04/10/2015
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Politique | Assemblée Parlementaire

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Assemblée Parlementaire




Les Partis Politiques

Extrême-Gauche
Parti Populaire Yukanaslavien

Parti Politique

Sièges : 24

Chef du Parti : Atlàn Kavorchkytl

Présentation :
Premier parti à se désolidariser du Bloc Socialiste vers les années 2000, le PPY reste le porte-étendard des mouvements de l'extrême gauche Yukanaslaviens. Encore actuellement, le parti reste le plus important en terme de taille dans son clivage. Les souhaits des membres du PPY sont nombreux, mais nous pouvons en citer quelque uns que voici : Création d'une "Union des Républiques Socialistes et Communistes Yukanaslaviennes" ou URSCY, qui aurait un pouvoir central fort tout en laissant les régions en position de semi-autonomie. Egalement, les fermes devraient se collectiviser et les entreprises devraient devenir des propriétés de l'état. Enfin, une destruction des classes sociales devrait s'effectuer pour arriver, au final, à une société communiste.
Atlàn Kavorchkytl, l'actuel président du parti, est populaire parmi ses camarades, et avancent déjà des propositions pour que son parti soit même reconnu internationalement. Bien malheureusement pour lui, son parti n'attire guère les grandes foules, et rares sont ceux à suivre son mouvement.


Parti Communaliste

Parti Politique

Sièges : 12

Chef du Parti : Itza Kahanonta

Présentation :
Deuxième parti à partir du Bloc Socialiste vers 2005, le PC est le second plus grand parti de l'extrême gauche en terme de membres, juste après le Parti Populaire Yukanaslavien.
Originaire du Grand-Kah, l'idéologie Communaliste souhaite de manière générale mettre en place un système fédération de communes sur tout un territoire, afin que les propositions populaires soient plus entendues. Regroupant de manière générale les idéaux de la gauche, l'idéologie doit son arrivée via les territoires en Paltoterra, et depuis lors la région est farouchement proche de cette idéologie et reste le principal lieu qui vote pour l'élection de députés communalistes.
Le chef du PC, Itza Kahanonta, est un grand admirateur du Kah et souhaite par ailleurs mettre en place le même système que ce pays en Yukanaslavie. Cependant, sa popularité est vite écrasée par celle d'Atlàn Kavorchkytl du PPY, ce qui entraine de vives tensions entre les deux partis politiques.


Parti Anarchiste

Parti Politique

Sièges : 5

Chef du Parti : Eugenius Kavasatl

Présentation :
Dernier Parti à quitter le Bloc Socialiste, le PA est aussi le plus faible parti de l'Assemblée. En effet, là où le parti Néo-Colon est assez proche des démocrates, les anarchistes sont souvent seuls, ou bien quelque fois soutenus par Unisolidaire. De fait, ce parti de l'extrême gauche Yukanaslave est peu représenté voir même connu par le grand public, qui considère ce parti même comme un membre d'Unisolidaire.
Issu des premiers mouvements anarchistes du XIXe siècle, le PA souhaite à tout pris détruire toute forme d'état, principalement par la révolution. Pour eux, un état est une forme d'oppression des classes ouvrières, et empêche la société d'avancée vers le socialisme. De plus, les décisions doivent se faire par une initiative populaire, donc, de la démocratie directe. Aussi, les libertés individuelles doivent être à la limite du sacré et en aucun cas une personne peut violer ces droits.
Le chef du Parti, un kaulthe, Eugenius Kavasatl, tente de faire connaitre son parti en proposant des conférences partout dans la "Métropole", bien que malheureusement le PA reste impopulaire et peu entendu.

