04/10/2015
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Encyclopédie | Liste des Dirigeants de la Fédération de Yukanaslavie

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Liste des Dirigeants de la Fédération de Yukanaslavie



Drapeau
Drapeau de la Fédération de Yukanaslavie


Fondée en 1883, la Fédération de Yukanaslavie, après 1 siècle et 50 années de vie, est un régime qui a eu moultes histoires et péripéties, en fonction de ses dirigeants, de ses tensions, de ses situations politiques complexes... En bref, la Yukanaslavie a une histoire contemporaine très riche, qui mérite d'être connue, pour mieux appréhender les évènements qui se produisent actuellement dans le pays.

Ainsi, dans ce topic, je vous expliquerais et vous montrerais les évènements et les dirigeants qu'à connue la Fédération de Yukanaslavie


Sommaire

  • 1883 - 1885 : Gouvernement Provisoire
  • 1885 - 1890 : Idoatl Pekelé
  • 1890 - 1895 : Volodimitl Kavorpoli
  • 1895 - 1900 : Volodimitl Kavorpoli
  • 1900 - 1905 : Maximile Durkim
  • 1905 - 1910 : Moctezuma Ier Kalpàn
  • 1910 - 1915 : Pakal Alfaro
  • [Début de la Guerre des Statuts]
  • 1915 - 1920 : Itzal Akaltos
  • [Fin de la Guerre des Statuts]
  • 1920 - 1925 : Alponso Maka
  • 1925 - 1930 : Moïsema Konxuatl
  • 1930 - 1935 : Moïsema Konxuatl
  • 1935 - 1940 : Moïsema Konxuatl
  • 1940 - 1945 : Edouatl Itzcasie
  • 1945 - 1950 : Moctezuma II Kalpàn
  • 1950 - 1955 : Moctezuma II Kalpàn



  • [en écriture, patience...]
    Gouvernement Provisoire
    1883 - 1885

    Dirigeant :
    Les Chaussures Noires
    Les Chaussures Noires


    Mandat : 2 ans (Janvier 1883 - Mars 1885)

    Résumé du mandat :

    A l'origine simple groupe rebelle qui luttait contre le gouvernement central, les Chaussures Noires prirent de plus en plus d'importances lorsque la République voisine de Nouveau-Saptär décida, face à la menace que représentait la dictature des Tupacs, d'armer le petit groupe. Ainsi, les Chaussures Noires purent disposer de nouvelles armes redoutables parfois même supérieures à celles du régime totalitaire. Finalement, en Janvier 1883, le groupe rebelle prit d'assaut la capitale, grâce au soutien populaire, et établirent alors un gouvernement provisoire.

    Rapidement après, le nouveau régime rencontre les représentants du Nouveau-Saptär pour décider du futur dans la région. Dans un acte solennel, l'ancien Taqui-Quichu et la République voisine s'unissent dans ce que l'on appelle aujourd'hui la "Fédération de Yukanaslavie". Après cette union, une période de reconstruction s'ouvre. Durant celle-ci, l'état de Nouveau-Saptär, plus riche que la majorité des autres états fédéraux, mis alors de nombreuses sommes afin de réindustrialiser et de renforcer l'économie du nouveau pays.

    Pendant ce temps, les derniers fidèles du régime des Tupacs tentent tant bien que mal de résister et de tenter de reprendre la capitale. Finalement, cette opposition est totalement anéantie à la bataille de Guatemelpa ( 12 Juin 1884 ) puis par l'exécution publique du dernier membre connu de la famille dictatoriale, Tupac II. Suite à ces évènements, tous les mouvements à tendance totalitaristes sont interdits.

    Après que la situation soit stabilisée, les Chaussures Noires, et une partie des représentants des cités et des Républiques membres, commence la création d'une Constitution. Celle-ci va se poursuivre jusqu'en Janvier 1885, date à laquelle la Fédération de Yukanaslavie est officiellement créée.
    Peu de temps après, les élections sont fixées en Mars et devront se tenir tous les 5 ans.

    Finalement, après les premières élections, les Chaussures Noires deviennent un petit groupe armé qui va lentement servir à former les premières polices et gendarmeries. Aujourd'hui, ce groupe rebelle est très réputé et est adoré par la population, tant leurs efforts ont apporté aux peuples de Yukanaslavie.
    Idoatl Pekelé
    1885 - 1890

    Dirigeant :
    Idoatl Pekelé
    Idoatl Pekelé


    Mandat : 5 ans (Mars 1885 - Mars 1890)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Premier Président Fédéral de Yukanaslavie, Idoatl Pekelé est issu du Parti Fédéral. A cette époque, c'est le parti majoritaire à l'assemblée ( qui a presque trois quarts des sièges ). Au départ simple militaire qui a soutenu les Chaussures Noires, et a participé durant les deux années de gouvernement de transition à la répression contre les soutiens des Tupacs, sa grande victoire à Guatemelpa ( 12 Juin 1884 ) a rapidement fait de lui un symbole national de la lutte contre les régimes autoritaristes ou totalitaires.

