21/01/2016
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L’Union Commune d’El Alegrísía

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Création de pays : El Alegrísía



Généralités :



Nom officiel : L’Union Commune d’El Alegrísía
Nom courant : El Alegrísía
Gentilé : Alegrísíen / Alegrísíenne

Inspirations culturelles : Amérique latine
Situation géographique :

Langue(s) officielle(s) : Espagnol
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : Anglais, Russe, Français, Chinois…

Drapeau :
Drapeau

Devise officielle :
“Amor, Arte, Libertad”

Hymne officiel :

Monnaie nationale :
À El Alegrísía, l’argent n’existe pas. Le système repose sur deux unités : les Horas et les Pasiones. Les Horas représentent le temps consacré à des activités utiles pour la communauté, comme enseigner, cultiver ou créer. Chaque citoyen peut échanger ces heures contre des services ou des expériences, comme un cours ou une représentation artistique.
Les Pasiones, elles, fonctionnent sans calcul : on échange des biens ou des services basés sur la passion et la valeur ressentie. Par exemple, un peintre peut offrir une œuvre à un musicien en échange d’un concert.
Tout le nécessaire (nourriture, logement, outils) est distribué dans des Centres de Partage gérées collectivement. Chacun contribue selon ses talents et reçoit en retour selon ses besoins. Ici, la richesse, c’est le temps, l’art et la solidarité.

Capitale :
Dans l’Union Commune d’El Alegrísía, le pouvoir n’est pas centralisé, mais réparti entre les Assemblées Communautaires des six districts. Pourtant, Rio Verde se distingue par son rayonnement culturel et économique. Avec ses 120 000 habitants, elle est la plus grande ville du pays et un centre incontournable pour les festivals, les échanges internationaux et la vie artistique. Si elle n’a pas le statut officiel de capitale, elle joue naturellement ce rôle par sa population, ses infrastructures modernes et son influence sur le reste de la nation.

Population : 341 385 habitants


Aperçu du pays :



Présentation du pays :

Jimmy Promo, animateur de Radio78 :
« Ô nuit d'allégresse, où l'amour nous caresse,
Tu nous entraînes sans cesse, vers des plaisirs en détresse.
C’est presque devenu la devise de nos soirées, celle qui nous embrasse dans l’euphorie toxique des boîtes de nuit… Ah, que c’est beau… je me sens poète quand je parle de mon pays. *Tire sur son joint* Je vous explique comment ça se passe ici… Dès que tu arrives, prépare-toi à te faire embarquer dans les plus grosses soirées de ta vie ! L’ambiance est incomparable à celle de tous les autres endroits. Ici, mec, tout le pays tourne autour de la fête, de l’art et de l’amour ! Prenez garde, mettre un pied ici, c’est rester pour la vie ! Imaginez les néons multicolores dansant au rythme des basses et les foules emportées par le bonheur et par les rires ! Ça, c’est la vie, ça les gars, c’est El Alegrísía ! »


Mais derrière cette atmosphère festive se cache une réalité politique tout aussi fascinante…


Dr. Allan Laval, professeur de géopolitique :
« Aujourd’hui, dans cette conférence, nous allons aborder l’histoire atypique d’El Alegrísía, depuis l'arrivée de ses premiers habitants jusqu’à sa libération de l’oppression des narcotrafiquants. [...] En 1752, un groupe de rebelles prend d’assaut une petite ville côtière de Péronas. Ces quelque 800 prisonniers, artistes, commerçants et autres pauvres gens désabusés dérobent alors la trésorerie de la cité avant de mettre les voiles à bord de bateaux volés. Cette flotte sillonnera la mer au sud du continent Paltoterra sous le nom de Compagnie de la Rose de Sang, attaquant tous les navires passant dans les parages, jusqu’à leur chute en 1765, ce qui entraînera leur installation sur les plages de l’actuelle El Alegrísía et la perte de leur plus gros trésor. [...] De rage, Péronas lança des assauts sur tous les villages que les rescapés avaient pu bâtir, et le conflit se poursuivit jusqu’à la quasi-extinction de la flotte de la Rose de Sang. Cependant, le conflit s'éternisait, et les soldats pérons ne souhaitaient plus traquer les derniers survivants comme des animaux. Alors, en 1817, après de nombreuses mutineries, les forces indépendantistes et Péronas ratifièrent plusieurs accords pour garantir la paix. Ainsi, les Accords de Rore établirent une obligation de paix, mais aussi une restriction maritime jusqu’en 1850. [...]