Gauche
Bloc Socialiste

Parti Politique

Sièges : 125

Chef du Parti : Moctezuma Rodotl

Présentation :
Autrefois seul parti de la Gauche Yukanaslavienne, les nombreux courants internes ont eu vite fait de détruire ce parti de l'intérieur. La principale "crise" pour le Bloc Socialiste a été en 2000, avec la désolidarisation du PPY, du PA et du PC, ainsi que d'Unisolidaire. Bien qu'aujourd'hui il reste le parti iconique de la Gauche, il est loin de son influence d'antan.
Né au court du XVIIIe et XIXe siècle, le Socialisme souhaite mettre en place un monde plus juste, en mettant fin à exploitation de l'homme par l'homme, de transformer la propriété privée, qui se doit d'être critiquée, en propriété sociale, mettre en commun les moyens de productions et donc indirectement mettre en place le progrès une justice plus équitable pour tous. Bien qu'une révolution n'est pas prônées, les moyens que souhaitent utiliser les socialistes viennent du vote. Un référendum tendue à la population afin d'abolir les oppressions capitalistes et mettre en place un monde meilleur.
L'actuel dirigeant du Parti, Moctezuma Rodotl, est un socialiste conservateur, c'est à dire un socialiste revendiquant donc les demandes des années pré-2000, refusant les changements actuels liés à l'idéologie. C'est en partie pour cette raison que les soutiens du Bloc Socialiste sont de moins en moins nombreux.


Unisolidaire

Parti Politique

Sièges : 27

Chef du Parti : Acamalpok Mokasa

Présentation :
Troisième parti à quitter le Bloc Socialiste, Unisolidaire est parvenu à devenir le plus grand parti des ex-membres du BS. Cela est dû à la capacité du parti à unifier sous une seule bannière de nombreuses idéologies variées comme l'arcadianisme, le socialisme, la socio-démocratie, le communisme et même des anarchistes. Cela fait donc d'Unisolidaire l'unique parti à avoir autan de divergence idéologique interne dans tout l'hémicycle. Cependant, cette diversité empêche la création d'un programme clair et solide, qui, souvent, perturbe les électeurs et empêche le peuple de voter clairement pour ce parti, hormis les citoyens adhérant déjà à l'idée d'une mouvance interne à Unisolidaire. Ainsi, ce parti reste bien souvent dans l'ombre du Bloc Socialiste ou du Parti Populaire Yukanaslavien.
Son chef, Acamalpok Mokasa, est profondément socialiste, et tente chaque années d'attirer toujours plus de députés dans le parti, bien que cela relève de l'impossible par moment, en vue de la complexité politique interne au parti. Ainsi, le dirigeant d'Unisolidaire est peu connu, et bien souvent oublié dans la tempêtes des idéologies présentes au sein de ce groupe politique.

Centre-Droite
Parti Libéral

Parti Politique

Sièges : 39

Chef du Parti : Zacamochi Keduàtl

Présentation :
Un des premiers partis de la Fédération ( fondé vers 1950 ), le parti libéral n'a eu de cesse de s'agrandir, gagnant de plus en plus le soutien des foules et des peuples. Ses désirs principaux, à savoir de faire respecter les libertés individuelles et le libre-marché, attire beaucoup les populations en manquent d'emplois ou bien simplement des patrons importants du pays. De ce fait, le parti est vite devenu la première menace pour le Bloc Socialiste affaibli par les divisions, car les libéraux empiètent de plus en plus de sièges vers la gauche.
Zacamochi Keduàtl, le dirigeant du parti, est profondément charismatique et dispose de l'art oratoire suffisant pour faire dresser les masses en sa faveur. De ce fait, il est probable que le parti devienne de plus en plus important dans les années à venir.