    Puis, peu de temps après, il reçu la Croix des Peuples, la plus haute distinction militaire imaginable ( celle ci a été créée pour rendre hommage aux héros de la nation ). Cette nouvelle gloire accumulée le décida alors à se lancer dans la politique. Entonnant au départ des discours fédérateurs et pleins de promesses, il s'attire rapidement la passion des foules et des masses, jusqu'à se faire élire en Mars 1885 comme Premier Président Fédéral de Yukanaslavie.

    Ses premières décisions amenèrent à développer une économie de marché sur le territoire, en exploitant les gisements de pétrole aux larges du territoire, en créant des sociétés de bûcherons ou en exploitant des mines de titanes ou d'or. Après ces constructions, les exportations ont pu alors enrichir le pays, qui investit dans la reconstruction des bâtiments, des habitations, et développe des projets de fondation de nouvelles villes.

    Au delà de l'aspect économique et purement industriel, Idoatl Pekelé est aussi un militaire aguerri, qui renforce l'armée en développant une marine à l'image des eurysiens et autres puissances Aleuciennes, en créant des usines de fabrication de fusils dernières générations. Ces avancées ont permis entre autre au pays de se renforcer et de s'assurer une place à la table des puissances.

    Finalement, en 1890, alors qu'il aurait pu se représenter pour un second mandat, Idoatl Pekelé décide de prendre sa retraite et de partir du gouvernement.
    Volomitl Kavorpoli
    1890 - 1895

    Dirigeant :
    Volomitl Kavorpoli
    Volomitl Kavorpoli


    Mandat : 5 ans (Mars 1890 - Mars 1895)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Député reconnu du Parti Fédéral, Volomitl Kavorpoli est sapythe du côté de son père et Taqui du côté de sa mère. Cette origine a longtemps permit au jeune homme d'être un pacificateur dans les relations entre ethnies et de considérer avec joie les avancées de la fédération de Yukanaslavie.

    Rapidement, il est passé de simple député à chef du parti Fédéral en 1987, lorsque le précédant a posé sa démission. Après cet évènement, il est rapidement devenu très populaire et est devenu le porte parole des minorités dans le pays. Cette proximité avec les peuples va lui permettre de remporter les élections face à son opposant Maximile Durkim, un kaulthe du parti Démocrate ( qui a l'époque était soutenu par le Bloc Socialiste ). Cette victoire est alors présentée dans les journaux d'époque comme "une nouvelle ère", où le mandat présidentiel ne sera jamais que d'une ethnie, mais bien de plusieurs ethnies.

    La première décision de Volomitl est de renforcer la sécurité et la police, afin d'éviter l'apparition de gangs ou de malfaiteurs pouvant s'en prendre aux civils ou aux villages isolés. Cette politique est fortement critiquée par l'opposition de l'époque, en particulier la gauche, qui critique ces actions car elles pourraient mener à "un retour de la dictature" ou encore à "l'arrestation de personnes par hasard". Cependant, ces mouvements de contestations sont trop faibles pour pouvoir réellement impacter les décisions de Kavorpoli.

    Ensuite, il décide de procéder à de larges constructions ferroviaires, afin de relier les grands pôles urbains en développement sous Idoatl Pekelé. Il reprend en partie l'idée de créer des trains au dessus des jungles, issu d'un projet d'un des dictateurs précédant la Fédération, pour finalement permettre de relier les grandes cités perdues dans les jungles en plus des villes du littoral. La construction, débuté en 1892, prendra plusieurs dizaines d'années avant de se terminer.

    Enfin, les premières relations diplomatiques fleurissent, en particulier avec l'Akaltie qui développe également à cette période des liens diplomatiques avec d'autres pays.

    A la fin de son mandat, Volomitl Kavorpoli se représente pour un second mandat, et gagne à plus de 78% des voix. Son opposant de toujours, Maximile Durkim, critique alors ce nouveau mandat en le décrivant comme le "mandat de la tyrannie".
    Volomitl Kavorpoli
    1895 - 1900

    Dirigeant :
    Volomitl Kavorpoli
    Volomitl Kavorpoli


    Mandat : 5 ans (Mars 1895 - Mars 1900)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Après sa réélection en 1895, Volomitl Kavorpoli s'oppose cette fois-ci à une plus grande opposition de la part du Bloc Socialiste, qui se renforce un peu, tandis que le parti fédéral perd lentement quelque sièges de plus. Bien que pour le moment la majorité des sièges sont détenus par le Parti Fédéral, la peur d'une vague de la gauche est présente. cette dernière va alors entrainer des vagues de manifestations entre les socialistes et démocrates, unis ensemble face aux fédéraux, largement majoritaires.

