Création de pays : la grande nation du congo
Généralités :
Nom officiel : la grande nation du congo
Nom courant : la grande nation du congo
Gentilé :(bantu),(mongo),(swahili)
Inspirations culturelles : République des deux Nations, France, Saint-Empire Romain Germanique et Royaume-Uni, Belgique
Situation géographique :
Langue(s) officielle(s) : les lingala (bantu), le mongo (le mungala), le swahili(le swahili), le français et l'anglais(administrative et sert à communiquer entre les Républiques).
Autre(s) langue(s) reconnue(s) : l'Antérinien , l'anglais,Youslève, Hellénique, Finejourilli, Arabe, Arshad, Swahili, Gomdoua, Farsi, le Mandrarikan et le Persan.
Drapeau:[/url]
Drapeau:[url=lien]
Devise officielle : Les Républiques éclairent, élèvent et commandent
Hymne officiel :[url=lien][/url]
Monnaie nationale : Le franc congolais et le dollar
Capitale :
Kinshasa(Capitale de la République de bantu), lumbumbashi (Capitale de la République de swahili) et équateur(Capitale de la République Coloniale de mongo)
Population et Superficie : 832 900 000 habitants, pour 4 340 054 km²(118 h/km²)
République de mongo : 370 400 405 habitants, pour 2 335 000 km² (213 h/km²)
République de swahili : 249 600 270 habitants, pour 1 005 000 km² (120 h/km²)
République Coloniale de bantu : 208 225 000 habitants, pour 1 000 054 km² (102 h/km²) :
Total de SED/CITOYEN en 2015 :
République de Koltaris : 11 200 000 Citoyens Libres (100%), pas de SED.
République du Cinat : 14 600 000 Citoyens Libres (92,4%), 1 400 000 SED (7,6%).
République Coloniale de Kolca : 5 500 000 Citoyens Libres (18,5%), 24 200 000 SED (81,5%).
Au total il y a donc 716 294 000 Citoyens Libres(86%) et 133 264 000 SED(16%).
Aperçu du pays :[youtube][img=lien][/img][/youtube]
Présentation du pays :
ORIGINE :
La grande nation du congo émerge en l’an 1776 sous la forme d’un petit duché. Bien que modestes, ses dirigeants adoptent une politique résolument tournée vers la préservation de leur indépendance, dans un contexte marqué par l’essor des grandes puissances régionales telles que l’Antérinie ou la Clovaquie. L’usure devient alors un pilier de son économie : les élites de la cité, en développant des activités bancaires et financières, non seulement enrichissent leur duché, mais participent également au financement de guerres de la région. Dans le même temps, le christianisme, ayant déjà un pied dans le Cinat, finit par arriver dans la cité, conduisant à la conversion de cette dernière, fortement accélérée par le mythe de saint Julien. Dans le même aspect la Religion Sol Invictus c'est particulièrement bien établit dans le bantu alors que le Christianisme à lui eu du mal à s'imposer dans cette région.
Une partie de ces investissements sont dirigés vers les clans de mongo , eux-mêmes en lutte constante contre l’hégémonie de l’Antérinie. Cette relation stratégique entre swahili (au nord) et les clans de bantu (au sud) est marquée par une solidarité face à un ennemi commun. Toutefois, malgré les efforts conjugués des deux entités, leur résistance s’effondre progressivement. Entre le XIIe et le XVIIe siècle, le duché de Cinatus et les clans de bantu changent entre annexés, indépendants et vassalisés. La région du Cinat est concernée par la Clovaquie qui dominera les duchés du Cinat (au nord) suite à la campagne de 1125 qui a vu la Clovaquie écraser le duché de Cinatus en à peine 4 mois. Cette domination s’étendra progressivement à tous les duchés du Cinat et durera jusqu’en 1281. En effet, en 1281 éclate une grande révolte dans les terres Miloises. Les terres Cinats entre 1281 et 1285 se révoltent à leur tour suite à l'affaiblissement de Clovaquie, obtiennent leur indépendance, tout en se rapprochant des territoires Milois.
