècles de métissage et de contacts rapprochés ont contribué à limiter les éventuelles attitudes xénophobes qui pourraient survenir entre les deux population. Il est de notoriété commune que les Muong et les Jashis s'entendent bien depuis des générations. Muong et Jashis vivant côte à côte depuis des générations, le brassage ethnique a fait que les limites entre les deux communautés s’effacent peu à peu. Pratiquement tous les Jashuriens peuvent revendiquer dans leur arbre généalogique la présence d’un Muong ou d’un Jashi, ce qui a grandement facilité le partage social et spatial entre les deux peuples.

Les Muong vénèrent originellement un ensemble de divinités issues du folklore local et particulièrement inspirée du Shintoïsme et du culte des ancêtres local importé du Fujiwa et de l'Empire des Ushongs. Ces pratiques syncrétiques ont perduré au fil des siècles et se sont facilement accommodées de l'Hindouisme des Jashis, de nature suffisamment malléable pour accueillir de nouvelles divinités en son sein. Aujourd'hui, les Muong et les Jashis, bien qu'ayant la plupart du temps des religions différentes, partagent en réalité les mêmes mythes. Les Muong ont introduit auprès des Jashis le culte des ancêtres, qui perdure encore aujourd'hui.
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Les Ordous


Les Ordous forment un peuple à part au sein du Jashuria. Issus des tentatives de l’Islam de s’implanter dans la région, les Ordous sont restés sur place après que les potentats locaux aient échoué à se stabiliser dans les régions où ils s’étaient construits. A nouveau, la force du Jashuria fut d’absorber en son sein les populations exogènes et de les intégrer à sa structure même. L’Islam conquérant ne parvenant pas à s’implanter en terre jashurienne, il subsista sous la forme des confréries soufies implantées aux frontières de l’actuel Negara Strana et dans le sud du pays, sous des formes plus modestes. Les Ordous sont essentiellement les descendants des populations persanes laissées sur place après que les seigneurs de guerre aient disparu. N’entretenant que des contacts commerciaux avec l’Afarée, les Ordous continuèrent à vivre au Jashuria et bâtirent leurs quartiers dans les villes de plus en plus densément peuplées.

Les Ordous sont une population qui ne s’est que peu mélangée au cours des derniers siècles, pour des raisons essentiellement démographiques. Les afflux de migrants venus d’Afarée ont permis à cette population peu nombreuse de croître et de prospérer sans nécessiter un brassage ethnique comme chez les Jashis ou chez les Muong. Si les Ordous, comme les Jashis et les Muong, sont clairement identifiables physiquement, ils présentent des caractéristiques physiques qui les rendent plus semblables aux peuples persans d’Afarée orientale qu’aux peuples d’Afarée de l’Ouest.

La plupart des Ordous ont des ancêtres soufis ayant fui l’Afarée orientale pour échapper aux persécutions sunnites ou chiites. Si dans le lot, d’autres branches de l’Islam ont profité de l’appel d’air pour traverser l’océan et rejoindre le Nazum méridional, toujours est-il que la quasi-totalité des Ordous peuvent revendiquer une appartenance généalogique à l’Afarée orientale et plus particulièrement sa zone persane. Une partie des Ordous vient de la zone turcique du Nazum et s’est mélangée avec les Ordous d’Afarée au cours des siècles, de sorte que les deux peuples sont désormais difficiles à distinguer les uns des autres. Les Ordous ont des liens de parenté avec de nombreux Stranéens, mais restent une population à part sur bien des aspects. Les Ordous étant pratiquement tous de religion soufie, ils restent assez éloignés dans leur philosophie des Sunnites stranéens, qui constituent une large partie de la population du Negara Strana. Le dialogue religieux entre les Sunnites stranéens et les Soufis jashuriens reste actif, mais les deux traditions religieuses ayant évolué assez indépendamment les unes des autres, il arrive que des points de friction se fassent sentir.