    Ainsi, les premières années du second mandat de Kavorpoli sont plutôt rudes. Des manifestations apparaissent et certaines laissent entendre même que le dépouillages des élections a été truquée. Finalement, pour mettre fin à ces troubles, Volomitl Kavorpoli demande à la police de disperser les foules. Cet acte sera compris par les opposants comme un symbole d'une "dictature qui ne dit pas son nom".

    Rapidement, le projet de chemins de fer littoraux commence à s'encrer sur le paysage Yukanaslave. Cette industrialisation va lentement permettre des déplacements ruraux dans les grands centres urbains d'époques, comme Uzusco ou Kivila. Les industries vont également fleurirent, et se développer à une vitesse folle. En contre partie, bien malheureusement, une classe ouvrière s'est formée et et vit dans des conditions misérables, par le manque de nourriture ou bien par l'absence de protection dans les mines de charbon par exemple.

    Autrement, en ce qui concerne la politique extérieure, des vagues de conquêtes se produisent. Par exemple, sous le commandement du Général Batisto Delàfuorez, un hispanophone du Nouveau-Saptär, les îles de Kamaltapente sont prises sous une certaine violence. Cet acte condamnera la vision pro-native de la Yukanaslavie pendant de nombreuses années, précisément durant celles du second mandat de Volomitl Kavorpoli. Après cette conquête cependant, une construction d'une large flotte de guerre est demandée pour pouvoir protéger ce premier territoire d'Outre-mer.

    Finalement, impopulaire après les actions proférées à Kamaltapente, par la répression des manifestations et par son industrialisation à marche forcée en défaveur des travailleurs, Volomitl Kavorpoli, bien que se représentant pour un troisième mandat, perd les élections face à son ennemi de toujours : Maximile Durkim, qui est alors soutenu par le Bloc Socialiste, le Parti Libéral, le Parti Démocrate et une partie des Fédéraux.
    Maximile Durkim
    1900 - 1905

    Dirigeant :
    Maximile Durkim
    Maximile Durkim


    Mandat : 5 ans (Mars 1900 - Mars 1905)

    Parti : Bloc Socialiste ( BS )

    Résumé du mandat :

    Grand ennemi politique du précédant Président Fédéral Kavorpoli, Maximile Durkim est rapidement devenu la figure de proue du mouvement d'opposition à l'égard des fédéraux "conservateurs", c'est à dire les soutiens de Kavorpoli. Cependant, les dernières actions provoquées sous le mandat de l'ancien dirigeant ont profondément choqué la population et les électeurs, qui se sont alors tournés dans une coalition afin de présenter leur candidat face à celui des fédéraux. Rien n'avait été plus simple que de choisir Maximile Durkim.

    Socialiste depuis son adolescence, Maximile œuvrait pour changer les conditions ouvrières des populations travaillant dans les usines. De plus, il haïssait profondément la politique d'industrialisation, notamment par la destruction de certaines côtes jusque là sauvages. En bref, c'était une sorte d'écologiste avant l'heure, profondément attaché aux traditions tout en souhaitant l'application de mesures sociales.

    Lorsqu'il fut finalement élu président en Mars 1900, Maximile s'empressa de proposer des mesures sociales afin de limiter les dangers pour le peuple ouvrier. Par exemple, pour les mineurs, ils avaient droit à deux douches par jours, une le matin, et une le soir. Auparavant, ils ne se lavaient qu'une fois toute la semaine. Egalement, les familles des ouvriers sont pris en charge par des syndicats "des familles" qui assurent aux jeunes enfants un minimum d'alphabétisation et d'éducation en tout genre.

    Cependant, ces politiques ne jouèrent pas en la faveur de Maximile. En effet, la redistribution d'une partie de la production alimentaire vers les ouvriers provoqua des ruptures de stocks dans certaines villes plus rurales, provoquant des famines et des épidémies. Cette situation catastrophique fut alors mise sur le dos de Durkim, qui tenta de se défendre en coupant la voix contestataire en la réprimant par l'interdiction des journaux d'oppositions.

    Cette prise de décision, qui tendait vers la droite, facilita des mouvements de haine à l'égard de Maximile, au sein même de son propre parti. Les députés socialistes dit "progressistes" souhaitaient même la destitution du président fédéral en Décembre 1904. Finalement, bien qu'avec difficultés, Maximile se tient sur sa position jusqu'à la fin de son mandat, en ayant réussit à améliorer la condition ouvrière, mais en contre partie en provoquant des crises alimentaires dans les petits pôles urbains et ruraux.