Au sud, le bantu, proche des terres mongo, lui est soumis vers le 13ᵉ siècle par l'État de Fortuna. L'Empire d'Antérinie, qui cherche à s'étendre, signe en 1464 un traité avec le duché de mongo , qui cherche lui-même à s'émanciper de l'influence des différentes cités et duchés Milois. Ce traité stipule que les grands usuriers des terres Cinats financeront la guerre contre Fortuna, en échange de quoi l'Empire doit mettre en place un protectorat en swahili, sous domination de ce dernier. Ainsi, en plus d'obtenir d'immenses finances pour faire la guerre, l'Empire reçoit le soutien des clans de bantu, cherchant eux-mêmes à devenir plus ou moins indépendants. La guerre se déroule de 1465 à 1468 et commence par une révolte des clans bantu qui appellent à l'aide l'Empire. La guerre dure 3 ans et se finit par la victoire de l'Empire. Pourtant, l'Empire ne respecta absolument pas l'accord signé 4 ans plus tôt et annexa purement et simplement le bantu . Le duché de mongo décide de lancer, pour faire respecter le traité, une invasion et lance, par le biais de financement des révoltes dans le bantu , en 1476. De ce fait, lors de la bataille de Ricordeas, l'Empire écrase les armées combinées bantu et mongo. Une grande répression s'abat alors sur la bantu entre 1477 et 1480. Dans le même temps, en 1480, mongo tombe après un siège de 3 mois et l'intégralité du territoire capitule en 1481. C'est une annexion pure et dure qui a alors eu lieu et qui entretiendra un désir d'indépendance qui se renforcera au fil du temps. Cette période marque un recul majeur pour l’indépendance de ces territoires, mais aussi l’émergence d’une volonté de reconquête chez leurs élites.
Malgré leur annexion, les nobles de mongo n’abandonnent pas leurs ambitions. Durant les siècles de domination antérienne, ils s’enrichissent davantage en continuant à développer leurs institutions financières et commerciales. Cette accumulation de richesses et de réseaux leur permet, au début du XVIIIe siècle, de devenir un grand centre du commerce régional. En 1732, ces mêmes nobles proclament unilatéralement l’indépendance de la République de bantu . Cette indépendance conduit à une grande répression entre 1732 et 1736 qui ruine un peu plus l'Empire. Malgré tout, cette déclaration marque un tournant : swahili devient alors un symbole de résistance et un acteur clé dans les luttes d’influence avec l’Antérinie. Après cette déclaration d’indépendance ratée, les dirigeants de swahili se fixent un objectif clair : affaiblir l’hégémonie de l’Antérinie en soutenant activement les mouvements de révolte dans le bantu. Ils investissent massivement pour financer les chefs de clans locaux, jouant un rôle déterminant lorsque ces derniers proclament la République de bantu. Ce soutien financier et logistique ne se limite pas au bantu : la République de swahili met également ses ressources au service des nations rivales de l’Antérinie, cherchant à nouer des alliances et à encourager des conflits qui détournent l’attention de l’Antérinie de ses territoires annexés du mongo.