L'histoire des Ordous est essentiellement organisée autour des réseaux marchands qui les ont vu naître, mais aussi de la dynastie des Tanourides, qui a durant longtemps tenté de s'implanter durablement au Jashuria, par le biais de conquêtes, jusqu'à leur assimilation finale dans l'Empire Yahudharma. Les Tanourides, venus du Médian, ont cherché pendant longtemps à faire de la région un de leurs centres politiques, mais se heurtèrent à la résilience de la société jashurienne, qui absorba les conquérants par le biais de leur influence culturelle.
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Les Fujiwans et les Fujins : une population en augmentation


Les relations entre la République du Fujiwa et la Troisième République du Jashuria ont toujours été au beau fixe. Les populations des deux pays s’estiment et n’ont aucun mal à évoluer de concert, faisant que la frontière qui existait entre les deux pays était jusqu’alors une frontière purement administrative. La région de Kôchi bordant celle de Vijaya, les transferts de population ont rythmé la vie des deux régions pendant des décennies, achevant de mélanger les deux populations et de faire naître plusieurs générations de descendants jashuro-fujiwans. Il existe aujourd’hui deux grands types de population de Fujiwans évoluant dans la région septentrionale du Jashuria : les Fujiwans natifs – ceux qui disposent de la nationalité du Fujiwa – et ceux que l’on appelle les Fujins, résultats de l’union des Jashuriens et des Fujiwans.

Si ces deux populations sont restées constantes au cour des décennies passées, du fait des mouvements de population équilibrés entre Vijaya et Kochi, ce n’est qu’à partir de l’année 2016 que les choses ont grandement évolué d’un point de vue démographique. Le Jashuria, l’un des rares pays stables de la région, a vu son voisin fujiwan péricliter et se lancer dans des aventures militaires insensées, qui culminèrent avec l’attaque de l’exclave kah-tanaise régionale. Le retour de bâton fut si violent qu’il acheva de déstabiliser le Fujiwa et de le faire sombrer dans une période de repli et d’isolationnisme. Face à la déstabilisation du pays, un phénomène d’émigration bouscula à nouveau le pays et accentua mécaniquement la pression sur ses voisins.

L’émigration massive des Fujiwans vers le Jashuria fut facilité par l’attitude ouverte du pays envers ses proches voisins et son intention de ne pas punir une population n’ayant pas spécialement envie d’entrer en guerre contre les membres des Accords de Sokcho. Le retour des trois millions de Jashuriens dans le nord du pays s’est accompagné de l’émigration massive de plusieurs millions de Fujiwans, qui ont considérablement augmenté la population de Vijaya, créant un emballement généralisé pour concevoir et construire des logements de qualité pour la nouvelle population.

Si l’accueil des Jashuriens ne pose pas de soucis en soi, l’arrivée de la population fujiwane, bien qu’elle soit culturellement compatible, a augmenté la pression sur le Jashuria, créant une situation où les pouvoirs publics peinent à suivre le mouvement. Bien que le Cercle Inférieur soit rodé aux mécaniques d’intégration, l’afflux soudain de cette population fait que les villes du nord du pays peinent encore à accueillir tout le monde. Mais si l’offre de logements reste compliquée à adosser à la demande, les Fujiwans ont ceci pour eux que leur culture présente des traits compatibles avec celle des Jashis et des Muong, ce qui facilite clairement leur intégration.

L’autre conséquence d’une telle augmentation de la population est le rapatriement des dieux shintos vers le Jashuria. La fragmentation du Conseil Suprême Shinto (CSS) à la suite de la déstabilisation du Fujiwa a donné lieu à un déplacement d’une partie des organes spirituels de la nation fujiwane vers le Jashuria. Une partie des kannushis et mikos ont suivi la population fujiwane, emportant avec eux leurs divinités et leurs coutumes pour les installer dans leurs nouveaux sites sacrés. Dans le pays aux dix milles divinités, l’arrivée de ce nouveau panthéon ne devrait pas poser de problèmes à priori, mais le Shintoïsme fujiwan étant traditionnellement lié à l’Etat, de potentiels troubles sont à prévoir dans un pays comme le Jashuria, où les sanctuaires sont séparés de l’Etat. Si le Shintoïsme fujiwan a accepté le pluralisme religieux, pourrait-il accepter la laïcité jashurienne ?

Toujours est-il que les Fujiwans sont de plus en plus nombreux dans le nord du Jashuria et que la population des Fujins augmente en flèche à la suite des mariages mixtes. Il est probable que dans quelques générations, le métissage devienne de plus en plus commun, parachevant de lier des ethnies qui s’estiment déjà, mais dont le positionnement par rapport à l’autorité et au religieux diffère. L'impact sur les villes se fait cependant déjà ressentir, l'implication des Fujiwans dans le développement des villes jashuriennes de l'Etat de Vijaya ayant reconfiguré une partie des espaces urbains en développement.


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