Droite
Parti Démocrate

Parti Politique

Sièges : 172

Chef du Parti : Gustavuma Pido

Présentation :
Un des premiers partis importants en 1950 ( pouvant presque rivaliser avec le bloc socialiste à ce moment ), le parti Démocrate est le groupe politique qui vit dans une situation de bras de fer avec le parti fédéral. Ces deux partis étant majoritaires à l'assemblée, une situation de bipolarisation s'est vite formée. De ce fait, le parti Démocrate tente de supplanter son rival via ses nombreux souhaits qui se résume en : le respect des droits de l'homme, des libertés individuelles, de la non-reconnaissance des entités étatiques hors "métropole" et considération comme "territoires d'outre-mer", d'une centralisation plus forte du pouvoir à Uzusco, d'un réarmement militaire permettant à l'influence du pays de croitre ou encore l'instauration de démocraties dans tous les territoires fédéraux.
Largement influent en Métropole, le parti est certainement le plus puissant et potentiellement dangereux pour la stabilité actuelle du régime, les demandes des démocrates allant à l'encontre d'une partie du fonctionnement de l'état actuel.
Son dirigeant, Gustavuma Pido, est extrêmement populaire et n'hésites pas à se montrer dans des manifestations populaires, faisant croire qu'il est un ami du peuple qui ne veut que leurs biens.


Parti Néo-Colon

Parti Politique

Sièges : 6

Chef du Parti : Hellénos Petrovochki

Présentation :
Reliquat de la Fédération d'Aleucie du Sud, un état qui avait fait sécession de la Yukanaslavie il y a presque 100 ans, le Parti Néo-Colon, comme son nom l'indique, souhaite faire des états hors-métropoles de véritables colonies, où le statu régional ne serait considéré que comme colonie. Principalement présent en Nouveau-Saptär, le PNC est profondément raciste et xénophobe, ce qui a accéléré certains politiques, autrefois proche du parti, à s'en éloigner. Ainsi, le PNC est isolé et n'a que peu d'alliés influents dans l'hémicycle, hormis parfois des soutiens du parti Démocrate, bien que minoritaires.
Son dirigeant, Hellénos Petrovochki, est un Sapythe-Arovaque ayant fui la Kaulthie durant la guerre civile, et ayant réussi, grâce à la haine des autres de certains politiques, à former le mouvement qui est devenu l'icone de la violence et de la persécution envers les territoires d'outre-mer.


Parti Fédéral

Parti Politique

Sièges : 203

Chef du Parti : Edmoatl Hender

Présentation :
Plus grand et ancien parti de l'hémicycle, le Parti Fédéral est, de manière simple, la bannière qui représente le régime actuel du pays. Ses revendications sont nombreuses, dont voici quelque exemples : respect des droits de l'homme et des libertés individuelles, décentralisation du pouvoir en dehors de la Métropole, reconnaissance des Etats outre-mer, égalité des droits entre les hommes et les femmes, instauration d'un réseau diplomatique fort en Aleucie-Paltoterra ou encore demande d'adhésion à l'ASEA.
Ainsi, il entre, sur certains points, en contradiction avec le PD, le parti démocrate, qui est par ailleurs devenu son plus grand rival. Souvent, des discours endiablés tentent de convaincre le peuple de voter plus en faveur des fédéralistes, mais les démocrates répliquent avec la même méthode.
Son dirigeant, Edmoatl Hender, est un proche ami du Président Fédéral actuel, Moctezuma III Kalpàn, qui faisait par ailleurs partie du PF. Ainsi, il est très reconnu et apprécié des foules, ce qui est un atout pour le parti.



Extrême-Droite
Parti Indépendantiste

Parti Politique

Sièges : 25

Chef du Parti : Amatûl Kadursat

Présentation :
A l'extrême droite de l'hémicycle se trouve le parti Indépendantiste. Comme son nom l'indique, il souhaite que chaque états puissent devenir indépendants de la Fédération, et de fait veulent indirectement sa dissolution. Le caractère anti-Yukanaslave du parti l'isole de tous les autres partis politiques, l'empêchant de réellement agir et proposer des lois qui seront, généralement, refusées. Ainsi, la place du PI est loin d'être assurée et bien que certains voient d'un bon œil la représentation des désirs d'indépendances des populations locales, le mouvement est trop extrémiste pour réellement attirer l'électorat.
Son dirigeant, Amatûl Kadursat, est un Kaderstanais qui a toujours voulu l'indépendance de son état. Cependant, son talent oratoire est assez piteux et ses autres camarades politiques n'ont pas la popularité suffisante pour faire connaitre dans le positif ce parti.
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