HISTOIRE DEPUIS L'INDÉPENDANCE DE grands nations:
La grande nation du congo historiquement en 1767. Pour mieux comprendre cela, il faut savoir qu'en 1766, en partie à cause de la ruine de l'Empire, une grande Révolution frappe l'Empire, le mongo en profite et déclare son indépendance en 1767. Une force de répression est tout de même envoyée pour anéantir cette révolte. Cette force est vaincue aux portes de mongo en 1768, puis en 1769 aux Marches. C'est dû à cette défaite que la même année la république obtint son indépendance lors du traité de mongo. Les puissants banquiers de bantu avaient, pendant plusieurs années, financé les puissances en guerre contre l’Antérinie. À la suite de l’affaiblissement de ce dernier, dû à la Révolution et à leur victoire militaire, les banques obtinrent trois choses : la reconnaissance par les grandes puissances de l’indépendance de leurs nations (mais pas de l’Empire officiellement, contrairement à d’autres États), des terres et l’indépendance des terres swahili, située au sud de l’Antérinie. Pourtant, alors qu'en 1770 la République de swahili proclame son indépendance, l'Empire déclare ne pas reconnaître les deux républiques et lance une « opération de reconquête » au sud en 1771, lançant l'invasion de swahili. La jeune République appelle alors à l'aide son allié du Nord qui finance la résistance de swahili, conduisant, en 1773, à la défaite de l'Empire qui, à cause de la menace d'États étrangers d'intervenir, doit négocier la paix. Le nouveau traité de mongo change profondément les choses, puisque 3 points sont stipulés : la reconnaissance de l'indépendance de la République du swahili et de la République de bantu par l'Empire, de nouvelles terres et l'interdiction d'emprunt à un autre État que la nouvelle République de swahili pour les 50 années à venir par l'Empire. Ainsi, la République de swahili, dirigée par la noblesse, put étendre ses territoires et son influence.
Cependant, en 1761, la jeune République de swahili effectua une demande de rattachement de ses territoires à la République de mongo et bantu. Cet événement donna naissance à une nouvelle entité : la grande nation du congo. Afin de faciliter la gouvernance, il fut décidé qu’un roulement de capitale centrale et de président central aurait lieu tous les dix ans entre les 3 nations. Le président de chaque république était alors élu à vie : au Sud, par les 13 chefs de clans de bantu, et au Nord, par un collège de 9 comtes, appelés les Grands Électeurs. Un gouvernement central était désigné par le cortège des 22 grands électeurs pour une durée de dix ans au moment où le président central changeait de nation. Au cours du XVIIIᵉ-XIXᵉ siècle, la république intervint à plusieurs reprises pour soutenir les empereurs, qui furent chassés du pouvoir à plusieurs reprises. L'objectif était de garantir les accords de financement promulgués en 1783 par l'Empire. Ces accords concernaient des emprunts faits par l'Empire pour rehausser son économie, qui, en cas de chute de l'Empire, ne serait pas assurée. Ainsi, en 1833, après la fin du remboursement des prêts, les Républiques se retirèrent des affaires internes de l'Empire. En 1853, un débat intense anima la République de mongo, qui décida de poursuivre un rêve colonial. Ainsi, entre 1855 et 1940, un véritable empire colonial fut construit. Pour commencer, ce fut le comptoir de Visualis en 1856, ensuite l'expédition coloniale établit 2 colonies, Citoratis en 1867 et Fistalis en 1881, enfin le comptoir de Gondinius en 1923. Les droits dont jouissaient les colonisateurs étaient nettement supérieurs à ceux des populations locales. Aujourd’hui encore, l’égalité totale n’a pas été atteinte dans les colonies.
En 1917, une grande réforme bouleversa le pays, donnant naissance à une troisième république : la République coloniale de Kinshasa, du nom de la capitale de cette nouvelle république. Par ailleurs, le système électoral fut remanié. Le droit de vote fut étendu à tous les citoyens, qui devaient élire par zones un Grand Électeur. Ce dernier obtient alors le titre de comte (République de mongo), de chef de clan (République de swahili) ou de vice-roi (République coloniale de bantu). Ce système est toujours en place aujourd’hui. Petite précision concernant les vice-rois : au total, au début, il y en a trois, mais aujourd'hui, ils sont six et ils doivent être citoyens-colons pour voter et être élus. Ils sont élus pour dix ans, et le vice-roi de swahili devient automatiquement président. Chaque république dispose également d’une assemblée républicaine (30 membres par région, une région étant dirigée par un grand électeur). Cette assemblée détient le pouvoir législatif et est élue pour cinq ans. Le gouvernement est proposé par le président et validé par l’assemblée républicaine. Il existe également un Sénat, élu pour six ans et basé dans la capitale Kinshasa. Le Sénat est composé d’un total de 99 membres (33 par république). Il traite des questions de rang supérieur. Enfin, un roi-président est élu pour six ans au suffrage universel direct (par les citoyens). Ce dernier nomme un gouvernement principal, contrôlé par une cour de justice composée de trois hauts juges (un par république). Aussi, en 1921, la République de mongo, dont le nom exclut une grande partie de la population du Cinat, changea de nom et devint la République de mongo.