    Finalement, il ne tenta pas un deuxième mandat et se retira à la fin du sein en Mars 1905.
    Moctezuma Ier Kalpàn
    1905 - 1910

    Dirigeant :
    Moctezuma Ier Kalpàn
    Moctezuma Ier Kalpàn


    Mandat : 5 ans (Mars 1905 - Mars 1910)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Après les terribles évènements qui se sont produis sous Maximile Durkim, en particulier la famine, il fallait un politique capable de relever la situation. C'est à ce moment qu'un député sortit du lot. Ayant connu jeune la révolution des Chaussures Noires, il a toujours été un vaillant défenseur du régime Fédéral de la Yukanaslavie. Cet homme se nommait Moctezuma Ier Kalpàn. Au contraire de ce que l'on pensait à l'époque, son mandat allait réellement bouleverser la Yukanaslavie, à tel point qu'elle se relèvera de la crise bien plus rapidement que prévu.

    Rapidement, il fut découvert par les hautes instances du parti fédéral grâce à sa loyauté sans faille envers le régime. Cette incroyable fidélité a beaucoup fait espérer les fédéraux, car avec cet homme il pourrait peut être enfin redresser la barre et permettre au parti fédéral de regagner en prestige depuis le mandat de Kavorpoli. Ainsi, Moctezuma Kalpàn monta en importance, jusqu'en 1904, date à laquelle il devint chef du parti.

    Cette rapide montée allait alors faire du jeune chef la figure du l'opposition à Maximile Durkim. Conscient de la nouvelle place qu'il prenait, Moctezuma n'hésita pas à apparaitre dans de nombreux journaux, enfin les derniers libres, car vers la fin du mandat de Durkim, les journaux d'opposition avaient été interdit. De cette manière, le jeune Kalpàn devint réellement l'ennemi numéro 1 de Maximile, encore plus qu'avec le précédant président fédéral devenu impopulaire, Volomitl Kavorpoli.

    Cette tension se ressentie lorsqu'enfin, les élections arrivèrent. D'un côté, les fidèles de Maximile Durkim, socialistes convaincus, tentait d'amadouer les foules avec des promesses pleines de bonnes volontés. De l'autre, le reste de l'opposition, avec Moctezuma Kalpàn à sa tête, qui prônait une politique fédéraliste plus forte, tout en incluant certaines valeurs et propositions de la gauche afin de s'attirer l'électorat d'une partie de la population ouvrière ou populaire.

    Au final, en Mars 1905, les résultats sont tombés : Victoire écrasante de Moctezuma Kalpàn avec 67% des voix en sa faveur. Cette première victoire remettait donc le parti Fédéral dans le gouvernement, qui s'activa rapidement pour relancer des vieux projets de lois qu'ils souhaitaient mettre en place.

    En premier lieu, Moctezuma Kalpàn redistribua la nourriture aux plus démunis, quitte à en prendre dans les surplus des grandes familles riches. Cette première initiative fit apparaitre le nouveau président fédéral comme un socialiste se cachant chez les fédéralistes. Rapidement, il engagea aussi des sommes immenses dans la construction d'emplois, notamment dans l'agriculture, pour pouvoir disposer de surplus alimentaires en cas de crises, et faire baisser le chômage. Ces premières directives ont permis de remplacer les échecs de Maximile Durkim.

    Cependant, cette mesure n'était pas la seule qui semblait aux premiers abords de gauche. Afin de réduire le taux de mortalité dans les mines ou dans les lieux de travaux physiques, il fut décidé de déplacer les nombres d'heures de travail de 18h par jour à 15h. Aussitôt, le parti redevint extrêmement populaire dans les usines, les campagnes et les centres urbains.

    Cette nouvelle popularité permit à Moctezuma Kalpàn de s'emparer dans la politique extérieure de Katàl, deux petits territoires sur le Paltoterra Oriental. Admiratif des avancées du président fédéral, l'état présent sur le continent préféra entrer dans la Fédération en 1907. Cependant, cette intégration va poser les germes de nouvelles tensions qui vont s'accentuer un peu plus tard...

    Autrement, l'économie se portait pour le mieux. Les industries étaient florissants, les investissements étrangers commençaient à affluer, et la production était à son maximum. En quelque années, Moctezuma Kalpàn avait fait passé la Yukanaslavie d'un état en difficulté à un état fort. Cela se ressentait même dans la politique, avec certaines nations qui commencèrent à s'intéresser de plus en plus à la jeune Fédération.