Avec le développement de l’économie et l'arrivée de l’ère industrielle, de nombreuses tensions émergèrent dans le pays, notamment avec l'arrivée de religions polythéistes et monothéistes, de capitalistes aisés et de narcotrafiquants. De grands noms apparurent pendant cette période, comme Alena Kardachev, Emiliano Zampa ou Antonio Campera. [...] Finalement, les narcos eurent le dernier mot, et les grandes familles se partagèrent alors le pays, le plongeant dans un gouffre de terreur, de famine et de mort. [...] En 2005, les habitants virent enfin une lueur d’espoir grâce à Santiago Morales, un avocat qui consacra sa vie à combattre les narcos et à défendre ses idéaux. De cette impulsion naquit un mouvement national visant à se débarrasser des oppresseurs et de tout système pouvant être facilement corrompu, permettant ainsi au pays de s’ouvrir au monde entier en 2013, dans l’espoir de vivre mieux ensemble. »


Et que serait un pays festif sans l’Art avec un grand A…


Maria Lores, artiste et résidente d’El Alegrísía :

« Je me suis installée à El Alegrísía il y a trois ans, et je n’ai jamais regardé en arrière. Ici, tout est différent. L’économie n’est pas centrée sur la compétition, mais sur la créativité et le partage. Les gens viennent du monde entier pour découvrir cette manière de vivre, et je pense qu’ils ont raison. Ici, on ne travaille pas pour survivre, on crée pour vivre.
Mais ce qui me fascine le plus, c’est la manière dont l’art imprègne chaque aspect de la vie quotidienne. Les rues sont comme des galeries à ciel ouvert, avec des murs recouverts de fresques colorées et de graffitis inspirants. Les artistes de rue, les musiciens, les danseurs… Ils sont partout, apportant une énergie vibrante et contagieuse à chaque coin de rue. Chaque jour, il y a une nouvelle performance, une nouvelle exposition, un nouveau festival. L’art ici n’est pas réservé à une élite, il appartient à tout le monde. On le respire, on le vit, on le partage.
Je me souviens de mon premier festival ici... Les rues étaient remplies de danseurs aux costumes flamboyants, et j'ai participé à une fresque murale géante où tout le monde pouvait ajouter sa touche personnelle. C'était magique. » El Alegrísía est un endroit où chaque expression artistique est célébrée, que ce soit le théâtre, la peinture, la musique, la danse ou même l’art culinaire. C’est un lieu où la créativité n’a pas de limites, où chaque idée est encouragée et où l’innovation artistique est la norme. C’est une philosophie de vie qui change tout. »


Un nouveau système qui offre de nouvelles solutions aux anciens problèmes…

Carlos Mejía, juge à El Alegrísía :
« À El Alegrísía, nous avons réinventé la justice. Ici, il n’y a pas de prisons. Nous croyons en une justice réparatrice, centrée sur la réhabilitation et la réinsertion, plutôt que sur la punition. Lorsqu’un délit est commis, notre priorité est de comprendre les causes et de trouver des solutions qui bénéficient à toute la communauté.
Nous utilisons la médiation et des programmes de réinsertion pour aider les individus à se transformer et à réparer les torts causés. Le résultat ? Un système plus humain, où les récidives sont rares et où chacun a une seconde chance. El Alegrísía prouve qu’une justice sans prison est possible et efficace. »


Et si vous préférez un pays pour ses paysages…


Office du tourisme de Rio Verde:
« El Alegrísía, (ou "Pays de l'allégresse"), est niché sur un petit bout de terre aux paysages magnifiques. À l’est, des montagnes vertigineuses recouvertes de forêts denses plongent dans l’océan, créant des falaises spectaculaires au-dessus de plages de sable doré. Les forêts abritent une faune et une flore incomparables, où les oiseaux multicolores et les félins majestueux ajoutent de la vie à la canopée verdoyante. Et parfois, perdus au milieu des montagnes, des bassins d’eau cristalline, sans cesse abreuvés par de longues cascades, font le bonheur des aventuriers.
À l’ouest, un grand calme plat recouvert de cultures et de champs de fleurs s’étend à perte de vue, ondulant sous la brise marine. Jalonnées de pittoresques routes bordées d’arbres centenaires, les habitants cultivent ces champs où les plantes aromatiques, les légumes biologiques et les fleurs tropicales prospèrent côte à côte.
Les villes d’El Alegrísía se sont parfaitement intégrées à l’environnement. Des façades colorées, souvent ornées de fresques murales vibrantes, aux toits végétalisés laissant pendre leurs branches vers la rue. Suivies par de majestueux arbres fruitiers, les rues nous mènent aux places publiques animées des plus beaux spectacles de la ville, d’ateliers d’art ou de commerces en tout genre.
La capitale, située sur une baie abritée, est un mélange unique d'architecture moderne et traditionnelle, avec des espaces verts omniprésents et des vues imprenables sur l'océan. Le front de mer est un lieu de rencontre central, avec des plages de sable fin, des cafés en plein air, et des marchés nocturnes où les artistes de rue, les musiciens, et les chefs cuisiniers présentent leurs talents. »



Mentalité de la population :

« Les humains sont capables de tolérance, mes frères El Alegrísíens en sont les inventeurs.» Cette phrase, attribuée au célèbre écrivain Romulio Hernandez, est gravée dans la mémoire de tous les habitants. Elle représente les fondements de la mentalité des El Alegrísíens, qui sont animés par une soif de liberté et un caractère bien trempé.