L’histoire du pays ne s’arrête pas là. Il faut savoir que le pays entretient des guerres fréquentes, voire presque permanentes entre 1871 et 1903, qui conduisent à une paix avec la confirmation de l'annexion des colonies de Ritanius (1888) et de Yutina (1901). Enfin, une guerre meurtrière entre les deux États eut lieu pour le contrôle du comptoir de Mandrarikanius entre 1932 et 1940. Cette guerre conduisit à la signature du traité de Mpiko en 1940. Ce traité permit la prise de contrôle du comptoir de Mandrarikanius par la République coloniale de mongo qui en fit alors sa 6ᵉ vice-royauté. Cette guerre mit fin aux guerres qui opposèrent l'Empire aux Républiques. Les deux États prirent la décision de se rapprocher petit à petit et, preuve de l'effort, en 2002 un accord de passage naval et aérien fut signé entre les deux nations, les autorisant à passer par les mers et le territoire aérien de l'autre. Aujourd'hui, la République se rapproche toujours de l'Empire et entretient des relations cordiales avec la Confédération.
Mentalité de la population :
Trois grandes mentalités dominent les Républiques : le pacifisme libéral, le pacifisme conservateur et le pacifisme colonial. Ces courants de pensée imprègnent profondément la société, chacun proposant une vision différente de l’avenir du pays.
1) Le pacifisme libéral
Cette mentalité prône un rapprochement diplomatique international, que ce soit avec l'UEE, l'OND, ONC, et surtout UICS, les grandes puissances mondiales ou les nations du continent d’Afarée et d'Eurysie. Les partisans de ce courant insistent sur la nécessité d’unir les trois républiques sous un cadre plus intégré et harmonieux. Ils militent également pour des réformes sociales et politiques dans les colonies, avec pour objectif d’avancer vers une égalité accrue entre citoyens colons et populations locales. Enfin, ce mouvement cherche à établir des relations plus étroites avec des puissances orientées vers le communisme ou partageant des valeurs d’égalité sociale, dans une volonté d’ouverture et de modernisation.
2) Le pacifisme conservateur
Ce courant prône une approche prudente et respectueuse des traditions. Les conservateurs favorisent un rapprochement avec leur voisin antérinien ainsi qu’avec l’UEE, OND et des États adoptant une forme modérée de socialisme. Leur vision inclut l’idée d’un système colonial semi-indépendant, dans lequel les colonies disposeraient d’une certaine autonomie tout en restant sous l’autorité des républiques. Toutefois, l’état actuel des colonies ne les dérange pas outre mesure, et ils souhaitent maintenir le statu quo avec trois républiques distinctes. Pour eux, les priorités résident dans la préservation des structures existantes et dans des ajustements limités plutôt que des réformes profondes.
3) Le pacifisme colonial
Ce dernier courant plaide pour une expansion agressive et une stricte dépendance des colonies vis-à-vis des républiques. Les partisans de cette mentalité estiment que les pays dits “civilisés” ont une mission d’assistance et de domination sur les pays “sauvages”. Ils souhaitent accorder aux colonies un statut différent, orienté vers une soumission totale. Ce mouvement rejette toute coopération avec des États de gauche ou communistes et considère qu’une forme de fascisme institutionnalisé dans chaque république serait nécessaire pour garantir stabilité et puissance. Ils appellent également à un retour à l’ancien système électoral, jugeant les réformes démocratiques nuisibles. Enfin, ce courant s’oppose fermement à un rapprochement avec l’UEE et prône une hostilité ouverte envers le voisin antérinien et un rapprochement avec la Sainte Union Monarchique Chrétienne, avec CITADEL et avec le Bloc Nationaliste Eurysien.