    Cette situation aurait pu permettre très facilement à Moctezuma Ier Kalpàn de revenir pour un second mandat aussitôt son premier terminé. Cependant, à la surprise générale, il refusa de recommencer un second mandat comme l'avait fait Kavorpoli, certainement pour ne pas avoir une situation similaire dans son second mandat.
    Pakal Alfaro
    1910 - 1915

    Dirigeant :
    Pakal Alfaro
    Pakal Alfaro


    Mandat : 5 ans (Mars 1910 - Mars 1915)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Après la réussite de Moctezuma Kalpàn, et après son renoncement à un second mandat, les sièges des fédéralistes augmentèrent un peu, permettant à ceux-ci de proposer un candidat avec une certaine sureté de victoire dans les votes. Cette personne est Pakal Alfaro. Issu de la jeunesse des cités Taquiennes et d'une certaine origine hispanophone, il a rapidement été sélectionné par le parti pour son talent oratoire excellant, pouvant facilement attirer les foules en sa faveur.

    A partir de ce moment, il se présenta comme candidat des fédéraux aux élections de 1910. Son opposant, un démocrate ( première fois de l'histoire qu'un démocrate se présentait et gagnait autant de voix ), du nom de Frédéric Pakmane, était alors la seule figure pouvant lui porter atteinte en terme de popularité. Finalement, grâce à son talent oratoire exceptionnel, Pakal Alfaro fut élu 5e Président de la Fédération de Yukanaslavie.

    Cependant, son mandat ne va pas commencer sur de bonnes bases. Rapidement, il envoie des navires vers l'Afarée, et rencontre une chefferie Confédérale, le Dgondu. Celle-ci, fasse à l'essor de la fédération, demande son rattachement à la Yukanaslavie. A partir de cette simple demande, des débats ( qui avaient déjà commencé sous Moctezuma Ier Kalpàn au sujet de Katàl ) vont alors s'enclancher, distinguant rapidement deux camps :
    le premier est celui des "Pro-fondamentalistes", qui revendiquent que seuls les quatre premiers états peuvent être considérés comme tels. Ils sont principalement présent dans les territoires de Nouvelle-Warenburg et de Nouveau-Saptär.
    Ensuite, le deuxième camp est celui des "Pro-Fédéralistes", eux, au contraire des premiers, souhaitent que tous les territoires qui demandent à intégrer la Fédération deviennent de facto des états au même titre que ceux de la Métropole.

    Ainsi, des débats vont s'enchainer, des tensions vont se créer, sans que le président fédéral ne puisse rien faire. Pour tenter de calmer le jeu, il prit la décision de se ranger du côté des fédéralistes, ce qui déclencha une colère des dirigeants des états pro-fondamentalistes. Pour se venger, ceux-ci se réunirent à Nova-Aphalstèma, capitale du Nouveau-Saptär, et déclarèrent faire sécession de la Fédération, en fondant de leur côté la "Fédération de l'Aleucie du Sud" ( ou FAS ) en Janvier 1915.

    Cette crise va alors mener à ce que l'on appel "la guerre des Statuts". Pakal Alfaro, incapable de faire quelque chose, se retira du pouvoir en Février de la même année, obligeant le régime à procéder à mettre en place un régime autoritaire et sous loi martiale.

    Début de la "Guerre des Statuts"
    Janvier 1915


    Afin de faire face à la situation, la loi martiale est adoptée et un régime autoritaire se met en place pour lutter face aux fédéralistes de la Fédération d'Aleucie du Sud ( FAS )

    Guerre des Statuts
    Bataille entre les forces du FAS et de la Yukanaslavie
    Itzal Akaltos
    1915 - 1920

    Dirigeant :
    Itzal Akaltos
    Itzal Akaltos


    Mandat : 5 ans (Mars 1915 - Mars 1920)

    Parti : Aucun

    Résumé du mandat :

    Après la formation de la Fédération d'Aleucie du Sud ( FAS ), la Fédération de Yukanaslavie décrète alors la loi martiale sur tous les territoires contrôlés par elle. Cependant, pour que ce régime puisse tenir, il faut faire appel à un homme fort. C'est ainsi que les politiques remarquent, sur les premiers théâtre d'affrontements, un certain Itzal Akaltos remporter des victoires importantes dans le sud.

    Cet homme, jusqu'alors seulement général, va être choisit à la va-vite uniquement en prenant en compte ses victoires, afin de faire tenir ce régime qui tendait vers l'autoritarisme afin de contenir des potentielles nouvelles séditions. De ce fait, Akaltos est proclamé Président Fédéral de transition, c'est à dire qu'il restera au pouvoir en tant que président fédéral jusqu'à la fin de la guerre.

    Bien que forcé par la situation à accepter l'offre, Itzal Akaltos n'est pas en reste pour autant. Après sa nomination, il réorganise les troupes et affrontent lors de quelque batailles les nouvelles forces de la FAS. Bien malheureusement, l'avancée technologique du Nouveau-Saptär a rapidement permit à la fédération sécessioniste de remporter des victoires, jusqu'à même atteindre les portes de la capitale Uzusco.