Place de la religion dans l'État et la société :

« La religion n’est qu’un système de force, qui opprime plus qu’il n’offre », écrit Olivia Grénette dans son livre «Pensée d’une anarchiste contemporaine». Cette phrase, que chaque citoyen d’El Alegrísía adopte, illustre le détachement général vis-à-vis des religions et de toutes sortes de croyances. Les religions elles-mêmes évitent les terres qu’elles jugent « impures et décadentes », comme celles d’El Alegrísía. Cependant, de nombreuses traditions religieuses et signes d’appartenance sont visibles dans les rues, souvent portés par de nouveaux arrivants. Ceux-ci sont accueillis chaleureusement, éloignant ainsi la haine et le fanatisme hors des frontières.


Politique et institutions :



Institutions politiques :

Les Assemblées Communautaires (AC) :
Dans chacun des 6 districts du pays se trouve une Assemblée Communautaire, chargée de la gestion des affaires courantes de son territoire, de la gestion des besoins alimentaires (CSAC) et des services. Ces assemblées sont composées de 25 à 61 personnes, selon le nombre d'habitants des districts. Les membres ne sont ni élus, ni tirés au sort (sauf dans certains cas), mais volontaires. Les décisions sont alors adoptées par consensus, par référendum ou, dans de plus rares cas, par vote à la majorité. Chacun des membres peut être démis de ses fonctions dans certains cas. Des séances sont même prévues afin que des "civils" puissent proposer leurs idées.

Collège d’Assemblées Communautaires Communes Temporaires (CACCT) :
Ces assemblées ont pour principe de rassembler plusieurs délégués d’Assemblées Communautaires, afin de traiter les questions de ressources communes ou bien de projets de grande envergure. Les délégués sont alors soumis à un mandat précis et peuvent être révoqués à tout moment.

Les Chambres de Justice Communautaires (CJC) :
Cet autre type d’assemblée a pour objectif le jugement des affaires juridiques et l’attribution des réparations nécessaires. Composée de professionnels du droit et de civils volontaires, tous révocables à tout moment, c’est une institution permanente dans chaque district. Pour les affaires interdistricts, les chambres peuvent échanger afin de parvenir à la meilleure solution.

Le Centre de Coopération des Armées (CCA) :
Une autre assemblée permanente, chargée de la gestion des armées en temps de paix et de guerre. Un délégué est choisi par les 13 à 29 membres du CCA et est envoyé aux AC afin de faire un compte rendu de la situation.

Centre de Partage Communautaire (CPC) :
Coordonne les volontaires dans la production des biens nécessaires, comme le secteur alimentaire et agricole, le secteur de santé et d’hygiène, la construction, le transports et la logistique, l’éducation, la sécurité, l’énergie, ou la production manufacturière. Elle reçoit la liste des besoins des Commissions Spéciales des Assemblée Communautaire (CSAC). Elle va ensuite distribuer les ressources dans les différents endroits sur les Marchés Ouverts, gratuitement.



Principaux personnages :

Maria Lores - Artiste et militante pour la cause LGBT
Mila Avania - Championne de Boxe
Romulio Hernandez - Écrivain et peintre
Damien Christenn - Ouvrier chez Pagani
Et tant de belles histoires qui n’attendent que d’être racontées…



Politique internationale :

La politique internationale d’El Alegrísía a radicalement changé le 6 décembre 2013, suite à la tragique mort du juge Alexander Parishem dans un accident de voiture. Parishem avait toujours œuvré pour ouvrir El Alegrísía au monde entier, permettant à la nation de se faire connaître et de découvrir les autres cultures. Avant cet événement, la politique de fermeture du pays, motivée par la volonté de garantir la sécurité et la survie des citoyens, était principalement soutenue par les grandes familles mafieuses, seules bénéficiaires de cette isolation.
Désormais débarrassé de la nécessité de prendre parti dans des conflits internationaux ou de jouer un rôle politique de premier plan, El Alegrísía aspire à devenir une destination de rêve pour tous. Le pays se veut ouvert et accueillant, prêt à offrir son aide et son soutien à quiconque en fera la demande.
Cette nouvelle orientation se traduira par l’organisation d’événements internationaux, des programmes d’échanges culturels et des partenariats avec d’autres nations. El Alegrísía est déterminé à accueillir le monde avec des bras ouverts, tout en poursuivant ses objectifs d’inclusion et de solidarité globale.
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Bonsoir/Bonjour.

Change-moi cette couleur d'écriture qui m'arrache les yeux s'il te plait. Le noir basique fera très bien l'affaire ! Toutefois, merci pour l'intérêt que tu portes à Geokratos.

Sinon, concernant le nombre d'habitants, tu vas avoir un problème au regard du système de gameplay de GK. Je m'explique. Chaque pays commence avec 500 usines civiles, ce qui équivaut à 500 milliards de produit intérieur brut. Au regard de ton nombre d'habitants, tu ne peux pas avoir un PIB aussi élevé. Ainsi, je t'invite :

  • À revoir ton nombre d'habitants autour des 5 millions minimum
  • Ou à rester ainsi, mais partir avec un nombre d'usines moindre que la normale.

Je t'invite à éditer ton message et nous avertir quand ta fiche d'inscription sera revue et terminée. Merci pour l'intérêt encore une fois, et bon courage pour la fiche. Si besoin, n'hésite pas à poser tes questions sur le serveur discord.
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Pas de réponse ? Afuera !
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