Ces trois mentalités divisent profondément la population, en particulier sur les questions économiques, sociales et coloniales. Bien que la diplomatie soit un sujet commun à ces courants, elle demeure pour chacun secondaire face aux priorités nationales et idéologiques.
Place de la religion dans l'État et la société :
Comme nous avons pu le voir précédemment, une forte opposition existe concernant les différents peuples colonisés. Pourtant, les religions sont intégralement acceptées au sein des républiques. Cependant, les religion de Sol Invictus et Chrétienne, se sont fortement développée au respectivement , occupe une place particulière. Du fait de son ancienne domination par ce pays, cette religion est aujourd’hui majoritaire, avec quelque 9 000 000 de pratiquants, ce qui en fait la première force religieuse. La deuxième force est Sol Invictus, qui compte environ 7 000 000 d’adhérents. l'Athéisme lui compte quelque 4 000 000 d'adhérants.
La religion conserve donc une forte place dans la société du continent, bien qu’elle ait commencé à reculer depuis quelques années. Dans les colonies, en revanche, la religion Chrétienne ne s’est pas enracinée profondément. Les cultes de Sol Invictus, musulmans et locaux y restent prédominants, influençant fortement la structure sociale et les dynamiques culturelles. Cela crée des contrastes notables entre le continent et les colonies, avec des impacts importants sur la société et les relations entre les populations.
Politique et institutions :
Institutions politiques :
Organisation au niveau des républiques
Organisation au niveau Centrale
- Le Sénat vote des lois qui sont ensuite envoyées aux assemblées, ces dernières doivent voter les lois concernant les lois de guerres et de niveaux centraux. Si le Sénat et deux assemblées votent pour, alors elles seront appliquées.
- Concernant les élections centrales, seuls les Citoyens Libres peuvent voter, les SED n'ont pas le droit de vote à l'échelle centrale.
Principaux personnages :
Gouvernance Centrale
Roi-Président :
Durée du mandat : 6 ans
Année d'entrée en fonction : 2012
Roi-Président actuel : Salomon lomboto (2010-2016)
Président du Sénat :
Durée du mandat : 6 ans
Année d'entrée en fonction : 2010
Président actuel du Sénat : Isabelle bokasa (2010-2016)
Ministre des Affaires Étrangères (Central) :
Durée du mandat : 6 ans
Année d'entrée en fonction : 2010
Ministre actuel : Helena Berthold (2010-2016)
République de mongo :
Président de la République de mongo :
Durée du mandat : À vie
Année d'entrée en fonction : 2000
Président actuel : Ismael lomboto(2000-présent)
Ministre des Affaires Étrangères de la République de mongo :
Durée du mandat : 5 ans
Année d'entrée en fonction : 2014
Ministre actuel : Gaël Toussaint (2014-2016)
Président de l'Assemblée de la République de mongo:
Durée du mandat : 5 ans
Année d'entrée en fonction : 2014
Président actuel de l'Assemblée : Émile Deloffre (2014-2016)
Assemblée Républicaine de la République de mongo:
Flourish logoA Flourish election chart
Liste des Chefs de Clan de la République de mongo :
Durée du mandat : 5 ans
Année d'entrée en fonction : 2014
Actuel :
Rémi delay – 2014
Moray farmell – 2014
Alfred lomboto – 2014
Elga mvul – 2014
Lior Giraud – 2014
Yaél Dupaty – 2014
Loïs Chatelain – 2014
Pascale Boutin – 2014
Cheney Goulart – 2014
République du swahili
Président de la République du swahili :
Durée du mandat : À vie
Année d'entrée en fonction : 1995
Président actuel : Jules Potain (1995-présent)
Ministre des Affaires Étrangères de la République du swahili :
Durée du mandat : 5 ans
Année d'entrée en fonction : 2015
Ministre actuel : Helena Berthold (2015-2020)
Président de l'Assemblée de la République du swahili :
Durée du mandat : 5 ans
Année d'entrée en fonction : 2015