    Finalement, le siège d'Uzusco est un échec pour les assaillants. Les défenses de la ville, et le soutien populaire, a permit de créer des barricades et des pièges qui diminuent grandement la vitesse de déplacement des troupes de la FAS. De ce fait, à court de munitions et de ravitaillements, les forces sécessionistes recules de la capitale. Cette victoire marque alors la débâcle de la Fédération d'Aleucie du Sud.

    Après 1918, les forces menées par Akaltos finissent par s'emparer de la Nouvelle-Warenburg. Cette nouvelle grande victoire permet alors la reprise de certains états outre-mer, comme Kamaltapente. Auréolé de gloire, Itzal poursuit sa lutte dans le nord, dernier territoire encore occupé par la FAS. Dans l'océan Carmin, les dernières forces maritimes ennemies sont abattues dans le courant de la fin de l'année 1918.

    Enfin, après 5 années de guerre, Nova-Aphalstèma, capitale de la Fédération d'Aleucie du Sud, tombe finalement en Février 1920. A court de soutiens extérieurs, et par l'impopularité de la sécession, les forces de la FAS finissent par capituler, mettant fin au conflit le plus dramatique qu'ait connu la Fédération de Yukanaslavie dans son histoire contemporaine.

    Pour finir, Itzal Akaltos, véritable héro de la guerre, quitte son poste pour les élections, et ne se représente pas. Les plus admiratifs de cet homme se feront appelés les "Itzaliens", et auront beaucoup de succès, en particulier avec les militaires.

    Fin de la "Guerre des Statuts"
    Février 1920


    Capitulation de la FAS
    Capitulation et paix de la Fédération d'Aleucie du Sud
    Alponso Maka
    1920 - 1925

    Dirigeant :
    Alponso Maka
    Alponso Maka


    Mandat : 5 ans (Mars 1920 - Mars 1925)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Après la fin de la guerre des Statuts, qui a profondément bouleversé le régime, de nouvelles élections, organisées seulement dans les états appartenant au camp de la Yukanaslavie ( donc sans la Nouvelle-Warenburg et le Nouveau-Saptär ), permet l'avènement d'un nouvel homme à la place de président fédéral, il s'agit d'Alponso Maka.

    Cet homme, particulièrement brillant dans les lettres et l'histoire, a toujours rêvé d'une Yukanaslavie forte et ayant une place primordiale dans la région Aleuco-Paltoterrane. Intégrant le Parti Fédérale dans ses plus jeunes années, il parvint à rapidement s'illustrer par son talent rédactionnel, et part son contact facile avec les masses.

    Finalement, quand vient le temps des nouvelles élections, il fut désigné candidat pour représenter le parti. Sans réel suspens, il est élu à près de 78% des voix, une grande première dans l'histoire du pays. Après son élection, il va devoir faire face à de nombreux défis qui changeront le pays à jamais.

    En premier lieu la question de l'intégration du Dgondu fut remise sur la table. Cet état Afaréen, en partie, par sa demande, antagoniste de la guerre des Statuts, est finalement acceptée au sein de la Fédération en 1922, lorsqu'Alponso Maka signe la même année le traité de Kivila ( 9 Mai 1922 ), qui désigne tous les territoires de la Fédération de Yukanaslavie comme des états à part entière. De ce fait, il met définitivement fin aux "territoires d'outre-mer" ou aux "colonies". Ainsi, dans les trois années qui vont suivre, trois états apparaissent : le Katàl, le Kamaltapente et le Dgondu.

    Autrement, la question de la reconstruction fut posée. Avec les nouvelles technologies utilisées dans le conflit, comme des chars, des avions ou de l'artillerie, le pays ressortait détruit et affaibli de cette guerre interne. De ce fait, un large programme fut mis en place, appelant les investisseurs étrangers à aider à la reconstruction en échangent d'avantages. Cette politique va porter ses fruits et vers la fin du mandat d'Alponso Maka, une partie du pays était redevenue aussi splendide qu'avant la guerre.

    Enfin, un tribunal fut mis en place afin de condamner les investigateurs de la FAS ( Fédération d'Aleucie du Sud ), afin de les juger pour leurs crimes ( notamment le génocide Hamajak vers 1916 ). Celui-ci prendra le nom de Tribunal d'Uzusco ( 1924 ). Durant celui-ci, les principaux dirigeants de la FAS seront emprisonnés pour la majorité, ou tué pour les membres les plus dangereux et extrémistes. Cependant, dans le cœur des populations ayant fait partie de la FAS, un certain goût de défaite et de honte commençait à germer.