Président actuel de l'Assemblée : Maël Quittet (2015-2020)
Assemblée Républicaine de la République du swahili :
Flourish logoA Flourish election chart
Liste des Comtes de la République du Cinat :
Durée du mandat : À vie
Année d'entrée en fonction : Variable
Actuel :
Alaric von Hohenberg – 1985
Lukas Schmidt – 1990
Noël Pueyrredón – 1993
Hilaire Renard – 1995
Anaël Barnaud – 1987
Frédéric Hodierna – 1992
Clarence Coûteaux – 1996
Michon Gabin – 1997
Cyril Gagneux – 1994
Stefan Richter – 1998
Gwénaël Jolibois – 1999
Camille Tanqueray – 2001
Faustine Jouveau – 2002
République Coloniale de bantu :
Président de la République Coloniale de bantu :
Durée du mandat : 20 ans
Année d'entrée en fonction : 2002
Président actuel : Loann Maraoui (2012-2022)
Ministre des Affaires Étrangères de la République Coloniale de bantu :
Durée du mandat : 20 ans
Année d'entrée en fonction : 2014
Ministre actuel : Carlos DeLuca (2002-2022)
Président de l'Assemblée de la République Coloniale de bantu :
Durée du mandat : 10 ans
Année d'entrée en fonction : 2012
Président actuel de l'Assemblée : Miguel Rivas (2012-2022)
Assemblée Républicaine de la République de Coloniale de bantu :
Flourish logoA Flourish election chart
Liste des Vice-Rois de bantu :
Durée du mandat : 20 ans
Année d'entrée en fonction : 2002-2022
Actuel :
Florentin Roussel – 2002
Marcellus Piguet – 2002
Samuel Dubuisson-Lebon – 2002
Patrick Thibaut – 2002
Dion Valin – 2002
Armand Raymond – 2002
Tom Lecerf – 2002
Récapitulatif des Durées et Mandats des Gouvernements :
Roi-Président : 6 ans
Président du Sénat : 6 ans
Ministre des Affaires Étrangères Central : 6 ans
Comtes de la République du Cinat : À vie
Chefs de Clan de Koltaris : 5 ans
Vice-Rois de Kolca : 20 ans
Politique internationale :
En termes de politique internationale, le pays est relativement ouvert à de nouveaux contacts sur le continent, notamment avec les pays sociaux-communistes et membres de l'UEE et de l'UICS. Cependant, il rejette toute ingérence d'un quelconque État au sein des Républiques. Concernant les pays membres de l'Afarée, le pays est prêt à commercer avec les États proches des zones commerciales, mais refuse tout contact au niveau des deux comptoirs d'exploitations. Le pays se montre donc ouvert à la diplomatie et à l'entente.
Législation :
Législation d'identité et âge :
Majorité civile :
République de mongo : 18 ans
République de swahili : 20 ans
République Coloniale de bantu: 21 ans
Majorité judiciaire :
République de mongo : 20 ans
République du swahili: 18 ans
République Coloniale de bantu : 16 ans
Majorité sexuelle :
République de mongo : 16 ans
République de swahili: 16 ans
République Coloniale de bantu : 20 ans
Service militaire :
République de mongo : 1 ans
République de swahili: 1 ans
République Coloniale de bantu : 1 ans pour les citoyens de 20 à 21 ans et 3 ans pour les locaux entre 19 et 22 ans
Droit de nationalité :
République de mongo: droit du sol et droit du sang
République de swahili : droit du sol et droit du sang
République Coloniale de bantu : droit du sang et du sol pour les citoyens, droit d'appartenir pour les locaux
Laïcité : Toutes les religions sont acceptes
Droits fondamentaux :
Liberté d'expression :
République de mongo : légal
République de swahili : légal
République Coloniale de bantu : légal pour les citoyens, limité pour les locaux
Liberté de culte : Légal
Liberté de rassemblement :
République de mongo: Autorisé
République de swahili: Autorisé
République Coloniale de bantu : Autorisé pour les citoyens, interdit pour les locaux
Liberté d'association :
République de mongo : Garantie
République du swahili: Garantie
République Coloniale de bantu : Garantie pour les citoyens, interdit pour les locaux
Droit de vote :
République de mongo : Garantie aux Citoyens à la majorité civile de la République
République du swahili : Garantie aux Citoyens à la majorité civile de la République, Garantie aux SED à partir du moment où il fournissent un payement d'un impôt de 100 $ par mois, d'une autorisation d'un propriétaire pour voter et d'avoir plus de 40 ans
République Coloniale de bantu : Garantie pour les citoyens, interdit pour les locaux
Droit de grève :
République de mongo : Garantie
République du swahili: contrôlé
République Coloniale de bantu: Garantie pour les citoyens, interdit pour les locaux
Droit d'entreprendre :
République de mongo: Garantie
République du swahili: Garantie
République Coloniale de bantu: Garantie pour les citoyens, limité pour les locaux
Droits des femmes :
République de mongo : Garantie
République du swahili: Garantie
République Coloniale de bantu : Garantie pour les citoyens, limité pour les locaux
Droits des enfants :
République de mongo : Garantie
République du swahili: Garantie
République Coloniale de bantu : Garantie pour les citoyens, limité pour les locaux
Droit d'héritage:
République de mongo : Garantie
République du swahili : Garantie
République Coloniale de bantu: Garantie pour les citoyens, interdit pour les locaux (tout revient aux grands propriétaires)
Servitude légale :
République de mongo: Interdit
République du swahili: Contrôlé et limité
République Coloniale de bantu : Garantie pour les citoyens
Les locaux sont seules à pouvoir être Sujet économiquement dépendant(SED).
Législations morales et civils :
Divorce : Légal
Adoption : Légal
Avortement : Légal, sauf pour les locaux
Législations sur la sécurité :
Possession d'arme à feu :
République de mongo : Limité
République du swahili : Limité
République Coloniale de bantu : Garantie pour les citoyens, interdit pour les locaux
Espionnage domestique :
République de mongo : Interdit d'espionner des citoyens
République du swahili: Interdit d'espionner des citoyens
République Coloniale de bantu: Interdit d'espionner des citoyens, autorisé d'espionner les locaux
Torture :
République de mongo : Interdit
République du swahili: Interdit
République Coloniale de bantu: Garantie pour les citoyens sur les locaux, interdit pour les locaux
Peine capitale :
République de mongo: Autorisé mais très contrôlé
République du swahili: autorisé mais très contrôlé
République Coloniale de bantu : autorisé et arbitraire (sur les locaux)
Législations supplémentaires :
Recherche génétique :
République de mongo : Interdit
République du swahili : interdit
République Coloniale de bantu: autorisé sur les locaux
Organismes génétiquement modifiés : Limité
Jeux de hasards : Autorisé
Consommation d'alcool :
République de mongo : Légal
République du swahili: Légal
République Coloniale de bantu: Légal pour les citoyens, interdit pour les locaux sauf autorisation venant d'un propriétaire
Consommation de tabac :
République de mongo : Légal
République du swahili : Légal
République Coloniale de bantu: Légal pour les citoyens, interdit pour les locaux
Consommation de Cannabis :
République de mongo : Illégal
République du swahili: Illégal
République Coloniale de bantu : Illégal
Consommation de stupéfiants :
République de mongo : Illégal
République du swahili: Illégal
République Coloniale de bantu : Illégal pour les citoyens, légal pour les locaux (si et seulement si distribué par les grands propriétaires aux locaux)
La théorie du Darwinisme à l'Ecole :
République de mongo : Autorisé
République du swahili : Autorisé mais les locaux sont considérés comme une autre branche humaine (presque égale)
République Coloniale de bantu : Autorisé mais les locaux sont considérés comme une autre branche humaine (inférieur)
j’ai pris la décision d’afficher les lois de manière à mieux comprendre les différences entre chaque république.