    Finalement, après 5 ans de mandat à retailler la puissance de la Yukanaslavie, Alponso Maka refuse de faire un second mandat et quitte le pouvoir suite aux élections de 1925.
    Moïsema Konxuatl
    1925 - 1930

    Dirigeant :
    Moïsema Konxuatl
    Moïsema Konxuatl


    Mandat : 5 ans (Mars 1925 - Mars 1930)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Député du Parti Fédéral lors de la Guerre des Statuts, Moïsema était connu surtout pour son franc-parler et son ancien poste de président de Nouvelle-Warenburg juste avant la sécession de la Fédération d'Aleucie du Sud ( FAS ). Cette position était parfaite pour tenter de réconcilier les états sécessionistes et les états loyalistes. De ce fait, ce candidat s'est proposé pour la candidature en 1925.

    Grâce à la grandeur du parti, toujours imposant, et sa confiance donné par la population, le candidat, à travers ses discours et ses débats animés, a pu rapidement obtenir dans les résultats 64% des voix, devenant de fait le 8ème président fédéral de Yukanaslavie.

    Sa première décision au poste de président fut de mettre fin aux zones d'occupations, qui dirigeaient localement les territoires des deux états de l'ancienne FAS. Cette idée permit néanmoins de donner au président une certaine aura importante dans les "états colons". Cette célébrité permit un temps de permettre une réconciliation entre les populations qui étaient avant opposées dans la Guerre des Status. Cette nouvelle entente est souvent nommée dans les libres d'histoire : "la Réconciliation de Konxuatl".

    Ensuite, avec la guerre qui avait ravagé de nombreux territoires, Moïsema Konxuatl appela alors les ouvriers étrangers à venir en Yukanaslavie pour aider à la reconstruction, en, échange de travails et de salaires importants. Cette tactique fit venir alors du monde entier un large panel de personnes, qui chacun, avec leurs familles, donneront alors les nombreuses minorités italophones, hispanophones, anglophones, etc...

    Aussi, des expéditions furent menées afin de traquer les derniers malfaiteurs responsables des massacres et de la guerre civile aillant eu lieu il y a 10 ans environ. C'est à cette époque que fut découverte Gedemascar. Autrefois lieu florissant de vie, à présent l'archipel était oppressée par une dictature orchestrée par des survivants du FAS. Du premier mandat de Konxuatl, rien ne fut fait, mis à part de maigres contacts avec certains groupes.

    Finalement, le travail d'industrialisation commencé par Alponso Maka toucha vers sa fin avec la construction d'une ligne de chemin de fer Nova-Aphalstèma/Uzusco. Cette réussite, voir prouesse pour le pays va alors provoquer une vague nouvelle d'industrialisation qui se terminera bien plus tard.

    Pour conclure, Moïsema Konxuatl terminera son mandat en ayant toujours plus relevé le pays du chaos ambiant dû à la Guerre des Statuts qui reste profondément ancrée dans les mémoires de la population comme un traumatisme. Finalement, il décide de se représenter, et, à la surprise générale, remporte 74% des voix, soit 10% de voix supplémentaires qu'à son élection première.
    Moïsema Konxuatl
    1930 - 1935

    Dirigeant :
    Moïsema Konxuatl
    Moïsema Konxuatl


    Mandat : 5 ans (Mars 1930 - Mars 1935)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Sitôt sa réélection faite, Moïsema ne perdit pas de temps et se retourna alors vers un archipel qui avait été accosté il y a quelque année : Gedemascar. Le petit pays, peut de temps après les premiers contacts, était tombé dans une profonde guerre civile suite à la fin de la dictature des derniers membres de la FAS. Durant celle-ci, un camp envoya une demande de soutien à la Yukanaslavie : la République Populaire de Gedemascar.

    Petite faction du sud de l'archipel, ils avaient pu créer une petite communauté qui se basait sur des principes socialistes. Malheureusement, ils étaient entourés par des factions belliqueuses qui ne souhaitaient que la chute de la RPG. Alors, pour tenter de gagner le conflit, et par peur de se faire submerger, le dirigeant du groupe envoya une missive à Moïsema. Profitant de l'occasion pour enfin récupérer les derniers organisateurs de la Fédération d'Aleucie du Sud ( FAS ), il se lança alors dans l'une des rares campagnes militaires procédées par la Yukanaslavie dans toute son histoire.

    Les premières forces militaires à y être envoyer, grâce aux réformes menées par les précédents présidents, permirent rapidement une grande victoire sur la mer, posant alors un blocus à toutes les forces et factions opposées à la République Populaire de Gedemascar. Cette politique, parfois critiquée dans la "Métropole", a cependant réussi car certains groupes se sont vites ralliés à la RPG.

    Continuant dans cette lignée, des premiers débarquements furent mis en place, amenant à la prise rapide de la plus grande ville "Rija" qui devint la capitale de la faction socialiste. Peu de temps après, les victoires s'accélérèrent, et l'île du sud fut totalement contrôlée vers le courant de l'année 1933. Sur les territoires reconquis, une administration nouvelle et stable se développa, pendant que l'armée de la RPG et de la Yukanaslavie se préparaient à terminer la guerre civile en s'emparant du nord et des atolls.

    Les débarquements furent bien vites une victoire écrasante de cette coalition. Rapidement, les îles du nord furent toutes prises rapidement et les derniers clans et factions se soumirent rapidement par la suite. Les derniers membres de l'ancienne FAS, quant à eux, furent redécouverts pour certains durant la guerre civile, et souvent jugés avec comme sentence la peine capitale : la mort.

    En 1935, en Janvier, alors que la guerre civile s'était terminée, la République Populaire de Gedemascar, en reconnaissance de l'aide Yukanaslave, et pour se sentir plus protégée, intégra la Fédération juste avant les élections en Mars. En déplacement dans l'archipel pour officialiser l'entrée de Gedemascar dans la fédération, Moïsema Konxuatl, qui avait participé activement dans la guerre, fut triomphalement accueillit par la population à Uzusco. Profitant alors de la situation et de sa popularité, il tenta de faire l'impossible et de se présenter pour un troisième mandat.
    Moïsema Konxuatl
    1935 - 1940

    Dirigeant :
    Moïsema Konxuatl
    Moïsema Konxuatl


    Mandat : 5 ans (Mars 1935 - Mars 1940)

    Parti : Parti Fédéral ( PF )

    Résumé du mandat :

    Après sa grande victoire en Gedemascar, et sa popularité toujours plus grandissante, Moïsema Konxuatl se présenta alors pour un troisième mandat, représentant donc le Parti Fédéral pour une énième fois. Son adversaire, un socialiste au nom oublié, n'a tout simplement pas pu s'opposer au "Vainqueur de Rija" ( Konxuatl aillant été directement sur le champ de bataille en Gedemascar ). Ainsi, les résultats ont été sans appels : victoire écrasante de Moïsema avec 94% des voix pour lui, un score qui ne sera plus jamais refait de toute l'histoire de la Yukanaslavie.

    Le premier évènement à arriver est néanmoins tragique. En Juillet 1935, Idoatl Pekelé, le premier président de la Yukanaslavie, s'éteint à l'âge vénérable de 82 ans. Cet évènement est cependant beaucoup médiatisé dans le pays, Moïsema le mettant en scène comme le passage du flambeau de l'ère fondatrice à celle de l'âge d'or Yukanaslave. Cette cérémonie, qui fut grandiose, permit d'honorer, dans le même temps, la mémoire des hommes et des femmes qui se sont battus pour la création de la Fédération et également des combattants durant la Guerre des Statuts.

    Peu après, il envoya une lettre de félicitation et d'aide afin de reconstruire l'état de Gedemascar, encore en partie détruite à cause de sa guerre civile. Cette initiative permit de donner encore plus de crédibilité au Président Fédéral, jusqu'à même développer, dans des groupuscules de l'armée notamment, un étrange culte de la personnalité envers le Président Fédéral.

    Aussi, de nombreux chemins de fer furent construits, principalement sur les littoraux, parfois dans les terres, permettant alors des transmissions plus rapides de certaines ressources et personnes entre les états. Ce véritable développement a largement conduit à la montée en puissance de la Yukanaslavie. Egalement, le plan de chemin de fer au dessus des jungles se concrétisa officiellement avec l'ouverture d'une ligne Uzusco/Nouvelle-Warenburg.

    Après ce troisième mandat bien remplit, Moïsema, encore très largement populaire, posa sa candidature pour un quatrième mandat. Durant les premiers mois, il enchaina les débats et remporta de grandes victoires diplomatiques. Cependant, alors que le mois de Mars approchait à grand pas, alors que le Président fédéral tenait un discours, un homme dans la foule tira sur le candidat par trois fois à la tête, à l'épaule et au ventre. Les secours, malgré leurs efforts, n'ont rien pu faire. Il s'avéra finalement que l'homme qui avait tiré était un membre du groupuscule "Union Communiste de Yukanaslavie" ( qui va, pour certains membres de ce groupe, fonder le Parti Populaire Yukanaslavien ) qui voulait éviter un quatrième mandat de Konxuatl afin que celui-ci ne transforme pas le pays en une dictature à l'image de celle des Tupacs il y a plus d'un demi-siècle.

    Cette théorie est beaucoup étudiée par les historiens, mais il est fort probable que si Moïsema Konxuatl avait survécu, il aurait encore une fois remporté les élections et aurait surement pu se nommer roi ou dirigeant à vie du pays, tant il était apprécié de tous et toutes. Nous aurions pu avoir soit une dictature totalitariste, soit un royaume qui tient profondément à ses sujets.
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